Hot Rod Ford’32 331ci Hemi
Les Russes et les Américains ont la même approche pratique dans leurs choix de vivre : Être cool, refuser de se faire chier par des pantins rigolos comme les clowns de BDSMTiVi, avoir un bon job/business, un vrai leader charismatique qui en a dans le pantalon, une super nana et une vraie famille… Ok pour défendre le drapeau si c’est fondé contre les “Enturbannés” et les “Ennemis de la nation”… Les Russes et les Américains sont pareils, presque frères, chacun chez soi et bonjour chez vous. Poutine et Trump même image, fortes grandes gueules qui n’hésitent pas à y aller… Presque le même dieu… Les uns, les autres, me voyant Français, font la grimace qu’on a voté pour un homo-gérontophile déviant transgenre… et boxeur amateur… Affligeant… D’un coup c’est comme si les fameux légionnaires portaient un Tutu rose… Ca devient de plus en plus dérangeant… L’image de la France en prend plein sous la ceinture… La honte !
Qu’en plus, le Hot Rodding est interdit en France par le même hurluberlu, c’est direct l’incrédulité… Il nous reste les 24h du Mans pour faire remonter l’estime… Notez qu’avec les vaccins destinés à dérégler la médecine et enrichir les labos et les décideurs, l’économie à grââââve dézingué, les vieux aussi, le businesse pire… En Presse tout est calculé pour que les milliardaires rachètent tout, dernièrement Paris-Match par Bernard Arnaud (1 milliard et demi), alors que tous les magazines imprimés sont confrontés à une gigantesque baisse de la demande. Les coûts de production et de distribution des mag’s imprimés ont plus que doublés, difficile de maintenir les publications… Avec des réglementations environnementales de plus en plus strictes, comme l’interdiction de la vente de voitures thermiques pour 2035, les gens sont chamboulés de leurs certitude et cerise sur les gâteux, les réseaux asociaux vampirisent tout…
Tout ça pour amener à une guerre en Ukraine qui s’étendra à l’Europe, aussi inutile que toutes les précédentes… Sauf que pour celle-ci la réalité c’est le prétexte de DONS de fausses charités par milliards de Dollars et/où d’Euros, ristournés à 50% aux donneurs (de leçons) sur des comptes off-shores… Indétectable ! Quoique, ça aide au chantage pour que ça dure toujours… Le réceptionnaire est un spécialiste… La Criminalité aux plus hauts niveaux… Voilà le tableau tracé… L’Union Européenne maffieuse à grands pas !!!! Je ne crains rien, d’abord je suis “LA PRESSE” et ne suis pas tenu de dévoiler mes sources… Ensuite, question business, je suis le premier a avoir amené les Hot-Rods ainsi que les Dragsters au Mans et en Europe, puis jusqu’en Russie. Avec mes Chromes&Flammes je suis comme un Prophète-Messager, j’ai mes Fan’s dans le monde entier, j’emmerde tous les autres… Qui m’aime me lise…
Si je râle c’est que je vieillis trop vite… J’en suis à combien avec cet article ? 4.100 depuis 1997, c’est environ un article chaque 2 jours/nuits durant 27 ans, environ… Parfois plus ou moins… OK, un peu de repos… Pas d’erreur de calcul ? 2.000 euros l’article ? Les abonnements numérique… et avant ça 500.000 exemplaires en 5 langues/éditions version “papier”... Des USA à la Russie… Qui a les clefs ? Parti pour un tour du monde sans date de retour programmée… Cooltitude ! Voilà, je suis déjà de l’autre coté du monde… Clic.. Clic… Costa Mesa est une ville située dans le comté d’Orange en Californie, connue comme la “ville des arts”. Elle offre une scène dynamique des arts du spectacle, ainsi que des expériences de shopping et de restauration de premier plan. Entre Los Angeles et San Diego, Costa Mesa est proche de l’océan Pacifique et constitue un point de départ idéal pour explorer les trésors côtiers de la région.
La ville est célèbre pour ses centres commerciaux, notamment le South Coast Plaza, réputé pour sa grande concentration de marques de luxe. Les amateurs de cuisine y trouveront une variété de restaurants primés, y compris le Taco María, un restaurant mexicain étoilé au guide Michelin. Pour ceux qui s’intéressent aux arts, une visite au Segerstrom Center for the Arts est incontournable. Ce centre des arts du spectacle accueille des artistes renommés, des comédies musicales de Broadway, des concerts et des spectacles de danse. En résumé, Costa Mesa est une destination de choix pour le shopping, la gastronomie, les arts du spectacle et le Hot-Rodding… La Californie est en effet souvent considérée comme le paradis des Hot-Rods pour plusieurs raisons historiques et culturelles… Vous suivez ? J’énonce ? OK ! Lisez la suite…
Le climat chaud et sec de la Californie est parfait pour préserver les voitures de la rouille et pour profiter de la conduite toute l’année. La Californie a une longue histoire d’amour avec l’automobile, et cela inclut la culture des Hot-Rods qui a commencé fin des années 1940. Les plages de Californie ont été parmi les premiers endroits où les courses de Hot-Rods ont eu lieu. La proximité de Hollywood et son industrie du divertissement ont contribué à populariser les Hot-Rods à travers des films et des émissions de télévision. L’esprit d’innovation de la Californie s’étend aux Hot-Rods, avec une abondance de magasins spécialisés dans la personnalisation et la restauration de ces véhicules. Ces facteurs combinés créent un environnement où la culture des Hot-Rods peut non seulement survivre mais aussi prospérer, faisant de la Californie un lieu de prédilection pour les amateurs de ces véhicules personnalisés.
Vous voulez en connaître plus ? Rien de plus simple, je fais même le guide… Par exemple, le South OC Cars and Coffee, est le plus grand rassemblement hebdomadaire de voitures en Californie, attirant une variété de véhicules, surtout des Hot-Rods. Cet événement se tient tous les samedis à San Clemente. En outre, le Quarantine Cruise a lieu chaque mois, une grande variété de Hot-Rods, s’y rassemblent pour une parade sur la Pacific-Coast-Highway, débutant à SOCO et The Mix à Costa Mesa. C’est là qu’un simple coup d’œil au Hot-Rod de Steve Harvey natif de Costa Mesa, en Californie, a créé un super clic de sympathie… Il voulait depuis toujours réaliser un Hot-Rod sur le thème du milieu des années ’50 construit dans son propre garage. Son objectif était de créer un Coupé Ford Highboy ’32, son expression finale avec un V8 331ci Hemi Power… Je lui ai offert un article “soigné” avec de belles photos.
À écouter Steve, j’ai appris qu’il s’est appuyé sur ses expériences de toute une vie avec toutes sortes de Hot-Rods, du drag aux courses sur lacs asséchés. Et comme beaucoup d’entre vous, mes Popu’s qui lisiez Chromes&Flammes, il comptait sur les magazines et livres traitant des Hot-Rods pour qu’ils apportent “la nourriture nécessaire” pour attiser les passions. En parcourant les magazines, il s’est tourné vers les tendances des années ’40 aux années ’60. Un small bloc Chevrolet ou un Hemi, un intérieur Tuck ‘n’ roll dans les couleurs emblématiques (du noir ou du blanc), d’un échappement externe, de jantes et pneus appropriés et d’une peinture métallisée ? Et, bien sûr, le toit “Top-Chop” obligatoire, les ailes “jetées” et un “râteau” correct. Tout Hot-Rod peut être fabriqué ou perdu en fonction de sa position et de son apparence…
-“Ce sont les détails ajoutés qui font le Hot-Rod fini. Un exemple sont les couvercles de soupapes qui sont tournés à la machine comme ceux d’un moteur Mercedes 540K, Talbot-Lago ou Delage des années ’30. Même les supports de câbles de bougie sont calqués sur ces moteurs classiques. Le style des sièges est inspiré d’une Nash-Healey ’53 avec des coutures en losange. Du véritable tapis anglais en laine Wilton avec passepoil typique d’une Rolls-Royce. Même le motif des évents de la plaque d’appui de frein est inspiré d’une voiture de Grand Prix Auto Union. La majeure partie de l’influence est venue des premiers Hot-Rods. Telles les persiennes pour le haut du capot (Louvers) telles que positionnées sur le Coupé Lloyd Bakan… les feux arrière Chevrolet ’41 du Roadster Ray Brown… les boulons des capuchons de biellette de direction du Roadster Jim Khougaz ’32 et les échappements du roadster Doane Spencer ’32″….
De tous les châssis qui existent dans le monde des Hot-Rods, aucun autre n’a la beauté naturelle de la Ford 32. Directement sortie de la tête d’Henry Ford, la Deuce est sans doute l’une des plus frappantes et elle découle de la “ligne de beauté” qui court le long de sa section médiane. Lorsque les ailes et les marchepieds sont en place, on ne voit pas cette attraction naturelle mais une fois supprimés, comme dans un Coupé Highboy, la marque de beauté se révèle… Steve s’est tourné vers “Blackboard Hot Rods” pour leur châssis Deuce modifié basé sur des rails de reproduction d’ American Stamping Corporation (ASC) avec l’utilisation de traverses avant et arrière style modèle A. Historiquement, les traverses du modèle A sont utilisées pour permettre aux ressorts à lames transversaux de s’asseoir “plus haut” dans le châssis, ce qui donne une position globale plus basse !
Les rails eux-mêmes sont encadrés, par un X Ford ’36, les cornes du châssis avant sont inclinées et l’arrière des rails est surélevé pour correspondre à l’arrière de la carrosserie. La suspension est basée sur un essieu abaissé original de 4 pouces Ford ’32 d’ Anson Axles , rectifié en douceur et culminé par Steve. À partir de là, les axes 37-41 sont utilisés avec des freins de camion Ford de 12 pouces et des tambours de frein de style Lincoln avec des trous d’aération usinés dans les plaques d’appui. La direction est assurée par un boîtier de direction de camion Ford F1. Les amortisseurs sont les tubes chromés traditionnels avec cache-poussière directement de SO-CAL Speed Shop . La suspension arrière est basée sur une extrémité arrière Winters Quick Change avec des cloches d’essieu Ford ’36 et des essieux avec un rapport global de 3,78.
Un ressort à lames transversal modèle A, d’autres amortisseurs à tube chromé SO-CAL Speed Shop, un ensemble personnalisé de bras oscillants Ford ’36, une barre stabilisatrice Deuce Factory de 1 pouce et une barre Panhard personnalisée sont également utilisés à l’arrière. Les freins arrière sont basés sur la Ford d’origine ’40 couplée au frein électronique qui l’accompagne. Les freins sont actionnés via un maître-cylindre à double réservoir Mustang avec une valve d’hélice en ligne conçue pour l’utilisation des freins à tambour. Un pédalier Ford ’36 est adopté sur le châssis Deuce. Steve Biermann, l’un des amis de Steve, a aidé à “suspendre” l’arrière, à aligner l’avant et à effectuer divers travaux de soudure. Conformément au thème du Hot-Rod du milieu des années’50, l’utilisation de pneus Steelies est indispensable.
À l’avant, des Steelies Ford 16 × 4,5 avec des enjoliveurs à lettres Ford sont utilisés, ainsi qu’à l’arrière des jantes de 6 pouces de large avec des enjoliveurs. Le caoutchouc provient de Coker Firestone ce sont des nervurés 5,00 Dirt Track Specials à l’avant et 8,90 Dirt Track Specials à l’arrière… Steve, il a opté pour une “cloche allongée” de 1953 (’51-53). Squeak’s Metalworks s’est occupé du soudage spécialisé sur l’entrée de remplissage du réservoir d’essence (La cloche allongée provient de la partie allongée du boîtier de cloche qui sort de l’arrière du bloc. Malheureusement pour les Hot Rodders, l’extension fait saillie dans l’habitacle et mange l’espace au niveau des pieds.)… Le moteur Hemi en dispose de pistons Ross 10,5: 1, de cames de course Isky , de têtes d’origine retravaillées, de boulons ARP, d’un ensemble de soupapes Rocker Arms Unlimited et de couvercles de soupapes lisses Hot Heads.
L’apport est unique car il s’agit de l’un des apports à quatre corps Cunningham ’52 fabriqués par Briggs Cunningham en Floride. C’est rare !… Il y a quatre carburateurs Zenith à aspiration descendante de la série 128 et des tubes de filtre à air faits maison en acier inoxydable de 1-3/4 pouces avec des sommets évasés et des écrans voués, avec une tringlerie et un montage Cunningham d’origine qui contribuent tous aux 370 chevaux. Le système de carburant utilise une pompe à carburant Holley rotative et des tubes de filtre à air faits maison en acier inoxydable de 1-3/4 pouce avec des sommets évasés. L’allumage de la charge de carburant est une magnéto Scintilla originale et reconstruite avec un allumage Mason Racing et une batterie Extreme Odyssey . À la sortie de l’évacuation du combustible se trouvent des collecteurs personnalisés deux en un en tube d’acier de 2-1/4 pouces (comme Hedman Hedders).
Ensuite, un tube d’arbre de transmission intérieur Ford ’36 divisé. Sous les tuyaux d’échappement passent par une paire de silencieux Glasspack ronds MagnaFlow de 4 pouces . Les autres accessoires du moteur incluent une pompe à eau Chevy à petit bloc en aluminium via un adaptateur de couvercle avant Hot Heads et un alternateur Powermaster PowerGEN (apparaissant comme un générateur). Le déplacement de la puissance vers l’arrière est une transmission BorgWarner T5, fixée à un premier adaptateur de transmission Hemi en aluminium Wilcap . Un volant d’inertie réduit de 13 livres pour camion Dodge est utilisé conjointement avec un disque Chevrolet de 11 pouces et une plaque de pression avec un roulement de débrayage hydraulique Tilton . Un arbre de transmission Inland Empire Driveline personnalisé est utilisé dans le cadre du mouvement de puissance vers l’arrière…
Le système de carburant utilise une pompe à carburant Holley rotative et des tubes de filtre à air en acier inoxydable de 1, 3, 4 pouces faits maison. La carrosserie du coupé Deuce à trois fenêtres en acier est une Brookville Roadster coupée de 3 pouces à l’arrière et de 3-1/2 pouces à l’avant. Tout le bois nécessaire a également été fourni par Brookville Roadster. Le capot et la calandre (remplis et culminés) sont d’origine Ford 32 avec 36 persiennes personnalisées de 3 pouces percées dans le haut du capot. Les coutures de la carrosserie et les interstices des portes ont été gérés par Ron Lindeman tandis que Hollywood Hot Rods s’est occupé du pare-feu, il ressemble donc à un Deuce original. Hollywood Hot Rods a également ajouté un pouce de métal au bas du tableau de bord, il s’agit d’un tableau de bord coupé Ford à trois fenêtres avec un insert tourné par moteur.
Il y a aussi un pack de six jauges Stewart-Warner de la fin des années 40 (2-5/8 pouces) qui ont été reconstruites par Bruce Abbott d’ Abbott. Restauration des instruments. Le câblage requis a été réalisé par Mike Swan à l’aide d’un harnais en tissu entièrement ciré sur mesure. Sous le tableau de bord se trouve une colonne de direction personnalisée fixée via une colonne de fixation pour « gros camion » Ford ’37. Le volant lui-même est un Lincoln Zephyr 37 original refondu produit par Quality Restorations Inc. avec un bouton de klaxon fait sur mesure par Steve lui-même… Milton’s Auto Upholstery a pris le châssis de la banquette d’origine, a refait la mousse, puis l’a recouvert d’un cuir de couleur kaki tandis que de la laine Wilton avec passepoil en cuir pour la moquette. La garniture de toit est fabriquée à partir d’une laine de couleur beige. Aux sièges s’ajoutent une paire de ceintures abdominales de compétition de 3 pouces.
D’autres équipements intérieurs incluent des poignées et des boutons de fenêtre et de porte Ford ’37 avec des accoudoirs de porte Ford ’51 ainsi qu’un levier de clignotants sur mesure fabriqué à l’aide d’une lunette de boîte à gants Ford ’39. Steve m’a dit : “C’est un accélérateur original que j’ai modifié à la suite d’un article lu sur Hot Rod des années 50 montrant comment déplacer l’accélérateur de la traction du côté gauche à la traction du côté droit”... Gary Hudson a également contribué à l’assemblage général et Squeak White de Squeak’s Metalworks s’est occupé du soudage spécialisé sur l’entrée de remplissage du réservoir d’essence, le capot et les extensions de calandre inférieure. Ensuite, Tom Rodriquez Sr. de Cypress Auto Body s’est occupé de la carrosserie et de la peinture orange Valspar correspondant à une Bugatti ’31 de l’ancienne collection automobile Peter Mullin à Oxnard, en Californie.
Construit “At Home” et honorant les rêves de toute une vie, Steve s’est fabriqué un Hot-Rod Coupé Ford Highboy ’32 qui coche toutes les cases : “Les modèles emblématiques pour moi sont soit le Roadster Ford 32, et le Coupé trois fenêtres avec un toit surbaissé, le highboy (sans ailes ni marchepieds), des jantes en acier avec un essieu surbaissé, un système de transmission rapide, un capot à persiennes et l’un des trois moteurs Hot-Rod classiques : Ford Flathead, Chevrolet 265/283/327ci ou Chrysler 331-392 Hemi”… Voilà, je suis arrivé au bout de l’article, pile-poil dans les temps et à la bonne longueur de texte… Nanana plus rien à raconter…. N’hésitez pas à communiquer votre enthousiasme en déposant un message ci-dessous, j’y répondrais avec plaisir sans même vérifier si vous m’avez fait un don via le système Pay-Pal mis en place dans ce but… Revenez-vite…