Hot-Rod Highboy Roadster ’32
à 62 ans, Patrick Grenson est un des rares Greasers survivants. Bien que cette subculture soit assimilée aux voitures américaines, au rock‘n’roll et à des types belliqueux affublés de cuir, elle est aussi représentative de la scène Hot-Rod des “anciens” de l’époque Chromes&Flammes des années’80. S’il semble commun de tomber sur l’un de ces Greasers aux cheveux gominés, écoutant Jerry Lee Lewis à fond, tout en agitant un drapeau des États confédérés américains à bord d’un vieux Rat-Rod pourrave (ou d’une Peugeot 203 déglinguée, selon ses moyens) en direction d’un bar à putes , dans son cas, Patrick Grenson est devenu pépère et gère son affaire vinicole et d’apéritifs locaux “en bon père de famille”. Il s’est rangé des voitures… Il est toutefois resté fanatique des “ziziks” et des films ricains qui affluaient en Europe après la seconde guerre mondiale.
Durant la guerre suivante (qui n’est pas la troisième, mais circonscrite à la Franchouille sous le nom de “Guerre du Kustom des années ’80”, Patrick Grenson n’était pas resté neutre, il a défendu corps et âme, bec et ongles, Chromes&Flammes contre les hordes de Nitromaniaques enragés, et ce presque jusqu’à la mort ! Les dégâts causés n’ont jamais été à reconstruire puisque chaque camp est resté campé sur ses positions… A la fin des années ’90, ses économies bien placées dans une entreprise vinicole spécialisée en apéritifs ludiques (une marque de fabrique) l’ont rendu millionnaire. D’un coup, il a pu s’offrir des VRAIES voitures Kustoms, des VRAIS Hot-Rods et des milliers de vinyles Rock( dont une collection d’Elvis Presley dédicacée ainsi que l’intégrale de Johnny Halliday)… Le film “La Fureur de vivre” est devenu son style de vie et Chromes&Flammes ainsi que www.GatsbyOnline.com sont devenus à ses yeux synonymes de rêves.
Il est ainsi devenu une référence ET une source intarrissable d’articles infinis pour les journaux et magazines dans lesquels il ne se lasse pas de conter les difficiles débuts du Kustomizing et du Hot-Rodding en Franchouille réexpliquant sans cesse que dès l’arrivée de Nitro, tout est devenu pire, l’ensemble de la subculture Kustom a été assimilée à la voyoucratie nitromaniaque. Pour Patrick Grenson, le temps n’est plus de vouer un culte à la vie sans foi ni loi des rebelles américains qu’on découvrait dans ce mag’, une époque où pour les Greasers Franchouilles se procurer une voiture américaine était relativement simple : ils allaient en récup’ dans des casses, embarquaient des épaves à vils-prix et en faisaient de véritables salons/bordels sur roues avec chaîne stéréo, banquette arrière pour baiser les petites louloutes et un frigo rempli de whisky. Chaque endroit où ils arrivaient à garer leurs monstres devenait un potentiel dancefloor.
Curieux d’en savoir plus sur ceux et celles qui ont vécu la “wild-life” du mauvais côté de l’Atlantique, j’ai refait l’équivalant d’un chemin de Compostelle pour rencontrer l’un des seuls membres survivant encore érectible à 62 printemps, du plus grand gang Kustom de la Vendée sur la Cote Atlantique, mon ami Patrick Grenson qui s’est reconverti dans le “respectable” en devenant Maître Vinicole du domaine “Trousseminette” situé 32, Rue des Onizières, 85470 Brem-sur-Mer, Vendée, https://www.facebook.com/LaCavedesVignerons/ Email : terreetpassion@sfr.fr Tel : 06 14 21 79 16
-Ca me fait plaisir de te retrouver en pleines formes, ce qui est un double-sens voulu… Comment as-tu évolué Qu’est ce que la Trousseminette ? ?
-La Trousseminette est l’Apéritif Vendéen, fruit de l’heureux mariage du vin, de l’eau de vie, d’épines noires de Brem et de sucre, après une macération de 12 à 15 jours. Issue d’une sélection rigoureuse, et d’une recette transmise de père en fils depuis 1793, la Trousseminette transporte, qui en boit, au cœur de la Vendée en mettant du soleil dans les réunions entre amis et en famille. C’est la boisson idéale pour accompagner du jambon de Vendée, du melon, un fromage à pâte persillée. Elle sublime aussi les gâteaux aux chocolat.
-Que de souvenirs !
-Avant Chromes&Flammes, il n’existait rien ! Avec Chromes&Flammes, le Kustom et le Hot-Rodding sont nés, une sorte de mouvement précurseur. De ce mouvement est né mon club “les Road Devils”, un gang pour ceux qui vivent près de la cote Atlantique. Des types du club de moto local et moi-même nous sommes à notre tour intéressés aux Hot-Rods, et nous avons créé un autre gang : les Road Stars. J’avais une Peugeot 203, top-chopée. Aujourd’hui, elle vaudrait facile environ 60 000euros. Plus tard, d’autres types ont eux aussi voulu créer leur gang, mais ils n’avaient pas de vraies caisses. Ils conduisaient des horreurs “à-la-Fufu”. On les appelait les “couches-culottes du Kustom”… Tout ce qu’on faisait c’était traîner en bagnole pour cueillir des filles. De nos jours, les gens se rencontrent sur Internet mais à l’époque, il fallait sortir dans les clubs pour cueillir les filles et les emmener faire un tour en caisse. Ça marchait d’enfer. Elles voulaient toutes monter dans nos voitures. Je n’ai jamais été obsédé par les filles mais elles avaient vraiment l’air de m’apprécier. Tout ce qui m’importait, c’était les Hot-Rods et les caisses américaines. Je n’avais pas les moyens d’acheter une Yankee récentes, alors j’en achetais et bricolais des vieilles, je faisais mon possible pour les retaper au mieux, puis je les échangeais contre de plus belles voitures. J’ai dû avoir 25 Yankees en tout.
-À quoi ressemblait ta vie à l’époque ?
-Dans mon bled il y avait cette femme qu’on appelait la Mémère Denise, elle tenait un bar à putes où on était constamment fourrés. Quand elle a été expulsée et qu’elle a dû s’installer dans la zone industrielle on l’a tous suivie. Le voisinage n’était pas très enthousiaste à l’idée d’accueillir des “racailles”, ça a fait beaucoup de bruit. Chez elle, on pouvait commander des Gin-Coca pour l’équivalent de 10 centimes d’euro, du coup il ne nous restait pas assez pour se taper les putes. Personne ne voulait nous servir d’alcool en dehors de chez la Mémère Denise… Et si quelqu’un remarquait qu’on avait coupé notre Coca (ça lui donnait une couleur plus claire), on nous foutait dehors ! Quelques types faisaient eux-mêmes leur whisky. On passait nos nuits à conduire, sortir avec des filles, baiser, écouter des cassettes dans la voiture. On écoutait la radio, aussi, les seules à ne pas passer de chants religieux à mourir d’ennui comme dans notre bled. Je rentrais rarement avant 4 heures du matin ; à vrai dire, j’essayais de rentrer le moins souvent possible. J’alternais plusieurs jobs, histoire d’arrondir les fins de mois. Parfois, quand je rentrais, un minuscule bout de saucisse gisait au fond du frigidaire. J’étais maigre, mais mes copains étaient plutôt beaux garçons et avaient beaucoup de succès auprès des filles. Avant de sortir, on passait pas mal de temps sur nos voitures. On avait des bottes en cuir avec des boucles sur le côté, puis des vestes de football américain en plastique avec les noms des clubs peints dans le dos. Très peu avaient les moyens de s’offrir des vestes en cuir. On mettait aussi des queues de renard sur l’antenne de nos voitures et on brossait nos cheveux en arrière avec de la Brylcreem pour que nos coupes tiennent, malgré notre conduite plutôt sportive. Les cheveux noirs et la coupe en queue de canard étaient très appréciés.
-Et qu’en était-il des filles ?
-Les filles ne mettaient pas autant de maquillage à l’époque, pas comme aujourd’hui où tu vois des filles avec ces sourcils dessinés jusqu’aux tempes. Les filles portaient de l’eye-liner et un peu de poudre sur les lèvres. Elles ressemblaient toutes à des stars du cinéma avec leurs coiffures et leurs jupes. Parfois, elles portaient des queues-de-cheval avec des broches sur le côté. Le hula-hoop était aussi vachement à la mode. D’autres subcultures émergeaient çà et là !
-Ton rêve, c’était d’aller aux États-Unis ?
-Personnellement, les États-Unis ne m’ont jamais attiré plus que ça. J’y suis allé pour la première fois en 1985 car j’avais gagné au concours Chromes&Flammes. La bouffe y était infecte, les gens pas propres et certains sont aussi gros que leur maison. J’étais bien content de rentrer chez moi. Si l’Amérique a exercé une telle influence sur nous à l’époque, c’est parce que c’est là-bas qu’Elvis Presley et le rock‘n’roll sont nés. Le rock a été une libération pour nous.
-Comment Chromes&Flammes a-t-il changé ta vie ?
-C&F a de suite été considéré comme le Top du Top, une allégorie du rock‘n’roll et de la rébellion. C’était une autre époque. Bien sûr, il y a eu quelques bagarres contre les lecteurs de Nitro, mais ce n’était rien à côté de ce que les gosses font aujourd’hui.
-Que penses-tu des Hot-Rodders Franchouilles d’aujourd’hui ?
-Pour moi, cette Kulture ne tenait qu’avec Chromes&Flammes, puis elle est tombée malade avec Nitro dont les rédacteurs successifs étaient incompétents et écrivaient n’importe quoi. Ensuite elle est morte avec le Covid et les vaccins vu que les concentres étaient interdites sous prétexte de la pandémie. Les gangs se sont dispersés dans le vide et les Hot-Rods ont été remisés où carrément jetés en décharges. Les Hot-Rodders Franchouilles se sont mis en pause, quoique certains on fait “Reset”. Bien sûr, il y en a qui se sont lancés dans la restauration de Ricaines et qui se sont retrouvés à devoir retaper des bagnoles pour survivre, si possibles des voitures américaines, mais tous regrettent le temps où ils pouvaient traîner dans les rues sans relâche pour cueillir des filles. Tout ça, c’est fini, de nos jours, les filles ne peuvent plus faire de stop sans risquer de se faire violer ou tuer. La violence est partout. Du temps de la première série des Chromes&Flammes, années’80, quand le mouvement Kustom a commencé, les filles rêvaient d’aller faire une balade en Hot-Rod, on les embarquait, on écoutait Elvis Presley et Johnny Halliday. Ça n’existe plus aujourd’hui. Ils sont morts, crevés les Kustoms et Hot-Rods et tout a changé.
-Tu fréquentes toujours tes compères Kustomiseurs et Hot-Rodders ?
-J’ai 62 ans et j’ai travaillé toute ma vie sans jamais tomber malade. Malheureusement, tous mes amis de l’époque sont morts sauf toi qui éditais tes Chromes&Flammes et Gatsby. Lors d’une concentre, on avait pu causer toi et moi, on est devenu ami “pour toujours” et tu m’as dit : “On n’a jamais rien sans rien, mon Patrick ! Parce que lorsque les notes sont trop faibles pour que les gens puissent dégoter un job valable, pas un de ces trucs nuls pour lesquels les gens doivent travailler comme des esclaves pour survivre. Finalement, les choses ont bien tourné pour moi mais j’ai du, malgré tout tes conseils, travailler extrêmement dur pour être là où j’en suis aujourd’hui…
-On dirait que tu as vécu le rêve américain en Franchouille !
-Il y a toute une culture Chromes&Flammes qui est restée tellement elle a touché les jeunes dans les années ’80. J’ai rencontré des gens surtout des filles qui se sont fait tatouer mon nom sur le bras “Patrick Grenson, la bête de sexe“. Quand je suis parti à Paris pour participer à un de tes shows C&F, la moitié du pays me connaissait ! J’ai ensuite eu mon propre fan-club, et la TV s’est même pointée chez moi il y a quelques années avec tout un tas de célébrités. Merci à toi !
-A ce point ?
-Oui, Chromes&Flammes c’était super cool. Les meilleurs conseils à propos de la construction d’un Hot-Rod y ont été prodigués pour qu’il n’y ait pas se mauvaises surprises. Il faut oser être différent mais il est nécessaire de rester prudent ! Une erreur fatale est toujours possible. Amelia Earhart par exemple, elle a choisi de posséder un Hudson Terraplane de 1932, et nous savons que son destin n’était pas bon. Elle aurai du prendre un Ford V8 ! Pour mieux illustrer mon exemple d’une sage décision, je prends Wesley Johnson de Gadsden, en Alabama, et son ex-roadster Ford highboy de 1932 en exemple. Je l’ai acheté !
-C’est super d’avoir acheté ce Hot-Rod ! Il était annoncé à 250.000 DOLLARS ! TU lui a acheté ? C’est bien ça ?
-Exact, je l’ai payé 200.000 US$ plus la douane et autres, mon business de vins et apéritifs tourne bien. La première sage décision de Wesley avait été de le faire construire par son fils Alan, propriétaire du Johnson’s Hot-Rod-Shop à Gadsden. Alan a construit un tas de Hot-Rods, des coupés et des roadsters Deuce et il sait donc beaucoup réfléchir à ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. En particulier, Alan a étudié le châssis Deuce et sait comment placer les rails arrière vers l’intérieur pour dégager les pneus plus gros, ou toute autre chose pour améliorer la race. Ajouter un peu d’empattement supplémentaire ne fait jamais de mal !
-Il y a fort à parier que la qualité de conduite est améliorée.
-Pour la suspension avant d’une Ford de 1932, il n’y a rien de mal avec un essieu rigide, surtout si l’on veut garder ce look de Hot-Rod à l’ancienne. C’est un essieu de chez Super Bell avec des amortisseurs télescopiques chromés. La direction se fait via un boîtier de direction Borgeson tourné avec une colonne de direction ididit surmontée d’un volant Johnson Hot-Rod-Shop Modern Vintage peint en ivoire. Freins à tambour pur-jus. Les freins avant sont des freins Kinmont Safety Stop, qui, d’un point de vue technique, se traduisent par des freins à disque de 10,5 pouces avec étriers à quatre pistons. Les jantes avant sont 15×5 Wheel Vintiques 15 Series Gennie Chrome avec baby Moons chaussés de 500/15 Coker Firestone avec des flancs blancs. Les phares à faisceau sont scellés par des LED modernes. L’arrière-du Wesley 1932 est suspendu avec des pièces Posies avec des amortisseurs télescopiques chromés. Le freinage arrière est un système de freinage Ford de 10 pouces recouvert d’un cache peint. Les jantes arrière sont des 16×6 Wheel Vintiques 16 Series Gennie Chrome avec des bébés Lunes montés avec des 850/16 Coker Firestone également à flancs blancs.
-Et oui, c’est classe !
-j’ai osé être un peu différent en lui achetant ! C’était mon rêve d’avoir un vrai Hot-Rod ! ! Le moteur est un Ford Y 292ci de 1956 équipé de 3 Stromberg ’97 au sommet d’un collecteur d’admission Offenhauser avec purificateurs d’air OTB Gear. Et une came super grumeleuse ne fait jamais de mal pour mettre le super hot dans le Hot-Rod, compression augmentée à 9,5: 1 et radiateur en cuivre et laiton Walker équipé d’un ventilateur électrique Cooling Components… La boite est une Tremec TKO 600 construite par Bowler avec fourches de changement de vitesse en bronze et piston poli. Un levier de vitesses Johnson-Hot-Rod-Shop Hole-Shot change les vitesses et une pédale d’accélérateur Lokar étrangle les carbus.
-Quoi d’autre ?
-Un arceau de sécurité caché à six points entoure l’intérieur plissé vertical en cuir vert et crème cousu par la tondeuse interne de Johnson-Hot-Rod-Shop, Maria Garcia, une super sexy avec qui j’ai passé des moments inoubliables ! La moquette verte à tissage carré recouvre le sol et aide à retenir la chaleur. Il y a aussi l’air-co Vintage-Air. Le tableau de bord est en aluminium Lokar-Goolsby de style Auburn avec inserts en nacre. La capote hachée vient de chez Rod-Tops d’Ellsworth, dans le Michigan.
-Les modifications de carrosserie ?
-Elles se sont limitées aux ajustements et à la finition ! Wesley Johnson et Greg Chalcraft de W-J Body Shop ont peint le Rod en PPG Willow Green, une couleur que les personnes plus âgées pourraient trouver rappelant le dentifrice Ipana. Le capot est un Rootlieb de 5cm de plus que la longueur stock avec une calandre Brookville. L’éclairage avant est constitué de phares de chez “Style-Guide”, et les feux arrière sont ceux d’une Ford 1942.
2 commentaires
Auto d’une propreté clinique ! Comme il n’est de richesse que d’hommes, je rappelle que Patrick Grenson a déjà eu l’honneur d’un article
https://www.gatsbyonline.com/automobile/patrick-grenson-la-kustom-kulture-et-le-hair-metal-362470/
Votre site serait-il devenu une sorte d’encyclopédie où on peut trouver des réponses à tout, mon cher Gatsby ?
L’encyclopédiste que je suisse supposé devenir vous remercie de votre vision… Patrick Grenson est une “vieille” connaissance du début des années’80 et de temps à autre, je ne sais pourquoi, l’envie irrésistible d’en réaliser un article “cacassement” stupide me vient en tête. En ce cas (sic !), débutant l’article sur ce Hot-Rod d’une propreté “clinique” se situant à l’exact opposé de ce qui existe en Francouille… euh Franchouille, j’ai soudain été envahi par un ras-le-bol de la connerie humaine, que ce soit en politique avec Macron et les clowns de l’UE qu’avec Biden et même Poutine, ce qui a entaché ma vision d’écriture sur ce très beau Hot-Rod qui je le sais d’avance n’intéressera que les rares Martiens qui me lisent par le biais de la télépathie cognitive (en dehors de vous). J’ai donc soudain pensé à Patrick Grenson comme étant le seul personnage de l’univers qui n’achètera jamais un tel Hot-Rod, pour son prix de fabrication (donc sa valeur de vente). En deux coups de cuillère à pot, j’ai pondu un texte délirant et, terminé, je me suis demandé s’il vivait encore ! Fâcheux, j’aurais du lui demander avant d’écrire mes conneries ludiques. Je lui ai donc téléphoné hier, dimanche soir 20/03/2022 à 20h18 durant 17 minutes et 32 secondes, pour lui demander s’il vivait toujours (ce qui était stupide car il me répondait) et allait bien et vendait toujours son apéritif Trousseminette… Positivement rassuré que je ne devrais pas changer mon texte mais soudain pris de remords de trop en écrire, j’ai modifié ma vision textuelle de l’histoire imaginée en y imbriquant un passage quasi publicitairement émouvant sur son business en y ajoutant quelques photos remises en scène grâce à mon logiciel de retouche. J’ai perdu une heure pour un défaut de détourage difficilement “correctible” compte tenu que j’en étais à mon quatrième Mojito. J’ai toutefois réussis à mal masquer le défaut et publié sur GatsbyOnline. J’ai dupliqué mon oeuvrette de GatsbyOnline sur sa page Facebook (vers minuit) espérant recevoir une caisse de Trousseminette, mais à mon réveil de ce lundi vers 9h30 l’article sur sa page avait disparu et il ne m’a pas téléphoné pour me remercier (il est 13h45 présentement ce lundi 21 mars 2022) me laissant supposer que le contenu allait sans doute trop loin ou pas assez (par rapport à sa clientèle essentiellement Vendéenne) et avait sans doute donné prétexte à diverses vociférations familiales pour mon initiative pouvant risquer des commentaires contreproductifs dans leur clientèle… Je pense ne pas recevoir de caisse de Trousseminette, ni n’aurais d’autre courriel/commentaire que le vôtre…
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