Hot-Rod Ford’32 Coupé Three Windows “Retrospect” 200.000 US$ !
C’est par son prix estimé que ce Hot-Rod interpelle. 200.000 US$ ce n’est pas rien mais ce n’est toutefois pas grand-chose avec un certain recul. Pour vendre un objet unique, un seul acquéreur suffit. Nul besoin d’obtenir préalablement l’assentiment des masses qui ne méritent pas plus d’intérêt qu’elles n’en donnent aux choses des autres ! De toutes façons, la gratuité ne vaut rien, alors que, par contre, la quasi-gratuité signifie qu’en quantités industrielles l’impression du bon-marché à l’unité se transforme en multiplications de quasi-riens qui comme des grains de sable deviennent une montagne… Ne me demandez pas d’écrire basiquement des textes basiques destinés à des lecteurs basiques, ils disposent du prémâché merdiatique privilégiant les légendes-photos et/où les commentaires ânonnés des infos TV en continu ! Ils ont déjà beaucoup de difficultés à suivre, préférant se retrancher sur les soirées “CBTF“, Chips/Bière/TV/Football en poussant des beuglements.
Le monde onirique dans lequel j’évolue est absolument clos et pourtant mon univers est infiniment ouvert. Il fallut que la libre intuition se manifesta en moi, pour que j’atteigne la complétude. En effet, après une longue gestation le cordon ombilical fut sectionné, suivit un mouvement de torsion de ma section à 180° et, finalement soudé à mes deux extrémités, j’arborais ma forme dynamique infinie : Un ruban de Moebius, qui se compare au nœud borroméen. Cette bande qui n’a pas d’envers, donc l’endroit continue l’envers et inversement, permettant d’évoquer inconscient et conscient, mais aussi réel et virtuel, tous intimement liés. Le ruban de Moebius, comme le rêve, est un espace de liberté et d’interrogation, il n’a pas de bord, une seule face, un seul côté, interface et intercession. Continuité et passage. Les bords infinis du rêve. Le rêve équivoque, on veut le séparer du réel, le distinguer. Mais peut on distinguer le rêve du réel ? A quel moment le réveil se distingue-t-il du rêve ? Le rêve nous ramène du côté de l’entrée dans la vie, c’est une intelligence du monde…
L’illusion est mère de tous les états de conscience… Evoluer en toute liberté dans le ruban de Moebius qu’est le monde, c’est permettre au rêve d’ouvrir toujours la possibilité d’un avenir. Vivre l’intemporalité est donc une question de double sens (ce qui en est un !). Dans cette course impromptue, le rêve est réel et le réel est un rêve. Pas de vie humaine sans rêve et pas de jour sans souvenir de rêve. A l’état de veille, rêve et réalité s’entremêlent dans une action discontinue. Le rêve est prisonnier d’une réalité qu’il reconfigure. Les grands rêves traumatiques s’invitent et le cauchemar fracasse la vie du rêveur. Vice-versa, le rêve nous invite aussi à sortir d’un trauma… Le rêve est intemporel, c’est un signal. Rêver, c’est mettre la raison en sommeil. L’interprétation des rêves fascine depuis la plus profonde antiquité, la grille de lecture ainsi offerte est un immense creuset, un réservoir sans fond, le vivier du collectif humain. La puissance poétique de mes rêves n’est d’ailleurs pas pas entamée par le désir de les analyser.
J’ai mêlé intentionnellement la volute de Moebius à l’évocation de la liberté selon Eluard, au mélange ludique du réel et du rêve. Le ruban référentiel, par l’interrogation qu’il suscite, nous engage dans un rêve éveillé. Cette volute magique n’a pas de bord, possède une seule face, un seul côté. Interface et intercession ! Le rêve est-il réflexion et processus d’intercession, de continuité et de passage ? Où sont les bords infinis des rêves. Partout ? Nulle-part ? L’équivocité semble de même nature. On voudrait séparer le rêve du réel, le différencier, mais nous est-il possible de distinguer le rêve du réel ? A quel moment le réveil appartient-il toujours au rêve ? Le rêve nous ramène du côté de l’entrée de la vie, le rêve est une intelligence du monde, tout l’art est d’en saisir le sens… Voyez où nous en sommes depuis presque toujours ! Dans une médiocrité relative ! Nous sommes obsédés de religiosités matérielles et immatérielles. Ce sont les religiosités qui instaurèrent la tyrannie et la misère en proférant la la gloire de Dieu et la liberté. Il eut fallu depuis toujours méditer avant de s’engouffrer dans les guerres, rationnellement destructrices et complètement iniques.
Pourtant la liberté est liée au caractère guerrier. Elle est la volonté de répondre de soi. C’est devenir plus indifférent aux chagrins, aux duretés, aux privations, à la vie même… Liberté signifie alors que les instincts virils, les instincts joyeux de guerre et de victoire, prédominent sur tous les autres instincts, par exemple sur ceux du bonheur. L’homme devenu libre est en totale confusion mentale, combien plus encore l’esprit devenu libre foule aux pieds cette forme méprisable de bien-être réaliste et immédiat ? L’homme libre est donc guerrier. A quoi se mesure la liberté chez les individus comme chez les peuples ? A la résistance qu’il faut surmonter pour rester en haut. Le type le plus élevé de l’homme libre devrait être cherché là, où constamment la plus forte résistance doit être vaincue, à cinq pas de la tyrannie, au seuil même du danger de la servitude… Il faut avoir besoin d’être fort, autrement on ne le devient jamais. C’est l’intelligence du corps, l’expression moderne de la fonction sensation, kinesthésique, la perception au monde à travers les cinq sens, l’attention au réel, au présent. C’est le fondement de la personnalité.
Un homme qui pose en lui la présence du guerrier intérieur sécurise son environnement, il dit ce qu’il fait, il fait ce qu’il dit. Il est assimilable à la fonction sensation qui positionne, ancre, affirme, structure, l’épine dorsale de la vie, le bon sens terrien, l’oxygénation des cellules, le mouvement, la santé du corps… Pourtant, je parle à mon chien… Blacky n’a pourtant qu’un langage animalier en interaction avec le pauvre crétin que je suis. Voir un chien maltraité, ça me bouleverse, je fini par être dans la scène et je m’écroule dans une empathie touchante pour chaque chien maltraité. Pourtant, voir Volodimir Zeelinsky pérorer, tout comme Macron et pire encore la Von Leylen de l’Union Européenne, ainsi que les fiscards de tous bords, de même que les “zanimateurs” des chaines infos en continu qui “Fake-niousent” unilatéralement en donnant le crachoir à des Ukrainiennes sur-maquillées… et j’ai envie de pousser sur le bouton nucléaire… “Tuez-les tous et toutes, Dieu retrouvera les siens” ! Ahhhhhh ! Se retrouver seul, loin du brouhaha de la civilisation, est entré au panthéon des fantasmes des gens. Et ce retrait permet de mieux jouir de son tumulte au retour alors que surconsommation, surpopulation, hyperconnexion, accélération du temps et pollution, gangrènent bien des existences.
L’éditeur de Chromes&Flammes et de GatsbyOnline que je suis devient ascète-Saint-Tropézien, une sorte d’ermite bientôt légendaire, sans mise en scène, mais une dramaturgie du pas de côté. Pouvoir enfin larguer mes semblables et mon ancien quotidien pour rêver, créer, écrire, seulement être moi, vibrer ! Tout ça pour mourir à la fin ? Non, c’est trop simple, la solitude, pour qu’elle ne soit pas déréliction, ne peut s’envisager qu’avec d’autres, si la solitude est une expérience de liberté nécessaire, elle ne peut s’accomplir que temporairement. Je ne vais donc pas copier Christopher McCandless, jeune aventurier dont l’exil volontaire fut porté à l’écran par Sean Penn dans le film “Into the Wild”, qui est mort seul et affamé, au fond de l’Alaska. Il rêvait d’autosuffisance, pour être éduqué par la nature et renaître l’âme affermie et le cœur apaisé. Désir fatal. Dans son journal intime, retrouvé près de son cadavre, il avait consigné cette dernière phrase: “Le bonheur n’est vrai que quand il est partagé”... Donc je partage mes écritures avec vous !
Le XXIe siècle a inversé les polarités. Surpeuplée, constellée de bornes Wifi et de McDonald’s, la planète n’offre plus beaucoup d’espaces préservés, encore moins périlleux (ils sont partis de Russie, les Russes ne s’en porteront que mieux, meilleure santé et retour aux vraies valeurs !… Ce qui rend le fantasme d’exil encore plus romantique… Du fond de leurs mégalopoles oppressantes, certains planifient de grands voyages d’auto-accomplissement, mais ces néo-aventuriers recherchent “la performance des conquérants” plutôt que la découverte de soi. Ces chasseurs de trophées ne sont que des voyageurs “Instagrameurs”, dont les périples semblent moins motivés par l’ivresse créative que par la diffusion de clichés éculés dans l’air du temps pour attirer les clics. Sachant que plus ils ont d’abonnés, plus ils peuvent monnayer auprès des marques ! Ces influenceurs deviennent des icônes pour ceux qui végètent dans l’open space. Il n’est pas nécessaire de se retirer dans un monastère ou aller au pôle Sud pour vérifier qu’on aime être seul et que le superflu n’est qu’une certaine idée du bien-être… Philosophes, psychothérapeutes, sociologues, anthropologues, historiens et hyènes (sic !) cherchent à répondre à cette question qui agite l’humanité depuis que le monde est monde.
Concernant plus particulièrement le Hot-Rod de 200.000US$ de cet article, s’il est, du fait de son prix, considéré comme un véhicule de luxe, il faut se raisonner car le luxe est éternel, il existe depuis l’éternité. La reine Cléopâtre était obsédée par les parfums capiteux. Les Grecs avaient la passion des vins rares. Le palais de Nabuchodonosor s’étendait sur 513 kilomètres carrés avec, sur son toit, les fameux jardins luxuriants de Babylone. Sans luxe, il n’y aurait ni monuments, ni œuvres d’art, ni musées, car il dépasse la simple notion marchande pour répondre à une quête plus profonde d’enchantement. Il reste d’ailleurs un concept pluriel, dans lequel coexistent art, design, architecture, vêtements, mais également, des choses sans prix qui peuvent incarner l’essence même du luxe : l’extrême rareté, les finitions époustouflantes, la qualité des matériaux et d’assemblage, le silence de fonctionnement…
D’ailleurs en temps de crise, le luxe rassure : son symbole d’héritage, de transmission de qualité depuis des temps immémoriaux, permet d’espérer acquérir une chose qui durera peut-être autant que les perles de mammouth d’un homo sapiens… Marcel Proust disait qu’il n’y a pas besoin d’être riche pour acquérir un luxe, et qu’il suffit d’être prodigue. Superflu, le luxe ? Longtemps, il n’y a eu qu’un seul luxe, celui de l’ostentation et du prestige, avec des châteaux et parures qui servaient à marquer son rang. Ce luxe statutaire, inaccessible pour presque tous, existera toujours pour ceux qui veulent afficher leur réussite. C’est le “bling bling”. Mais depuis la fin des années 1980, le luxe est entré dans l’âge hypermoderne, comme le reste de la société. Il s’est totalement diversifié, notamment avec le “mass-tige”, un prestige de masse qui permet au grand public de s’offrir des productions des créateurs du luxe : collections, accessoires et parfums des grandes maisons.
On assiste également à une transformation des motivations de consommation. Dorénavant, le luxe devient émotionnel et renvoie au plaisir individuel. Ce sont ces milliardaires qui sont tout le temps en jeans mais s’offrent un Hot-Rod hyperluxueux pour s’encanailler dans des cruisin’s de châteaux en châteaux, avant d’effectuer un voyage dans l’espace, pour le simple plaisir d’échapper à l’apesanteur et contempler le spectacle de l’univers ! Ce sont ces nouveaux hôtels qui proposent des spas haut de gamme et des grands chefs permettant de découvrir des saveurs inédites. Ce nouveau luxe sensoriel propose de vivre des expériences nouvelles et si possible uniques. Le luxe est une démesure qui fait dire qu’il n’est pas seulement beau, mais sublime. Il fait basculer l’homme dans le registre des passions. Même le luxe minimaliste apporte une démesure de l’attention aux détails. En ce sens, il est diabolique. Car les trois moteurs de Lucifer sont aussi les trois piliers du luxe: Passion, Liberté et Création.
Lucifer est celui qui dit à l’homme que dieu n’est pas le seul créateur, et qu’il peut créer pour accéder lui aussi au sacré. Le luxe est le symbole ultime de transgression et d’immoralité. Le luxe contemporain s’est d’ailleurs développé en même temps que le romantisme noir, à la fin du XVIIIe siècle. Aujourd’hui encore, cette thématique reste une inspiration fondamentale du luxe, et l’on retrouve constamment le thème de la jeune fille qui s’écarte du chemin pour aller à la rencontre de ses désirs. Un autre aspect du luxe est la distance : comme Lucifer, il encourage à quitter le groupe pour se placer au-dessus de la mêlée, avec la croyance que l’on achète quelque chose qui défie le temps, pour atteindre une forme d’immortalité. D’ailleurs les nouvelles technologies deviennent elles-mêmes luxe, avec les 1% des plus riches qui cherchent à atteindre la vie éternelle par le transfert de l’âme dans des machines ! C’est un véritable pacte avec le diable. Le luxe est un reflet des évolutions de la société, de ses désirs et ses inquiétudes. Aujourd’hui, il se déploie dans le cocon et le confort, qui répondent à la tendance de repli sur soi.
Avec les nouvelles démocraties, on est également passé à un luxe de simplicité, qui s’inscrit dans le vêtement plutôt que les monuments. C’est la figure du dandy. L’argent n’est d’ailleurs pas toujours une composante du luxe, et l’on peut être très élégamment habillé sans millions. Le luxe trop apparent provoque d’ailleurs du rejet. On parle de nouveau riche. Toutes les représentations de l’imagination humaine servent à compenser l’angoisse de mort et le luxe, plus que tout autre, cherche à apaiser l’angoisse existentielle. C’est vrai dans les créations, mais aussi dans le comportement des consommateurs: après de grands événements dramatiques, on assiste à une hausse spectaculaire des ventes. Ce fut notamment le cas après le 11 septembre, qui a vu les ventes de la maison Hermès bondir de 300%. Dès les origines, l’humanité témoigne de son goût pour le luxe en fabriquant des objets qui répondent à son aspiration de s’entourer de choses qui ravissent l’esprit et requièrent des savoirs artistiques. Mais le luxe est aussi accusé, dès l’Antiquité, de corrompre. Au Ier siècle avant Jésus-Christ, dans la Rome antique, on fait même interdire les parfums qui nécessitaient des dépenses somptuaires en faisant venir du bout du monde des ingrédients rares.
Aussi précieux que coûteux, le luxe a, de tout temps, porté sa propre critique: celle de se déployer au détriment des plus pauvres, et d’occasionner des dépenses inutiles. Et pourtant, il est tout sauf vain puisqu’il fait travailler les artistes et nous donne un aperçu de chaque civilisation. De l’Egypte ancienne, il nous reste ainsi de magnifiques flacons de parfum qui nous renseignent sur le raffinement de cette époque. Et pour l’humanité, ces objets luxueux deviennent eux-mêmes précieux. On peut même associer le luxe à l’utilité. Le vêtement, par exemple, protège avant tout du froid, tout comme la voiture permet de se déplacer, et la montre d’indiquer l’heure. Mais seul le luxe élève ces objets au rang d’art. Le luxe tel qu’on le connaît est d’abord un désir d’appartenance à une classe. Les marques haut de gamme l’ont compris en rendant certains produits tels que le maquillage accessibles, pour permettre de s’approprier quelques signes de cette classe. Pourtant le luxe reste un pouvoir. Il y a quelques années, Bernard Arnault disait d’ailleurs que le luxe est du domaine de la réussite.
Mais face à ce luxe dominateur se développe un nouveau luxe qui n’est pas lié au prix, mais à la rareté, seulement destinée à se faire plaisir… Ce luxe est épanouissant, car on le choisit pour soi et non pour s’identifier à l’autre. Il n’est ni lié aux marques ni à l’apparat, et reste affaire de goût personnel. Ce luxe-là est un vrai luxe d’ouverture qui permet d’affirmer son identité, tel ce Hot-Rod qui a gagné le “Detroit Autorama Ridler Award Great-8” réalisé par
le célèbre Craig Naff de Woodstock, Virginie, USA, qui a réalisé ce Hot-Rod sobre et élégant magnifiquement exécuté, considéré comme l’un des 10 chef-d’oeuvre de l’artisanat Hot-Rodding américain ! Véritable artisan, Craig Naff est connu pour avoir fait passer le sketch à la réalité de la Cadillac “CadZZilla 1948” du leader de ZZ-Top Billy Gibbon pendant son séjour à la boutique de Boyd Coddington. Pour ce “Retrospect”, Craig Naff a adopté une approche moins extrême, retravaillant astucieusement et en profondeur les célèbres lignes du “Deuce Coupé’32”...
Les détails subtils abondent: un tablier personnalisé relie les ailes fluides de la voiture juste sous une interprétation modifiée de la calandre emblématique de la Ford 1932; les badges, les charnières de portes et même la poignée du coffre ont été enlevés; le bouchon de remplissage du radiateur a été caché sous le capot pour un look plus propre. Il est fini dans un bleu profond si sombre que, dans une certaine lumière, il semble presque noir. Pendant des générations, la Ford B’32 a servi de toile vierge ultime pour d’innombrables Hot-Rods, des constructions d’arrière-cour enthousiastes mais d’amateurs, jusqu’aux créations sans regarder aux frais qui mettent en valeur le meilleur de l’artisanat automobile américain. Ce coupé à trois fenêtres, surnommé “Retrospect”, est un exemple exceptionnel : lorsqu’il a fait ses débuts à l’Autorama de Detroit, il a été honoré en tant que finaliste-vainqueur du “Great 8” pour le très convoité “Ridler Award”, l’un des trophées les plus disputés au monde des voitures personnalisées ! Une attention égale a été accordée à l’intérieur, qui a été garni d’un riche cuir couleur cognac-français (une couleur portée à l’extérieur par des paires de rayures subtiles). Les instruments montés au centre sont placés dans un panneau tourné vers le moteur, mais l’appareillage de commutation et les autres distractions sont réduits au minimum.
Niché sous le capot moteur personnalisé, se trouve un V8 Chevrolet LT1 jumelé à une transmission automatique; les doubles échappements étincelants du moteur s’étendent sur toute la longueur du train de roulement impeccablement détaillé. Des amortisseurs Coilover, avec suspension indépendante à l’avant font “le travail”. Derrière un ensemble unique de roues Budnik se trouvent des freins à disque avec des caches personnalisés, un détail emblématique du niveau de travail effectué dans les zones rarement vues de la voiture. “Retrospect” a connu une utilisation extrêmement limitée de la route et a passé une grande partie de sa vie post-Autorama hors de la vue du public. Véritable représentation de l’art de l’artisanat sur mesure, ce “Great 8” est aussi éblouissant aujourd’hui qu’il l’était lors de ses débuts, et attire toujours sans aucun doute les foules admiratives partout où il apparaît.