Sex, Hot-Rod & Rock’n’Roll…
Les liens entre le sexe, les Hot-Rod’s, le Rock’n’Roll et la psychanalyse sont excessivement nombreux. Ils excellent dans l’expressivité de l’inconscient collectif par le biais d’une musique de masse. “L’inconscient c’est le social” : La musique possède effectivement cette gageure. Elle fait vibrer intimement le non dit, le pas possible à dire sur fond pourtant de partage et de bien commun social et collectif. Les liens qu’on peut tirer et nouer par l’écriture sont légions. Le choix intime et personnel de ces ensembles questionné par le biais de la théorie psychanalytique permet une compréhension autre qui est un océan d’absurdités dans lequel on fini par se noyer. La mise en place d’une instance symbolique, la jouissance des signifiants avant qu’ils ne devienne des mots en phrases formant des histoires en est l’exemple le plus saillant assujetti à l’imaginaire collectif. En extrapoler la substantifique moelle est-ce la résultante d’une jouissance qui atteint au délire ? Evidemment la question de la jouissance qui, d’un point de vue psychanalytique, trouve bon nombre de recels dans le rock’n’roll, amène à une mise en perspective psychanalytique…
Le rock’n’roll dévergonde les oreilles tout autant qu’un Big Bloc V8 à compresser et échappement libre… Rock, sexe et Hot-Rod rythment le quotidien sexuel des Hot-Rodders-Rockeurs et les déviances BDSM sont dès-lors d’une franche évidence vectorisée par les psychopathologies y relatives. Ce sujet apparait sans hésitation aucune. A mon grand étonnement, la psychanalyse quantique n’a pas encore fait le lien avec les théories de Jacques Lacan qui en avait pourtant arpenté les contours et répondu en quelques mots qu’il était vital de pouvoir suggérer des réponses “parallèliques” concernant son point-de-vue en tant qu’icône charismatique de la pensée contemporaine au niveau de certaines grandes rock-stars… Yeahhhh ! J’avoue que l’image d’un Lacan Rockeur et Hot-Roddeur sexuel peut choquer, car elle s’interprète comme une vue de l’esprit ! Elle peut faire sourire et je crois qu’elle sied parfaitement à l’édification d’un séminaire analytique. Lacan était-il un rockeur-Hot-Rodder sexuel ? Et bien, j’ai tenté d’y répondre en compagnie de psychanalystes, de rockeurs, de Hot-Rodders et de putes, non pas de manière classique évidemment mais plutôt dans les effets…
Jacques Lacan a tout autant défrayé la chronique et les plumes que les bluesmen chantant “Good morning little sweet girl”… C’est toutefois une grossière erreur d’interprétation, cette phrase de Lacan retirée de son contexte de recherche et d’études des formules de la sexuation n’a pas de sens si ce n’est celui que se sont appropriés certains machistes ou réfractaires. A l’instar des bluesmen qui ont été accusés de quelques désirs nabokoviens alors qu’ils s’exerçaient davantage à une liberté du dire et de chanter barrant avec une éloquence volontairement provocatrice les siècles d’esclavage de leurs parents où le droit de parole était interdit. Si le rock “arrache les tripes” comme le disait Lacan et peut faire oublier certaines mœurs, en quoi peut-on dire qu’il “libère le refoulé” ? La psychanalyse nous enseigne dans sa théorie et sa pratique que le refoulement est un processus d’éducation qui couvre le corps, par l’habit par exemple, autant qu’il le gouverne par le signifiant. L’apprentissage des fonctions pulsionnelles, de la droiture et du bien dire en sont les effets les plus évidents. Tout cela tournant à du parler pour ne rien dire, il est temps de réveiller les corps endormis en osant et proposer des “monstrations”…
Celles-ci, qui sont normalement, dans le champ social, sont voilées, cachées…Pensons au pelvis d’Elvis, à Jim Morrison ou à GG Allin plus près de nous, par exemple. La scène a cette gageure. Elle s’autorise bon nombre de provocations, d’ailleurs souvent re-voilées par la censure… Mais, hors scène, le refoulé peut aussi se libérer très facilement au son du rythme et de la foule. Franchement, le festival de Woodstock restera un point historique à cet effet ! Sexe, Hot-Rodding et rock’n’roll, sont des sujets de réflexions de choix pour la psychanalyse qui cherche à redéfinir le sexe qui n’est jamais à la hauteur des espérances, du désir qui titille toujours là où il ne faudrait pas, et de la jouissance, toutes choses qui peuvent amener à frôler ou à épouser la pulsion de mort freudienne et le rock tout comme le Hot-Rodding, évidemment car dans notre contemporanéité, ils font figures de leaders tout autant que de mémoire pour les sujets. Les exemples sont excessivement nombreux en analyse.Les Hot-Rodders ont tenté d’être les nouveaux pirates passant du lieu autre au non-lieu… L’utopie des Hot Rodders semblables au Cow-Boy maître de lui-même fonctionne cependant comme une fuite.
Chaque Hot Rodder est un Pirate qui s’installe et qui tente d’imaginer un autre système social mais se voit rattraper par la contingence du social et de l’histoire. Libertalia fut détruite par les Indigènes de Madagascar, Walter Kennedy fut pendu par la justice anglaise et Bartholomew Roberts finit tué dans un combat contre l’Amirauté britannique. Plus encore que la contingence historique, le mouvement même de fondation condamne les Hot Rodders tout comme les pirates à leurs pertes et profits. En effet, en voulant s’installer, en voulant fonder, au sein du monde, une communauté, un lieu, même radicalement autre, l’agglomérat de Hot Rodders tout comme des pirates s’auto-contamine, un phénomène qui tient au statut même des hétérotopies d’opposition. C’est d’ailleurs la pléthore de “concentrations-concentrationnaires” que furent les Grandes réunions qui se sont contaminées des oppositions internes et externes alimentées par le consumérisme de grands Groupes de presse tel celui de Michel Hommel qui voulait tout diriger sans rien y connaître que l’aspect consumériste d’un commerçant enrichi par la stupidité…
Le Filousophe Michel Foucault (qui n’a aucun rapport avec le présentateur TV) discourait qu’il existe des lieux réels mais “autres” pour l’utopie : des lieux hors des autres lieux et pourtant bien effectifs fondés par une société donnée, ayant une fonction sociale vis à vis de l’espace-monde, une sorte d’extériorité que génère la société pour justifier, compenser ou parfaire sa propre organisation, une quintessence de l’hétérotopie, miroir déformant de nos sociétés qui fonctionne comme un exutoire, qui nous renvoie une image de nous même. C’est comme les cimetières qui conjurent notre rapport à la mort et à l’angoisse qu’elle représente dans nos sociétés, une fonction sociale justificatrice qui amène la pérennité de ces hétérotopies. Fondées par la société, elles s’adaptent aux transformations et ne disparaissent pas, à la condition de remplir la fonction qui leur est attribuée. Le Hot Rodding ne pouvait donc pas fonctionner comme fonctionnent des rallyes automobiles de voitures souvent volées dans un milieu d’hurluberlus qui ne vivent qu’en dérapages de leurs automobiles et de leurs vies tout en affichant morgue, suffisance et mépris…
Les hétérotopies d’opposition sont, quant à elles les lieux autres de la contestation, des lieux où la question même du rapport à l’autorité est remise en question. Ces hétérotopies d’opposition sont générées contre la société, non plus comme des miroirs mais comme des armes. Elles agressent, par leur existence même, les sociétés qu’elles contestent. Il y a une radicalité propre aux hétérotopies d’opposition qui inquiètent l’organisation sociale dans son ensemble. Les pirates d’affaires brasseurs de milliards, à ce titre, agissent comme des hétérotopies d’opposition. En voulant s’inscrire dans un espace lisse, en refusant toute tentative de striation, de territorialisation, la piraterie d’affaire fonctionne comme un principe d’inquiétude qui remet en question, fondamentalement, la société contre laquelle elle s’oppose. Les vrais pirates remettent en cause l’esclavage, nient les frontières étatiques, instaurent même une citoyenneté universelle et contestent ,surtout, l’idée de f et de consumérisme qui sont les fondements des sociétés occidentales. Mais ces hétérotopies d’opposition ont un défaut, qui provient de leur radicalité.
Le combat qu’elles mènent contre les puissances souveraines se trouve toujours perdu d’avance. L’appareil d’Etat, pour reprendre des termes chers à Deleuze, strie l’espace en se réappropriant les machines de guerre que sont les pirates s’ils s’installent dans la masse. En se sédentarisant, les pirates Hot Rodders rentrent dans un schéma classique de territorialité qui ne peut être reprise que par une forme étatique. Terrible constat : la piraterie, en tant qu’hétérotopie d’opposition n’a d’avenir qu’en refusant de s’installer dans les clichés classiques incluant la sédentarisation, ou la mise à l’abri. La réponse que l’on peut apporter à cette dichotomie est double. La première réponse vient de Hakim Bey dans son fameux livre sur les Zones Autonomes Temporaires. Ce texte met en œuvre une idée nouvelle. L’utopie pirate des Hot Rodders ne doit pas avoir de pérennité. Cela tient au statut même des révolutions qui ne sont que d’éternels recommencement. Révolution, réaction, trahison, l’état s’érige plus fort, interdit et devient encore plus répressif, mais la roue tourne, l’histoire recommence encore et toujours. C’est donc la brièveté qui fonde la spécificité des expériences pirates d’organisations sociales.
Mais cette première réponse doit se doubler d’une seconde pour comprendre comment l’expérience pirate s’incarne véritablement dans une dimension utopique. La temporalité propre de l’utopie est paradoxale. Son objet est le futur, ou le non-être, mais elle existe seulement dans le présent et s’inspire de légendes passées. On pourrait alors suggérer que l’utopie est en ce sens l’analogue de la trace qui est un scandale pour la Raison, car le signe d’un passé dans un présent bien ancré, elle est un mélange d’être et de non-être. De la même façon, l’utopie, qui combine le pas-encore du futur avec une existence textuelle au présent, n’est pas moins digne des archéologies que nous accordons bien volontiers à la trace. Les utopies pirates devraient alors s’inscrire dans cette logique temporelle, comme trace dans le futur, projet au sens premier. Leur existence tangible n’importe peu, tant qu’il est possible de projeter, dans le futur, les modèles d’organisation qu’elles nous dévoilent. Pour être durable, pour continuer à agir dans notre présent, le phénomène pirate du Hot Rodding doit effectuer ce changement, passer du lieu autre, de l’hétérotopie, au non-lieu, à l’utopie, inscrivant une trace dans le futur, les idéaux d’une société plus juste…
C’est curieux, d’un coup je prêche dans le désert… Une étude menée par des chercheurs universitaires montre que le même système neuro-chimique impliqué dans les sensations de plaisir du sexe, des drogues, de la nourriture, est en jeu également dans le plaisir éprouvé par l’écoute de la musique. Sexe, drogue et musique, c’est bien plus qu’un slogan. En fait ces stimuli pourtant différents activent un même système de récompense à l’intérieur du cerveau et ils engendrent donc un même plaisir ». Ces travaux visaient à démontrer que les mêmes récepteurs opioïdes sont activés par la musique. Ces résultats montrent que les récepteurs opioïdes et les opiacés endogènes sont essentiels pour éprouver du plaisir ou une réaction émotionnelle forte en écoutant ou en pratiquant de la musique. Le plaisir sexuel, des drogues, de la nourriture et de la musique prennent leur origine dans les mêmes zones cérébrales et obéissent à des processus neurochimiques similaires. Pour les chercheurs de cette étude, l’universalité de la musique et sa capacité à affecter aussi profondément les émotions suggèrent l’idée que la musique a été importante dans notre évolution…
Génial puisqu’elle partage un chemin avec des comportements indispensables à la survie de l’espèce comme la sexualité. La musique a également eu un effet positif sur le plan évolutif en renforçant le sens d’appartenance et lien social... Waouwwww ! Tentations, dérives, dépressions, dépravations, jouissance du succès et exposition médiatique ont été fatales à de nombreuses rock stars, quelques grandes statures du Hot-Rodding et certains constructeurs de Hot-Rods eux par contre, même tombés en faillite comme Michel Hommel ne se sont pas suicidés… La véritable raison pour laquelle les Rock-Stars meurent jeunes (et non ce n’est pas ce que vous croyez…) c’est sexe, drogues et rock’n’roll qui entrainent certains parfois dans le néant : la litanie semble liée à une existence torturée, rythmée d’excès et de débauche. “Il vaut mieux brûler que disparaître”, écrivit Kurt Cobain dans sa lettre de suicide…. Tentations, dérives, dépressions, dépravations, la jouissance du succès précoce et l’extrême exposition médiatique ont été fatales à de nombreuses stars uniquement en cause du Rock… Même s’ils possédaient un ou plusieurs Hot-Rods, le Hot-Rodding n’a poussé personne au suicide…
Quelques exemples ? Amy Winehouse, Jim Morrison, Jimi Hendrix ou encore Brian Jones, toutes disparues à l’âge de 27 ans. Le destin tragique de ces jeunes artistes influents a poussé la société à s’interroger sur cette “malédiction” qui plane au-dessus des artistes en mal de rock’n’roll. “Je ne suis pas sûr que j’atteindrai 28 ans. Au moment où, musicalement je sentirai que je n’ai plus rien à donner, je ne serai plus de ce monde” disait Jimi Hendrix… Une rock star a plus de chance de se suicider que le reste de la population. Qu’il s’agisse des biographies de Jimi Hendrix ou du documentaire sur la vie d’Amy Winehouse, tous les documents relatant de leur existence mettent l’accent sur le quotidien dévergondé de ces musiciens passionnés, mais si fragiles face à l’alcool, la drogue, la luxure et la déchéance. Cette terrible tendance a poussé plusieurs chercheurs à s’intéresser au phénomène. En 2007 déjà, une étude menée par Mark Bellis de University de Liverpool et publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health, s’était penchée sur le taux de mortalité de 1064 artistes sélectionnés à partir du classement des 1 000 meilleurs albums (tous genres musicaux confondus) avant l’an 2000.
D’après les résultats, une rock star, qu’elle soit américaine ou européenne, aurait 2,5 fois plus de chance de mourir durant les 5 premières années de sa gloire qu’un citoyen anonyme. Le professeur Dianna T. Kenny de l’Université de Sydney, a avoué à OZY que “l’industrie de la musique est plus ou moins responsable de la mort de ses musiciens.” C’est en ayant étudié les histoires de vie de plus de 12.000 musiciens morts entre 1950 et 2014 qu’elle a fait cette regrettable conclusion. Selon elle, en plus d’avoir une durée de vie infiniment plus courte que le reste de la population, ces artistes seraient 5 à 10 fois plus susceptibles de mourir d’une mort accidentelle et 2 à 7 fois plus susceptibles de se suicider. Selon le professeur toujours, plus de 90% de ces artistes sont des hommes… Les paroles de certaines chansons évoquent des sujets brûlants comme le sexe, l’alcool, la drogue, la dépravation, la décadence ou l’argent, sans que les dangers liés à ces thèmes ne soient jamais mis en avant. L’industrie musicale encourage ce genre de direction et les jeunes en redemandent. “Dans la mesure où l’industrie de la musique encourage de tels messages et est complice de ce style de vie, elle valorise le comportement destructeur qui contribue à des taux élevés de dépression, de suicide et de décès parmi ses artistes” a déclaré Dianna T. Kenny.
“Avec le métier que je fais et l’industrie [économique] que je suis, il y a tellement d’occasions de sortir tous les soirs et de se fracasser” disait Amy Winehouse…D’où vient le goût du risque ? Comment expliquer ce flirt incessant avec le danger, ce besoin de tester ses limites ? Les biologistes qui étudient l’histoire de la vie ont créé le modèle évolutif r/K, une théorie qui explique l’évolution de la stratégie de reproduction des espèces et surtout, leur évolution dans l’environnement. Le modèle “K-sélectionné” par exemple, regroupe les espèces évoluant dans des environnements stables, qui s’investissent auprès de leurs petits comme la plupart des mammifères. Le modèle “r-sélectionné” en revanche, regroupe des espèces qui évoluent dans des environnements instables, au cours de circonstances imprévisibles et qui agissent souvent au détriment de leur vie, comme les insectes. Les humains intègrent généralement le modèle de K-sélectionné, mais sont également capables de se retrouver dans le modèle “r-sélectionné”, en aimant flirter avec le danger. Un certain nombre de déclencheurs environnementaux peuvent servir de déclencheurs, dont certains sont directement liés à l’histoire de vie d’un individu.
Selon Catherine Salmon, professeur de psychologie à l’Université de Redlands, un père peu investi auprès de ses enfants peut conduire ses progénitures à aimer prendre des risques lorsqu’ils sont jeunes et en quête d’identité. Selon le professeur, si un artiste devient une rock star après avoir atteint l’âge mûr, son comportement devrait être complètement différent… Voilà… Une fois que vous aurez repris votre souffle, il y a de fortes chances que ce Ford Highboy ’34 Coupe propriété de Jane Hopkins et ses amantes Daisy Hoolbrook et Vivan Gallore, vous donne quelques pulsions sexuelles… Jantes Halibrand en magnésium, 15po AV et 16po AR enveloppés de pneus Firestone Coker 500-15 AV et 1100-16 AR. Blower BDS 6-71 et quatre carburateurs double corps et V8 427Corvette LS avec pistons Wiseco 0.020-over, une came de meulage personnalisée Texas Speed et un kit de goujons ARP. Collecteurs Ultimate silencieux Borla ProXS. Transmission Gearstar Performance 4L75E avec convertisseur 9 1/2po Yank Performance.
Nous arrivons au bout du bout de cet article, j’en suis le premier satisfait mes Popu’s… Quoi encore écrire ? Ouiiiii, le tableau de bord… Il est équipé d’instruments Dakota Digital RTX-33F nichés dans un insert en aluminium. Rétroéclairage LED. Climatisation Vintage Air de BBT Fabrications et système de câblage Coach Controls. La banquette est une œuvre personnalisée sur mesure réalisée par Phil Cato de Cato’s Custom Upholstery cousue dans un cuir rouge. Le volant Sprint Car à quatre branches à dégagement rapide est fixé à une colonne de direction dédiée. Bien qu’il y ait beaucoup de brillance à l’intérieur, il ne vous faudra pas longtemps pour ‘additionner les coûts dont ce qu’il a fallu pour payer tous les chromes : châssis, moteur etc… Voilà, maintenant le bout est atteint, il n’y a pas de générique de fin comme pour les séries TV et les films, inutiles, puisque je fais tout moi-même, je suis d’ailleurs le premier à me relire à la recherche de fautes de frappes et de “bon Français” et retouches graphiques… Pour ce coup, quelques différences avec des incorporations de nananas dans les photos… A pluche…
2 commentaires
Maître, Je pense que le professeur Dianna T. Kenny de l’Université de Sydney qui a avoué à OZY que “l’industrie de la musique est plus ou moins responsable de la mort de ses musiciens.” livre une vérité partielle et arrangée. Son étude présente un biais de sélection : on met justement en avant ces individus car ils ont des comportements excessifs, dans les drogues, l’alcool mais aussi dans la production musicale. Ce qui est logique et cohérent ; ils courent après quelque chose, et cela peut se transformer en énergie folle ou en génie musical. Le vrai génie étant celui des producteurs qui arrivent à les faire tapiner et à leur prendre leur argent sans qu’ils ne sen rendent trop compte, tout en entretenant leurs fêlures et manques qui continuent à les faire courir. Le capitalisme, en somme… La même étude chez des boxeurs prouverait probablement qu’ils meurent plus jeunes que d’autres… mais qui aurait envie d’écouter du rock fait par un type équilibré qui boit de la tisane le soir à 22h et roule en Opel Corsa ?
Chercheriez-vous d’un air faussement innocent à me faire avouer que j’ai été possédé un temps assez bref par une Opel Manta GT/E ? Oui je le reconnais encore et plaide en décharge qu’elle roulait aussi mal avec son toit ouvrant manuel que ma Shelby GT-350 cabriolet électrique (la capote l’était, l’auto fonctionnait par floppées de 150 litres d’essence par sorties)… J’avoue tout… Même que si elle était rouge avec capot noir mat, l’habitacle de cette Manta était en tissus pied de poule. La salope a péri dans un frontal en démarrage d’un carrefour Bruxellois, brisant net tout espoir de déguster quoique ce soit de la boite de patisseries acquise…
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