SexyRoadster’34
Chaque année, le monde du Hot Rodding attend impatiemment de savoir qui remportera l’un des prestigieux prix délivrés dans leur monde/univers aux USA. Sans aucun doute, le plus ancien du groupe est le “America’s Most Beautiful Roadster” (AMBR) du “Grand National Roadster Show” (GNRS). Dernièrement c’est le Hot Roadster Chevrolet 1934 appartenant à Jeff Breault et sa muse hyper sexy, Bianca Beauchamps, qui ont remporté les grands honneurs du GNRS et de l’AMBR. Ce n’est que la deuxième fois de son histoire que l’AMBR est simultanément attribué au genre féminin : une Chevrolet et une Hot Roddeuse, qui est de surcroit érotomane, ce qui le duo encore plus impressionnant. Les trophées qui en résultent et s’ensuivent sont quelque chose auquel chaque propriétaire et constructeur de Hot-Roadster aspire. La reconnaissance de l’AMBR et la commandite de l’ARP qui l’accompagne (un chèque de 12.500 $) ne sont en réalité pas grand chose si on considère les montants faramineux qui sont dépensés dans ses créations du paraître… Personne n’ose en raconter autant que moi car si je m’en tape royalement, la majorité des peuples, eux, sont irrémédiablement enferrés dans ces pratiques quasi-religieuses…
Elles sont destinées, élaborées, peaufinées pour faire croire en l’Extatique qui n’est que du consumérisme bien mené… En effet, la presse spécialisée qui survit encore, ne critique pas ces niaiseries car elles créent “l’offre et la demande”, avec une pulsion d’achat nécessaire pour “faire de même”… Le calcul que personne ne veut faire est que le coût de construction d’un Hot Rod sophistiqué tel celui de cet article, va souvent vers les 300.000 dollars et parfois trois fois pire (au million de dollars) ce que je ne manque pas de faire remarquer à tout le monde dans le monde du Hot Rodding…. Je suis donc, du moins mon Web-Site qui remplace les éditions “papier” ingérables et ruineuses depuis plus de dix ans… Et c’est de pire en pire, la Mairesse de Paris tente de trouver une nouvelle utilisation aux milliers de kiosques de presse qui ferment et n’ont pas réussi à se convertir en “barraques à frites et malbouffes”… Pitoyable…, Je suis quasi le seul à souligner que le consumérisme ne profite qu’à ceux qui font du business… Mais la soif de paraître est beaucoup plus forte que les réflexions d’intelligence. Le prix est synonyme de reconnaissance. C’est ce qui est si génial dans tout prix majeur, il y a ceux qui sont d’accord et d’autres pas.
Le Hot Rodding consiste non plus à “être libre” comme la masse des gnous pense que l’étaient les Cow-boys, puis les Hell’s-Angel’s et autres, mais à exprimer son imagination et ses capacités créatives, souvent, si pas toujours, celles des autres qui en font business comme les carrossiers illuminés par les dollars, tels Boydd Coddington et Chip Foose… Les concours ne devraient pas être pas censés plaire à la foule, mais plutôt nous faire réfléchir tous. Peine perdue… Donc autant en profiter, cela amène des sujets à disséquer et présenter… Avec ce Hot Rod, j’ai eu l’idée que l’univers pourrait être basculé vers le Hot Hot Hot Hot sexy déjanté, en cause d’y amener la super Sexy Bianca Beauchamps que personne n’imaginait en Hot Roddeuse, ni qu’elle était toujours aussu super sexy qu’il y a 25 ans… Gagné… C’est la elle d’avant récupérée… Ce qui va mettre en marche un processus infernal “é-branlant” l’ensemble de la communauté des Hot Rodders et Hot Roddeuses, criant au scandale que j’en tire parti… L’initiative sulfureuse est bien évidement venue de www.ChromesFlammes.com + www.GatsbyOnline.com + www.SecretsInterdits.com … Mes trois web-sites en un, destiné à ceux et celles qui n’ont que faire du “politiquement correct”…
Pas plus à faire des diverses saintes-nitouches qui s’évertuent à placarder des messages hallucinés emplis de bondieuseries pathétiquement débiles sur les réseaux asociaux,… Que des fo-folles semblant issues des bas-fonds de Dickens ou Lady Chatterley, avec des (vraies) gueules à briser les miroirs (de ceux qui iraient s’y faire manipuler), affichant partout sur le Web des mug’s, des gift’s, des cartes postales (et leurs tarifs mirobolants), comme si elles y décoraient leurs intérieurs fleuris ! Sur “leur” Web, elles écrives et prétendent rêver que des centaures émoustillent des nymphes aux joues rouges, louvoyant entre les préraphaélites de première caresse avec la volonté de ne distinguer ni le bon grain de beauté ni l’ivraie masturbatoire… Pfffffff ! Elles sévissent toujours, ça et là, mais sur d’autres sites-web. Ces harpies du web réinventent la censure de tout ce qui n’est pas extrapolé de leurs idées rétrogrades, et avec leurs incessants partis-pris, elles y écument de fantasmes inassouvis ! Avec leurs imageries faussement naïves, dans leur pays des fausses merveilles à la lewis Carrol, elles baignent dans la hantise de la pauvreté avec une béate admiration des choses divines, ressuscitant quelques fuites devant la réalité.
Débarquées de leur grand Walhalla, dans leurs bas-fonds sordides, elles évoluent dans un monde d’Elfes et de Sylphides à ranimer Peter Pan… Entre leur Kitch et leur fausse honorabilité, leurs aveux de consommation de drogues et d’alcoolisme solitaire, elles se révèlent perverses…. Certaines, au paroxysme de leurs folies, deviennent sadiques et s’affichent Maîtresse BDSM officiant avec un crucifix sur leurs poitrines… Ce ne sont pourtant que de vieilles amazones chevauchant des percherons décatis, croyant être intéressantes en publiant leurs turpitudes aigries de masturbatrices sur le retour… Ahhhh! Mais il y a évolution depuis que Macron et son épouse s’investissent aux pouvoirs… Maintenant le Transsexualisme est à la mode partouze, les nananas bandatoires peuvent bander d’elles-mêmes… L’Homotranssexualisme a même droit de cité à l’Elysée qui y invite des groupes d’abominables… Les jeux sont devenus sexolympiques avec même la réutilisation du flambeau érigé à bout de bras inventé par Goebbels pour les jeux nazis de Berlin de 1936…. Quel est le pourquoi et le comment de cet univers ? Je crois que tout relève de l’évidence, mais qu’à force d’avoir le nez dessus on ne le voit pas…
Comme j’aime prendre de la distance vis-à-vis des choses cachées de la vie, voir comment fonctionnent des gens normaux par rapport à des réalités qui les dépassent, regarder comment les valeurs générales (génitales), dont on peut penser qu’elles relèvent plus ou moins du bien de chacun/chacune (l’amour du prochain bien profond dans les abysses de la fraternité), peuvent, du jour au lendemain, laisser la place à des comportements dérangeants, qui s’avèrent terrifiants, je m’investi dans ce qui m’intéresse… Par exemple comprendre comment les gens ordinaires deviennent des monstres inhumains ! Les développements du Web, démontrent en effet que tout y est fou… Principalement les pseudonymes anonymes qui passent un temps considérable à écrire divers messages pathétiques de recherche de masturbations assistées ou de salutations inutiles, le tout dans un sabir presque incompréhensible baignant dans un délire de fautes d’orthographes inouïes ! C’est un aspect terrifiant de ces monstres humains. Il n’y a plus de repères, il n’y a pour eux et elles aucune limite, ils et elles écrivent des bêtises, incitent à la haine raciale et de nationalité,et reprennent les pires caricatures imaginables…
Le tout effectivement dans un concert de fautes de français qu’ils et elles voudraient ériger en normalité, affirmant qu’écrire correctement est suspect, voire une tare démontrant une éducation et par la même une différence intellectuelle qu’ils et elles voudraient supprimer… Un nivellement par le très bas de gamme… A l’opposé de tout cela, la Saga des SecretsInterdits bien que partant d’un sujet sexuel excessivement trivial, fut pensée presque comme une œuvre artistique avec des rebondissements incessants… Comprenez que mêler Bianca Beauchamps en latex rouge avec le best of the best des Hot Rod’s est comme allumer un feu de joie dans un hangar de stockage d’explosifs… J’aime inonder le web d’articles qui, de même intensité, rendent fiévreux, laconiques, lancinants… Certains et certaines m’écrivent en ce sens que mes écrits ferraillent avec le néant car j’évoque souvent l’invisible de l’oubli derrière la survie des hasards… Ahhhhhhhh ! Tant d’alacrité fait chez moi bon ménage avec tant de modernité des virtualités du langage, avec un infatigable ludisme. On me disait que c’était une entreprise autobiographique hallucinée alternant avec la métaphysique quantique, à destination d’une meute d’exalté(e)s lubriques.
Plus je cède à la rigueur, plus ma fantaisie s’exalte, déstabilisant mes écrits. Quel jouissif paradoxe ! On peut être, comme moi, chargé de sapience et apprécier le loufoque… Mes articles, précieusement préservés pour le reste de mon éternité wébienne, sont bouleversants d’être bouleversés. Ils évoquent l’éternité et n’appartiennent d’ordinaire qu’à la prose et même au prosaïsme ! Un réveil glauque, à cinq heures du matin, devant un bol de n’café en pensant à mes aventures, m’a fait m’engloutir. On s’y perdra tous et toutes un jour dans une sorte de douleur mentale traversant les cerveaux déserts à jamais depuis toujours… J’observe sur le web, depuis que j’y navigue, que certains et certaines pseudomaniaques auteurs terroristes, veulent tout contrôler et donner leurs versions tronquées de faits anodins qui n’intéressent personne, ils viennent alors sur le web afficher des messages débilitants dans un concert d’explosions d’injures… Je trouve étrange cette manière de faire qui est un grand chaos, comme tenter de rapprocher matière et antimatière. J’essaye dès-lors de montrer l’autre coté du miroir, pourquoi, ce faisant, je ne peux m’empêcher l’humour, parce que l’humour est le dernier recours.
Il faut pouvoir rire de tout ! Le Web est tout de même composé de gens de toutes sortes d’horizons culturels…. C’est bien de se rendre compte qu’on peut être à la convergence de différents courants, alors j’espère que la suite vous comblera encore davantage… Peut-être ! Tim Devlin de Devlin Rod and Customs (DR&C) a travaillé avec Eric Black de Black Design Co. pour produire la version finale que vous voyez devant vous. (Il convient de noter que Black a été appelé pour tous les travaux de design extérieur tandis que Tavis Highlander a reçu le feu vert pour le compartiment moteur, l’intérieur et le travail du tableau de bord. La base de ce Hot Roadster Chevrolet de 1934 est un châssis personnalisé de Roadster Shop qui dispose d’une suspension avant indépendante unique. Jeremy Gerber de Roadster Shop admet volontiers que : “C’était le châssis personnalisé le plus exigeant en main-d’œuvre jamais tenté à ce jour par nous. À l’arrière, nous avons installé le traditionnel du rodding avec un quick Change Winters de 8-7/8 pouces qui fonctionne avec un rapport de 3,78. Les jantes en aluminium billette sont des Indy Halibrand vintage.. À partir de là, les roues ont été recouvertes d’un Cerakote en tungstène nickelé terne”…
Ces jantes spéciales sont montées avec les Coker/Excelsior Stahl Sport Radial 5.00R16 à l’avant et 6.00/6.50R18 à l’arrière. Derrière cette combinaison se cachent les freins. Le nom Wilwood devrait sembler familier aux Hot Rodder’s, mais nous parions que personne ne les a présentés dans leur mode actuelle. Les rotors Wilwood sont dissimulés derrière les plaques de support personnalisées à l’avant et à l’arrière. Derrière les freins se trouvent les combinés filetés recouverts de Cerakote dans les coins. Cet effort stupéfiant a été confié à Jon Wright de Custom Chrome Plating, dont le personnel a passé littéralement des mois à travailler sur le projet pour obtenir le bon look. Nous avons parlé de tout et rien, mais qu’en est-il de la “fierté et de la joie” de tout Hot Rod : tel le battement de cœur qui se présente sous la forme d’un moteur LS hautement personnalisé. La puissance est un V8 LS qui a été construit pour la performance dans l’atelier de Keith et Jeff Dorton, Automotive Specialists Racing Engines, avec une puissance de 654cv à 618 lb-pi de couple. Avec la puissante centrale électrique en main, elle a ensuite été confiée à Alan Johnson de Johnson’s Hot Rod Shop en Alabama.
L’objectif de Johnson était de faire en sorte que le moteur V8 moderne ressemble à quelque chose avec beaucoup d’héritage. Les culasses LS en aluminium ont été retravaillées. Il est intéressant de noter que le LS V8 sort de l’usine avec un système de poulie serpentine d’entraînement par accessoires, cependant, cela ne se prêtait pas à l’apparence vintage que Jeff et Devlin recherchaient. Johnson savait ce qu’il devait faire. Un système traditionnel de courroie trapézoïdale a été conçu, ce qui nécessitait que tous les composants uniques soient reconçus. En fin de compte, Johnson a conçu un système de poulie qui avait l’air vintage, mais qui offre les performances de la courroie d’accessoires requises pour l’utilisation d’aujourd’hui. Il convient de noter les couvercles de soupape LS personnalisés. Johnson voulait quelque chose qui n’avait pas seulement l’air vintage, mais qui serait distinctif. Si vous jetez un coup d’œil aux couvercles de soupapes, vous verrez qu’ils ont ce que l’on pourrait considérer comme une apparence Rolls-Royce des années 30. Les couvercles de soupape uniques d’époque reposent sur les vrais couvercles de soupape et c’est dans cette zone “à ne pas voir” que les packs de bobines LS sont placés.
Les moteurs LS modernes ont des capteurs, beaucoup de capteurs. Dans cette application, le moteur de commande d’air de ralenti et l’émetteur de pression d’huile ont été retirés du moteur. Leur nouvelle maison repose sur le dessus de la transmission TREMEC préparée par Bowler, sous leur propre couvercle d’inspection sous la lunette du levier de vitesses… Bowler a fourni la partie mécanique de la tringlerie de changement de vitesse, tandis qu’EVOD a fabriqué le bras de changement de vitesse ; la boule de changement de vitesse peinte sur le dessus est un pommeau de levier de vitesses Lokar. Le collecteur d’admission personnalisé est le point de montage de l’injection à huit piles et il cache également les composants électroniques d’injection de carburant. Un calculateur XFI FAST et le contrôle de traction (bien sûr) sont également implémentés dans cette construction. L’intérieur présente de nombreuses caractéristiques originales uniques. Comme mentionné précédemment, Highlander a reçu le feu vert pour le design intérieur, avec des marques comme Classic Instruments qui se sont démarquées avec les compteurs personnalisés et la conception des panneaux.
Les boutons de commande sont davantage un travail de machine EVOD. Le bouton central sert de clé de contact. Sur le dessus de la colonne de direction Ididit, modifiée par Devlin Rod et Customs, se trouve une interprétation libre d’un volant de pick-up Chevrolet conçu par Highlander et construit par EVOD (quelques 13 pièces) ! D’autres travaux manuels d’EVOD se présentent sous la forme des trois pédales, l’ensemble de frein fonctionnant à partir d’un ensemble de pédales Kugel Komponents et d’un support de maître-cylindre. En ce qui concerne l’intérieur, le mérite revient à Chuck et Braden Rowland de Chuck Rowland Interiors pour la couture des sièges, des panneaux et de la moquette, tous personnalisés. Cependant, l’une des modifications les plus notables apportées au roadster Chevy est la capote décapotable rabattable. Jeff est un fan des premières Corvette’s et ayant un cabriolet de 1963, il pensait que ce serait cool si son roadster Chevrolet de 1934 avait un toit rétractable similaire. Jeff et Devlin sont tous deux allés voir Mike Loewengruber de l’American Speed Company (ASC) pour voir s’ils pouvaient obtenir de l’aide au sujet du toit rétractable.
Eh bien, ASC a non seulement fourni beaucoup d’informations, mais aussi le matériel et le mécanisme supérieurs initiaux à partir desquels Devlin Rod a apporté les modifications nécessaires. Bien sûr, Devlin Rod and Customs a dû fabriquer un pare-brise personnalisé pour fonctionner avec le dessus et l’attacher tous ensemble et le faire fonctionner. La partie molle (matériau) du toit a ensuite été recouverte par Scott Downey de Downey’s Auto Upholstery. Souvent, nous ne pouvons pas vraiment dire ce qui a été fait lorsque nous regardons un projet fini. Nous savons simplement que quelque chose a changé, mais nous n’arrivons pas à mettre le doigt dessus. C’est le cas du roadster Chevrolet de 1934 de Jeff, car il y a eu beaucoup de modifications de tôle. Voici donc quelques-unes des modifications de la carrosserie de Devlin Rod et des douanes qu’ils ont fabriquées. Le plancher, le bas de caisse et le plancher du coffre ont tous été façonnés pour s’adapter au contour des rails de cadre du Roadster Shop. Les persiennes de capot originales de la Chevrolet 34 ont été intégrées dans les côtés du capot fraîchement frappés avec le nouveau toit. Le déplacement le long des passages de roue arrière a été retravaillé pour correspondre au profil du pneu et de la roue, ainsi que la ligne de carrosserie remodelée et agrandie. Voilà, c’est terminé…