Buick-Dumbbells, la bucolicité du Custom !
Sachant que la plupart de mes contemporains sont d’un tempérament bilieux, je prends soin, en publiant cet article, d’informer “mes” internautes qui me lisent (les autres, je m’en f…), que les beaufs qui y figurent sont imaginairement réels… Ces personnages, toutes et tous extrapolé(e)s de l’univers des camps de concentrations dédiés à la Kustomisation d’engins (je vise les véhicules grotesques et stupides qui en ont été l’origine) ont, en un temps ou les contrôles techniques étaient laxistes et incompétents, été créé de toutes pièces, parfois à partir de documents d’archives, de correspondances et de témoignages attestés par des personnes évanescentes. Ils étaient caricaturés comme étant des “Jacky’Touch”… Les “Tuches” en ont été extrapolés…, C’est pourquoi les gens alentours les divers lieux qui forment l’arrière-plan voire l’arrière-cour ou se déroulent ces fêtes champêtres, ne sont pas considérés comme appartenant aux réalités vraies de cette chronique… Si je n’en pense pas moins (de même que la majorité des internautes abonnés à ce Web-site), il est à noter que tout un chacun a le droit de penser ce qu’il/elle veut, tout comme vous toutes et toutes avez le droit de vous masturber en privé…
Tous les personnages composant la chronique qui suit ne sont toutefois pas toutes et tous authentiquement crétins, il en est de pires et plus rarement de moins pires… Ce n’est qu’une triste constatation… S’ils croient pouvoir se reconnaître je n’hésiterai pas à leur administrer (par voie de justice si besoin), la preuve de leur inexistence. Pour les nuls en matière de Custom’s, sachez que l’appellation “Buick-Dumbbells” qui est le surnom de la Buick Orange de cet article, n’est pas un terme argotique Yankee signifiant que des cloches retentissent dès que la Buick Orange se met en branle… Mal traduire le surnom de l’engin avec un mot-à-mot littéral (et pas totalement dénué de pertinence quand on est allergique à l’ambiance moite qui suinte de certaines réunions Kustom), s’avère plutôt être un bel hommage aux carillonneurs qui ont réalisé cette merveilleuse bêtise débilitante à l’attention des cloches humaines…Mais attention à ne pas aller trop vite en besogne, mieux vaut démarrer l’engin après un bon échauffement si on veut éviter le claquage du bloc… Voilà… Commençons donc par le commencement du début…
Doug Dobberman Dralet était un jeune espoir du basket promis à la NBA, mais dont la Success-Story fut stoppée nette par une blessure au genou qui lui fit perdre sa place dans son équipe universitaire et dans le cœur de Kim, sa pom-pom girl de fiancée, cette dernière se devait en effet d’honorer les mœurs de la culture “Jock” qui ordonnait d’abandonner à leur misère tous les louseurs… Une déchéance sociale plus tard, Doug Dobberman Dralet s’est retrouvé employé comme coach sportif au “Sweat Hard Fitness Club”, un club de gym minable peuplé d’autres éclopés de la vie, avec pour seule passion le “Stalking” de la vie Facebook de son ex… Ne lui restaient toutefois plus que les remarques acerbes des clientes sur sa gloire fanée comme sujets de conversations humiliantes… Et le maigre espoir de pécho un jour Rachel, sa collègue wanabee psychothérapeute dont l’à-propos des citations de Freud rivalisait avec son travail musculaire des fessiers… Voilà, pour vous amener à lire l’histoire qui va suivre, il me semble que c’est bien amené. Mettez-vous en rang 2 par 2 on y va… Restez groupés, soyez attentifs, ne volez pas d’objets souvenirs, en ce compris les phrases et textes…
En cette suite épique, Doug Dobberman Dralet fut victime d’une fracture du cœur (sic !) aggravée par une trop grande confiance en lui-même, aussi endommagée que ses ligaments croisés… Gag récurrent : il souffrait d’une sudation axillaire excessive qui le poussait à tous les stratagèmes pour limiter les dégâts (c’est l’occasion pour moi de me la jouer wikipedia en précisant que cette pathologie se nomme l’hyperhidrose, qui tue bien des carrières non-prometteuses avant qu’elles ne débutent)… Avec le décès de Doug Dobberman Dralet, la fine équipe du “Hard Sweat Fitness Club” comprit que le misérabilisme de leur lieu de travail risquait de conduire au plan social… Mais, heureusement pour leurs âmes en peine, le club au bord de la faillite a été in-extrémis repris en main par un ex-stripteaseur des années 80’s : Jacky Bonnefortune, qui lorsqu’il entrait quelque part, était comme précédé par une musique envoûtante scandant son nom (C’est le clone de Volodimir Zeelinsky)… Jacky, dont on disait que ses fossettes guérissaient du cancer, n’a pas renommé son investissement incluant la Buick-Dumbbells, ex-feu-Doug Dobberman Dralet (décédé dans d’atroces souffrances) qui est restée telle quelle…
C’était pour Jacky, histoire d’être cohérent avec le nom de sa Buick Kustomisée, dont il comptait en faire le laboratoire de ses idées disruptives du nouveau monde, soit ; 1 – réaliser l’accouplement, sans leur consentement, du fitness et de la téléréalité… 2 – faire du fric avec leur progéniture bâtarde… De rebondissements comiques en irruptions diverses de petits culs remuants outrageusement exploités, sondant les tourments amoureux (et les entre-cuisses) d’une jeunesse qui voyait lui échapper le rêve américain et dont la seule perspective de sublimation personnelle reposait sur la psychothérapie, Jacky suivait son petit bonhomme de chemin balisé, sa Buick-Dumbbels lui servant de “faire-valoir” pour mettre en scène son microcosme de salle de gym, malmené par une exhibition médiatique aussi vulgaire que ringarde, sans se refuser pour autant quelques sorties de route, tel un culte de vénération d’extra-terrestres, officiant sous couverture des cabinets de dentiste et vivant de la généreuse crédulité des stars qui la rejoignaient (ou comment vanner Scientologues et Raëliens en même temps)…
Bref, son esprit loufoque semi-stoner à la “Hé mec elle est où ma caisse ?”, comme il en existe tant d’autres de part le monde,était pensé comme un gag Typique du Kustom… Il aurait pu totalement passer sous le radar si je n’avais pas décidé de vous en causer, photos à l’appui ! Jacky Bonnefortune s’est convaincu lui-même, sans l’aide de personne, de s’auto-découvrir un argument définitif lui permettant de s’extirper de la masse anonyme de ses semblables pour connaitre une postérité éternelle… Et, plus fort encore, se hisser à l’équivalence de la déflagration d’une explosion Seveso sous tsunami d’eaux usées provoqué par un Godzilla beurré à la liqueur de plutonium frelatée, de celle qui donnerait ensuite l’envie à tout lézard atomique, de faire tendrement l’amour aux débris fumant (oui, je fais des rêves chelous). Il s’est lancé à corps perdu dans une sorte de partie d’échec consciencieux de tous les aspects possibles de cette discipline, son ambition étant de devenir le Gourou du Customizing… Mais il s’est planté et en conséquence, il incarne maintenant le foireux ultime ayant réussi haut la main le foirage le plus total, sans aucun remord envers les Kustomizeurs et Kustomizeuses, victimes (souvent sodomisées) de ses exactions…
Il est toujours délicat de parvenir à rendre par écrit une expérience aussi violemment sensorielle, mais je ne saurais reculer devant l’exigence de ma mission de témoin-rapporteur des pires apocalypses automobiles. Alors isolez-vous dans un endroit calme, fermez les yeux, faites vous lire cette chronique par une âme charitable pendant que vous vous gratterez les coucougnettes de bonheur, vous laissant aller aux pires ressentis de traumas en devenir… Car à force de se baigner dans la Kustomization, certains (et certaines) en viennent à souffrir des prosodies étranges qui vont de l’apathie paralytique et désaffectée à l’histrionisme sur-cocaïné, dont l’exotisme hors de ce monde est renforcé par des accents aussi divers qu’improbables… Ne soyez pas étonnés d’entendre, dans diverses concentrations, des donneurs de leçons aux allures de personnages grotesques, blancs comme des culs-nus, discourir avec une intonation clairement d’extrême-droite sur la réelle réalité cachée du magazine Chromes & Flammes, comparé à d’autres, innommables que je ne nommerais pas, par pudeur, tandis que la plupart des Kustomiseurs bodybuildés et tatoués qui écoutent, hagards, affichent des regards ahuris …
Mais comme le massacre se veut total, les propos débités dans ces concentres sont à la hauteur de ce chaos prosodique.., La traduction qui peut en être faite doit toutefois opter pour une approche littérale voire rigoriste de tous les idiotismes anglo-saxons débités en tranches de gras, donnant naissance à des barbarismes fantastiques aux allures de retranscription de prières indiennes… La syntaxe n’est évidemment pas plus épargnée par Jacky Bonnefortune et ressemble souvent aux expérimentations maladroites d’enfants voulant parler comme les grands (“Mec, tu rends le sol tout mouillé”)…, le tout pouvant être exprimé avec un bel enthousiasme qui retombe d’autant plus à plat que les termes employés ne sont adaptés à rien !
– “Tu spécialized en Custom”…
– “Tu te fais delusive, réveille-toi”…
– “Je sais que tu penses que je pas être gentle avec toaaa par le passé”…
Le cerveau peine à tenter sans cesse de redresser les expressions tordues pour leur redonner un tant soit peu de sens, et ce, toujours avec un temps de retard impossible à jamais combler, entrainant ainsi une telle accumulation de fatigue psychique, que l’expérience vire à la déréalisation psychotique : je comprends les mots, je comprends leur association, je devrais donc en comprendre la signification… et pourtant, je ne comprends pas…, comme si la nature même du monde connu m’échappait soudainement et se vidait de son contenu pour devenir une frêle coquille prête à s’effondrer sur elle-même…., le Big Crunch à portée d’oreille, en somme. Les moments les plus ravageurs sont toujours à attribuer aux irresponsables des clubs organisateurs dont la logorrhée vanneuse s’avère souvent un raz-de-marée destructeur pour tout esprit sain, sidéré par tant de conneries débitées dans une novlangue compréhensible et unique au monde. Incontournable mais définitivement inoubliable (comprendre : source de reviviscences psychotraumatiques)… ce monde du Kustom, devient alors une banque de données des pires répliques improbables à se tatouer sur le front pour s’exclure à jamais de l’humanité…
Rejoindre la confraternité damnée de ceux qui savent est primordial… (Vous sentez l’ambiance dans cette atmosphère apocalyptique ?)… Cette image de l’évolution du Kustomising Franchouille est l’occasion d’évoquer les nouvelles déclinaisons de l’adjectif ému avec : “Oh mon Dieu, tu me fais l’émotion encore” et “Tu deviens tout émouvant avec moi”…, à ce stade de dinguerie, vous pouvez être convaincus d’avoir atteint le seuil de l’avant-dernier cercle de l’enfer… Mais la véritable force des concentrations Kustoms cataclysmiques est de transformer les participant(e)s en profondeur (bien profond !), au point de créer un détournement militant via un processus complexe d’enculades diverses… Il devient alors impossible d’évaluer le degré d’humour et de jouissance qui saisit les égaré(e)s… C’est toutefois inconsciemment comique voire autoparodique avec divers apports crétinisant. Les gens se marrent, où pleurent…, ils ne savent plus trop… bref, ils sont paumés dans leurs têtes mais se disent : “Après tout, du moment qu’on y rigole, même tout seul, y’a pas de quoi psychoter, non ?”…. Le bref buzz merdiatique qui a accompagné la révélation de l’existence de la “Buick-Dumbbells” spermet d’en éclairer une partie des couilles lisses… Euh… coulisses…
Selon une rumeur colportée sur Facebook (un boost à 29 euros pour 8 jours de diffusions) : Jacky Bonnefortune aurait embauché à cet effet des Français en vadrouille dans la région Varoise…. Mais dixit un des concernés, le boulot aurait été abordé avec d’autant plus de désinvolture que leur inexpérience en la matière était totale, quoiqu’une amorce de premier jet (suite a une lente masturbation des neurones), aurait été pondue en 2 après-midi de rigolades, avant que le magazine irresponsable n’annonce l’abandon du projet… La suite étant plus floue car nul ne s’explique la diffusion de commentaires acerbes dans divers blogs Facebook dédiés au “Rétro Custom”… Ce sont de fait les retours d’abonnés partagés entre revendication et hilarité, déterminés à se faire rembourser pour “Tromperie aggravée en bande désorganisée”, et le communiqué outré de l’AJCF (Association des Journaleux du Custom Franchouille) qui ont fait prendre conscience du drame en évolution auprès du pouvoir politique, qui a pris la décision salutaire de se retirer de ce coït customiziaque, donnant immédiatement à la “Buick-Dumbbells” un statut “collector” que se partageront, en photos, sous le manteau, les plus vicieux et vicieuses…
Si l’incompétence et le jean-foutisme radin peuvent également avoir joué leur rôle, ces explications, pour confondantes qu’elles soient, demeurent tout de même insatisfaisantes car de nombreuses questions restent en suspens… Le mystère n’est donc pas entièrement dissipé, ce qui laisse toute leurs places aux conjonctures et autres fantasmes (Si un où une protagoniste lit ce texte et veut bien apporter son témoignage, qu’il/elle se manifeste)… A la lecture de cette chronique, vous aurez sans doute compris que la “Buick-Dumbbells” ne plaira pas à tout le monde car il faut avoir la peau dure et le goût des choses difformes pour apprécier de bout en bout cette automobile qui parvient malgré-tout à offrir de l’inédit dans un segment pourtant riche en incunables ! Mais pour ma part, la “Buick-Dumbbells” m’a donné un pur coup de cœur que je n’ai de cesse de partager avec tout ce qui reste d’innocent(e)s dans mes cercles webbiens et bientôt dans mon magazine Chromes & Flammes, car c’est un Custom qui n’existe que par une conjonction rarissime d’événements qu’il aurait été impossible de créer volontairement…, ce qui est probablement la preuve qu’il existe bien, au-delà de l’agitation humaine…, une force transcendante impénétrable.
Jacky utilise également la “Buick-Dumbbells” pour mettre sa Maîtresse à l’honneur (et la sauter d’autant plus souvent), dont la carrière de poseuse-photos consiste majoritairement à s’incarner elle-même dans divers articles, dont d’ailleurs le Kultissime reportage co-réalisé avec un Chinois surnommé PhuPhouTong : “Hé mec elle est où ma caisse jaune”… Elle est en effet devenue une incontournable de la culture pop, célébrée pour tout un pan de sa littérature à l’eau de rose à destination des ménagères-customiseuses en manque d’érotisme : sa plastique y est d’ailleurs complaisamment exploitée sur des couvertures d’un mauvais-goût kitschissime, jusqu’à devenir la star de fantaisies sexuelles dans lesquelles elle se met directement en scène au travers d’avatars performants au plumard… Mais l’argument imparable semble reposer sur l’hygiénisme forcené, qui passe par l’éradication du tabagisme et du sexe non-protégé chez les adeptes de la diététique hypolipidique… Oui, tout vous fait crever d’envie de lire ça… Parmi ses multiples business, Jacky Bonnefortune a également réalisé une compilation de poèmes langoureux à laquelle il a adjoint ses propres réflexions philosophiques sur l’amour et le custom de masse…
Il a par ailleurs été l’égérie d’une marque de margarine au titre éloquent (I can’t believe it’s not butter !) dont les pubs surfaient sur le caractère too much du bonhomme…, son coté macho narcissique aux réalisations fantastiquement douteuses, sont toutefois sublimées par ses errances. Lisez l’interview… ! – Pouvez-vous expliques aux lecteurs et lectrices de Chromes & Flammes, ce qu’il en est exactement de vos élucubrations… ?
– J’avais à peine seize ans et je ne me souvenais déjà plus de mon enfance, j’étais à 16.000 lieues du lieu de ma naissance, car mon adolescence était si ardente et si folle, que mon cœur, tour à tour, brûlait comme le temple d’Éphèse quand le soleil se couche. Je ne savais toutefois pas aller jusqu’au bout des choses ni de moi-même.
J’avais faim et tous les jours et toutes les femmes dans les cafés, et tous les verres, j’aurais voulu les boire et les casser, et toutes les vitrines et toutes les rues, et toutes les maisons et toutes les vies, et toutes les roues des autos qui tournaient en tourbillon sur les mauvais pavés, j’aurais voulu les plonger dans une fournaise de glaives et j’aurais voulu broyer tous les os, et arracher toutes les langues, et liquéfier tous ces grands corps étranges et nus sous les vêtements qui m’affolaient…
– En ce temps-là vous étiez en adolescence ?
– Oui, j’avais à peine seize ans et je ne me souvenais déjà plus de ma naissance, j’étais à Paris, où je voulais me nourrir de Chromes et de Flammes… et je n’avais pas assez des tours et des gares que constellaient mes yeux. Moi, le mauvais poète qui ne voulait aller nulle part, je pouvais aller partout… et aussi les marchands qui avaient encore assez d’argent pour aller tenter faire fortune, leur train partait tous les vendredis matin, l’un emportait cent caisses, un autre, des boîtes, des cylindres et un assortiment de cercueils de remplis de boîtes de conserve et de sardines à l’huile… Puis il y avait beaucoup de femmes, des entre-jambes à louer qui pouvaient aussi servir, elles étaient toutes patentées. J’étais très heureux insouciant, je croyais jouer aux brigands, j’avais volé le trésor et j’allais le cacher de l’autre côté du monde…, je devais le défendre contre les voleurs, contre les enragés et contre les rats ! Du fond de mon cœur des larmes me viennent encore…, si je pense, Amour, à ma maîtresse ; pâle, immaculée, découverte au fond d’un bordel…, elle ne sourit pas et ne pleure jamais ; mais au fond de ses yeux, quand elle vous y laisse boire, tremble un doux lys d’argent, la fleur du poète.
– Décrivez-là …
– Elle est douce et muette, sans aucun reproche, avec un long tressaillement à toute approche ; mais quand moi je lui viens, de-ci, de-là, de fête, elle fait un pas, puis ferme les yeux car elle est mon amour, et les autres femmes n’ont que des robes d’or sur de grands corps de flammes, la pauvre est si esseulée, elle n’est qu’une fleur candide, fluette, la fleur du poète, un pauvre lys d’argent, tout froid, tout seul, et déjà si fané…, que les larmes me viennent si je pense à son cœur. Le ciel est comme la tente déchirée d’un cirque pauvre dans un petit village de pêcheurs, mon berceau était toujours près du piano quand ma mère jouait les sonates de Beethoven. Les roues sont les moulins à vent des pays de Cocagne… et les moulins à vent sont les béquilles qu’un mendiant fait tournoyer…, nous sommes les culs-de-jatte de l’espace…, nous roulons sur nos quatre plaies…, on nous a rogné les ailes de nos sept péchés… et tous les trains sont les bilboquets du diable…, la vitesse n’y peut mais les lointains sont par trop loin…
– Et au bout du voyage cela a du être terrible d’être un homme avec une femme…
– Effeuille la rose des vents…, voici que bruissent les orages déchaînés…, les autos roulent en tourbillon sur les réseaux enchevêtrés, bilboquets diaboliques…, Billards…, Caramboles…, Paraboles. J’ai déchiffré tous les textes confus des roues et j’ai rassemblé les éléments épars d’une violente beauté, qui me force. J’ai des amis qui m’entourent comme des garde-fous…, ils ont peur quand je pars que je ne revienne plus…, toutes les femmes que j’ai rencontrées se dressent aux horizons…, avec les gestes piteux et les regards tristes des sémaphores sous la pluie : Bella, Agnès, Catherine et un amour en Amérique ! ,Il y a des cris de sirène qui me déchirent l’âme…, je voudrais n’avoir jamais fait mes voyages…
Que faites-vous avec la fin de l’été ? Vous attrapez du sable et de la mer avant que le confort de l’automne et la fraîcheur de l’hiver ne s’installent. C’est exactement ce que j’ai fait lors de la séance photo avec la nanana sexy des photos illustratives : Stacey Urzua. L’histoire de la façon dont nous sommes entrés en contact avec la magnifique Stacey et la toute aussi magnifique Buick’54 aux côtés duquel elle a posé remonte au Temecula Rod Run. Nous avons d’abord vu l’Oz Kustoms de Brent Rothweiler construite pendant l’événement et c’est alors que nous avons défini pour la première fois nos plans futurs pour photographier tout ce manège. Quand est venu le temps d’honorer le dialogue, nous avons demandé à Brent s’il connaissait quelqu’un qui aimerait poser aux côtés de la Buick ’54. Sa première et rapide réponse a été Stacey, qui n’est pas seulement un spectacle et un bel exemple de la beauté dont se vante la Californie du Sud, cette nanana sexy est aussi sa petite amie…
L’idée du cadre du reportage est née lorsque j’ai couvert Ink-N-Iron. En conduisant le long d’Ocean Boulevard en direction du Queen Mary, nous avons pris la bifurcation d’un local vers la plage qui, en entrant, présentait un aménagement parfait pour garer la Buick de Brent. Le sable était peu profond et une longue rangée de palmiers bordait les appartements en bord de mer, donnant de superbes photos en perspective. Le jour du tournage, j’ai été été accueilli par Stacey et Brent. Ce fut un réel plaisir de passer l’après-midi avec ces deux-là. Tous deux sont des fan’s de sexe débridé à part entière et savent comment passer un bon moment… Inutile de dire qu’ils ont rendu le tournage encore plus amusant et mémorable. Assurez-vous de rester cool et relax pour arriver au bout de l’article complet. Mais maintenant, profitez de l’interview de Stacey Urzua qui maîtrise définitivement comment tuer avec un sourire et un regard sensuel ! Stacey a grandi à Rancho Cucamonga et a joué au football pendant la majeure partie de son enfance.
À l’âge adulte, le fitness, la nutrition et tout ce qui implique l’athlétisme suscitent son intérêt, à en juger par certains des coups flexibles qu’elle était plus qu’heureuse de sortir ! Attention les gars, Stacey a l’air incroyable en talons, mais elle pourrait jeter un homme adulte par-dessus la jetée… Stacey m’a dit : “J’adore faire l’amour avec toi mon Frenchie, même si t’es un peu vieux… J’aime aussi le snowboard et le wakeboard, et je suis assez bonne dans les deux”…. Pour toute femme qui s’efforce de maintenir son apparence physique, un dévouement égal à la forme mentale est plus qu’un plus. Stacey a non seulement un, mais deux diplômes universitaires. Stacey a fréquenté l’Université d’État de Californie à Fullerton pour son baccalauréat en arts en communications et l’Université Azusa Pacific pour son baccalauréat en sciences infirmières. C’est une femme bien équilibrée dont le travail acharné et l’attitude terre-à-terre assurent son succès. Il ne s’agit certainement pas seulement d’une belle apparence avec ce modèle…
“Je suis infirmière dans une unité de cardiologie. Ma vie professionnelle consiste à prendre soin des patients à un niveau d’acuité élevé et à faire une différence dans leur vie” m’a expliqué Stacey... Profession : Infirmière / Couleur des cheveux : Brun avec des reflets blonds / Couleur des yeux : Marron / Couleur de peau : Tan / Origine ethnique : Hispanique / Tatouages : Aucun / Pointure : 7 / Nourriture préférée : Sushi !! / Film préféré de tous les temps : Le Roi Lion / Lieu de voyage préféré : Italie / Lieu de voyage de rêve : les Caraïbes
-Vous considérez-vous comme une passionnée d’automobiles ?
-Stacey Urzua : “Oui ! J’aime les voitures de sport et les vieilles voitures classiques. J’aime aller aux salons de l’automobile avec mon petit ami Brent et faire des courses automobiles dans sa Corvette. J’aime les voitures rapides !”
-Quelle a été votre première voiture ?
-Stacey: “Ma première voiture était une Honda Civic 2002. C’était mon cadeau d’anniversaire de 16 ans de la part de mes parents et la voiture m’a duré 10 ans ! Je l’ai abaissée, j’ai ajouté un échappement et des jantes. Je voulais que ma première voiture soit de style Fast and Furious”.
-Quelle voiture possédez-vous actuellement ?
-Stacey: “Une Mercedes Benz C250”.
-Quelle est la voiture de vos rêves ?
Stacey: “Une Lamborghini Countach blanche”.
-Qu’est-ce qui est le plus important ? Rouler vite en Supercar ou rouler bas en Low Ridder ?
Stacey : “Cela dépend juste de l’humeur et de la destination”.
-Qu’est-ce que vous préférez dans le mannequinat ?
Stacey : “C’est de me faire pomponner ! Je suis une fille à filles, j’aime le maquillage, la mode et me sentir sexy !”.
-Quels sont certains de vos précédents clients de mannequinat ?
Stacey : “J’ai fait du mannequinat pour des entreprises locales de vêtements et des voitures classiques”.
-Avez-vous un look, un thème ou un genre de mannequinat préféré ?
Stacey: “Je n’ai pas de look préféré. Je crois vraiment que le mannequinat est similaire au métier d’acteur, jouez le rôle et roulez avec !”
-Qu’avez-vous à dire aux femmes qui veulent se lancer dans le mannequinat, mais qui ne savent pas comment commencer ?
Stacey : “La première étape est d’être passionnée par ce que vous faites ! Suivez vos rêves et acceptez n’importe quel travail de mannequinat proposé. Construire votre portefeuille est la clé !'”.
-À quoi ressemble un week-end typique pour vous ?
Stacey : “Un week-end typique consiste à passer du temps avec mon petit ami et à aller à la salle de sport, à la plage, aux salons de l’automobile et à s’allonger au bord de la piscine. Oh, et nous adorons manger des sushis !”.
-Quelle est votre définition de la beauté ?
Stacey : “La beauté se présente sous toutes les formes et toutes les tailles. La beauté pour moi est une femme qui est belle à l’extérieur et tout aussi belle à l’intérieur. Une femme confiante est une beauté pour moi”.
-Que pensez-vous de la voiture avec laquelle vous avez tourné aujourd’hui ?
Stacey: “Elle est super incroyable, vraiment incroyable ! Le meilleur travail de peinture de tous les temps !”.
-Quel est votre détail préféré à propos de cette’54 ?
Stacey : “Mes détails préférés sont l’intérieur blanc perle et la peinture”.
-Y a-t-il des personnes que vous aimeriez remercier ?
Stacey: “Brent Rothweiler, c’est mon plus grand fan quand je pose pour les shootings de voitures !”
Nous tenons à remercier Stacey d’avoir pris le temps de photographier avec nous malgré son emploi du temps chargé ! En fait, peu de temps après le tournage, elle avait un quart de travail auquel elle devait assister. Des talons hauts et des dos-nu à sauver des vies dans la même journée ?! Cela demande un vrai talent et de l’énergie. Nous espérons la voir avec Brent lors de futurs concerts
2 commentaires
Maître, De là-haut, Doug peut dormir tranquille, si ce que Stacey raconte est ce qu’elle pense (est-elle capable de duplicité ?), et qu’elle a prévu de se reproduire, les mœurs de la culture “Jock” auront toutes les chances de continuer à être honorés…
Je vous avoue me perdre dans mes écritures…