Après l’annihilation Europaméricaine, longue vie au nouvel Empire !
La toute première voiture électrique date de 1834. Le moteur à explosion, plus complexe est apparu 27 ans plus tard, en 1861. La commercialisation du premier véhicule électrique remonte à 1852, il utilisait l’invention de Gaston Planté de la batterie rechargeable au plomb-acide, améliorée par les travaux de Camille Faure, qui permettront à la voiture électrique d’avoir un véritable succès durant 47 ans ! Charles Jeantaud, Nicolas Raffard, Gustave Trouvé et Camille Alphonse Faure, conçoivent ensuite la Tilbury en 1881, la première voiture électrique, alimentée par des accumulateurs cachés sous les sièges.
En 1895 cette équipe engage une de leur voiture électrique dans une course Paris-Bordeaux-Paris, mais après 600 kilomètres de course la voiture électrique est contrainte d’abandonner suite à un problème d’essieu, mais le moment de bravoure de Charles Jeantaud se produit en 1898 lorsque la plus célèbre de ses voitures électriques surnommée “le Duc” (36 chevaux) établit le premier record de vitesse terrestre avec 63,15 km/h. Un an plus tard, en 1899, la “Jamais Contente” de Camille Jenatzy couronne la première ère électrique en s’octroyant le record de vitesse en dépassant les 100 km/h.
Un an plus tard, en 1900 une flotte de taxis électriques sillonnait les rues de New-York. À l’époque 38 % du marché automobile américain était capté par les véhicules électriques, faciles à démarrer, ne laissant pas derrière elles un nuage irrespirable de fumée noire, ces voitures étaient bien supérieures aux voitures thermiques de l’époque. Paris avait précédé le mouvement des taxis électriques New-Yorkais en voulant disposer d’une flotte de taxi dès 1898, c’étaient les premiers services de taxis appelés automobiles de louage à moteur, ou fiacres électriques.
Faute de règlementation, les prix étaient libres et se négociaient à la course. Peu rentable, le système électrique fut peu à peu délaissé et abandonné 5 ans plus tard. Qui dit voiture électrique dit point de recharge, sauf qu’à l’époque, on parlait de “colonne de charge pour automobile électrique” qui prévoyait déjà une intégration élégante dans le cadre urbain. Pour recharger ses accumulateurs, l’utilisateur devait mettre un jeton dans le compteur, fermer les coupe-circuits intérieurs, l’interrupteur bipolaire, et choisir avec le commutateur du rhéostat l’intensité de charge (de 25 à 80 A) à fournir à la batterie.
Comme d’habitude les Américains ont “f… le bordel général” en poussant en avant, dès 1908, l’automobile thermique Ford T qui changeait la donne. Malgré l’invention en 1910 par Edison de la batterie Fer-Nickel, la voiture électrique cédait face aux innovations de Ford, la production à la chaine abaissant les coûts de production et le démarreur électrique de Charles Kettering augmentant considérablement le confort des véhicules thermiques. Dans les années 1920, le thermique bon marché, meilleur en autonomie et en poids, supplante l’électrique. Fin de la première partie !
Ce n’est qu’en 1973 qu’on s’intéresse à nouveau à la propulsion électrique suite au choc pétrolier, l’importance d’une alternative au pétrole accompagnée d’une prise de conscience écologique donnent un nouveau souffle au développement du véhicule électrique. Des prototypes sont créés et commercialisés, dont la CitiCar en 1974 aux États Unis, qui n’atteint toutefois que 48 km/h avec 64 km d’autonomie ! Cependant le prix du pétrole retombe et les ventes de véhicules électriques ne décollent pas. Des actions politiques prennent alors place dans le monde !
Le fameux “Electric and Hybrid Vehicle Research, Development, and Demonstration Act”, adopté par le Congrès américain en 1976, pousse la recherche à développer de nouvelles batteries et de nouvelles voitures électriques. En 1990, un grand pas est franchi avec la mise en place en Californie du “Zéro Emission Vehicle” (ZEV) qui impose aux grands constructeurs américains de réaliser au moins 2% de leurs ventes avec des véhicules zéro émission en 1998. L’EV1 fut la première voiture électrique de série produite par General Motors aux États-Unis en 1998 et cela avant la Pontiac G6…
L’EV1 fut le seul véhicule électrique de l’histoire de cette société à porter la marque “General Motors”. Cette voiture était uniquement disponible en location longue durée et non à la vente. GM loua plus de 800 voitures EV1 sur les 1.100 produites, les véhicules loués devant contractuellement être restitués à GM après le terme de la location de 3 ans. Elles étaient disponibles en Californie et en Arizona et pouvaient être louées et entretenues chez les concessionnaires Saturn. Le but de l’EV1 était de satisfaire les nouvelles lois californiennes sur les véhicules à zéro émission du début des années 1990.
Ce programme ZEV (“Zero Emission Vehicle”) spécifiait qu’en 1998, 2% de l’ensemble des véhicules mis en circulation devaient ne plus émettre aucun gaz polluant. GM va dépenser plus d’un milliard de dollars pour développer et commercialiser l’EV1, bien qu’une grande partie de ce coût fut pris en charge par l’administration Clinton. En 2001, GM annula le programme EV1. Malgré des listes d’attente et un retour positif des locataires, GM déclara qu’il ne pourrait écouler assez de voitures pour rendre ce programme rentable et qu’une liste de 5.000 personnes ne générait que 50 clients réellement disposés à louer.
Cependant, chaque EV1 offerte à la location trouva preneur. Le prix du véhicule utilisé pour le calcul des loyers variait de 33.995 $ à 43.995 $, ce qui représentait des loyers mensuels de 299 $ à 574 $. Un officiel de l’industrie automobile déclara que chaque EV1 coûtait à GM environ 80.000 $, incluant les coûts de recherche et de développement. Le prix de location des véhicules dépendait également des remises pratiquées par les États. À l’époque, le coût de l’électricité employée comme force motrice du véhicule revenait à environ 1/2 à 1/3 du coût en essence.
Un reportage diffusé sur la chaîne publique CBS en juillet 2006 mettait gravement en cause les lobbies pétroliers et l’administration Bush pour pousser GM à arrêter le programme de l’EV1. Les 2% du ZEV passent à 5% en 2001 et à 10% en 2003. D’autres régions suivent le même mouvement. Il faudra attendre le début des années 2010 pour que le véhicule électrique commence à s’installer au sein des gammes des constructeurs automobiles, notamment en Europe. Les principales marques automobiles comptent aujourd’hui plusieurs modèles électriques dans leur gamme.
Les immatriculations augmentent, tout comme le nombre de points de recharge. Le plan “Fit for 55” de la Commission Européenne fixe comme objectif aux États membres la fin de vente des véhicules thermiques en 2035. En parallèle se développent des deux-roues motorisés électriques, des utilitaires légers électriques et même des poids-lourds et bus électriques. Le monde aurait pu être très différent si les voitures électriques avaient décollé il y a un siècle.
L’Helvezzia Tipo-6 se situe dans un univers parallèle où les véhicules électriques existent et prospèrent depuis le début du siècle précédent !
Mais ILS doivent été éliminés selon un plan de destruction MASSIVE et totale de la Russie pour s’accaparer de leurs gigantesques ressources de gaz et de pétrole en sus de la découverte d’importantes réserves de pétrole aux États-Unis ! Certes, les populations sont excitées au début ! Il est de plus difficile à imaginer ce qui se déroule vraiment en Ukraine, à savoir que les Américains, selon un scénario secret, vont y faire exploser plusieurs bombes atomiques en affirmant que c’est l’œuvre des Russes. Ils calculent qu’en même temps ils se débarrasseront de Zeelinsky qui ne ristourne plus les 50% reçus en dons…
L’Europe est dévastée, la Russie n’est pas conquise et l’Amérique voit sans pouvoir réagir, ses réserves d’or atomisées simultanément à son énergie fossile, anéanties par une coalition regroupant la Russie, l’Inde, la Chine, l’Iran, toute l’Afrique ainsi que les Royautés pétrolières du Moyen-Orient reconverties depuis 10 ans aux bienfaits de l’électricité ! Pour fêter cet évènement qui a fait 100 millions de morts en quelques minutes et précipité l’Amérique à un niveau préhistorique inférieur à la Somalie, un événement de sport automobile classique sans moteurs rugissants ni tôles vibrantes est envisagé !
Ce grandiose projet est mis au point par l’Italie, seul pays européen à ne pas avoir été pulvérisé (la botte secrète italienne)… Le culte du Duce y a été remis en avant de manière à s’assurer une place de choix. Même en cette nouvelle époque très progressiste, les séries de courses d’automobiles sans moteurs à combustion interne n’attirent pas facilement le public. Peu de gens se souviennent qui a remporté le dernier Grand Prix de Formule 1 avant la destruction du monde occidental, mais presque personne ne peut dire quel fut le vainqueur de la dernière course de Formule E (c’était Stoffel Vandoorne).
Maintenant tout va se passer très différemment : “J’avais essayé de mettre en œuvre ce projet en 2013. À cette époque, je travaillais chez Bertone et j’étais constamment entouré de designers et de voitures classiques. Mais grâce à la guerre atomique, à la disparition totale de l’Europe centrale et de celle du nord ainsi que de la totalité du Continent d’Amérique du Nord, l’époque à changé de Maîtres. J’ai ressorti mon idée et le triumvirat victorieux m’a accordé les pleins pouvoirs pour redonner vie à la voiture électrique”, a résumé Alexander Imnadze Baldini.
Les moteurs électriques fournissant la conduite, le designer Alexander Russo-italien Alexander Imnadze Baldini ose ainsi une autre expérience de pensée calquée sur les années trente et donne vie à son idée ! Le résultat de cette maturité retrouvée est une voiture de course et de sport au look classique des années 1940. Mono-bi-place, roues autoportantes, pneu de secours sur le côté et beaucoup de chrome. La différence subtile est la motivation. Vous pouvez dire en regardant la voiture que le long nez n’a pas de moteur à six, huit ou douze cylindres, sans savoir exactement pourquoi.
L’idée d’une voiture de sport électrique d’antan est très subtilement incorporée dans le design. La voiture, nommée Helvezzia Tipo-6, est de surcroit légale sur la route grâce à des phares contemporains et un espace pour la plaque d’immatriculation. Maintenant, après la Grande annihilation générale, tout ce dont a besoin le peuple, comme en ’39, c’est de quelqu’un qui apporte un rôle à la vie réelle, même si ce n’est qu’une seule fois. Sortons un instant pour admirer la beauté du concept Helvezzia Tipo-6, une voiture à la réalité alternative avec un extérieur inspiré des années 1940 et un intérieur avant-gardiste.
Conçue spécifiquement pour relancer le sport automobile dans un monde renouvelé qui a détruit les barbares Américains et leurs suppôts sataniques du nord et du centre Europe, la Helvezzia Tipo-6 est le symbole du retour de la Grande Italie Fasciste et des grandes manifestations sportives Mussoliniennes associées à la Grande Russie des Tsars et à la Chine de nouveau Impériale, de même qu’à l’Inde maintenant gouvernée par un Maharadjah ! L’Afrique elle aussi a renouvelé le grand rêve de Mouamar El Kadhafi le miséricordieux en devenant un seul continent qui n’est plus exploité par les USA et l’Europe.
La Helvezzia Tipo-6 en version civile est le nouveau symbole du nouveau monde. Elle pourra accueillir 3 personnes et livrée avec une carrosserie basée sur un châssis tubulaire disposant d’un cockpit ouvert et des roues qui sortent de la carrosserie façon Hot-Rod, La Calandre chromée a été ajoutée uniquement à des fins de vanité parce qu’un véhicule électrique n’a pas besoin d’un radiateur. Au cours des années d’avant la troisième guerre totale d’annihilation atomique qui incorporait par représailles la totalité des stocks de vaccins anti Covid déversés sur les USA et le Canada, existaient de marques !
Ces marques n’étaient que thermiques car l’Amérique a favorisé les voitures thermiques malgré que diverses électriques étaient sur le marché et qu’à un moment donné, au début des années 1900, les véhicules électriques dépassaient les ventes de véhicules à essence. Le Gouvernement Américain, par profit de ses membres à créé une série de facteurs négatifs envers les voitures électriques afin que le moteur à combustion interne devienne rapidement la norme, malgré tout le véhicule électrique est revenu en force il y a quelques années.
Soudain frappé d’une prémonition, le designer Alexander Imnadze Baldini a créé un concept spécial qu’il a surnommé Helvezzia Tipo-6, sachant que ce concept allait jouer un rôle capital après une guerre totale. Le véhicule a été conçu comme un véhicule de course polyvalent, capable de faire les courses aux supermarchés et les courses sur circuits… La victoire sur les forces occidentales du mal fut totale… La fin de l’article arrivant, comme il est d’usage maintenant, on s’agenouille en criant 3 fois de suite : “Longue vie au nouvel Empire”... Abonnez-vous à www.GatsbyOnline.com il vous en sera tenu compte !