Ford Model A Roadster 1929
La dernière fois que j’ai vu le Hot Roadster Model A de Tom Lieb, c’était peu avant le départ des incendies d’Hollywood. Entièrement en métal il était considéré comme le modèle A ultime, dépeint en exagérations diverses incluant quelques parts de gâteux concernant sa fantastique fabrication métallique par Jimmy Shine de “SO-CAL Speed Shop”, ainsi que les rares pièces vintage utilisées sur sa construction. Avec un point de vue unique : “Comment ont-ils fait cela ?”… Un commentaire que seules les pièces non peintes peuvent fournir. “Ce serait dommage de le peindre” affirmaient d’autres gens. Eh bien, cela devait arriver tôt ou tard et Tom a choisi de le faire 15 jours avant les incendies ou il a terminé sa course… C’était donc un Hot Rod magnifique.
L’équipe SO-CAL de Pomona, en Californie ayant réalisé un excellent travail de revêtement de tous les composants dans leurs couleurs respectives, en accordant une attention particulière aux pièces qui contrastent avec d’autres pièces. Et ce faisant, ce Hot Rod est devenu digne d’éloges. Mais on ne peut s’empêcher de penser que ce Hot Rod entièrement métallique, qui a attiré l’attention parce qu’il était ainsi exposé au monde, ne sera plus jamais vu, sauf comme ici en photographies. L’idée était de combiner des éléments de design associés à certains des grands véhicules carrossés de l’époque tout en utilisant toutes les meilleures pièces qui auraient été disponibles dans les années ’30 et ’40.
Le Roadster non peint a fait ses débuts au Grand National Roadster Show dans le cadre de la grande exposition que SO-CAL Speed Shop organise chaque année, et Tom a ainsi eu la chance de conduire son Roadster dans les rues de L.A… Le Hot Rod finie s’avérait être tout ce que Tom et SO-CAL recherchaient, assurés d’au moins quelques décennies d’existence avec Tom comme propriétaire. Et pffffff… Tout a cramé, même le studio photo… Il ne reste que ce que j’avais reçu… Pour ceux qui souhaitent voir quelques centaines de photos supplémentaires de cette voiture, à la fois dans sa version en métal non fini et dans sa peinture de finition, tout a disparu dans les flammes des incendies de Los Angeles…
Ca m’a dégouté et m’a remis en tête que ça fait 55 ans que je ne m’étais plus lancé dans un projet bien pourave tel que celui-ci pour tenter de sauver le monde du Kustom et du Hot Rodding Franchouillard qui périclite. Les bonnes idées et les bons billets si elles ne brûlent pas comme à LA, se font plus rares que les actifs propres dans une banque Monégasque. J’ai bien essayé de mettre au point un DAB (Distributeur Automatique de Bêtises), mais je n’ai pas le temps, trop occupé à ne rien faire. Je me suis donc gratté le crâne et c’est là qu’a surgit, tel un teub dans le string d’une brésilienne, l’idée de publier ce qu’on m’avait envoyé de ce Hot Rod et d’en extrapoler divers interviews…
Je ne savais pas quelle forme pouvaient prendre cette prévarication, mais, comme tout a cramé en Californie, il ne restait qu’à trouver le moyen d’en discuter sans verser dans les complaintes… J’ai résolu de jouer l’affliction… Vous me connaissez, en matière de mauvaise foi, j’ai un foie en béton et les reins solides, sauf les soirs de murges. Mais attention, je ne pose ni publie des questions bateaux à Saint-Tropez, mais des questions en rapport, style Yachts sans rococo’s et fanfreluches, que du trash, de la bonne bousasse. En général, je la vois venir de loin la bousasse quand j’ai le fond de la gorge qui cherche à recracher ce qui rentre par le cerveau, quand baigne mon pif au délicat fumet de la daubasse que j’ai fomenté moi-même, car j’ai un pif en béton.
Ce sont seulement de vraies questions qui donneront peut-être lieu à de vraies réponses, pas de langue de bois, c’est pas le genre de la maison et ça va se sentir… Et surtout pas de discours pré-vomi comme le dernier de mon voisin Bernard qui a la volonté de ne rien partager de plus qu’obligé… Va falloir, pour débusquer les internautes à 1 euro le premier mois et 5 euros chaque mois suivant, que ça saigne et que ça tâche, il en va de ma réputation jusque dans les soirées pétasses Saint-Tropéziennes à volonté. Pour arriver aux fins qui justifieront mes moyens, je vais utiliser l’éprouvée et éprouvante technique de la pêche à la grenade… Je balance un commentaire, je vois ce qui remonte au saut du lit, en marcel et slip kangourou, et je choppe ce qui dépasse.
S’il faut faire preuve de coercition pour arriver à faire cracher quelques lignes à certains, je sais y faire, j’ai ma technique, j’utilise un casse-pattes maison, du spécial, du redoutable, de l’Ukrainien, cirrhose garantie après 3 vers de ma composition, pour du spécial, c’est du spécial, ça met le foie en choux fleurs, après, on peut entendre pousser les granules. Pour commencer la série, je me suis envoyé un mail à moi-même, et j’ai répondu à mes questions de même façon qu’un Président Psychopathe Schizophrène Cyclothymique à tendances paranoïaques habitué des grands crus classifiés comme les affaires… Pour vous mettre en appétit et vous teaser un peu, je publierai mes questions et mes réponses en amphigouris…
Ce sont des texticules, volontairement obscurs, parfois burlesques, souvent absurdes, avec des idées sans suite, confuses et incompréhensibles, bref, du charabia tel qu’utilisé couramment en politique et dans les enquêtes judiciaires des gendarmeries nationales et dans les ordonnances de magistrat(e)s… Croyez-bien que j’en connasse un bout avec le vol de ma LéaFrancis au nom d’AXA. J’ai d’ailleurs écrit au CEO Monsieur Buberl avec preuve d’envoi, que comme je suis las des commentaires qui s’engouffrent dans les dédales sombres et agités qui mènent vers on se sait quel limbes dédiés aux commentaires abscons (avec cette particularité remarquable que ceux qui partent le plus vite vers ces néants sont les plus intelligents et les plus significatifs)…
Celui que vous lisez aujourd’hui est un charabia volontairement abscons dans le cadre d’un pathos pathétique, un exemple d’amphigouri parmi les plus remarquablement nuls de l’histoire des amphigouris lourds et ampoulés. Il faut que je reconnaisse que, haïssant les foules de gens et les gugusses qui les composent, je ne peux me réunir à plus de deux, mon fidèle Cocker Blacky inclus. A reculons, prenez cette affirmation avec précaution et sympathie, car je ne roule jamais en marche arrière sur l’autoroute, enfin pas en dessous de 2g… Donc prenez le mot sympathie dans son sens étymologique premier, à savoir la compassion. Toutefois je me suis quelquefois senti obligé de m’encanailler dans les affres de la Kustomization…
Je me suis souvent retrouvé avec des gars du cru s’enquillant godets sur godets, sapés comme des gravures de mode, à deux doigts des seins d’une intello très vindicative qui ponctuait ses gargarismes par des commentaires aussi niaiseux qu’imbéciles avant de faire ronfler sa gold… Tout ce beau monde s’arsouillant la glotte en face d’un présentateur d’émissions TV de chiottes ne rêvant que d’être ailleurs enquillant quelques hôtesses. Réaliser un reportage dans ces conditions relève du sacerdoce, c’est un peu comme écouter un discours du pianiste pénien Zeelinsky entre deux putes de BDSMTV réclamant quelques milliards de plus… Je suis limite “nervous breakdown” en ces cas, préférant m’éclipser.
Pour ce qui est des commentaires, sachez mes Popu’s que j’aime car abonnés, que c’est un peu toujours la même chose, ça manque d’acidité, c’est trop commercial, trop routinier… Nietzche disait que le positivisme était une pensée pour les sots, je partage assez l’analyse car quand on partage l’analyse, ça coûte moins cher… J’en viens à mon humeur : “Je hais les shows de bagnoles à-la-con, surtout les salons chics comme Rétromobile”… C’est le meilleur endroit pour choper un truc mortel. C’est pire que de traverser une fosse remplie de chacals. Ca me rend hypocondriaque, je somatise à la moindre occasion à faire alors qu’avant, je fonçais… D’expériences, j’ai appris que les Show’s sont les endroits où on risque le plus d’attraper une maladie contagieuse…
Comme faire une grosse dépression et sortir ruiné d’une mauvaise affaire. Que de l’écrire me donne des vertiges, des sueurs froides… Je tiens d’abord à préciser que c’est tout de même étonnant que ce soit justement ma LéaFrancis qui a été volée, comme par hasard, mais je dis ça je dis rien car c’est un complot prémédité titré : “The Dark Side of the AXA Moon”, le chef d’œuvre des Flamants Roses, une aventure chiante comme une pluie acide sur St Tropez alors que déboulent des vieilles retendues, liposucées, botoxées qu’on dirait des poupées en peau de zgeg, qui “pouffiacent” les fins de soirées pour se faire draguer par des vieux saouls comme des polonais qui se tapent mollement des putes ukrainiennes bourrées jusqu’à la chatte de cocaïne colombienne…
C’est pas pour moi, mais, je n’ose pas trop faire part de mes penchants de peur de perdre mes lectrices érotomanes internautes qui rêvent d’aventures sur des pages et des pages de logorrhées…