Ford Roadster’33 Street Rod
Le temps est venu de publier une digression sur le Hot Rodding, une catégorisation comme instrument de préservation ou de transformation politique du monde social concernant la question de la distribution asymétrique entre les membres de la société du pouvoir de définition des situations de la vie sociale et donc également celui d’énoncer les problèmes et de formuler les réponses inappropriées… Pour cela je m’inspire en particulier des deux cours que Harvey Sacks a consacrés aux Hot Rodders, qui renvoient à une pratique qui s’est développée aux USA fin des années ’40 et s’est propagée de manière exponentielle dans les années ’50 et ’60, consistant à modifier des automobiles d’avant-guerre de ’40 et d’y placer des moteurs V8 rendus surpuissants et disputer des courses automobiles en ville pour ensuite inviter des très jeunes femmes à des balades sexuelles réciproquement masturbatoires entre mineurs d’âge.
Cette pratique attirait donc l’attention de la police sur les conducteurs de ces véhicules que leurs transformations rendaient aisément reconnaissables. C’est moins de cette pratique et de son histoire dont parle Harvey Sacks, que des conditions d’accès et critères de reconnaissance de l’appartenance à la catégorie des Hot Rodders parmi les conducteurs de ces véhicules. Mais avant d’en venir à l’usage de cette catégorie spécifique et à sa dimension émancipatrice pour ceux qui l’emploient depuis bientôt un siècle par rapport à un certain ordre social, Harvey Sacks évoque un constat fait par les anthropologues qui concerne l’origine de l’appellation des communautés humaines. Celles-ci sont souvent communément dénommées à partir du nom que leur ont attribué d’autres ethnies, parfois rivales, pour les désigner à l’intention des non-membres et leur est demeuré attaché.
Ce nom est exprimé dans une autre langue que celle de l’ethnie dénommée. Les exemples sont nombreux de groupes humains dénommés par l’attribution d’une qualification, parfois infamante, énoncée dans une langue étrangère, leur identité publique se trouvant ainsi définie et contrôlée par des tiers qui éventuellement adoptent à leur égard une position d’ascendance ou de supériorité (morale, culturelle…) et qui se trouve par la suite reprise de bonne foi par d’autres. D’une manière plus large, ces questions se rassemblent dans celle de savoir qui a compétence pour spécifier qui est qui ? Répondre à cette question, c’est dire qui est le propriétaire de la catégorie. Ce qui donne au descripteur le pouvoir d’évaluer ce que les membres de la catégorie font et le sens qu’ont leurs actes de même que leur portée morale au regard de personnes façonnées par la catégorie et les prédicats qui leur sont conventionnellement associés.
C’est bien entendu la question du pouvoir de définition des objets sociaux et asociaux qui est en jeu ici, à travers l’évocation d’une conduite sociale et l’usage d’un mode d’évaluation de ce qui advient sous les accents d’une réalité reconnaissable par tout membre socialement compétent. Ce qui exclut de la communauté de jugement et de pratiques tous ceux qui ne s’y conforment ou ne la reconnaissent pas sous les traits sous lesquels elle est présentée comme étant incontestablement les siens et selon les méthodes et critères de désignation censément admis par tout un chacun. Corrélativement, l’émergence de manières d’être et de faire caractérisées de dissonantes au sein d’une situation ou d’une pratique sociale donnée, peuvent justifier d’accorder un intérêt particulier aux pratiques sociales qui sous-tendent les méthodes de membres participant à la réalisation ordonnée de ladite situation.
A cet égard, l’élément perturbateur constitue une occasion d’interroger la manière familière dont est structurée la réalité sociale sur les modalités et les effets de laquelle la pratique en question soulève un voile en ne s’y intégrant pas adéquatement et se donne ainsi à voir soit comme une source de désordre à laquelle il convient de remédier ou bien comme un analyseur critique voire une alternative possible dans la manière de la reconnaître et de l’expérimenter dans les situations d’occurrence naturelles de la vie courante. Les deux perspectives peuvent du reste cohabiter simultanément auprès de descripteurs et de publics représentant (ou se formant pour l’occasion) des points de vue et intérêts différenciés sur la question en débat. S’agissant des Hot Rodders des années ’50’60 évoqués par Harvey Sacks, période durant laquelle les Hot rods participaient de l’expression d’une contre-culture.
Il s’agissait de bricoler sa voiture pour accroître ses performances, avec des matériaux de récupération et beaucoup de système D pour organiser des courses et des paris sauvages. La question s’est posée, à ces époques, de savoir s’il fallait sévir… Et puisque oui, c’est alors la police qui fut sollicitée pour faire respecter le code de la route à une nouvelle catégorie de jeunes conducteurs soupçonnés de participer non seulement à des courses automobiles sauvages en pleine ville, mais à des pratiques obscènes de masturbations réciproques entre moins de 18 ans, ce qui en ces temps lointains ET au cœur d’une Amérique pudibonde, faisaient scandale… Une solution permettant aux Hot Rodders de pratiquer leurs distractions sexuelles et automobiles a amené des débats publics, les citoyens et les pouvoirs publics directement concernés furent appelés à composer avec ces pratiques;
Mais, telles qu’elles se présentaient, elles n’avaient pas leur place “naturelle” dans les lieux publics où elles se réalisaient. La solution politique recherchée visait alors autant à encadrer des pratiques pouvant comporter des risques ainsi qu’un relâchement des mœurs, qu’à surmonter les réticences et résistances que leurs exercices soulevaient dans une partie du corps social au point d’inciter celle-ci à considérer la sanction légale comme l’unique remède acceptable. Du reste, dès les années ’60 aux Etats-Unis des associations ont été créées ayant pour vocation de regrouper ces communautés, d’organiser les courses et de rendre plus sûres les innombrables baiseries dans des espaces adaptés. Des revues spécialisés ont alors également vu le jour tel le magazine Hot Rod… On peut dire qu’il incombait conventionnellement aux adultes de prendre soin des plus jeunes, et aux parents de s’occuper de leurs enfants.
Cette organisation correspondait alors à l’entrée dans l’âge adulte. La tradition remontait aux pratiques issues des travailleurs pauvres qui lors de la Grande Dépression des années ’30 se déplaçaient dans tout le pays à la recherche d’un emploi dans leurs truck’s/picks-up’s brinquebalants et qu’il leur fallait réparer avec les moyens du bord. Depuis, aussi bien les pratiques de transformation des véhicules que les baiseries ont bien évolué tandis que les puristes continuant de fabriquer leurs véhicules eux-mêmes avec des pièces et techniques anciennes ne constituent plus qu’une partie des pratiquants de cette activité devenue un passe-temps d’adulte et un commerce pour certaines entreprises spécialisées. La révolution a fait long feu. Cela n’invalide pas pour autant l’analyse de Harvey Sacks effectuée sur la base de conversations entre plusieurs jeunes gens pratiquant toujours le Hot Rodding, masturbations réciproques et baiseries.
Sur le plan de l’analyse de la manière méthodique dont les membres s’y prennent pour rendre l’organisation séquentielle et thématique de leur activité concertée observable et descriptible, elle demeure évidemment pertinente. Sur le plan empirique, l’analyse relève peut-être d’un moment particulier d’une société et de son histoire, capté au milieu des années ’50,’60 et ’70. La force distinctive de cette catégorie impose ainsi un certain nombre de devoirs à ses membres, y compris si le respect de ceux-ci leur vaut des désagréments, comme un contrôle routier (par exemple). Celui-ci est vu par les membres (turgescents) comme une forme de reconnaissance sociale de leur statut distinctif de “rebelles sans causes”, membres d’une contre-culture par les tiers et notamment par les forces de l’ordre qui contrôlent les Hot Rodder’s parce qu’ils sont des des Hot Rodder’s au volant de Hot Rod’s…
Et non pas des adolescent(e)s comme d’autres conduisant ou baisant dans une voiture ordinaire… La différence entre les deux catégories est que si tout ce qui concerne la catégorie “adolescent” est placé sous la férule des adultes, y compris, précise Harvey Sacks, ce qui a trait aux conditions requises de leur émancipation, en revanche, ces derniers n’ont aucune prise sur ce qui caractérise l’appartenance à la communauté des Hot Rodder’s, qui est une catégorie de collectivité auto-administrée quant à ses critères d’appartenance, ses règles de fonctionnement, sa culture, ses pratiques, les compétences techniques de ses membres, l’aptitude exclusive qui est reconnue aux membres de la communauté de pouvoir évaluer la qualité du travail réalisé sur leurs véhicules par leurs pairs, etc… Ce sont ces aspects de la catégorie qui assurent à ses membres l’indépendance de leur style de vie et la définition de leur identité sociale.
Cela par rapport aux non-membres et particulièrement à ceux qui ont le pouvoir de savoir qui ils sont et de quelle manière il convient qu’ils se conduisent dès lors qu’ils sont placés sous la juridiction de la catégorie adolescents. Ce qui vaut pour la paire adulte/adolescent, vaut également, précise Harvey Sacks, dans l’Amérique des années soixante, pour la paire raciale Blanc/Noir. Les membres de la première déterminent les traits constitutifs de ceux de la seconde. Là encore la discrimination qui accompagnait cette situation a donné lieu à une longue lutte pour l’émancipation de la seconde catégorie par rapport à la première et a été conduite à travers une revendication de l’égalité des droits et de dignité reconnus aux habitants des USA, quelles que soient leurs origines ou la couleur de leur peau en vertu de leur commune humanité : la catégorisation en situation de conflictualité : décrédibiliser l’adversaire !
Qu’en est-il maintenant des situations dont la conflictualité se manifeste autour de la divergence entre les comptes rendus qu’elles occasionnent quant à leur portée et signification ? Faire fi du point de vue du témoin oculaire : professionnel contre profane ? Dans diverses situations polémiques, caractérisées par la confrontation entre des points de vue divergents sur le bien-fondé d’une action, de ce qui l’inspire ou encore de son résultat constaté ou projeté, on a affaire à la question centrale de l’évaluation de la manière dont est représentée la catégorie concernée dans l’action située qui fait problème. A titre d’exemple, aussi longtemps que l’action des pouvoirs publics est présentée comme satisfaisant les règles de procédure démocratique et rencontrant les intérêts et préoccupations générales des citoyens ordinaires, c’est à dire ceux qui ne se positionnent pas sur le projet à partir d’options partisanes…
C’est à dire celles assimilables à autant d’intérêts particuliers, nourrissant des points de vue divergents de ceux qui inspirent les pouvoirs publics, ces derniers étant censés être animés par la quête de l’intérêt général, l’action politique conduite par les autorités et l’approbation supposée d’un large public constituent les deux faces d’une même pièce. Elle peut alors être vue comme la manière dont se présente la réalité sociale, malgré qu’on en ait, et donné à voir la critique du bien-fondé de l’action projetée ou accomplie, comme la réponse non préférée à la question soulevée. La dénonciation de la politisation supposée de la posture des opposants, présentés sous une catégorisation ad hoc évocatrice de leurs traits caractéristiques disjonctifs, est ce qui contribue à marginaliser la position critique dans le compte rendu qui est fait de la situation, en la donnant à voir comme non représentative, voire inacceptable.
Un sous-entendu pour tous ceux et celles qui partagent les mêmes valeurs qui se trouvent au fondement du vivre ensemble de la société en question. Il existe de multiples manières de décrédibiliser un point de vue ou une action qui ne va pas dans le sens attendu. Elles sont régulièrement l’objet d’études sociologiques et ethnométhodologiques. Considérons cette manière de décrédibiliser la critique qui consiste à renvoyer une description embarrassante au mode d’usage inapproprié des sources et à la formulation de son contenu par le témoin qui serait le fruit de la méconnaissance par ce dernier des détails précis de la procédure dont il rend compte alors de manière insuffisamment informée voire erronée sur des points cruciaux, ou encore qu’il ne voit tout simplement pas à l’œuvre dans la situation rapportée en dépit du fait qu’elle organiserait son intelligibilité pratique.
Cette façon particulière de restaurer le caractère régulier d’une conduite sociale controversée en relation à une situation dépeinte de sorte à donner à voir cette intervention, dans la description officielle qui en est faite, comme étant dans l’ordre des choses, sur la base de normes, règlementations, procédures d’engagement formelles, régulant l’action des forces de l’ordre. Ce faisant, elle projette des éléments attachés à la compréhension de la situation mais non observables dans le déroulement de celle-ci, dans la mesure où, selon le cas, ils la précèdent (une personne interpellée déjà connue des services de police pour d’autres infractions commises antérieurement) ou lui succèdent (la condamnation ultérieure par un tribunal de la personne interpellée sur la base des chefs d’inculpation qui lui ont été notifiés par la police au moment de son arrestation), qui font appel à des documents leur conférant un statut officiel.
Ce processus renvoie aux “réalités documentaires” qui sont l’expression de la réalité sociale telle qu’elle est interprétée et formulée par une institution donnée de sorte qu’elle soit gérable par elle et qu’elle reflète son activité. Toute cette activité et la connaissance, la circulation des ressources documentaires sur lesquelles elle s’appuie, contribuent à écarter tout naturellement la production d’un discours de vérité dans divers médias. Ceci est le cas en dépit des divergences de vue manifestes signalées et de ce qui les fonde dès lors qu’elles peuvent être réduites de manière convaincante à l’expression d’un point de vue isolé. Ceci nous amène à faire une remarque ; Tout s’arrête une fois les deux parties de la paire contrastive apparence/réalité remplies par la relation discursive appropriée à chacune d’elles, la seconde ayant, outre l’objectif de rendre compte d’un phénomène…
Celui de le faire en invalidant le compte rendu précédent auquel elle se donne clairement à voir comme un correctif… Ceci contribue à discréditer les témoignages. Or, le recours aux procédures pour décrire une action après-coup, est une façon de faire coïncider ce qui s’est déroulé sur le terrain avec une version des faits autorisée, à l’aide d’éléments formels, qui relève de ces réalités documentaires dont la production et l’utilisation à bon escient sont l’apanage des autorités. Toutefois, ce récit officiel n’est pas la description littérale de ce qui s’est produit. Elle est une action qui s’efforce d’apporter un point d’arrêt . La validité praxéologique des inférences faites par les participants de la manière dont leurs actions sont comprises et dont ils comprennent celles des autres est fournie par la capacité des protagonistes en relation à enchaîner sur l’activité des autres dans la poursuite d’une activité commune.
Ce présupposé de compétence partagée et de congruence des systèmes de pertinence qui sert de critère dans les situations de la vie courante pour distinguer le normal et l’anormal, l’acceptable et ce qui ne l’est pas, etc. afin de ne pas demeurer tributaire d’une identité catégorielle. La catégorie Hot Rodder a évolué d’un instrument de revendication de droits et d’émancipation de la part d’adolescents à l’égard des adultes et de l’ordre social qu’ils incarnent à leurs yeux, en une pratique de loisirs d’adultes voire en famille organisée autour de voitures largement modifiées par rapport à la version de série. Il s’agit de pointer une ressemblance de famille fondée sur leur capacité à transformer une vision de choses censée être établie et inspirer les pratiques sociales afférentes et à modifier le type d’action aussi longtemps que celle-ci est considérée relativement à son appariement à la catégorie idoine.
Le rôle de la génération de catégories alternatives prend alors tout son sens subversif ou au contraire conservateur vis-à-vis de la manière dont il convient d’envisager les choses dont on parle et que l’on accomplit sous un jour reproductible, standardisé, intelligible, etc. Ce qui nous amène à une perspective inspirée des paires ethnométhodologiques, de Livingston et Garfinkel qui articulent réflexivement la possibilité de reconnaître une activité et son objet à un usage méthodique situé entre une instruction (censée être dépourvue de contexte) et l’action adéquate (qui fournit à l’instruction un contexte d’usage), de sorte que l’instruction, à savoir la chose à faire, puisse être décrite et rendue reconnaissable dans et à travers les termes et formes même de l’activité qui est accomplie hic et nunc pour la réaliser. L’enjeu pour les Hot Rodders est donc maintenant de ne pas passer pour des adolescents attardés des années’50 et’60.
Il apparaît toutefois ici que l’enjeu est d’éviter que des tiers puissent construire des catégories divisant les participants, ce qui se traduit notamment par l’absence d’une instance représentative s’exprimant au nom du mouvement. En outre, l’enjeu du combat qu’ils mènent contre le système, indique que l’ambition de ce mouvement dépasse le cadre strictement local. Si la catégorie Hot Rodder est liée à un ensemble d’éléments de conduite et de pratiques sociales distinctives faisant délibérément rupture avec les propriétés conventionnellement attachées à l’activité qui consiste à voir en observant un membre de la société, une activité et des traits qui permettent de l’associer sans hésitation à la catégorie adolescent, les implications politiques de la mise en pratique de la différence entre droit de propriété et droit du commun engagée dans la définition d’une situation spécifique relèvent de processus de catégorisation.
Ceux-ci sélectionnent, englobent et agencent un ensemble de conduites, de pratiques, de principes, de normes, d’acteurs et de leurs identités sociales, etc., qui participent à l’expression du choix de sociétés alternatives que l’émergence d’un conflit révèle au grand jour. En ce sens, elles constituent un laboratoire naturel pour une enquête ethnométhodologique en matière d’action et de raisonnement pratiques calés sur la mise en œuvre dans les pratiques collectives et les institutions d’une catégorie-concept visant à l’émancipation sociale. Non pas que la catégorie suffirait à soi seule à transformer les pratiques et manières de raisonner existantes. Plus exactement, son usage soutenu aurait le mérite de montrer que des pratiques autonomes, inspirées par la perspective qu’elles portent et que ces pratiques institueraient, rendraient visibles l’écart et la promesse d’une autre manière de faire la société.
C’est ce qu’incarne le principe politique du commun, par leur singularité avec celles qui sont congruentes avec la logique du droit de la propriété, dont l’hétéronomie et la subordination qui limitent de facto les possibilités de développement d’un agir commun dans les activités humaines, quelles qu’elles soient. Voilà… Ce Hot-Rod Ford’33 est un Roadster à ailes intégrales qui a été remis à neuf et modifié par le garage Hot-Rod-Machine d’El Sobrante, en Californie, en 2012. La carrosserie en acier est finie en vert Brewster avec des ailes noires et est montée sur un châssis en caissons sur mesure qui a été équipé d’un essieu Super Bell chromé surbaissé. La puissance provient d’un V8 286ci à tête plate de équipé d’un collecteur d’admission et de culasses Offenhauser ainsi que d’un boîtier de filtre à huile “ruche”, de triples carburateurs Stromberg en’97 et d’un double système d’échappement.
Parmi les autres détails, je vous cite une sellerie en cuir bordeaux, des jantes à rayons de 16 po décalées montés de pneus Firestone à flancs blancs de 4,50/4,75 à l’avant et de 6,50 à l’arrière, des freins à disque Wilwood avant dissimulés, un essieu arrière à changement rapide Halibrand et une transmission manuelle à trois vitesses. La voiture a reçu une 1ère place au Grand National Roadster Show 2019. Le volant peint à trois branches encadre un compteur de vitesse Peterson et des compteurs auxiliaires pour la pression d’huile, la température du liquide de refroidissement et la tension de charge. Voilà, voilou etc… L’article se termine, vous allez pouvoir y réfléchir, le relire et “en causer” avec d’autres pour savoir à quel niveau, à quel barreau de l’échelle, vous vous situez afin d’en causer encore et encore… @Pluche…