Ford-T-Bucket-Blower’23
Force m’est de constater, sans l’admettre, que la langagière du Kustom et du Hot Rodding utilisée en Franchouille, est vraisemblablement issue d’érudits ayant pratiqué la langue de bois ainsi que divers patois locaux assortis du Verlan des débuts de l’automobile, mais également inspiré du Kokborok parlé dans l’État du Twipra et ses régions adjacentes. Le résultat qu’on tente de déchiffrer dans les réseaux asociaux sur les pages dédiées à la Kulture du Kustom, constitue un objet de recherche du point de vue de disciplines variées, comme les sciences de l’histoire… Oui… Bof ! Dur, mais pas bandatoire tout cela…
Mais ce sont surtout les journaleux nitromaniaques qui se consacrent à son utilisation… Ouiiiiiiii ! Car depuis les années 80′, les Kustomeux s’intéressent à la problématique de l’interprétation de “Qu’est ce que le Kustom et le Hot Rodding adaptés aux variables Frenchies” ?. Je réponds que cela appartient au sous-groupe Bodo-garo qui comporte plusieurs dialectes, le plus divergent étant le Riang, également appelé Bru, qui est une langue de transition influencée par le Tripura-agartala… Kokborok signifie en effet “la langue (kok) des êtres humains (borok)”. Le Kokborok étant étroitement lié à la fameuse langue de bois…
C’est celle qui est largement répandue dans les administrations Françaises dédiées à entretenir un dialecte avec les natifs et natives. Sont également utilisés le Bodo-garo et le Garo-koch pour rendre toute compréhension quasi impossible aux gens du peuple dans le but que le sens général doit être deviné par les locuteurs courants, en particulier entre les variantes que sont le Kokborok, le Dimasa et surtout le Boro utilisé dans la précédente mouture qui précédait la réforme du “Code basique de l’incompréhensible”, utilisant les quadruples sens et le principe de la double négation. Le piège piégeux imparable !
C’est une astuce pour parvenir à établir des avis ayant le moins de sens possible, personne ne se doute qu’une double négation est en réalité une non-négation positive, c’est donc un système redoutable qui fut principalement utilisé pour justifier l’attribution des “prix de beauté” dans les concentrations de tentes de camping et de Van’s, “cul par dessus tête”. Mais qui l’est aussi dans les Cours et Tribunaux de Justice pour faciliter la délivrance de “Non lieu à poursuivre” pour protéger certains ami(e)s et s’éviter trop de travail… Beaucoup d’efforts ont été déployés pour approfondir et bétonner ce système.
C’est surtout en favorisant des contacts plus étroits entre sexes divergents sous exception du transgenrisme et de la gérontophilie dite “Elyséenne”… Là, c’est préconisé et utilisé en très haut lieu, dans les cercles asociaux supérieurs gouvernementaux, tandis que la paysannerie qui est exclusivement rurale reste monolingo-sexuelle, abreuvée de football et autres “conneries” (en français dans le texticule). Les cercles Elyséens ont maintenu des relations étroites et souvent fusionnelles avec divers d’entre-eux-et-elles-mêmes, pour dominer notre Franchouillerie incapable d’assimiler les complications apportées.
Pratiquement tous les nitromaniaques devaient en effet utiliser le Kokborok Franchouillé pour éviter des retours les excluant de toute présentation, ce qui aurait pu “spatuler” les Cours de recours et Tribunaux. Certains ont toutefois tenté de stopper la Kokborokation par des actions malhonnêtes provenant de quelques mécréants putrides qui, pour tromper la religion des rares intègres (les manipulables souvent volontairement étant co-responsables des faits qui devaient être sanctionnés), tentaient de résister à cette influence menaçante qui empêchait de rétablir les vérités vraies et donc de jouir de rentrées CA$H.
Cela s’inspire des langues des zones rurales, où l’agriculture itinérante est encore vivante. Les chants traditionnels qui lui sont liés, sont toutefois trop sensiblement différents du parler nitromaniaque, pour établir une Kokborokisation générale. De nombreux articles truffés de nombreuses phrases très pittoresques finissaient en effet à ressembler à de la poésie dadaïste expérimentale (divers exemples ont été donnés dans divers texticules qui ont de ces faits, laissés des traces). J’ai pu obtenir des informations de première main sur les méthodes employées pour décourager les populations plus classieuses.
Ce sont celles ayant optés pour le renouveau numérique de www.ChromesFlammes.com, qui n’utilise pas le dialecte Kokborokien pratiqué dans divers clubs et par les sexuellement déviants, quoique y référant. Un écho de la compréhension de mon désarroi m’est revenu telle une torche allumée dans la Caverne de Platon… Dument déconsidéré le Kokborokien Customiaque se devait de donner diverses instructions… Mais TEL NE FUT PAS LE CAS par mensonge puisque divers impétrants ont donné ordre de tout classer sans suite en fournissant un faux motif… On ne sait si c’est corruptif…
De la à imaginer un “Pourquoi ?”… Mais il sera sans douté évoqué que rien n’a été préalablement traduit en Kokborokien, permettant aux “pratiquants” adeptes de persévérer dans leur quête Je n’ai malheureusement pu recueillir que des informations de seconde main sur les dialectes internes qui sont différents entre orientations politiques. Un atlas linguistique classifiant chaque zone parlant le Kokborok serait nécessaire. Ce dialecte étant pratiquement inconnu. Selon divers érudits, c’est déroutant car pouvant remettre en question jusqu’à la continuation du Kustom et du Hot Rodding en Franchouille…
Pour illustrer ce texte et rendre le tout totalement incompréhensible mais malgré-tout de haute volée littéraire, sachez qu’analyser le Hot Rodding n’est pas beaucoup plus simple que de décrire scientifiquement un authentique Hot Rod reconstruit… Ce T-Bucket sert donc de base, mais celui-ci a quelques extras qui le rendent unique. Ce Hot Rod’23 est propulsé par un V8 350ci suralimenté par un compresseur. La puissance ainsi obtenue passe aux roues arrière par l’intermédiaire d’une transmission automatique à 3 vitesses GM TH350. L’énorme compresseur Weiand étant alimenté par deux carburateurs Holley 4BBL.
Cela donne à ce T-Bucket le look classique d’un “T”. Un pont/différentiel (forcément arrière) est un IRS provenant d’une Jaguar XJ12 volée et démantibulée… Cela aide à transférer la puissance sur la chaussée par l’intermédiaire de pneus Mickey Thompson Sportsman, très charnus à l’arrière. Ce High Boy “T” est réservé aux mauvais garçons disposant d’une sérieuse motivation à l’entre-jambe ! À l’intérieur, vous trouverez l’omniprésent levier de vitesses à cliquet B&M QuickSilver, ainsi qu’un ensemble complet de jauges Equus rétroéclairées derrière le volant cerclé de bois. Voilà, je fatigue et je stoppe ici… @ pluche..
2 commentaires
Borok rango, baijing sikhung, swngwi dan gwi bikhami mwsang dan arw khoru. Corruption arw prostitution bikhami mwsang thaithai thangthaini khatung khorbar. Bru rw Kokborok nai, thaithai rangbor faidi, nai thaithai bikhami mwsang phagwn bibil thang lawta nai. Nai, nai rang nai faidi faima thangkhang nai rang sikhani thangnai thaima nai nai nai kwthar nai. Swngwi nai nai thaiphai nai rang nai praya rang thangswi nai nai swng khor phawr nai rang kwthar nai nai dan nai nai.
Tai sang nai swngwi nai message khoro thani nai nai borkhung nai swng borkhung nai thaithai phagwn,
A vrai dire/écrire, je reconnais votre style sous cette forme d’exclamation différée destinée à marquer votre interpellation de manière à ne pas heurter la subtilité sous-jacente de votre interaction certes positiviste, mais désordonnée dans son sens second qui en laisse comprendre l’exact contraire de l’énoncé originel amputé des racines adéquates permettant d’en retirer la substantifique Moelle. Soyez remercié pour cette hardiesse d’esprit extraite d’un dialogue d’un aveugle à un sourd muet malentendant d’origine indéterminée. Je m’évertuerais d’en réassembler la genèse inversée dès que possible. Soyez remercié…