2 Hot-Rod’s ’32 : Deuce Coupe 5 Windows & Hi-Boy “Hoped-Up”…
Ce sont deux putains de Hot-Rod’s rigides comme des enclumes qui te cassent tour à tour la colonne vertébrale en 10 minutes ! Hallucinant ! Les Hot-Rods font fuir les “tout le monde bien pensant” et les “politiquement-correct”. A part les nostalgiques, les dingues, les gonzomaniaques, les désaxés et les déments, personne n’en veut plus depuis que le Covid19 et les vaccins ont changé toutes les habitudes qu’on croyaient immuables “pour toujours”, comme les amours… Ce sont surtout celles et ceux qui regroupent “les ceusses”, qui chialent de leurs malheurs en s’arrachant les cheveux parce qu’ils sont tristes tout le temps, parce qu’ils ne comprennent rien à la vie, parce que leurs cœurs explosent étouffés par la merde et parce qu’ils sont persuadés qu’ils vont mourir à cause des manomachins qu’on a mis dans les vaccins et qui seront activés par les ondes de la 5G…
Les Ford’s de 1932 sont de loin les bases les plus courantes des fêlés de Hot-Rodding aux États-Unis. Souvent appelé “Deuce” en référence argotique à l’année 1932 où ils étaient fabriqués dans l’usine Ford. La raison pour laquelle ils étaient si populaires est relativement simple : ils étaient simples à conduire, simples à entretenir et destinés aux gens simples qui pouvaient commander le modèle de leur choix, les yeux fermés. Les moteurs Ford V8 Flathead étaient vraiment abordables et peu couteux d’entretien. L’abordabilité des Ford ’32 a entraîné d’incessantes commandes, mais après environ 13 ans d’usage et de dépréciation années après années, toutes étaient idéales pour les jeunes hommes revenant de la Seconde Guerre mondiale, car simples et financièrement très abordables. Lorsque le moteur Ford V8 Flathead avait été introduit pour la première fois dans les Fords 1932, il produisait 65 chevaux, mais les jeunes américains entreprenants ont trouvé un certain nombre de moyens d’augmenter considérablement ce chiffre et ce qu’ils ne pouvaient pas extraire du moteur, ils l’ont compensé d’abord en allégeant, supprimant les ailes avant et arrière, les flancs de capot et les garnitures qui par ailleurs étaient souvent usées et déchirées en cause d’usages intensifs !
Ces voitures dépouillées, allégées et modifiées sont devenues populaires et connues sous le nom de Hot-Rod’s ! Eux, par contre, ont causé beaucoup de chaos sur les routes des petites villes américaines conduites par des “mauvais garçons”… Mais ils sont devenus des icônes nationales ! Le mythe du “Poor Lonesome Hot-Rodder” à remplacé le “Poor Lonesome Cow-Boy” alimenté par des films désuets (que vous pouvez visionner dans la section “Cinéma” de www.GatsbyOnline.com) et la naissance du magazine Hot-Rod (l’année de ma naissance en 1949). Aujourd’hui, il est presque impossible d’acheter une Ford 1932 V8 entièrement originale (en tôle). La popularité des “Deuce’s” d’Henry Ford était telle qu’elles sont toujours les plate-formes les plus courantes pour les authentiques Hot-Rodder’s. Des entreprises se sont pourtant peu à peu établies à travers les États-Unis depuis la f in des années ’40, fabriquant inlassablement des nouveaux châssis, moteurs, essieux et même des carrosseries en acier interchangeables avec les carrosseries originales, pour ceux ne voulant plus d’erzatz en polyester !
Croyez-le où non, mais c’est un encore plus vieux que moi (j’aurais 73 ans en mai 2022)… qui possède les deux Hot-Rod’s ’32 “Hi-Boy” qui sont les stars de cet article inédit ! Un Roadster “Ardun” et un Coupé “5 windows”. Il se prénomme Richard et a 88 ans… Années après années, qu’est-ce qui le pousse à continuer d’aimer les Hot-Rods ? En 65 ans d’activisme kustom, cet octogénaire bientôt nonagénaire a développé sa passion, cultivant à la fois une identité officielle assumée et de multiples incursions en terrains marécageux moins balisés pour laisser libre cours à son imagination. Qu’aurais-je pu en écrire plus ? Rien ! On pourrait d’ailleurs en rester là après avoir regardé la vidéo et les photos ! Il n’y rien d’autre à dire et écrire, si ce n’est déconner grâââââve de ses passions musicales dont 99% des habitant(e)s de notre planète terre se foutent totalement ! Il a été de toutes les aventures liées au Hot-Rodding… et bien qu’il est aujourd’hui, aux yeux d’une poignée de Hot-Rodder’s Yankees, l’un des survivants courant maintenant mythiquement dans l’underground, jamais, jamais; jamais, il ne le revendique !
Il parle pourtant à tous ceux et celles qui n’ont pas eu accès à cette “reconnaissance” relative dont il semble se moquer, prouvant combien d’envies il aura suscitées qui auront comblé même ceux et celles qui, aujourd’hui, ne peuvent y croire, seulement en rêver ! Malmenant sans cesse son propre univers, il y fait entrer un max des “ceusses” qui l’écoutent, et il s’amuse pourtant à les promener dans toutes sortes de directions loufoques ! Finalement, il avoue commencer à se mentir à lui-même ces dernières années, pour camoufler ses “manques”, et, pour se ressaisir il s’est lancé dans la “Zique” et a sorti un DVD de Rock-Country-Symphonique, démontrant un incontestable talent de musicien ! Une initiative réalisée en collaboration avec un véritable et incongru orchestre symphonique, une expérience unique s’il en est, qui a été enregistrée lors d’un concert à New-York !
Adepte du contre-pied, Richard qui a 88 ans, combine un duo avec une musicienne New-Yorkaise de 32 ans, qui a fait ses premières armes par PC’s interposés depuis 2006. Les 15 morceaux proposés étant le résultat d’une collaboration qui ne ressemblait à rien de ce qu’avait pu proposer la Rock-Country à ce jour ! Savoir sans cesse se renouveler, voilà la réelle capacité spéciale de Richard, qu’on surnomme “le caméléon”. Mais cela n’est sûrement pas un renouvellement par obligation ! Ce qui lui parle avant toutes autres choses aujourd’hui à l’écoute de ses “ziques”, c’est une simple et délicate évidence : celle qui dévoile l’honnêteté d’une démarche avant de chercher à en expliquer les rouages ! Plus fort encore, la sincérité ne suffisant bien évidemment pas à réaliser de la qualité, Richard et sa symphoniste qui est aussi sa copine de jeux sexuels et textuels (à 88 ans c’est prodigieusement fameux et mérite l’admiration) y ajoutent un mélange synthétique qui donne naissance à un vague “électro-hip-pop” qui recouvre délicatement chacun de leurs morceaux, sans jamais paraître déplacé ou factice.
C’est un résultat que l’on doit d’abord aux qualités de sa symphoniste qui, sans façonner des morceaux d’une complexité folle, applique minutieusement à chaque pulsation une patte sonore qui crée une identité personnelle. Et ce qui aurait pu s’avérer comme une tentative de fusion vaine se révèle une réussite de bout en bout. Quelques effets ici et là, un clavier délicat qui livre un semblant de mélodie jamais vraiment laissée à l’air libre, toujours légèrement retenue dans son déroulé, comme pour souligner son côté bancal et indéterminé. Une errance stylistique cultivée avec application qui trouve son exact reflet dans le style Hot-Rodder de Richard qui a toujours fait montre d’une inclinaison toute particulière à aborder des sentiments aussi diffus que la nostalgie, le regret, le désespoir amoureux et tant d’autres. En filigrane ou totalement affirmés, ces thèmes parcourent chaque vaisseau qui irrigue sa vie depuis toujours.
Cette sensibilité qu’il n’hésite plus à exposer aujourd’hui, Richard l’exprime sans ambages sans jamais tomber dans la sensiblerie mièvre, Richard gratte avec application ses plaies pour révéler ce qu’elles dissimulent, plus loin que les croûtes qui se forment à la surface. Ce fameux flow rocailleux qu’il cultive se révèle ici un outil redoutable pour arpenter les breaks et se fondre dans les nappes de synthés. Sa montée en intensité vocale est accompagnée par le piétinement des claviers qui l’accompagnent et parsèment le morceau d’éléments sonores. Hoped-Up (le même nom qu’il a donné à son Hot-Rod Roadster Hi-Boy, succède à des morceaux joués “à l’impact”, tout à fait étonnant, alors que Richard ne s’était jamais réellement exposé à un tel univers ! Peut-être, au final, la condition sine qua non à l’élaboration d’un opus de cette trempe, est de soulever avec autant de pertinence possible, des thèmes présentés les uns à la suite des autres qui prennent alors une dimension plus étrange encore, un aspect “ectoplasmique” où apparaissent puis disparaissent des éléments musicaux sans jamais qu’on sache ce qu’ils deviennent dans une noirceur insondable…
Parenthèse curieuse s’il en est, on est alors propulsé dans un univers stratosphérique soutenu par un déferlement sonore qui fait entrer dans une dimension inédite : le luxe d’un hommage de grande valeur aux Hot-Rods, qui semble dire aux néophytes : “Voilà d’où je viens, ne l’oubliez pas !”… Bien entendu, être sensible aux pulsations électro et au déferlement de synthés en tous genres, est un pré-requis pour se plonger réellement dans l’univers de Richard. Mais un esprit ouvert n’aura pas de mal à se laisser convaincre par son énergie, un cycle de notes qui se succèdent les unes aux autres et qui cherchent, à chaque fois, à tendre vers un cheminement en forme de courbe ascendante destinée à atteindre un climax constamment recherché. En bout de course, lorsqu’elle est poussée dans ses retranchements les plus éloignés, la mélodie donne naissance à un moment jouissif mais qui n’a plus grand-chose à voir avec l’identité originelle. Au rythme martelé par les valves rougeoyantes recouvertes de sang de ce cœur exposé à vif comme un sujet d’examen minutieusement décortiqué pour prendre les armes et ouvrir la chasse aux rapaces diurnes et nécrophages non sans s’être légèrement déplumés au passage et revenir à l’essence même des choses !
Richard n’a eu de cesse d’aller chercher toujours plus profond, afin de révéler une flamme d’une noirceur égale à la somme de délires textuels débités à un rythme lancinant et hypnotique, presque une pulsation cardiaque essentielle et première dénuée de tout artifice. Alors qu’il n’avait eu de cesse de révérer un swing chaloupé, il dépouille désormais ses beats comme pour contrebalancer ses productions chiches par un impact plus net et direct, à l’image d’un coup de pioche dans une roche dure comme l’acier. Aller plus loin encore dans l’orientation choisie, c’est un jusqu’au-boutisme musical à la logique implacable qui semble porter le duo vers un univers ensorcelant et abrasif comme retenu dans un mouvement perpétuel par des incantations couplées à des sortilèges primaires où les ingrédients mis en avant sont portés jusqu’aux limites d’eux-mêmes afin d’expulser une nouvelle dimension dont on suspecte qu’elle se trouve bien ici sans jamais en être véritablement persuadé.
C’est aujourd’hui chose faite ! Pour honorer cet assemblage toujours plus obscur, Richard a réuni un ensemble instrumental tiré d’une poignée d’instruments, cuivres, batterie, cordes aux prédominances incontestables, le tout habillé d’interventions live par petites touches ici et là. Parmi ces instruments, l’utilisation de la contrebasse semble avoir fait l’objet d’une attention toute particulière, attirant dans son sillage une bonne dose de mysticisme tout en distorsions et en graves appuyés d’une lourdeur non-feinte… Peut-on trouver meilleure preuve de ce crédo musical perfectionné si statique et froid, une combinaison d’une contrebasse grimaçante au possible, aux rebonds perdus et d’un violon plaintif et agaçant qui souligne avec une redoutable efficacité les propos complètement allumés de Richard concernant ses deux Hot-Rod’s utilisés à des fins toutes autres ne pouvant laisser place qu’à un hochement de tête significatif où végètent la peur, l’angoisse, la haine, la maladie, la vengeance, les hallucinations les plus bizarres de son esprit.
Dans cet assemblage de névroses dignes du premier cortex humain venu, il navigue à vue, maniant les unes et les autres avec une habileté textuelle exemplaire. Les suiveurs ne sont d’ailleurs jamais surpris : Richard n’a pas attendu bien longtemps pour se révéler être un conteur hors-pair, au flow jamais vraiment rappé ; pas réellement du “spoken word” non plus. Quelque part entre les deux, s’appuyant à dessein sur des pulsations synchrones pour déployer à son rythme ses propres angoisses. Jamais dissimulées par de quelconques fioritures, elles peuplent allègrement l’espace, évoluant comme bon leur semble. Plus qu’il n’en faut pour saisir pleinement la dimension toute particulière de ses propos. Bien sûr, son incontournable réussite est un hit à la puissance brute pure. Sur un parterre de violons lugubres, un schéma rythmique inflexible, quelques ajouts de cuivres, un saxophone débridé au possible pour habiller son récit avec un refrain entêtant qui ne quitte plus les oreilles : “I’m praying for the big sleep to lay me down easy / Swing low, sing sweetly / No pulse, pale eyes, can’t reach me”.
Enfermé à double tour dans un huis clos angoissant on est alors en proie aux peurs les plus primaires : celles de l’environnement direct, n’ayant pour seule issue qu’un appel vain au sommeil ultime libérateur. En tout et pour tout, on ne trouve dans tout cela que les névroses qui l’habitent : “Radiator from hell shaking, spittin’ up steam / Drunk cops on the rooftop blowing shots at the stream / Caught in between the crosshairs and walking the plank / And now I’m lost in the haze of the fog of the dream”… Loin des ego-trips routiniers, Richard présente des combinaisons réfléchies et travaillées, parfois complexes à saisir sans une véritable implication et un détour constant dans les travées louches sans vraiment risquer quelconque erreur d’appréciation, il paraît évident d’affirmer la force de cette formule créée à deux est portée à maturité.
De fait, une expression autoritaire et sans réelles hésitations de l’essence musicale de ce duo semble avoir atteint un climax dogmatique pour le moins jouissif et envoûtant. La beauté du désenchantement d’hier a laissé sa place à l’horreur du cauchemar devenu réalité : sans aucune forme de diplomatie, Richard et sa compagne déposent avec application leurs délires au cœur d’une zone où la lumière semble ne jamais pouvoir percer, en dépit de cent, mille, dix mille écoutes. Le foyer rougeoyant et chaotique n’est plus. En lieu et place, un brasero habité par une unique flamme froide et imperturbable. Dure, tranchante et implacable !
Le Ford “Blue-Hi-Boy-Roadster” de 1932 est à peu près aussi proche du Hot-Rod parfait que vous voyez sur les photosr. Il a été conçu par le designer industriel Jack Boxstrom et construit sur une période de deux ans par le très réputé garage Longley-Restorations, spécialiste de la construction traditionnelle de Hot-Rod’s. La construction a commencé avec un châssis original (et rare) de Deuce 1932 acquis au musée Daytona Beach de Mark Martin, qui était associé à la carrosserie type “Brookville” créée en 1929. Aimée par les Hot-Rodders pour ses lignes plus galbées que la carrosserie originale d’usine ’32 Ford. Lors de la construction d’un Hot-Rod, l’une des décisions clés est de canaliser le style de carrosserie permettant de la positionner le plus bas possible sur le châssis d’origine. C’est l’utilisation de cette dernière méthode qui fait qu’un Hot-Rod peut où non être appelé un “Highboy”, où “Hi-Boy”…
Surnommé “Blue-Hi-Boy”, ce Hot-Rod-Roadster a été construit comme un “Highboy” avec un essieu Moredrop véritable, des têtes Ardun sur un V8 Ford Flathead (authentiquement d’époque), des collecteurs d’échappement spéciaux, un tableau de bord Chrysler 1931, des sièges de style B-17 (sic !) et un intérieur en cuir magnifiquement réalisé. Longley-Restorations a minutieusement construit la voiture en utilisant des pièces d’époque correctes, suivant à la lettre la conception originale de Boxstrom. Dans les années qui ont suivi son achèvement, le moteur a été retiré et utilisé comme pièce d’exposition de musée, la voiture étant alors équipée d’un V8 Flathead alternatif. Heureusement, Richard a réussi à acheter le moteur Ford V8 Ardun Flathead d’origine au musée et à le réaménager dans le Hot-Rod qu’il avait également acheté aux enchères RM Sotheby’s dans le cadre de la collection Dingman. Le prix d’adjudication était de 100 000 $ US…
Si vous souhaitez en savoir plus sur l’histoire d’Ardun, accrochez-vous et lisez ce qui suit… La conception fondamentalement bancale du célèbre Ford Flathead V8 avec ses soupapes latérales et les problèmes associés qui les accompagnent, a été largement corrigée par Zora Arkus-Duntov et son frère Yuri en 1947. Sous contrat avec Ford pour augmenter l’efficacité et la puissance de leurs moteurs de camion Flathead, les frères ont créé une paire de têtes de soupapes en tête en alliage d’aluminium qui pouvaient être montées sur le V8 Flathead Ford et augmenter immédiatement la puissance et le couple de plus de 50%. La tête est devenue connue sous le nom de “Ardun Heads” d’après le nom de la société “Ardun Mechanical Corporation”, qui était elle-même une contraction du nom de famille de Zora et Yuri – ARkus-DUNtov. Ca vous en bouche un coin, non ?
Bien que seulement environ 250 de ces têtes aient été fabriquées à l’origine, elles sont devenues bien connues dans la communauté américaine du Hot-Rodding en plein essor. Malgré le fait qu’elles avaient été conçues pour les moteurs V8 de camions, les Hot-Rodder’s ont réalisé qu’ils pouvaient obtenir plus de 200 à 300 chevaux au départ des V8 Flathead d’origne !!! Modifiés lorsqu’ils étaient équipés de têtes Ardun, les Ford B’32 devenaient des Dragsters de route ! En 1951, une Ford équipée de pièces Ardun a établi un record de vitesse terrestre de 162,61 mph sur les salines de Bonneville, cimentant à jamais les têtes dans les livres de records et ne faisant qu’ajouter à l’attrait des rares moulages originaux.
Zora a continué à travailler chez Chevrolet et on se souvient aujourd’hui de lui comme étant le parrain de la Corvette. Ses têtes Ardun sont rentrées en production avec quelques améliorations sous les couvercles de soupapes et peuvent maintenant être montées sur des V8 Flathead nouvellement construits, comme ils l’étaient dans les années 1940.
Le Hot-Rod Ford 5-Window ’32 également propriété de Richard est un excellent exemple d’un Deuce original ayant un toit diminué de 3 pouces en hauteur et d’une peinture totale “de luxe” par Glassurit, qui a été polie jusqu’à une finition miroir. Bien que la carrosserie soit une Ford d’origine, le châssis a été nouvellement construit par le célèbre So-Cal-Speed-Shop. Un V8 Mercury 255ci Flathead (tête plate) a été reconstruit avec des carbus Tri-Power de chez Eddie Meyer. La transmission manuelle est à 5 vitesses. L’intérieur et le coffre sont recouverts de cuir. Voilà, on est arrivé à la fin, moi de l’écrire, vous de l’avoir lu, ce qui suppose que vous êtes abonné, ce pourquoi je vous remercie.
2 commentaires
Une sextape des ébats de Richard et sa compagne de jeux est-elle disponible sur le net ? Ou bien à défaut, leurs enregistrements musicaux le sont-ils ?
La différence d’âge rend l’affaire assez vicieuse. Pour les enregistrements musicaux, il y a manifestement incompatibilité entre les Super8 et les VHS !
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