BAD-IN-BLACK FORD’32
Je déteste les supercars, je suis un Hot Rodder dans l’âme et Chromes&Flammes m’a montré la lumière avant de vous y engloutir… Je vais vous confier un secret, la plupart des Supercars d’au moins 700cv sont des pièges très chers à acquérir, entretenir et utiliser… De plus les Supercars ne sont pas très bonnes, pas dans le sens “gentilles”, mais dans le sens du “retour sur investissement”, elles ne rapportent que des emmerdes, des coûts absurdes et ahurissants, elles ne correspondent à rien d’utile et ne procurent strictement aucun moment de sérénité. Dès qu’on en achète une, c’est la fin des illusions. Si vous ne me croyez pas, allez-y, achetez-en une, vous serez le roi reçu dans le show-room, ensuite vous ne représenterez rien d’autre qu’un pigeon qui doit payer les frais, les factures d’entretien, les taxes, les PV’s, une imposition d’office pour signe extérieur de richesse et la haine de ceux que vous croyiez être vos amis pour la vie… Les belles plantes vénéneuses carnivores vous feront certes les yeux doux et quelques déhanchés avec ondulations des fesses et des seins, mais sitôt qu’elles vous auront plumés après une branlette, vous vous sentirez plus vidé moralement et intellectuellement que vos couilles… Divorce, perte de la garde des enfants, partage des biens et donc vente de la belle supercar pour un montant dérisoire offert par un garagiste margoulin grand lecteur de Sport-Auto…
Le genre qui, en finale partira soi-disant en Amérique du sud sans rien vous payer… Je passe sur la saisie de vos comptes, une interdiction bancaire, la perte de votre job, le chomdû, la précarité, la descente aux enfers… Par exemple, la Ferrari V6 biturbo… Qui peut aimer cette voiture ? Pour ma part je la déteste, je hais d’ailleurs toutes les Ferrari’s, les Lamborghini’s aussi, les Maserati’s en pire… Je déteste… Plus que tout, je déteste l’idée même qu’elles existent. Il s’agit d’autos qui séparent les nantis des démunis. Des objets plus rêvés que possédés. C’est lorsque vous en conduisez une, que vous en faites l’expérience, que tout commence à être clair. Elle est ridicule et son conducteur aussi. La Ferrari 458 Italia 2010 développait 562cv et atteignait je ne sais quelle vitesse en 3,3 secondes. Est-ce que les gens se sont plaints que c’était lent ? Bien sûr que non ! Mais McLaren a battu Ferrari… Puis Mercedes a commencé à livrer des supercoupés de 600 chevaux et, assez rapidement, la plouquesque a vu que des mecs malins pouvaiet l’obtenir dans une Dodge 5 fois moins chère… Une Américaine… Dans le même temps, Porsche complotait comme d’habitude, planifiait et usurpait divers records en poursuivant les mêmes valeurs nettes à neuf chiffres qui forment la clientèle principale de Maranello.
Les Ferrari’s ne pouvant pas être plus lentes que les autres conneries pour superfriqués, elles doivent donc être plus rapides. L’expérience de l’inutile fait mal au cou et aux finances… Je vais vous confier un autre secret. La plupart des Supercars de 700cv sont trop nerveuses et imprévisibles pour conduire en toute confiance dans les rues pour explorer leurs limites, c’est une tâche qu’il vaut mieux laisser à ceux qui ont des centres de peur sous-développés dans leur cerveau… À moins que vous n’ayez eu d’innombrables heures d’instruction et de pratique avec du métal à haute puissance, vous n’obtiendrez tout simplement pas tout ce qu’il y a à faire… J’ai essayé… J’en suis mal revenu… Une vraie épreuve… Infernal ! Chaque marque, m’a-t-on dit, est différente, c’est vrai sans l’être. La plupart des constructeurs de Supercars ne veulent pas que quelqu’un sans expérience désactive le contrôle de traction sur leurs voitures de 700 chevaux. Ces voitures sont toutes toujours dramatiques à vivre, entendre, supporter… On part en confiance, puis on se sens floué… C’est là que le grand pouvoir paie… De 0 à 100, il y a peu de différence entre une voiture qui atteint je ne sais combien en 2,4 secondes et une voiture qui en prend 3,1… Mais au-delà de 100, au-delà de 200, au-delà de… De rien du tout… Radars, flics… C’est l’inépuisabilité qui fait le charme de la puissance.
Cela surprend parfois d’être perpétuellement prêt à s’époustoufler pour des conneries. En même temps, on se sent accessible. Vous finissez par parler à votre volant… A travers vos mouvements corporels les plus subtils, à travers vos fesses, vos oreilles et votre nez, vous jurez devant tous les dieux du monde que si vous échappez aux radars et autres désagréments que vous allez devenir un…. Devenir un quoi ? Vous n’en savez rien… Car devenir con, c’est déjà fait… Que reste-t-il ? Que vous pouvez presque goûter quelque chose dans l’air… Quoi donc ? Rien… Vous passez alors en mode Race, pour que la bagnole vous en révèle davantage. Rien… Pourtant les mag’s autos survivants qui peinent à la pub pour pas crever en faillite (comme le Groupe Hommel) et payent des putes occasionnelles pour des essais afin de réduire les interventions, indiquent que c’est l’extase qui accélère les érections… et c’est écrit avec un certain sérieux. Dans mon cas, le mur entre moi et une Supercar incroyablement chère devient incroyablement mince et translucide. Ces voitures prennent des décisions plus vite qu’on ne peut les traiter, mais elles tiennent informées. Il y a de la vitesse et du drame et un tout petit peu de secousses de cul, de glissades qui se serrent les mains, suffisamment de tortillement dans les sorties de virage pour vous garder sous contrôle.
Assez de corde pour qu’il y ait des conséquences sado-masochistes… Assez de bon sens pour ne pas vous laisser avoir de vrais ennuis. C’est le moment de cliquer sur le Manettino plus à droite. CT désactivé… Pas d’antipatinage…. L’ESC est réduit à un mode spécial, où au lieu de tirer de la puissance pour annuler les glissements, il ajuste la puissance délivrée pour amortir le taux de lacet de la voiture… En d’autres termes, il glissera, mais pas si rapidement que vous ne pourrez pas l’attraper… Mode Drift avec certaines des assistances Forza activées… Attention, l’accident n’est pas loin… À chaque clic vers la droite, la voiture semble plus légère. Il y a la prise de conscience que la voiture ne cloisonne plus certaines zones d’exploration… C’est une voiture qui va vers le million que vous ne possédez pas, qui vous supplie, comme une péripatéticienne qui en a marre de se trouver avec un peine à éjaculer… de maintenant mettre les gaz, de “Splatch-Splatcher” un peu plus fort, de “Schwiffer” un peu plus tard… Le moment ou vous pensez qu’elle vous surestime, que vous y arrivez en solo en vous grattant les couilles vous-même car vous avez trop de matière autour du gland… mais elle veut que vous sachiez que vous le pouvez… Elle pense surtout à ses 1.000 euros… Ce n’est pas seulement rapide, amusant ou cool, c’est carrément grotesque…
Alors vous mettez les gaz alors que vous savez qu’il est trop tôt et vous sentez son cul glisser… Un petit réglage, des mains rapides et une connexion directe et profonde avec enfin le panard final… Pas de problème… Vous réessayerez la prochaine fois… Celle ou toute la journée, c’est 3.000 euros ! Vous vous en foutez ? Amusez-vous bien avec… Désactivé, mais doucement… Vous voulez sentir sur les bords sans mettre tout votre poids sur le rebord… La belle ne devient pas une bête indomptable lorsque sa garde est complètement baissée… C’est la même, mais en plus nette.. Pfffffffffff ! L’avantage des putes, même automobiles, c’est qu’il y a la sécurité enfant sur les bords du comptoir. C’est pour ne pas vous laisser faire des choses que vous ne pouvez pas réellement gérer. Une Supercar tout comme une Superwoman veut que vous la regardiez dans les yeux et que vous vous révéliez au monde. Le sien… “Son con et son cul” comme aurait pu écrire Depardieu s’il éditait GatsbyOnline… C’est ce que fait une sportive. Et c’est quelque chose que je trouve presque entièrement absent dans le haut de gamme du marché. Il y a tellement de belles à tirer, mais vous devez être prêt à pousser plus fort, de plus en plus fott, même, que n’importe quel autre…. À quelle fréquence ? Pfffffffff !!! Les belles putes sportives sont trop effrayantes pour être menées à leurs limites pour la plupart…
Elles sont trop chères et trop précieuses pour risquer d’en abuser. Il s’agit d’une catégorie hors de prix… Cela gâche le charme pour moi. Je déteste les Supercars tout comme les Superputtes parce qu’elles qu’elles sont des symboles de statut excessifs et trop rapides à encaisser pour leur propre bien. Je suis toujours d’accord sur ces deux points… D’une manière ou d’une autre, je suis toujours heureux qu’elles existent. Parce que, oui, je pense que notre obsession sans fin pour les putes est mauvaise. Pour ma part, franchement, je préfère un p’tit Rod comme le Coupé Ford’32 cinq fenêtres qui illustre mon article. Il a été désigné comme étant “LE” Hot Rod de l’année 2020 au “Goodguys Tanks Inc”. Je suis certain que vous vous en foutez… Si, si, j’en suis certain… Je vous devine me lire hébétés… Bref… Lorsqu’Henry Richards de Steadfast Manufacturing a commencé à construire ce Hot Rod pour Norman Bradley, le montant de 100.000 euros a été défini pour le fabriquer entièrement, les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble sur un autre et précédent Hot Rod Deuce à cinq fenêtres… Un coupé coupé recoupé en métal nu et à ailes pleines, mais Norman voulait un Highboy et avait encore les moyens financiers pour le payer 100.000 US$… Cool… Henry connaissait l’existence d’un autre coupé à cinq fenêtres dans le Tennessee et il a pu l’acquérir pour une bouchée de pain.
Ce nouveau projet devait générer au moins 50.000 US$ de profits nets d’impôts… L’ancienne carrosserie Ford avait une peinture noire vieillissante et semblait être idéale pour créer le Hot Rod vieilli et de style survivant que Norman avait en tête. : “Ça va être un vieux bolide vraiment cool” a dit Norman Bradley… “Ça va faire boule de neige” lui a répondu Heny Richards… C’était un double sens abusif… Cet effet n’était pas une surprise totale, après tout, ce qui a d’abord attiré Norman vers les constructions Steadfast, ce sont les détails sympas et les astuces créatives qu’Henry et son équipe intègrent constamment dans leurs Hot Rods de style traditionnel. En peu de temps, Henry a proposé de nouvelles options très intéressantes pour travailler dans le projet du “cinq fenêtres” : “Il est tellement créatif. Il avait tellement d’idées. Plus il faisait de choses, plus la voiture devenait cool. Je lui ai dit de faire ce qu’il voulait” a dit Norman Bradley… Bon nombre de ces idées créatives se retrouvent sur le châssis construit par Steadfast. Il y a beaucoup de modifications, de l’empattement allongé aux traverses arquées. Même les “épingles à cheveux” avant construites par Steadfast qui localisent l’essieu surbaissé percé de chez Roadster Supply. Un ressort à lames Durant, des axes et des bras de direction Pete & Jakes, ainsi que des amortisseurs RideTech font partie de l’ensemble de suspension avant.
À l’arrière, un changement rapide Winters a été accroché à un ressort Posies et situé avec des barres d’échelle Pete & Jakes et des amortisseurs RideTech. Regardez attentivement et vous trouverez plus de détails, comme les supports des phares et des feux arrière encastrés, des plaques amovibles, des conduites de frein de moto, un réservoir de carburant sur mesure et des barres d’écartement (comme en BDSM) avant et arrière personnalisées. Ce sont toutes des touches subtiles qui s’additionnent pour faire une grande différence. Les freins à tambour Ford avec des caches Buick à ailettes, donnent un look traditionnel derrière les jantes Johnson’s de chez Hot Rod Shop en 16×5 et 18×8 po enveloppées de caoutchoucs Firestone… Niché entre les rails du châssis se trouve un V8 Chevrolet small bloc 383ci reconstruit par Aaron Blatter avec des cames Thumpr, un distributeur MSD et des carburateurs Rochester triple, le tout permettant de développer 425 chevaux. Les caches-soupapes Corvette et les collecteurs “en corne de bélier” en acier inoxydable brossé, gardent “les choses” discrètes car ils sont combinés à de la peinture noire. Une transmission manuelle 4 rapports 700R4 permet de monter facilement en régime et est contrôlée par un levier de vitesses Gennie. Le toit coupé “en coin” contribue à donner au coupé son attitude de bolide.
L’équipe de Steadfast a fabriqué un insert en acier affleurant. Il se distingue par une finition satinée, ainsi que par un panneau à persiennes galbées sur le côté intérieur. “Personne n’en a jamais fait de cette façon, il a donc fallu beaucoup de recherche et développement” m’a expliqué Henry… D’autres modifications de carrosserie comprennent un capot sectionné, des coins de carrosserie arrière personnalisés et d’autres pincements et replis mineurs, le tout recouvert d’une finition PPG noire profonde. Des détails sympas contribuent à compléter l’attrait extérieur, notamment un insert de calandre de style “Pines Winterfront” au fini bronze d’Alumicraft, une barre des phares personnalisée en trois parties, des feux arrière ajustés de modèle A et des garnitures et des pièces de suspension nickelées de Jon Wright’s Custom Chrome. La ferronnerie se poursuit à l’intérieur avec un tunnel de transmission et un couvercle de maître-cylindre personnalisés. Henry et Norman se sont tournés vers M&M Hot Rod pour les pièces, M&M a re-conçu l’intérieur en cuir “Relicate” surpiqué en losanges vieillis sur les sièges et les panneaux des portes, les latéraux et de coffre, tous assortis. De plus, des compteurs “Classic Instruments” remplissent le tableau de bord Greening… Henry a donc été satisfait à juste titre du résultat de la construction et avait les yeux rivés sur les “Goodguys Nashville Nationals”.
Mais surtout sur le concours “Hot Rod of the Year 2020”... Lorsque cet événement a été reporté et finalement annulé, Henry a amené le Hot Rod aux “Heartland Nationals of Des Moines”, où il a obtenu une place parmi les cinq finalistes du concours “Street Rod of the Year”. Plus tard dans l’année, il a présenté une soumission en ligne pour participer au concoure “Le Hot Rod de l’année”, où son coupé noir de 100.000 US$ a finalement remporté le prix du comité d’évaluation et a aussi remporté le titre de “Hot Rod de l’année 2020 of Tanks Inc”… Je concède que tout cela fait très gamin… Bien que le coupé fini soit un peu plus spectaculaire que ce que Norman avait prévu à l’origine, il a toujours hâte de le mettre sur la route. :“J’espère que les prochaines années, nous aurons plus de spectacles”, m’a dit Norman : “Je veux piloter le Hot Rod. Je ne veux pas qu’il reste dans le garage. Il a été construit pour être conduit”. C’est quelque chose dont Henry a plaisanté avec Norman et moi : “Vous savez, si vous la conduisez suffisamment, vous finirez par avoir la voiture patinée que vous vouliez”... Je dois commencer par reconnaître que pour beaucoup de gens, payer 100.000 euros pour Hot Rod, c’est dingue… J’ajoute que je reconnais que se faire fabriquer un Hot Rod pour participer à des concours, c’est franchement “cul-cul”…
Je reconnasse aussi que 100.000 US$ c’est un prix absurde pour ce qui n’est pas loin d’une Porschette 911 de base. Ouaissss !… La Porschette T de 100.000 US $ est équipée du même six cylindres à plat biturbo de 3,0 litres développant 379 chevaux que la Carrera standard… Cela signifie que la Porschette arrive au combat avec moins de puissance que ce Hot Rod et avec un look désuet de kit-car VW… Pour 98 % des conducteurs, la Porschette c’est toutefois meilleur qu’un Hot Rod… Ouaihhhh ! Je note… Mais je m’en f… J’ajoute qu’une Porschette c’est juste assez rapide pour me repousser au fond du siège, mais assez lentement pour que mon esprit puisse suivre… Un conducteur humain actionnant un embrayage ne peut pas suivre le rythme des Supercars ultra-rapides. Mais en Hot Rod, avec une boite 4 vitesses manuelles, je sais suivre, et je sais déterminer mon rythme, il ne s’agit pas d’une affaire de point-and-shoot. La Carrera T n’est qu’une VW 911 plus dépensière. Il y a un différentiel mécanique à glissement limité pour un comportement prévisible à la limite et au-delà, il y a aussi la gestion active de la suspension (PASM) de Porsche, l’ensemble Sport Chrono pour les changements de mode de conduite rapides et un échappement sport… Il y a même des roues arrière directrices et un système de relevage de l’essieu avant.
Toutes les Carrera T bénéficient également d’un régime d’allègement étendu, avec des vitres plus fines, une suppression de la banquette arrière (elle peut être remise en place en option, si nécessaire), une batterie plus petite et moins d’insonorisation… Je ne prétendrai pas que c’est du pipi de chaton, mais je préfère un bon V8 pour passer de la grandeur à la quasi-perfection. La direction du Hot Rod est bavarde, peu précise et son adhérence est limitée, grâce à trop de puissance pour être submergé sans réfléchir… Il n’y a pas de traction intégrale, pas de PDK (bien qu’en option tout est possible). En Hot Rod, tout vous éloigne des automobiles “politiquement correctes”... Aucune voiture n’est plus facile à faire qu’un Hot Rod… et en conduire un est une aventure. La vitesse arrive rapidement, mais en plus, il y a beaucoup de “Swing” dans les moteurs V8, avec un crescendo clair, il y a du couple à revendre et tout V8 aime gronder. Dans un monde où chaque SuperCar a deux fois plus de puissance qu’elle ne sait quoi en faire, il est également rafraîchissant de conduire un Hot Rod avec des pneus et une suspension qui peuvent facilement gérer au galop. En Hot Rod je m’appuie sur les freins prévisibles, j’ai peur de prendre de la puissance trop tôt, mais la confiance s’installe rapidement, et je finis par avoir l’impression de glisser sur les routes. Je pourrais le faire pour toujours.
En peu de temps, je sais comment prendre les virages facilement, et comment les prendre fort. Je peux me battre sur chaque dixième que le Hot Rod donnera à 90 % de sa capacité et profiter des sons, des images et des sensations d’une machine parfaite fonctionnant dans son élément. Cette perfection sereine, cependant, n’est pas la seule chose qui fonctionne. Parce que quand je repense à mon temps passé, je m’imagine serein, engagé et dans l’instant présent. C’est la forme de conduite la plus gratifiante, mais pas la plus mémorable. Une partie de la raison pour laquelle la vitesse fait vendre est qu’il s’agit d’une drogue est que la tolérance engendre une recherche d’effets toujours plus grands. Le Hot Rodding, c’est pas trois verres de vin avec une superbe nanana dans une chambre confortable, non, ça c’est pour les Supercars… Conduire un Hot Rod c’est faire la fête bourré d’ecstasy dans une rave BDSM avec des nananas bandantes… Ce n’est pas pour autant un engagement à long terme, mais c’est la chose que vous pouvez retrouver. C’est du pur “FUN”... Mais pour comprendre vous devez assimiler que la majeure partie du marché des voitures de luxe est basée sur l’exclusivité, la vanité et le statut. C’est la Supercar qui est l’histoire que vous aimeriez raconter, mais le dragon qui est votre copain, c’est le Hot Rod, c’est la vie que vous voulez vivre après comparaison.