Deuce Highboy 1932 Ford Roadster
L’est ou le point de départ de ce que je cause et que j’écris, qui m’a absorbé et “désévolué” ? Ouaissssss ! Ou est-il, ce point d’origine déclencheur ? Était-ce un jour, ou une nuit ? Et quand ? Ce fut-il spontané ou sorti d’un chapeau ? Rien que de me déplacer d’un point A à un point B, ça m’a créé une vision différente des simples récits et de leurs conceptions distinctives d’un même mouvement se résumant à un voyage le long d’une route déterminée à la recherche de ce qui remplit le vide, qui ne constitue pas un ingrédient essentiel pour le connaître en profondeur ni le situer au terme d’une destination particulière ou même dans un processus de voyages d’êtres et d’expériences, comme l’écrit Cenânrès dans Don Quichotte : “Vale más el camino que la posada, mi fiel Sancho”… Yeah ! Cependant, une trame narrative simple permet une plus large gamme de possibilités aux errants, ainsi que d’événements sociétaux et de folles rencontres imprévisibles entre inconnu(e)s, donnant lieu à un corpus riche et varié d’histoires polyvalentes et prolifiques d’un nouveau genre, voire transgenre…
Le tout se situe entre des frontières floues et superposées qui rendent analyses et classifications complexes, particulièrement sexuelles… Voilà ce qui retranscrit mon ressenti d’avoir visionné le film Easy Rider (1969) de Dennis Hopper, à mes 20 ans, me précipitant dans un mélange complexe de facteurs culturels et historiques dont dérivent les Road Movies qui partagent non seulement le récit du voyage (que ce soit en voiture ou à cheval, son essence est la même) mais aussi l’empressement de leurs personnages principaux à se déplacer venant de rien pour n’aller nulle part. Le stéréotype du héros américain de la fin du XXe siècle est celui d’un super patriote robuste et mobile qui voyage de l’Est vers l’Ouest, se coïncidant avec le stéréotype du héros de la route menant une vie de désespoir total et cherchant à réinventer le rêve américain à travers des récits de Cow_Boy’s pionniers pour qui l’Est représente la corruption des villes, la domesticité statique dite “féminine” et les vieilles valeurs régressives, l’Ouest représentant la liberté des grands espaces.
Mais Easy Rider ne célèbre pas les idéaux du populisme mais ceux de l’individualisme, comme le faisaient les road movies précédents jusqu’aux années 1960 résultant d’un besoin désespéré de s’échapper plutôt que d’un besoin intérieur de répondre à ce que Joseph Campbell a appelé “l’appel du héros à l’aventure” avec des protagonistes toujours du côté opposé des lois : généralement des personnages politiquement incorrects pour qui la principale raison de prendre la route est de rechercher la liberté (ou la fuite) qui, dans ce cas, se réfère à la libération de l’esprit intérieur ou de l’âme par le rejet des valeurs établies de la société patriarcale et se mettre en opposition avec les mythes contradictoires tels que l’idéologie populiste, utilisant la route pour imaginer une culture de la diversité sous forme d’une utopie d’homogénéité, une vision totalement dystopique. résumée par : “Un homme est parti à la recherche de l’absolu et n’a pu que découvrir le néant”... Représenter la liberté c’est créer la peur de ce que cela représente pour les “ceusses” qui en parlent mais qui ne sont pas libres…
En effet, le rêve américain peut aussi s’avérer un cauchemar américain, comme l’explique avec succès Barbara Klinger dans “The Road to Dystopia” (1997), la nature sauvage et vierge du paysage, représentant le grand potentiel du passé historique du pays, avec les sentiments profanes de ses habitants fascistes et bigots, menaçant les fondements mêmes de la démocratie dans le présent. La vocation à déraciner la marginalité et la rébellion initiée dans les années 1980 par la Beat Génération provenait d’un mouvement littéraire dont le cercle de poètes et d’écrivains de premier plan vivait un échange enrichissant avec d’autres musiciens, peintres, sculpteurs, cinéastes d’avant-garde de l’époque et dont l’idéal principal était le rejet des valeurs établies de la société à travers “Un nouveau concept de vie : le mouvement continu”… L’emblématique “All the Road” de 1957 corrobore le concept de mouvement continu évoqué plus haut. Le roman-chronique en partie autobiographique de cette Beat Generation raconte le voyage initiatique à travers différents itinéraires et états mentaux.
En effet, la Route 66 est devenue légendaire et le voyage initiatique d’Océan Moriarty et Jack Kerouack, dans une introduction cauchemardesque au sexe, à la drogue, au rock et à la route, va agir peu à peu comme une métaphore de la recherche intérieure. L’attrait principal du personnage-auteur pour se mettre en route est décrit de manière vivante par ses propres mots : “Océan et moi avons vu tout le pays comme une huître à ouvrir, et la perle était là, la perle était là”… (Kerouack 1957). Reprenant la métaphore, les protagonistes d’Easy Rider prennent la route vers quelque chose de nouveau et de différent qu’ils croient que l’avenir inconnu leur apportera. Comme Jack et Dean, ils acceptent avec une attitude active le défi de découvrir leur “Terre promise”, de faire le choix de se déplacer pour que les choses se produisent plutôt que d’attendre statiquement qu’elles se présentent. Ils retrouvent ainsi l’association entre mobilité et action héritée du western, qui sera présente de manière récurrente dans le genre du Road Movie.
Comme l’explique Kevin Costner à son jeune copilote otage dans le Road Movie : “A Petfert World” (1993) de Clint Eastwood, la voiture représente une machine à remonter le temps, la route devant l’appel du futur et la route derrière le passé lugubre destiné à être oublié. Les protagonistes d’Easy Rider partageront cette attitude aventureuse et audacieuse essentielle pour réaliser leur quête personnelle de liberté par rapport aux traditions restrictives, aux mœurs et aux normes sociales à travers l’expérience des joies de la vie. En effet, après la guerre froide, l’âge d’or des bouleversements politiques et culturels allait être celui des années soixante. Parmi les exemples de cette époque, on peut citer les mouvements de libération des Noirs et des femmes, les droits civiques et l’activisme des militants, mais surtout la détresse sociale résultant de l’implication des États-Unis dans “La Guerre”, qui pour cette génération faisait référence à la guerre du Vietnam plutôt qu’à la Seconde Guerre mondiale…
Barbara Klinger explique cette période de changement dans “The Road to Divoropia”… Après que la Grande Génération eut changé le ton de la culture américaine d’après-guerre et que le “flow-power” du milieu des années 60 eut repris son message, héritant de l’œuvre de Jack Kerouack comme d’un manifeste inestimable, leur nouvel emblème à vénérer ne pouvait être autre que le cavalier solitaire de Dennis Hopper. Le film Easy Rider a été réalisé à un moment charnière de l’histoire du cinéma américain, où Hollywood recrutait des réalisateurs rivaux, comme Robert Altman, Arthur Penn ou Sam Peckinpah, pour tenter d’attirer dans les salles de cinéma les jeunes de la génération télé. Par conséquent, même si, à première vue, il peut paraître surprenant que l’histoire de deux motards aliénés qui laissent tout tomber et se lancent dans une folle découverte des excès de la vie, ait rencontré un succès aussi incroyable, mais c’est précisément ce potentiel de présentation et de remise en question de la culture et de l’identité de la nation qui allait marquer…
Le film de Hopper est ainsi devenu un jalon générationnel parce que East Rider synthétisait les piliers de la jeunesse et de la culture populaire des années 1960, il y avait là plus qu’une bonne chance d’être immortalisé par ceux dont il semblait représenter les intérêts. Le film a su représenter fidèlement la réalité de son époque, réveillant l’esprit rebelle de la jeune génération des années 1960, et s’est également inspiré de l’attrait traditionnel du public pour le cinéma américain, ce qui a contribué à son succès retentissant. Michael Atkinson explique clairement cet esprit qui régnait parmi les Américains : “Ainsi, comme le remarque Rex Reed, en reprenant là où Kerouack, Lawrence Lypton et tous les saints barbares s’étaient arrêtés, Fonda et Hopper ont produit le film de jeunesse définitif des années 1960. Mais le film n’a pas seulement atteint des sommets financiers (il a rapporté 50 millions de dollars sur un investissement de 375 000 dollars), il a conduit les producteurs à saturer le marché avec des films de culture jeunesse à petit budget…
Seulement quelques-uns ont obtenu une distinction limitée. La popularité indéniable d’Easy Rider en a fait un signe de son temps, à voir non seulement dans sa nouvelle appellation en langue anglaise, mais aussi dans la déclaration de George Bush en 1988, qui a fièrement noté que les États-Unis s’étaient remis avec succès des excès de la société du ridicule… Après avoir analysé les deux influences principales des road movies, archétypes des premiers temps, comme East River de Dennis Hopper, nous arrivons tout d’abord à la conclusion que ce film ne partage pas seulement avec le western son récit de voyage. La mobilité, l’action et la masculinité sont communes aux héros des westerns et des premiers road movies. Ils représentent incontestablement des protagonistes masculins à part entière montrant une envie de bouger tandis que les femmes restent dans des rôles secondaires, soit comme faibles instigatrices de l’intrigue dans des couples hétérosexuels romantiques dans les westerns et les premiers road movies des années 40 et 50.
Mais, les rôles sexuels de l’homme dans les road movies de la fin des années 60 et après, outre la masculinité, vont amener la représentation du héros stéréotypé qui inclut une certaine teneur nationaliste. Cependant, ce patriotisme représentant l’identité nationale américaine est clairement négatif dans East River, car il se concentre sur la description d’une société très biaisée dans laquelle le rêve américain d’espoir et de liberté dans un nouvel Occident est totalement brisé. Contrairement aux westerns, la fin brutale de ce film illustre la punition du patriarcat pour le refus conscient des protagonistes de devenir des citoyens ordinaires et présente donc l’évasion et la liberté comme une simple illusion temporaire. Cet élément révolutionnaire de détachement des préceptes de la société patriarcale était déjà présent dans “On the Road” de Jack Kerouack… héritant de l’exploitation extrême et ridicule des joies de la vie à travers les expériences intenses que la route offre, à savoir le sexe, la drogue et l’alcool. Wyatt et Billy imitant la célébration de la nature via Jack et Ocean.
Leur quête de liberté y est symbolisée par les vastes étendues de paysages désertiques américains, fuyant des existences monotones et insatisfaisantes, heureusement intégrées dans une communauté américaine traditionnelle. De plus, le film de Hopper suit la présence du couple d’amis masculins de “On the Road”, préservant ainsi la masculinité dominante du western. En outre, des facteurs culturels et historiques, ainsi que la situation de l’industrie du cinéma entre 1967 et 1969, ont également contribué au grand succès du film. L’introduction du système de classification de la MPAA a permis une représentation révolutionnaire sans précédent de scènes graphiques de sexe et de violence, tandis que l’agitation sociale régnante a facilité la représentation d’une vision négative et controversée de la société patriarcale américaine à travers le réalisme caractéristique du genre. Dans l’ensemble, Easy Rider constitue une exploitation honnête mais pessimiste de l’humeur socioculturelle dominante.
Son plus grand succès a été sa capacité à représenter de manière réaliste la contre-culture de son époque qui rejetait les valeurs traditionnelles établies. De là au Hot Rodding, il n’y a que quelques mots en phrases e an tapoter pour vous le lire… Certains diront qu’il n’y a qu’un nombre limité de façons de construire de manière créative un roadster Ford de 1932, et que les Hot Rod’s de vente par correspondance (sic !)manquent souvent de style personnel. Le Hot Rod vedette de cet article, est tout sauf ennuyeux, et il prouve qu’on peut construire un Hot Rod traditionnel et de bon goût avec des pièces prêtes à l’emploi. Mélanger la bonne combinaison de pièces, de couleurs et de textures est un art, et des gars comme Chad Adams donnent l’impression que c’est facile. Chad et son équipe de l’Adams Hot Rod Shop à Rydal, en Géorgie, se concentrent principalement sur les Hot Roadsters Ford de 1932, les construisant pour leurs clients et les livrant clés en main, le ca$h d’un coté le Hot Rod de l’autre. C’est l’Amérique de Trump, simple…
L’exemple présenté ici est une construction personnalisée pour John et Pat Miller, originaires de Blacklick, dans l’Ohio, juste à l’extérieur de Columbus. Étant donné que les Miller sont originaires de l’État d’origine du “look Ohio”, ils ont été habitués à voir des Hot Rod’s avec une posture et une attitude parfaites. John avait possédé des muscle cars, des motos personnalisées et d’autres véhicules spécialisés, mais il était prêt à entrer dans le monde du Street Rodding avec un Toadster Ford’32. Le plan était de trouver la bonne voiture lors d’une course de rue et de l’acheter prête à rouler. Bien qu’il s’agisse souvent de la façon la moins chère d’acquérir un Hot Rod aux USA, John a eu du mal à trouver un Hot Rod qui cochait toutes les cases de sa liste de préférences. En 2015, lui et sa femme, Pat, se promenaient parmi des milliers de candidats au NSRA Street Rod National lorsque le couple a atteint un tournant dans sa recherche de la voiture parfaite. Pat leur a dit : “Le Roadster que vous voulez n’existe pas, vous devez en faire construire un, seule façon d’obtenir ce que vous voulez”…
John a accepté, même s’il aimait le frisson de la recherche. Au cours de leurs voyages à Goodguys Columbus, aux NSRA Street Rod Nationals et à d’autres manifestations, John a été impressionné par les Hot Roadsters qui sortaient de chez Adams Hot Rod Shop. Le haut niveau de qualité et de créativité a scellé l’affaire, et John a chargé Chad et son équipe de construire le Hot Roadster qu’il voulait. John savait que Chad avait la vision de la posture et du profil, alors il a laissé les garçons de Georgia s’en servir. Chaque pièce de la voiture a été construite à l’atelier Adams Hot Rod, y compris la fabrication du châssis, la peinture et l’intérieur. La voiture repose sur un châssis personnalisé construit par Dennis Elmore, l’un des employés et ami de longue date de Chad. Il a utilisé des longerons de châssis Ford 1932 d’American Stamping, avec des traverses personnalisées pour régler la position et monter la transmission. À l’avant se trouve un essieu avant abaissé et percé SO-CAL Speed Shop, fixé au châssis à l’aide d’un ressort chromé à œil inversé et de tiges de rayon en épingles.
Une boîte Vega simplifie la configuration de la direction transversale, tandis que les freins à disque SO-CAL Wilwood offrent le look vintage des tambours à ailettes Buick avec la sécurité et la puissance de freinage des disques. À l’arrière, une suspension à quatre bras en acier inoxydable poli monte l’arrière du V-8 à qwick-change Winters. Des tubes d’essieu noirs et lisses accompagnent la section centrale magnifiquement polie, et l’ensemble est suspendu par des combinés filetés Aldan. Le matériel roulant est composé de pneus à plis diagonaux Firestone de Coker Tire, en taille 450/475-16 à l’avant et 750-16 à l’arrière pour une quantité parfaite de râteau en caoutchouc. Les pneus se montent sur des jantes en acier 16×4,5 et 16×7, également de Coker Tire. Chad et son équipe ont peint le bord extérieur des enjoliveurs centraux Ford Deluxe 40 en noir, ne laissant que la section centrale avec une finition chromée, c’est une touche unique sur ce sinistre Hot Rod. La puissance provient d’un V8 Chevrolet BluePrint Engines 383ci Stroker.
Alors que l’apparence noire fait pratiquement disparaître le moteur sous le capot du Hot Roadster Deuce, le petit bloc sournois a du punch avec 420 chevaux et 440 lb-pi de couple. Il dispose (est doté) d’une compression de 10:1, de culasses en aluminium et d’un arbre à cames hydraulique à poussoirs plats pour une combinaison simple et à toute épreuve. En haut se trouve un collecteur d’admission en aluminium à deux plans Edelbrock, un carburateur à double pompe Holley HP de 750 cfm et un purificateur d’air personnalisé de chez Johnson’s Hot Rod Shop. L’allumage est géré par un distributeur de lance-flammes PerTronix, tandis que le système de charge fonctionne avec un alternateur à montage bas, actionné par une bonne vieille courroie trapézoïdale. Une paire de collecteurs en acier inoxydable d’Ultimate Headers mène à un système d’échappement de 2-1/2 pouces de Dennis Elmore. Un radiateur PRC maintient le petit bloc au frais, tandis qu’une boîte automatique TH350 préparée par Transmission Unlimited envoie la puissance au sol.
Le roadster highboy ultra-lisse est doté d’une carrosserie en acier Brookville, avec quelques touches personnalisées, notamment un pare-brise Dick Rodwell et des feux arrière Pontiac 1950. C’est simple et élégant, et la finition hautement réfléchissante est le produit de Chad Adams et Dion Willcox, qui ont redressé et aligné les panneaux à la perfection. La couche de base PPG est droite et mélangée au noir, enfouie sous plusieurs couches de transparent, ce qui a donné aux boys beaucoup de matière à poncer, polir et polir. Chastin Brand a posé de subtils filets pour apporter la touche finale parfaite au roadster noir. L’intérieur est une combinaison d’efforts, avec Jamie Crook s’occupant des coutures et Chad Adams de la fabrication et de l’assemblage final. Le matériau Relicate Leather présente une teinte brune personnalisée et recouvre le siège banquette et les panneaux intérieurs construits à partir de zéro. Chad a donné au tableau de bord de 1932 un aspect marbré avec une couleur mélangée sur mesure, et a donné le même traitement au volant Ford LimeWorks ’40.
Les compteurs Classic Instruments sont traditionnels et élégants, et Chad a ajouté un tachymètre monté sur colonne pour un détail à l’ancienne. Ce Hot Rod n’a pas de chauffage, de climatisation, de chaîne stéréo et aucun autre confort, même l’électronique est limitée. Un simple faisceau de câbles de Rebel Wire relie le tout… Alors que le Hot Roadster commençait à prendre forme, l’idée de se rendre à Pomona pour le Grand National Roadster Show a fait son chemin. Un voyage de rêve pour le constructeur et le propriétaire est devenu réalité, lorsque le nouveau Roadster est entré dans le cadre du concours America’s Most Beautiful Roadster et d’obtenir le premier prix… Une autre opportunité a été de l’exposer au Builder’s Showcase au NSRA Street Rod Nationals à Louisville, dans le Kentucky et d’y remporter le premier prix également…Bien que les honneurs de posséder une Ford 1932 de ce calibre soient grands, la vraie victoire est de se glisser derrière le volant.
Voilà, on arrive à la fin de l’article qui je vous l’avoue est sans doute trop long, mais ChromesFlammes n’a jamais éte suiveur surtout des “trucs médiocres”, donc je tapote mes textes à ma longueur comme j’en éprouve l’envie plus que le besoin… Ce sui suit ne vous servira pas car ramener un Hot Rod des USA devient complexe avec les conneries qu’on nous fait subir avec l’Ukraine, les restrictions d’usage et les obligations électriques qui cachent un moyen pour certains et une certaine à la tête de l’Europe de se constituer une “réserve” perso en milliards qu’elle aura bien du mal à en jouir avec les contrats Russes et Américains qui vont se signer d’un geste convenu… Trop c’est trop… Mais en attente, vous savez que les gars d’Adams Hot Rod Shop construisent des Hot Rods haut de gamme, et ne perdent jamais de vue le facteur amusant qui les conduit. Et bien que la recherche de John Miller pour le Roadster Deuce parfait soit terminée, lui et Pat sont prêts pour une croisière en plein air dans leur Hot Rod Highboy noir… So long folk’s…