Hot-Rod Ford’T Roadster’27 V401-Nailhead + Hughes Aircraft 500D + Jeremy Clarkson

Je suis là tous les jours de 50 ans de Hot-Rodding dont plus de 30 ans de magazines Chromes&Flammes “papier” à l’international, chevauchant au tiers 30 ans de Web avec mes sites pionniers créés avant même les réseaux asociaux, dont SecretsInterdits, puis GatsbyOnline et l’éternel ChromesFlammes en locomotive de divers autres titres. La liste est longue, sans fin et je m’étonne même de continuer à tapoter des textes, des souvenirs, des visions d’avenir et même encore diverses pulsions de renouveau qui s’imbriquent dans un “ras-le-bol” de l’humain et de ses gnagnardises.

Putain du temps de l’édition “papier”, Chromes&Flammes en 5 langues/éditions mensuelles, diffusait de l’Espagne à la Sibérie jusqu’au Canada et les USA… Le fisc est passé suite à délations et c’est reparti en numérique, planétaire, en un click partouze, maintenant au départ de Saint-Tropez sans même plus avoir besoin d’une armada de reporters qui sillonnent le monde comme aux vrais temps de Life, Paris-Match et PlayBoy, dont je suisse partenaire dans l’euphorie de la glandouille avec les mêmes recettes d’histoires intellectuellement déjantées au centre desquelles seins et culs s’exposent au masturbatoire…

L’humain est basique dans ses complications. En ce jour de pleine nuit alors qu’en Ukraine se prépare une nouvelle fin du monde d’un cycle chiant et mortel, sont réunis un p’tit Rod et un Hélicoptère Hughes Aircraft 500D assortis en couleurs et pas trop mal shootés en format  ad-hoc pour en réaliser un reportage… La cuisine à en fabriquer un article cohérent à l’autre opposé de la planète est d’en mixer les folies pour espérer en tirer une histoire pas que visuelle qui suffiraient aux réseaux asociaux et qui manquent aux émissions TV depuis que la BBC n’a plus digéré les lubies de Jeremy Clarkson.

Ahhhhhhhh ! ce grand fou s’était auto-révélé au public en 1988 comme présentateur de la première version TopGear, jusqu’en 2015. Malgré les critiques portées contre lui, il va susciter l’intérêt croissant du grand public. On lui doit notamment d’avoir fait de Top Gear l’émission la plus regardée dans le monde, on a viré le génie qui coutait trop cher et remplacé par pire que la culture des navets façon chroniques suppositoire à la Serge Bellu avec des idiots sans génie particulièrement la version franchouille tellement ringarde façon Nitro-coulleries que d’autres émissions encore pires en ont été extrapolées.

Depuis le milieu des années 1990, Jeremy Clarkson est reconnu comme une personnalité publique, apparaissant régulièrement à la télévision britannique, présentant ses propres émissions, ou comme invité dans d’autres. De 1998 à 2000, il anime sa propre émission de débat, nommée “Clarkson”. Son renvoi de l’émission BBC Top Gear le 10 mars 2015, fait suite à une altercation avec un producteur. Après enquête, menée par Ken MacQuarrie au sein de la BBC, le directeur général du groupe Tony Hall va annoncer que le contrat de l’animateur ne sera pas renouvelé. La BBC perd un génie de l’humour décalé !

Par la suite, une pétition sur Internet pour demander le retour du présentateur, intitulée “BBC: Bring Back Clarkson” sur le site www.change.org recueille 377.000 signatures en quelques jours et plus d’un million à terme. Les motifs restés jusqu’alors “Secret-Défense/Décence/Défonce”, sont révélés et Clarkson annonce son retour dans une nouvelle émission automobile pour 2016 sur la plateforme Amazon Prime Video : “The Grand Tour” avec James May et Richard Hammond.  Andy Wilman (l’ancien producteur de Top Gear, ayant quitté l’émission lors du départ de Clarkson) travaille à la production du barnum.

Le contrat des trois animateurs est estimé à 250 millions de dollars et prévoit trois saisons de 12 épisodes chacune. En fait c’est ce que touche Clakson, ses comparses et son team se partagent 300 millions de dollars. Amazon va doubler sa mise et en tirer un peu plus d’un milliard… Rentable ! Ensuite, depuis 2018, il présente l’émission “Who Wants to Be a Millionaire ?” sur ITV, en remplacement de Chris Tarrant. Pour un épisode de l’émission “The Grand Tour”, il devient le détenteur du record de vitesse britannique pour une voiture amphibie (avec 76,94 km/h)) dans une Bond Bug propulsée par un moteur de jet-ski…

Jeremy Clarkson possède ou a possédé plusieurs voitures, dont les exemplaires suivants : Lamborghini Gallardo Spyder, Volvo XC90, Toyota Land Cruiser, Ford Focus, Ford GT, Ford Escort RS Cosworth, Land Rover Defender (offert par l’armée anglaise), Alfa Romeo GTV6, BMW M3, Lotus Elise 111S, Honda CR-X, Ferrari F355 et 458 Spider, Aston Martin Virage, Volkswagen Golf VII GTI, Audi RS3, Volkswagen Scirocco, McLaren 675LT, Mercedes Classe S Coupé 63 AMG, Mercedes Classe CLK 63 AMG Black Series, Mercedes SLS AMG Roadster, Mercedes 600 Grosser, Mercedes SLK55 AMG et divers Range Rover…

Les opinions de Jeremy Clarkson, son humour britannique au second degré et son ironie, tant à l’écrit qu’à l’oral, ont souvent engendré de vives réactions. Ses positions, tant personnelles qu’en tant que présentateur de Top Gear, ont été critiquées par certains médias politiques et lobbies. Parmi ses citations, on peut retenir : “La vitesse n’a jamais tué personne. L’arrêt brutal, c’est ça qui fait mal” … En 1998, il est accusé par la compagnie Hyundai d’avoir tenu des propos discriminatoires et racistes (sans suite). En 2005, il fait un salut nazi dans une émission, à propos de la firme automobile Mini appartenant à BMW.

En 2014, l’équipe de Top Gear doit quitter précipitamment l’Argentine après qu’une voiture Porsche conduite par Clarkson a été caillassée en Patagonie ; les habitants avaient jugé provocante la plaque d’immatriculation ‘H982FLK“ du véhicule, qui évoquait selon eux la guerre des Malouines (Falkland). Par ailleurs, quelques mois auparavant, l’animateur avait été accusé de racisme quand il avait été filmé en train de chanter une comptine comportant des paroles racistes.  En décembre 2022, la diffusion de la deuxième partie du documentaire “Harry & Meghan” sur Netflix, Jeremy Clarkson suscite la polémique.

Une chronique au vitriol publiée dans le tabloïd The Sun contre Meghan Markle, dans laquelle l’éditorialiste affirme rêver de voir une foule jeter des excréments sur la duchesse de Sussex. Après plusieurs jours d’une polémique intense, The Sun retire la chronique de Jeremy Clarkson. A la suite de la polémique, de nombreuses personnalités politiques britanniques, du maire de Londres Sadiq Khan à la première ministre écossaise Nicola Sturgeon, condamnent vivement les propos de Jeremy Clarkson, le premier ministre britannique Rishi Sunak réagit également à la polémique. Que des connards !

L’instance britannique de la presse (Ipso) indique alors avoir reçu plus de 20.000 plaintes de particuliers à la suite de la chronique de Clarkson. The Sun indique sur son site web regretter la publication de la chronique de Jeremy Clarkson, expliquant : “En tant qu’éditeur, nous comprenons qu’avec la libre expression vient la responsabilité”, et affirme que le texte de Clarkson sera retiré du site web et des archives du tabloïd… Pitreries !  Jeremy Clarkson est né à Doncaster de Shirley Ward et Edward Clarkson qui avait une entreprise spécialisée dans la vente de “tea cosies”, et de peluches de l’ours Paddington.

J’ai rencontré Jeremy Clarkson venu me voir à Saint-Tropez et il a accepté une interview exprimant son enthousiasme pour www.GatsbyOnline.com tout en regrettant comme moi que les circonstances économiques, le covid-19 et les vaccins mortifères ont tué la presse “papier”.. C’est de là qu’il vient…

-J’ai évidemment un faible pour la presse et j’ai bien connu Chromes et Flammes des années 80 avec les Dragsters au Mans et le C&F Show, des grands moments. J’ai moi-même commencé comme journaliste stagiaire pour le “Rotherham Advertiser”, et j’ai écrit pour divers journaux et magazines depuis. Personne ne peut faire confiance à tout ce qui est publié , Avec les journaux, il y a des écrivains et des rédacteurs formés qui se sont assis et aplatis pour recevoir de l’argent en discutant volontairement mal et de manière obséquieuse d’histoires fortes en négligeant ce qui vaut la peine d’être inclus !

Ce que vous lisez sur le Web pourrait être écrit par n’importe qui. Vous n’avez absolument aucune idée si c’est vrai ou non, qui le finance et pourquoi ils le financent. Si vous lisez The Guardian, vous savez qu’il a un agenda politique, The Telegraph aussi, mais vous savez quel est ce programme quand vous le prenez et l’achetez, vous vous adaptez à cela pendant que vous le lisez, mais en ligne, sur le web vous ne pouvez pas. Je suis venu du monde du journalisme imprimé sur nos écrans de télévision. Je suppose que vous voulez savoir ce que j’ai appris sur mon métier depuis que je suis devenu une célébrité ?

Beaucoup de choses sont écrites sur moi qui ne sont tout simplement pas vraies. Les choses s’inventent et deviennent des faits. Ensuite, quiconque écrit n’importe quoi et cite simplement ce “fait inventé” qui provient en réalité de la tête d’un stagiaire de 17 ans chez MailOnline. Ils ne sont pas autorisés à le faire, on devrait les poursuivre en justice mais c’est tellement long, et cher que je n’ai jamais poursuivi personne, par contre j’en parle, puis je lève les yeux au ciel et passe à autre chose. Je vois que vous allez me mettre en vedette dans www.GatsbyOnline.com avec un Hot-Rod et un hélicoptère, c’est cool !

Certains Hot-Rod sont des œuvres d’art remarquables, très esthétiques, ils sont plus ludiques que des Ferrari et Lamborghini et fonctionnent beaucoup mieux, ils sont également également spectaculaires. C’est toutefois en grande partie une question de goût personnel, n’est-ce pas ? Je pense que dans la même mouvance des Américaines, la Corvette dite ’bouteille de coke’ est aussi une très jolie voiture. l’une d’elle vient de se vendre 3 millions de dollars chez Sothebys, c’est assez dingue ! Je demande parfois si les gens viennent voir mes émissions pour contester ce que je dis ou pour dire pareil sur les réseaux ?

Les gens préfèrent un selfie dans les médias sociaux à une vraie conversation. Moi, je préfère de loin passer une heure à discuter avec vous qui êtes quand même le créateur de Chromes er Flammes que quatre minutes à gargouiller dans mon téléphone portable pendant que quelqu’un qui ne sait pas comment utiliser le sien de  téléphone prend une photo de son propre nez.  Les selfies sont le fléau de la vie moderne. Certaines personnes à Birmingham ou j’habite sont parfois un peu amères aimant juste souligner que leur vieille voiture merdique est meilleure que tout ce que j’ai testé cette semaine. C’est vain !

Si je suis dans une biplace, ils me disent : “Tu ne peux pas avoir quelqu’un derrière “... Eh bien évidemment non, c’est une biplace. Je ne sais pas pourquoi, mais les habitants de Birmingham sont toujours assez farfelus et amers quand il s’agit d’échanger des plaisanteries. Je vais faire ma promo dans votre article puisque je ferais celle de Gatsby dans mon émission. Le tournage du prochain “Grand Tour” commence ce mois-ci en Asie du Sud-Est, on a fait une reconnaissance de deux mois plus tôt cette année, rendant le spectacle beaucoup plus facile à planifier. On va filmer pendant une dizaine de jours…

On n’est jamais vraiment sûr parce que toutes sortes de choses peuvent arriver qui rendent le tournage plus long ou plus court. Ce n’est pas plus stressant ou agréable à filmer que Top Gear parce que c’est exactement la même chose. C’est le même équipage, les mêmes chercheurs, producteurs, réalisateurs, caméramans, preneurs de son. Quand j’ai quitté Top Gear, tout le monde est venu avec moi.  Je savais que lorsque nous le faisions, cela devait être l’un de nos meilleurs, probablement notre meilleur de tous les temps. C’était une si bonne histoire, la Mongolie est un endroit spectaculaire, tous les canards s’alignent !

Il n’en a pas été de même pour l’Inde spéciale. Parfois, je pense que c’est juste de la foutaise. En plus de Grand Tour, de trois chroniques hebdomadaires et de la gestion de ma ferme, il a “Qui veut être millionnaire?” qui est revenu après une pause de quatre ans, avec moi dans le fauteuil de l’animateur à la place de Chris Tarrant. Chaque fois que quelqu’un obtient un tel emploi, il dit qu’il l’a toujours voulu, que ce soit vrai ou non. Mais j’adore les quiz télévisés. J’aime Pointless aussi, mais Millionaire est le roi de la colline, le meilleur de la race. Ils voulaient le ramener, ils m’ont demandé si je le ferais, je leur ai mordu la main.

En ce qui concerne l’arrêt de ce que j’ai fait, je suppose que je deviendrai sénile un jour, les morceaux et les bobs vont tomber, mais je me sens toujours sain et chaleureux, alors je continuerai encore quelques années. Je vous souhaite pareillement pareil de la même chose, un bon voeu, vous écrivez super bien et décalé, un vrai plaisir. Avec vous  vos stagiaires peuvent alors respirer. Sauf que vous n’en avez pas besoin, vous pouvez tout réaliser sans aide, c’est unique, il faudrait peut-être coupler nos énergies, comme avec cet article dur ce Hot-Rod et l’hélicoptère. Appuyez sur le bouton ! Faites tout sauter cette merde !

Parfois je suis heureux de vieillir car ça me rapproche de l’inéluctable “morterie définitive” dans un endormissement résultant de la fatigue de devoir supporter toutes les conneries du monde. Personne n’en est jamais revenu ce qui ne peut que réjouir d’avance, quoique par trois fois mon départ vers le néant a été compromis par un médecin de réanimation zélé, au grand bonheur de Valérie et Blacky…  Ce qui m’a fait revenir papoter d’autos-connerie dans la désertification des lieux par la friquerie désorganisée des maîtres financiers du monde. Parfois, tout cela m’emmerde grâââve en sus de l’affaire LéaFrancis..

OK… J’y vais en contuation  pour cet article dans lequel apparait un hélicoptère fabriqué par Hughes Aircraft  Company, une société américaine de construction aérospatiale et de défense fondée par Howard Hughes, qui malgré son décès, continue de construire des prototypes comme le XF-11 ou le Hughes H-4 Hercules et des hélicoptères dont le  AH-64 Apache et le Hughes 500 qui vous apparait ici en co-vedette d’un Hot-Rod’T dans cet article. Le Hughes 500 vola pour la première fois le 13 /09/1966, la version utilitaire Hughes 500U/369H, fut proposée avec un moteur Allison 250-C18B de 317cv.

Capable d’emporter 776 kg d’humais ou de fret, les Hughes 500 et 500U furent construits sous licence en Argentine par RACA (Representaciones Aero Commerciales Argentinas SA), en Italie par Breda-Nardi et Kawasaki au Japon.  Le 9 octobre 1975 vola pour la première fois le Hughes 500D (369D en interne) très amélioré : il disposait d’un moteur Allison 250-C20B de 420cv, d’une dérive en T, d’un nouveau rotor à 5 pales (Un rotor de queue quadripale était disponible en option). Il devint la principale version en production en 1976 avant d’être remplacé par le Hughes 500E (369E en interne) en 1982.

Le Hughes 500E fut construit sous licence en Italie par Breda-Nardi, sous la désignation NH-500E. Le Hughes 530F, délivré à partir de janvier 1984, est une variante plus puissante destinée au travail dans des conditions Hot & High. Hughes Helicopters fut acquis par Mac Donnell Douglas en janvier 1984 : en août 1985, les Hughes 500E et 530F furent rebaptisés MD 500 et MD 530F “Lifter”. Mac Donnell Douglas introduisit également une version No Tail Rotor, qui utilise l’effet Coanda pour compenser l’effet de couple du rotor principal (Des gaz sont éjectés sur la queue, ce qui élimine le rotor de queue).

Cela permet de réduire le bruit et les dangers de manière significatives. Le système NOTAR était étudié par Hughes depuis 1975 et fut testé en décembre 1981 sur un OH-6A/MD 520N basé sur le Hughes 500E annoncé en janvier 1989 en même temps que la variante MD 530N. En 2000, MD Helicopters annonça une variante améliorée du MD 520N, avec un moteur Rolls-Royce 250-C20R+ délivrant 5% de puissance supplémentaire pour une consommation moindre. En 1997, Mac Donnell Douglas fusionna avec Boeing, qui préféra conserver les hélicoptères militaires et revendre la gamme d’hélicoptères civils.

MD Helicopters devint une firme à part en janvier 1999, et conserva  le MD 500 et ses dérivés. Boeing, de son côté, conservait le H-6 Cayuse, la version militaire pure. Le Hughes 500 fut très tôt proposé en version militarisée, surnommée Defender et proche justement du H-6 Cayuse.  Le Defender fut vendu à l’Afghanistan, à l’Argentine, au Chili, à la Colombie, à la Corée du Sud, à la Croatie, à l’Espagne, à la Finlande, au Honduras, à l’Irak, à Israël, à l’Italie, à la Jordanie, au Kenya, au Mexique, à Panama, aux Philippines, au Salvador et à Taïwan. Un bon business bien plus rentable que construire des Hot-Rods en kits.

Le Hughes 500 est très populaire sur le marché civil, auprès des compagnies, des particuliers, et des forces de police pour la surveillance du territoire USA. 4.700 exemplaires civils furent construits, dont 471 exemplaires militarisés. Une variante allongée pour 8 personnes, le MD 600N, a volé pour la première fois en 1994. Israël utilisa intensivement le Defender entre la fin des années 1970 et les années 1980 contre la Syrie. Le Hughes 500 fut utilisé lors de la guerre civile au Salvador entre 1979 et 1992. La force aérienne du Salvador disposait de 6 Hughes 500D, et 9 Hughes 500E furent livrés en 1983.

En 1985, la Corée du Nord obtint 87 MD 500D en fraude via l’Allemagne avant que le gouvernement des États-Unis n’en stoppe l’exportation. La Corée du Sud disposant de tels appareils dans son inventaire, elle s’est mise à les fabriquer directement sans plus payer de droits pour les utiliser. Au moins 60 d’entre eux ont été modifiés en gunship armés de missiles anti-chars AT-3 Sagger. Comme quoi le monde est un vaste tripot ou consomment toutes sortes de décérébrés affairistes et ou les valeurs de paix ne présentent aucun intérèt lucratif. Il n’existe en ce sens strictement aucun Hot-Rod en Corée du Nord…

Le roadster Ford de style Track T a été construit par “Larry’s Race Shop” à Speedway, dans l’Indiana, et dispose d’une carrosserie en fibre de verre au fini noir montée sur un châssis tubulaire. La voiture est propulsée par un V401 Nailhead 8ci jumelé à une transmission automatique à trois vitesses. Les autres caractéristiques comprennent un pont arrière de 8 pouces, un nez aérodynamique, des freins à disque avant, un arceau de sécurité, des jantes American Racing, des sièges en acier avec coussins en vinyle noir, des ceintures de sécurité Simpson et des jauges Moon Eyes.

Ce hot-Rod défini légalement comme un Ford 1927 a été acquis en 2010 par un multimillionnaire californien excentrique passionné d’hélicoptères et vivant dans les hauteurs Hollywoodiennes. Montée sur un châssis “tubesque”, la carrosserie en fibre de verre noire présente une extrémité avant argentée stylisée, des accents rouges et des graphiques “Larry’s Speed Shop” peints à l’arrière. L’équipement extérieur comprend un sur-châssis dit “de sécurité” rouge  et un pare-brise en V, deux sorties d’échappement 4X1 latérales, un support de plaque d’immatriculation arrière rétractable et un emblème de capot V8.

Les jantes American Racing chromées de 16 et 17 sont montées avec des pneus “Nitto NT450 Extreme Performance” 205/55 à l’avant et 275/50 à l’arrière. Le freinage est assuré par des disques avant et des tambours arrière. L’habitacle abrite des sièges à dossier fixe en acier avec des coussins recouverts de vinyle noir ainsi que des panneaux latéraux et une moquette assortis. L’équipement comprend des renforts tubulaires, des ceintures sous-abdominales Simpson rouges, des haut-parleurs Kenwood, un câblage pour une chaîne stéréo, des tapis de sol toutes saisons, un rétroviseur et un tableau de bord en aluminium.

Le tableau de bord simpliste comprend un tachymètre “Classic Instruments Moon Eyes” monté au centre ainsi que des compteurs AutoMeter pour surveiller la pression d’huile, la température de l’eau, et le niveau de carburant. Le véhicule n’est pas équipé d’un compteur kilométrique. L’ouverture du couvercle du coffre révèle la batterie qui est une pile à combustible, la batterie et laisse voir la suspension arrière et les composants du chassis. Le V401 Buick Nailhead 8ci est équipé d’un filtre à air chromé, d’un carburateur Edelbrock, de cache-soupapes Offenhauser, et d’une bobine d’allumage Select de 12 volts.

Le réservoir de carburant n’est que de huit gallons suffisant pour tourner dans Hollywood. La puissance est fournie aux roues arrière par une transmission automatique à trois vitesses. La balise VIN indique aux force de l’ordre la séquence T1299421627, numéro indiqué sur le “Title californien” du véhicule, qui décrit la voiture comme une Ford décapotable de 1927. Sur ce point la règlementation d’immatriculation aux USA permet des libertés de circuler aux Hot-Rods que les Etats Européens n’ont pas voulu dans le but de réserver les constructions automobiles aux seules grandes marques sous leur contrôle.