Hot Rod & Cooltitude…
Il n’existe aucune statistique concernant les vols de Hot Rods en Europe, il n’y a d’ailleurs et de plus, aucun chiffre permettant de savoir quel type de Hot Rod serait le plus volé, d’ailleurs, ayant été visé par des malfrats en bande criminelle organisée, ce n’est pas un de mes Hot Rods qui a été volé, mais c’est ma curieuse mais rarissime LéaFrancis ACE Of Speed (3 restent dans le monde) qui a été volée dans une escroquerie organisée au nom du Groupe AXA avec l’utilisation d’une société boîte aux lettres nommé AXA ART Versicherung AG, qui est à la base de 700 escroqueries répertoriées.
Toutes ont été organisées par des agents AXA, ce qui a été révélé en presse (Belge) , sans suite, car étouffement venant “des autorités” (Belges et Européennes), pour ne pas contrarier AXA dans une affaire de corruption mettant en scène la directrice CEE (au centre du scandale des commissions et détournements des fonds de l’armée allemande, puis des vaccins et ensuite des dons à l’Ukraine par milliards avec “return sur cpts Off-Shores”... et de sa lieutenante directrice du Parlement Européen à Bruxelles, chez qui trainaient des millions en coupures bancaires sans justifications légales…
Tout cela avec obligation d’occultation des faits envers la presse (subsidiée), et sans qu’aucun gouvernement européen ni aucune instance judiciaire s’inquiète de ces manœuvres qualifiées “d’internes à la Belgique”, (Le juge d’instruction a été mis à la retraite anticipée et ses dossiers fermés ou disparus pour ne pas gêner les dons de charité à l’Ukraine à cause des retours de 50% sur les comptes Off-Shore des donneurs)… Le boss d’AXA en personne, Mr Burbell (a qui je fais un “coucou”) a donc dissous la société boites aux lettres AXA Art Versicherung AG et a prétendu l’avoir déménagée en Irlande sous un autre nom.
Comme c’était une société boite aux lettres qui prétendait (sur prospectus hyper luxueux) être championne du monde des assurances d’œuvres d’art et automobiles de collection (comme ma LéaFrancis prétendument assurée, car contrat fantaisiste non signé, daté après sinistre), couvertes par plus d’un milliard déposé dans un paradis fiscal et employant (toujours selon le prospectus) une centaine de spécialistes, j’ai trouvé curieux qu’aucun de ceux et celles-ci qui vivaient de cette entité allemande n’a migré en Irlande avec leurs familles, animaux de compagnie, maison et autres biens…
Et, en ce compris les prétendus experts qualifiés disparus sans indemnités avec leurs expériences tant louées… L’arnaque, au plus elle est gigantesque, au plus elle passe grâce aux pots de vin… Mais cela au niveau d’une société telle qu’AXA, c’est époustouflant… C’était donc une duperie dans la duperie ce qui est dans le fil des calculs judiciaires… Et, comme “l’Europe est à Bruxelles” et comme le Ministre de la Justice (Belge) Reynders y a été mis en examen pour corruption et autres, tout comme la directrice de l’UE a été en prison préventive (les millions en billets qui trainaient dans son appartement) et que…
Et que… et que… la grande prêtresse Ursula VonderLeylen a du fuir l’Allemagne pour avoir reçu des montants corruptifs lorsqu’elle était ministre de l’armée Allemande, ce qu’elle a refait, nommée à la tête de la CEE, pour les pseudos vaccins Covid… il va de soit que le vol de ma LéaFrancis ne représente plus grand chose, surtout que c’est la guerre en Ukraine et qu’il faut serrer les coudes…Alors que dans ce même environnement le Procureur belge Jean-Marc Meilleur a été démissionné pour avoir menacé mes avocats et volé le dossier de mon affaire dont des preuves enregistrées, devient insignifiant…
Un Magistrat “du cercle” a alors écrit sur ordonnance “La recherche de la vérité dans l’affaire LéaFrancis n’a aucune importance”... Malgré ma plainte et la dénonciation des faits au Président de la Cour de Cassation (Belge), le Procureur Jean Marc Meilleur a simplement été démissionné pour être employé auprès du ministre… Recasé illico simultanément comme lobbyiste, créateur d’histoires alternatives engagé aux sévices de ce même ministre alors que l’enquête judiciaire (belge) démontrait simultanément que les deux cheffes de l’Union Européenne étaient de mèche dans des commissions illégales…
Le ministre (en examen pour corruption) a viré les enquêteurs qui eux n’étaient pas corrompus et a nommé/chargé l’ex-procureur (qui avait été démissionné et avait menacé mes avocats de par son positionnement de Procureur), de finir de noyer les poissons… Tout ce barnum 100% réel prend du temps… Les ramifications sont nombreuses y compris en France ou un Substitut a argué que comme j’étais né en 1900 selon un document fourni par le Procureur belge démissionné, je ne pouvais qu’être mort et que donc je ne pouvais être moi-même. Tout ca pour vous écrire que rien n’est jamais comme on nous le présente.
Surtout que c’est avec obligation d’y croire sous peine de sanctions… On en est là… Le fait de nous avoir tous et tousses intoxiqués et de nous faire croire à diverses histoires du même style et genre, fait que le découragement s’installe… Je me dois donc de vous annoncer que les chiffres qu’on nous balance sont des manipulations… Il faut donc se contenter des chiffres d’avant la pandémie pour savoir quelles voitures sont les plus volées. Mais avant toute chose, après un creux pendant la pandémie, la courbe est à nouveau en hausse. Mais que se passe-t-il si l’on regarde la liste de l’autre côté ?
Quelles sont les marques les moins populaires auprès des voleurs ? Nous sommes surpris d’apprendre que seulement une seule LéaFrancis (la mienne) a été volée au cours de toute l’existence de la marque… Je répète : “De toute l’histoire de cette marque aucune n’a été volée, sauf ma mienne”…Vous êtes surement ravis de le lire. Le fait que la marque soit si impopulaire auprès des professionnels (car il n’y a que des bandes organisées dans ce métier de nos jours) me dérange plus qu’un pneu, un peu, d’autant que les voitures électriques ne figurent pas du tout dans le classement, car elles ne sont quasiment pas volées.
Probablement parce que leurs batteries se déchargent avant d’atteindre les frontières. Le choix de la marque et de la voiture que vous trouvez cool est bien sûr une affaire très personnelle. Mais depuis des années, partout dans le monde, les gens considèrent qu’un Hot Rod est sans égal en matière de “coolness”. Et c’est probablement le coté déjanté qui fait toute la différence. Il faut laisser le superficiel pénétrer notre subconscient pour réfléchir que répondra à des questions que personne ne pose. Un Hot Rod allie rébellion créative, statut déjanté et authenticité aléatoire. C’est ce qui en fait une icône…
Et cette icone laisse son empreinte sur plusieurs courants sous-culturels. En même temps, un Hot Rod est toujours doté d’un niveau de non-fonctionnalité technique qui, comparé aux standards les plus basiques est toujours en retard sur le temps qui passe. L’immense communauté des fan’s, sont hors-la-loi, témoignant certainement ainsi de la popularité des Hot Rods auprès des Hot Rodders. Je cause par mon écriture des passionnés au sens le plus positif du terme : ils savent bricoler, ils savent conduire et ils connaissent leur Hot Rod de fond en comble.
C’est cette validité intemporelle qu’aucune autre voiture ne peut réunir avec autant d’incohérence. D’ailleurs : dès qu’une réunion commence à devenir un peu fastidieuse les Hot Rodders descendent des bières et dansent sur du folk-western… Un Hot Rod actuel se distingue des autres par un design minimaliste qui va à l’essentiel, à l’essence même des choses. Et cela fait partie de l’ADN des Hot Rod’s qui attire les individualistes, surtout les gens qui veulent façonner leur vie selon leurs propres idées et rêves. Des esprits agités, des aventuriers, des fonceurs, des artistes.
C’est de là que viennent des thèmes comme la rébellion et la confiance en soi. Et c’est toujours le cas aujourd’hui. En d’autres termes, c’est de l’euphémisme décontracté. Savoir ce qui constitue sa propre identité mais sans avoir à en parler constamment à chaque occasion. Je pense que c’est ce qui définit la coolitude en général, et c’est aussi ce qui rend un Hot Rod cool. C’est une sorte de nonchalance naturelle, quelque chose que l’on voit très clairement. La coolitude étant une sorte de démarcation intentionnelle par rapport à tout ce qui n’est pas cool dans une sous-culture.
Le produit d’une marque est en fin de compte l’ornement nécessaire de cette démarcation. Avec ce produit, la personne cool se distingue de la personne pas cool. Vu sous cet angle, le produit en lui-même ne peut pas du tout être cool ; lorsqu’une personne choisit un produit pour se démarquer de la coolitude, elle en fait un produit pour les personnes cool. Je suppose que cela rend également le design cool d’une certaine manière, c’est l’acte de faire quelque chose qui semble cool qui importe. Le luxe est toujours lié à la déviation volontaire des normes et des idées conventionnelles. Il s’agit d’une attitude personnelle.
Elle est face aux choses, combinée à une expérience très personnelle. Comme dans l’art, la transgression des règles, le rejet des conventions, est perçu de manière positive. C’est pourquoi le fait de ne pas se conformer aux normes établies peut être perçu comme une belle et individuelle déclaration de luxe. Prenons un exemple que beaucoup de gens associent immédiatement au luxe : une marina dans le sud de la France. Et puis quelqu’un arrive avec son yacht de cinq cents millions d’euros. Est-ce que vous dites : “Wow, c’est cool” ? Ou est-ce que vous vous dites : “Oh non, s’il vous plaît, ne le faites pas” ?
Si, par contre, le type est un multimilliardaire célèbre et qu’il arrive avec sa propre barquette de pêcheur, je pense immédiatement : “C’est un type cool !” Il est clair que ce qui rend un Hot Rod cool est difficile à décrire avec des mots. En revanche, il est extrêmement important que les Hot Rod’s soient perçus comme cool. Le mieux est sans doute de ne pas trop se le demander, mais de continuer à aborder les aspects tangibles de l’identité de manière ciblée. Une attitude cool intentionnelle ne fonctionnera pas. Il faut se concentrer sur ce qui a eu un impact durable sur l’essence de ce type d’autos, sur la base de l’image établie.
Il s’agit de choses comme l’authenticité, qui se définit facilement par notre prétention à l’ingéniosité et à la fonctionnalité, le langage de conception original, immédiatement reconnaissable, clair et pur, et le lien avec une expérience utilisateur très caractéristique et incomparable. Cela commence par les petits détails. Bien entendu, cela inclut également le design de l’intérieur dans son ensemble, la position du conducteur au volant, l’ergonomie, en d’autres termes, tous les facteurs qui ont une influence significative sur l’expérience de conduite. En ce qui concerne l’extérieur, c’est toujours une question de proportions.
Mais aussi de design, ainsi que des interactions entre ces facteurs individuels, qui peuvent être très complexes. C’est aussi une question de reconnaissance ? C’est aussi un aspect de la coolitude. Si vous cherchez un archétype qui définit l’identité en termes de coolitude, je dirais que c’est le rebelle et l’aventurier. Un rebelle ou un aventurier est un excellent représentant de la coolitude. Cela donne au moins une certaine image, et la plupart des gens aiment les images claires et sans ambiguïté. Les archétypes font partie d’un système de navigation, en quelque sorte, pour un espace de liberté créative.
Fondamentalement, je suis un partisan de l’approche de la boussole : indiquer approximativement la direction que l’on veut prendre, définir un thème central, poser des principes. Cela permet également de réagir plus rapidement, nous devons laisser le superficiel s’infiltrer dans notre subconscient, toujours être provocateur et proposer sans cesse des alternatives. Même si la coolitude est aussi une question de goût, c’est toujours la fine frontière entre 3différent pour le plaisir d’être différent et meilleur. Un bon indicateur, c’est quand quelqu’un dit : “Waouh, c’était vraiment inattendu !”, fasciné par l’irrationnel…
C’est pourquoi nous aimons aussi transgresser les règles. Nous vivons dans des contradictions, comme l’expliquent les neuroscientifiques et les psychologues. Notre irrationalité, comme le montrent les recherches sur l’innovation, est le secret de notre créativité. C’est notre irrationalité qui nous fait comprendre que ce n’est pas nous qui devons nous adapter au monde, mais que c’est le monde qui doit s’adapter à nous. C’est une autre raison pour laquelle tout progrès dépend de notre irrationalité. Si les gens ne faisaient jamais de bêtises, rien d’intelligent ne serait jamais accompli !
2 commentaires
Maitre,
Votre réflexion sur notre irrationalité et la transgression des règles éclaire une part de ce que nous sommes, tiraillés entre la structure et l’impulsion, le rationnel et l’intuitif. Cependant, certaines règles, celles qui fondent l’éthique, la probité et l’intégrité, semblent appartenir à une autre catégorie. Ce sont ces repères indispensables qui, loin de freiner l’élan vital, garantissent un terrain fertile pour le respect et la justice. Lorsque ces principes sont trahis — comme cela semble avoir été le cas chez Axa et dans la justice belge —, les conséquences ne sont pas seulement des failles, mais des blessures profondes, individuelles et collectives.
Peut-être est-ce là une des grandes contradictions humaine : nous louons la subversion nécessaire à l’innovation, mais pleurons l’érosion des règles quand elle conduit à des abus. La perte de votre Lea Francis me semble une illustration amère de cette tension entre le chaos créatif et la stabilité protectrice des règles.
Avec une sincère considération,
Votre lectorat.
De tête c’est une affaire qui traine depuis 15 ans et qui pourrait encore trainer plusieurs années… Je me permet de vous envoyer les meilleurs courriers que je m’amuse réellement à expédier, d’abord en Belgique ou il teste une cassation concernant un re-examen des erreurs manifestes qui décourage même mon seul avocat belge restant… En France dans la procédure d’escroquerie au jugement dont je vous informe également, c’est aussi surréaliste, mais j’ai l’avantage d’être plaignant-victime demandant justice… Je peut donc oser aller bien plus loin… Je pense que personne n’ose aller si loin… Mais comme l’escroquerie au jugement est une création par jurisprudence constante des Cours d’Appel et Cassation qui en ont eu ras-le-bol des mensonges, c’est mieux défini… Je pense que si je passe le cap des blocages ne futce que par un appel à quelconque funeste décision qui sont une méconnaissance des Lois et un refus de juger, alors le temps perdu sera compté en plus de mes déboires… Et dans cette affaire, je suis en conflit avec du très lourd, tel le Groupe AXA qui a utilisé une société bidon boite aux lettres et co-réalisé et utilisé des faux… En Belgique, là l’escroquerie au jugement n’est pas reconnue et la corruption est généralisée… Je reconnais que pouvoir tapoter mes souvenirs automobiles est une récréation…