Le Hot-Rod est un élément du grand mythe américain…
Tapoter ce titre est en phase avec la nouvelle norme actuelle consistant à : “Ecrire pour ne pas être lu” ! Un acte apparemment volontaire qui a le mérite de l’être, s’inscrivant dans l’art (sournois et faux-cul)) du “politiquement-correct”. Ce qui ne se positionne toutefois pas (vraiment) dans la suite de : “Parler pour ne rien dire” ! C’est, en fait (sous toutes réserves et sans reconnaissance préjudiciable) l’exact contraire de ces négations positives dont il s’agit ici… Donc et plus brièvement exposé, la traduction littéraire appropriée à cette mise en bouche cuisinée de mains de Maître-Queux (les miennes en l’occurrence), est qu’écrire/cuisiner un texte saucé intelligemment avec de nombreuses pointes d’humour, est semblable à préparer une entrecôte saignante mais grillée (et comportant du bon gras) accompagnée d’une sauce (Béarnaise où Roquefort) à des gourmets (supposés), n’ayant pas encore été vaccinés contre l’humour… Ce n’est plus dans les normes admissibles, ni actuelles ni factuelles, car nous sommes maintenant en dictatucratie. Le terme est volontairement fort en gueule (en bouche) car les contraintes perpétuelles imposées sont devenues des règles formelles. En effet, les mensonges sont devenus les casseroles de l’art-politique dans lesquelles sont mijotés divers brouets (indigestes) concoctés par notre président sorcier, ses lutins dévots et succubes ! Entre deux vaccinations obligatoires de poisons, le seul dérivatif sportif est le footbaalaah ainsi que la soumission extatique aux TV-Radios d’Etat officielles, seules autorisées à diffuser des Fake-News légalisées que la populace se doit d’accepter et mémoriser sous peine de perdre le statut officiel de “Bon Français” !..
J’ai donc personnellement un doute sur l’utilité et la légalité d’écrire cet article qui va immédiatement soit être censuré, soit être défini comme une gigantesque et trop longue “Fake-News”, ce qui va me placer comme durant le Moyen-Age, sous la menace d’un arsenal très complet et très varié de peines : une amende pécuniaire (en millions d’euros), une peine infamante (exposition publique au pilori), un châtiment corporel (mutilation), la mort (noyade, pendaison, décapitation), les galères, le bannissement (assignation à résider ailleurs). La liste des possibilités est longue. En revanche, la torture n’est pas une peine elle constitue une atteinte à l’intégrité physique n’ayant pas pour but de punir, mais d’obtenir des aveux dans le cadre d’une instruction relative aux sommes d’argent dues aux impôts. Considérez donc que cet article est potentiellement trop dangereux pour être lu et que selon les directives légales, vous reconnaissez en avoir été informé et acceptez d’avance, sans rétorsion me concernant, tout ce qui pourrait vous arriver psychologiquement après lecture… Se servir d’un Hot-Rod pour tenter de vous ouvrir les yeux sur les dérives de la société de merde dont vous avez contribué par votre vote à mettre en place est un acte assimilable à de la cruauté sur personnes moralement handicapées incapables de raisonnement ! Vos semblables hères aux États-Unis, dans l’ensemble, sont fermement convaincus de la supériorité de ce que le public nomme : “The American way of life” (Le mode de vie américain). Et c’est ce qui est également affirmé en Occident. Même si la Russie est plus vaste en taille, la population américaine considère que les USA sont le pays le plus grand du monde, voire de l’univers. Les USA sont une terre de liberté et d’opportunités, un phare pour les pauvres et les opprimés du monde entier. L’attrait de l’Amérique est si fort selon les américains, que les dictateurs du monde entier doivent ériger des murs, comme les communistes l’avaient fait à Berlin, pour empêcher les gens opprimés de s’enfuir, et les valeurs ainsi que la liberté américaine d’entrer !
La chute du mur de Berlin en novembre 1989 est considérée aux USA comme une preuve de la supériorité du mode de vie américain. Actuellement, cela n’a pas changé, selon le Président Bidden (par exemple), la lutte entre le capitalisme américain et le socialisme/communisme Russe ex-Soviétique est presque terminée : “Le capitalisme américain va gagner même s’il faut en finir avec l’Europe polluée par les idées socialo/communistes/arabes en atomisant ceux qui ne peuvent plus être sauvés. La Russie, la Chine et les pays scélérats tels la Syrie et l’Iran sont les preuves les plus claires possibles que le capitalisme américain organise les affaires matérielles de l’humanité de manière plus satisfaisante que le socialisme/communisme/soviétique Russe. Le rôle de l’Amérique selon Dieu qui protège l’Amérique et Israël est de dominer le monde puis l’univers, car de toute évidence, le soleil de la liberté et du capitalisme se lève, chassant la nuit noire du communisme et des religions démoniaques”... Ce type de discours nazifiant, outre qu’il donne des sueurs froides aux populations du monde entier, concerne nos dirigeants européens inféodés à ces idées et qui détruisent volontairement ce qu’ils peuvent pour aboutir à “préparer le terrain à la seconde libération de l’Europe”. Cela oblige à une réflexion sur la folie qui anime certains de nos chefs pontifiants de gouvernement : “Le capitalisme et le mode de vie américain apportent-ils vraiment la liberté, l’abondance et les opportunités à tous, ou ne sont-ils qu’un voile idéologique cachant une réalité beaucoup plus sombre ? Notre “religiosité” béate et notre foi ainsi que notre croyance béate envers “l’American Way Of Life” fournit-elle une base réaliste pour nos vies personnelles et nos politiques intérieures et étrangères ? Ou s’agit-il, en fait, d’un “Grand Mythe Américain”, conçu par des spécialistes en communication, par des publicitaires, par des Lobbyistes et par des prêcheurs de fausses vérités et réalités destinées à nous empêcher de nous rendre compte des conditions réelles de notre existence ? Pour répondre à ces questions, il faut examiner empiriquement les conditions réelles de vie aux États-Unis et dans le reste du monde. Nous devons également nous inspirer des idées de la “science du mythe” : l’anthropologie.
D’autres nations ont aussi leurs mythes. Les Européens souscrivent dans l’ensemble à un grand mythe européen, semblable au grand mythe américain, une version moins extrême et plus humaine, mais non moins pernicieuse. Les Japonais ont leurs mythes et leurs débats sur le Nihonjinron. Les Russes ont les leurs également, de même que les nations Arabes et Africaines… Ce qui m’inquiète au premier chef, c’est l’examen critique du grand mythe hégémonique américain. L’anthropologie est une discipline professionnelle remettant en question les mythes sur les peuples “sauvages et primitifs” qui ont été utilisés pour justifier les dominations coloniales dont les bénéficiaires faisaient croire que l’Europe allait sauver “les sauvages” d’eux-mêmes car ils étaient dégoûtants dans leurs habitudes personnelles mais aussi qu’ils étaient mentalement et physiquement inférieurs en tant qu’êtres humains, s’ils étaient humains ! Compte tenu de leur statut grossier et sous-humain, il était donc normal que les “sauvages” soient éliminés ou gouvernés par la civilisation blanche. Le mythe du sauvage a donc servi à légitimer l’extermination (le génocide) des Indiens d’Amérique, la traite des esclaves africains et d’autres formes d’oppression par lesquelles les Européens ont établi leur domination coloniale sur le reste de l’espèce humaine. C’est ce même discours que les édiles, jusqu’au Président des USA ainsi que tous les chefs d’Etats Européens, servent “à leurs peuples” lors de tous les repas intellectuels, ce qui est relayé par les Médias subventionnés “aux ordres”, craintifs de ne plus l’être (l’exemple de “RT” interdit d’antenne au-delà de tous les boniments de liberté de la presse, ne sert qu’à museler les opinions contradictoires) tandis que la réinvention de la peste des siècles passés sous forme du Covid renforce la soumission aux directives les plus dictaturiales imaginables ! (Dictatorial est un terme que j’ai créé comme titre d’un livre concernant le 11 septembre)
L’anthropologie a dépouillé le mythe du sauvage de sa respectabilité scientifique. En vivant réellement avec les peuples autochtones et en essayant de les comprendre dans leurs propres termes, les anthropologues ont développé une nouvelle compréhension des peuples non occidentaux qui en conséquence ne peuvent plus être considérés comme des formes inférieures de l’humanité. Inférieures à leurs conquérants. Tous les humains, occidentaux et non occidentaux, doivent être considérés comme pleinement et également humains. Les idées de peuples, de cultures ou de races supérieures et inférieures sont basées sur des préjugés, pas sur la science. Cette idée, qui constitue le fondement de la science anthropologique moderne, est incompatible avec la domination coloniale qui pourtant perdure ! Si les peuples non occidentaux sont aussi humains que nous, ils devraient être traités comme des êtres humains, et non pillés, réduits en esclavage ou exterminés. La règle blanche n’a manifestement pas disparu. De nouvelles formes d’oppression ont remplacé les anciennes, et de nouveaux mythes ont incorporé les fonctions mystificatrices des anciens. En conséquence, l’anthropologie doit examiner ces nouveaux mythes de manière critique et scientifique. L’anthropologie, qui a commencé par démystifier le mythe du sauvage, doit maintenant se tourner vers le grand mythe américain… Il a trois aspects, le mythe de l’américanisme, le mythe de l’arriération et le mythe de l’anticommunisme. Ensemble, ces mythes servent à légitimer le statu quo aux USA et la politique étrangère des États-Unis à l’étranger. La croyance politique fondamentale de l’américanisme est que l’Amérique est libre, que c’est une terre d’abondance et d’opportunités presque illimitées, que les gens dans d’autres pays peuvent être pauvres, exploités et opprimés, mais pas en Amérique, car n’importe qui peut réussir en Amérique s’il est prêt à travailler dur. Il faut donc bannir voire éliminer physiquement les clochards, les Sans Domicile Fixe (SDF), les hippies, les tricheurs de l’aide sociale.
Il y a aussi les bureaucrates gouvernementaux qui préfèrent mener une vie de sécurité (sucer la tétine publique), plutôt que de tenter leur chance dans le monde réel, bureaucrates qui veulent diriger la vie des autres par le biais des réglementations gouvernementales et surtaxer leur richesse. Ceux-ci et d’autres “bienfaiteurs” essaient d’arranger les choses pour donner des avantages aux indignes, laissant les assistés sociaux tricher et libérer les criminels… Le mythe de l’arriération soutient ce qui suit : “Le reste du monde aimerait être comme l’Amérique, mais n’est pas aussi avancé que l’Amérique. Par conséquent, il y a encore de la pauvreté dans le monde, mais les Américains sont généreux et essaient d’aider quand ils le peuvent en y envoyant des troupes militaires pour supprimer “les hostiles”. Grâce à des programmes d’aide internationale tels que “CARE”, les Américains aident les gens dans les pays étrangers à s’aider eux-mêmes et à devenir comme les Américains. Mais ces choses prennent du temps, et beaucoup d’étrangers Communistes-Russes, envieux de l’Amérique et stimulés par la propagande bolchevique, se tournent vers le terrorisme antiaméricain qui est la menace la plus visible pour la seule et vraie liberté américaine ! Le principal ennemi de la liberté, cependant, est le Communisme-Russe”…. Le mythe Américain de l’anticommunisme est que : “Les Communistes-Russes veulent détruire la liberté et établir un monde totalitaire et esclavagiste. Les Communistes-Russes créent des troubles parmi les défavorisés du monde en blâmant l’Amérique pour les problèmes du monde et en promettant la sécurité et la richesse dans un État Communiste-Russe mondial. Le véritable objectif des Communistes-Russes est la domination du monde et pour y parvenir, ils doivent détruire l’Amérique. Face à cette menace communiste-Russe incessante, les États-Unis doivent être forts et se protéger de l’agression et de la subversion Communiste-Russe. Cela implique de maintenir un solide arsenal nucléaire et d’intervenir dans les pays étrangers pour empêcher les prises de pouvoir Communistes-Russes. Cela implique également d’empêcher les Américains idéalistes de se vendre aux Communistes. Les Américains doivent donc être forts et impitoyables, dignes du respect et de l’admiration des femmes. Les hommes doivent être des hommes, et les femmes doivent être des femmes. Les vrais hommes Américains ne sont pas des intellectuels, mais ils connaissent la différence entre le bien et le mal”…
Dans les mondes de John Wayne et de Sylvester Stallone, les hommes blancs sont bons, les Indiens sont mauvais, les flics sont bons, les voleurs mauvais et les Américains sont bons, les communistes mauvais ! Telle est, dans les grandes lignes, l’image de soi de l’Amérique dans le monde moderne qui sous-tend la politique étrangère Américaine et une grande partie de la pensée et du comportement quotidien de l’Américain moyen (basique). Cette image de soi, cependant, ignore ou obscurcit les segments vitaux de la réalité et ignore la structure de classe réelle des États-Unis ainsi que la répartition réelle de la richesse et de la pauvreté aux États-Unis. Cela obscurcit la nature réelle du système de sexe/genre aux États-Unis et occulte la cause réelle de la pauvreté et du sous-développement économique dans le monde. Cela obscurcit les racines économiques réelles des politiques étrangères des États-Unis et occulte les véritables racines de la course aux armements. La plupart, des Américains croient que les États-Unis sont une terre d’opportunités, que quiconque est prêt à travailler dur peut réussir et que ; 1°les riches ne devraient pas être critiqués, parce qu’ils ont travaillé pour ce qu’ils ont ; 2°Les pauvres n’ont pas besoin d’être pris en pitié, car leur condition est le résultat de leurs propres décisions, ils n’ont qu’eux-mêmes à blâmer pour leur pauvreté…. C’est profondément enraciné dans le caractère américain pour encourager les individus à assumer la responsabilité de leur propre vie et de leurs propres décisions et favoriser une approche américaine de la vie. Cette croyance encourage la complaisance de ceux qui ont pu utiliser le système à leur avantage et l’insensibilité envers ceux qui sont moins fortunés. À un niveau superficiel, le grand mythe américain semble refléter la réalité. Nous connaissons tous des gens riches qui travaillent dur et des pauvres qui sont paresseux. Toutefois, en tant que guidance de politique sociale et outil d’analyse sociale, c’est insuffisant pour diverses raisons. Premièrement, la structure même de la société américaine dicte que seuls certains peuvent devenir riches et d’autres doivent être pauvres.
Peut-être qu’une analogie peut aider à faire valoir ce point. Une seule équipe peut gagner le Super Bowl. Peu importe à quel point tout le monde joue, la plupart des équipes ne se qualifieront pas et ne peuvent pas, de par la structure même de la NFL, se qualifier pour les séries éliminatoires. De même, l’américain ne peut avoir une société composée uniquement de médecins, d’avocats, de banquiers et de gestionnaires; Il doit y avoir des plongeurs, des serveuses, des éboueurs, des secrétaires et des travailleurs pour les chaînes de montage ! Pour les perdants, soit près d’un tiers de la population vivant dans une pauvreté officiellement définie, les punitions sont sévères : sans-abrisme et désespoir… La structure de la société américaine dicte donc que, quels que soient les efforts déployés par les gens, il y aura des riches et des pauvres, des gagnants et des perdants. De plus, la concurrence n’est pas égale. Bien que les hommes blancs de la classe moyenne puissent rivaliser les uns avec les autres sur la base d’une parité approximative, ce n’est pas le cas pour le reste de la population. La socialisation de la petite enfance est probablement plus importante, bien que moins visible, que la discrimination très réelle à laquelle sont confrontées les minorités raciales et ethniques et les femmes sur le marché du travail aux USA. Dès l’enfance, les hommes blancs de la classe moyenne y sont socialisés pour réussir. On donne des modèles auxquels la population américaine peur s’identifier, on apprend à compétitionner et on offre une formation adéquate. Les femmes de la classe moyenne sont socialisées pour soutenir la concurrence masculine, bien que les femmes soient de plus en plus programmées pour concourir pour des emplois “de leur niveau”... Parmi les pauvres, les conditions sont très différentes : un enfant qui grandit dans un ghetto peut avoir une prostituée pour mère et des proxénètes et des revendeurs pour modèles. Ces enfants n’acquerront pas les valeurs et la formation nécessaires pour réussir dans la société américaine. Peut-être que les parents font de mauvais choix, mais les enfants ont peu de choix en la matière. Les enfants pauvres sont socialisés pour l’échec dans la société américaine, pas moins que la classe moyenne est socialisée pour la réussite.
Le fait que certains pauvres parviennent à acquérir la volonté et les compétences nécessaires pour échapper à la pauvreté ne change rien à la situation. Ce sont quelques-unes des considérations qu’il faut garder à l’esprit lorsqu’on examine la répartition réelle de la richesse aux États-Unis. C’est là que vous devez comprendre, lecteurs/lectrices internautes qu’un personne de “basse condition” aux USA croit qu’en se fabriquant un Hot-Rod délirant qui pourra être publié dans un magazine, le rendra célèbre et lui permettra une reconnaissance dans l’Elite si non inaccessible… Jouer ce jeu c’est se conformer aux valeurs Américaines… Et croyez bien que l’élite américaine n’en a rien à faire des hurluberlus… Quoique, les temps changent… Quelques milliardaires issus des basses-souches qui ont rêvé étant jeune d’un Hot-Rod et ont les moyens financiers de s’en faire fabriquer au plus Top du Top, deviennent des exemples et sont suivis… De sorte qu’un Hot-Rod est maintenant aussi bien considéré qu’une Ferrari. Le fait qu’il y a 10 ans Peeble-Beach a ouvert son concours aux Hot-Rods a placés ceux-ci comme faisant partie de “l’American Way of Life”… Sur ce point, ayant été un des prêcheurs du Hot-Rodding et du Kustomizing avec Chromes&Flammes qui était diffusé à 500.000 exemplaires chaque mois en 5 éditions couvrant l’Europe entière en ce compris les pays de l’Est, ex-Soviétiques, et même de la Russie ou existent toujours (malgré la guerre en Ukraine et les sanctions) des clubs de Hot-Rodders “à la Russe” ! Je considère que notre monde est fou car peuplé de cinglés ! En effet Le Hot-Rodding quoiqu’Américain était excessivement bien considéré dans tous les pays de l’ex-bloc soviétique ainsi qu’en Russie qui comportait plusieurs clubs de Hot-Rods et Kustom-Cars. J’y ai développé des versions locales de Chromes&Flammes et même publié ici quelques articles. L’attitude unilatérale des chefs des gouvernements européens a détruit cette création d’appartenance et c’est dommageable. Il est impossible de leur expliquer quoique ce soit alors que la France a bombardé la Lybie pour libérer “son peuple oppressé” qui avait un niveau de revenu par habitant plus élevé qu’en France sans devoir travailler !
Ajoutez-y notre passé colonial qui perdure, le Kosovo bombardé par l’ONU, le coup d’état en Ukraine organisé/financé par les USA sous les gesticulations immondes de BHL.. Ajoutez-y le passé colonial de l’Angleterre et le génocide total des Amérindiens par les colons européens à la conquête des Amériques, sans oublier que la Russie nous a aidé à combattre le nazisme, n’a jamais envahi la France alors que la France a envahi la Russie avec Napoléon, que la Belgique à génocidé les populations du Congo… Comprenez dès-lors qu’arrivé au stade actuel, nous ne sommes plus crédibles et risquons un grave retour du balancier car on ne nous aime plus, on ne nous crois pas plus que les américains qui eux nous méprisent… De toute évidence, la croissance mondiale des inégalités et de la pauvreté est un phénomène capitaliste. Toute discussion sur la pauvreté dans le monde doit reconnaître que les statistiques sont au mieux des estimations. Personne ne sait vraiment combien de pauvreté et de souffrance existent dans le monde, bien que tous s’accordent à dire qu’elles sont considérables. Les estimations du nombre d’enfants qui meurent de faim chaque année, par exemple, vont de 14 à 40 millions. Il est important de compter le nombre d’enfants qui sont en détresse, mais il est plus important de comprendre les causes de la pauvreté dans le monde. Ce n’est que lorsque nous comprenons les causes que nous pouvons commencer à suggérer des solutions. Il y a plus d’une décennie, dans une discussion sur les pauvres du monde, il a été fait référence à l’innocence cruelle des Américains. Les États-Unis sont normalement un participant inconscient et un bénéficiaire d’un système mondial d’injustice qui déforme ou détruit l’esprit et le corps de centaines de millions d’êtres humains. Les américains sont peut-être conscients de la pauvreté et de l’arriération qui affligent la majeure partie de l’humanité, mais ne les considèrent pas comme liés à l’abondance américaine. Il est peut-être vrai que le peuple des États-Unis a été plus ou moins des participants inconscients dans ce système mondial d’injustice !
Ce n’est pas le cas du gouvernement des États-Unis. La politique étrangère des États-Unis a constamment poursuivi des politiques favorisant les intérêts commerciaux des États-Unis aux dépens de la liberté politique et du bien-être économique du tiers monde. Dans la vision conventionnelle, la richesse de l’Amérique est due au travail acharné et à l’industrie des Américains, et ce n’est pas leur faute si d’autres peuples n’ont pas réussi à réaliser… De tels points de vue, qui sont très réconfortants pour les Américains, supposent que si l’Europe a eu une histoire, le reste du monde n’en a pas. L’Amérique latine, l’Asie et l’Afrique ont toutes leurs histoires, qui sont des histoires de colonialisme. Le développement économique des nations euro-américaines a été financé dans une large mesure par le pillage du monde non occidental? la conquête de l’Amérique du Nord et du Sud et l’extermination des populations indigènes, la traite des esclaves en Afrique, la conquête et l’assujettissement de l’Asie. Ce processus a transformé non seulement l’Europe, mais il a également transformé le reste du monde. L’Amérique latine, l’Afrique et l’Asie n’ont pas seulement été vidées de leurs richesses, elles ont été soumises à l’Occident et leurs systèmes économiques ont été transformés pour faciliter l’extraction continue de la richesse du monde colonial vers l’Europe. Même après la fin de la période initiale de conquête et de pillage, le monde non occidental était systématiquement sous-développé au profit de l’Occident. Le colonialisme a forcé les paysans à remplacer les cultures vivrières par des cultures commerciales qui ont ensuite été expropriées à des taux très bas. Le colonialisme s’est emparé des meilleures terres agricoles pour les plantations destinées à l’exportation et a forcé ensuite les travailleurs valides à quitter les champs pour être esclaves ! Ce processus ne s’est pas terminé avec la fin du colonialisme après la Seconde Guerre mondiale, car les sociétés multinationales basées en Amérique du Nord et en Europe continuent de contrôler les ressources économiques des pays du tiers monde et de maintenir ainsi leur pauvreté et leur arriération.
Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis sont devenus la première puissance mondiale et il y a eu une croissance spectaculaire de la richesse et de la richesse aux États-Unis et chez leurs alliés en Europe occidentale. Mais cela s’est accompagné d’une croissance tout aussi spectaculaire de la pauvreté en Amérique latine, en Afrique et en Asie. La plupart des richesses nouvellement créées, cependant, continuent d’être appropriées par les classes riches des pays capitalistes. À l’autre extrémité du pôle, dans les classes qui produisent cette richesse, en particulier celles des nations de la périphérie, la pauvreté abjecte, la famine, la maladie et l’analphabétisme abondent et même augmentent. Au cours d’une seule des décennies de croissance économique rapide, on estime que le nombre de personnes “gravement pauvres” dans la périphérie capitaliste a augmenté de 119 millions pour atteindre un nouveau total de 1,21 milliard de personnes gravement pauvres soit 45% du monde capitaliste. Au cours des 25 dernières années au moins, non seulement la terreur officielle a été responsable de la torture et du remplissage à une échelle beaucoup plus grande que son homologue de détail, mais, en outre, l’équilibre de la terreur s’est déplacé vers l’Occident et ses clients. La torture, qui depuis deux ou trois cents ans n’a été qu’une curiosité historique, a soudainement développé une vie propre et est devenue un cancer social, et cette croissance cancéreuse est en grande partie un phénomène du monde libre. La politique étrangère des États-Unis se préoccupe également de préserver les intérêts américains à l’étranger et maintient près d’un demi-million de soldats stationnés dans des pays étrangers, avec un autre quart de million à bord de navires de guerre. Les États-Unis sont intervenus dans divers pays plus de 200 fois depuis la Seconde Guerre mondiale. Les États-Unis se sont lancés dans un programme visant à consolider leur contrôle sur ce qu’ils appellent le monde libre.
Ce programme comprend une aide économique et militaire aux nations disposées à accepter l’hégémonie américaine et à permettre aux entreprises américaines d’opérer librement à l’intérieur de leurs frontières. Cela comprend également l’utilisation de la CIA pour renverser des gouvernements que les entreprises américaines n’aiment pas, comme en Iran, au Guatamala, en République dominicaine, au Brésil, au Chili et en Indonésie. L’armée américaine a été directement impliquée en Corée, en République dominicaine, au Vietnam et à la Grenade. Tout cela était justifié en termes de liberté et d’anticommunisme, le motif sous-jacent a toujours été la liberté des entreprises américaines de faire des profits où elles veulent. Dans ce contexte, il est difficile de croire que l’arsenal nucléaire américain a été développé simplement comme moyen de dissuasion contre une attaque soviétique et qu’il perdure en expansion pour le nouveau péril Russe !!! En effet, les faits semblent soutenir la conclusion que les Soviétiques avaient développé leur capacité nucléaire comme moyen de dissuasion contre la menace très réelle d’une attaque nucléaire des États-Unis ! Les faits indiquent que les dirigeants des États-Unis étaient et sont toujours déterminés à préserver leur domination à n’importe quel prix, même au point de détruire l’humanité. Aucune autre classe dirigeante dans l’histoire n’a jamais été coupable d’une telle arrogance. Cette arrogance a été camouflée en promulguant une vision déformée de l’Union soviétique devenue Russie comme un Empire du Mal voué à la conquête du monde. Les Américains ont systématiquement appris à haïr le communisme et à craindre l’Union soviétique et maintenant la Russie. Les dirigeants soviétiques maintenant Russes, avait-on dit, sont déterminés à conquérir le monde et quels que soient les crimes que le gouvernement américain peut commettre, ils sont justifiés par la menace de l’expansionnisme Soviétique/Russie.. Que de balivernes ! Cette crainte est sans fondement. C’est sans fondement, d’abord, parce que le système soviétique devenu Russe est différent de l’impérialisme américain, tandis que les inégalités, la pauvreté, l’ignorance et la répression augmentent sans cesse dans le monde capitaliste, elles diminuent dans le monde socialiste.
En outre, il n’y a pas de classe dans la société Soviétique/Russie comparable aux propriétaires des sociétés multinationales qui ont un intérêt économique direct dans l’oppression des peuples du tiers monde. Les avantages matériels et sociaux dont jouissent les dirigeants soviétiques/Russes ne les obligent pas à étendre le contrôle sur d’autres nations (mais ils sont tenus de protéger leur pays de l’agression étrangère et de la subversion). De toute évidence, les Soviétiques avaient assez de soucis avec la Pologne et l’Afghanistan. Comment maintenant devenus Russes vont-ils contrôler la France, l’Italie, l’Iran et le Pakistan, et encore moins le Bronx ? C’est sans fondement, c’est une peur qui est consciemment inculquée aux Américains par la classe dirigeante. Les médias américains et occidentaux déforment systématiquement tout. Ils le font en soulignant les caractéristiques négatives et en ignorant les aspects positifs, en employant des termes biaisés et chargés de valeurs pour décrire la société et la politique, et en créant une image que la Russie, ex-Union soviétique est coupable de toutes les infractions qui lui sont reprochées. La vision américaine, en bref, est un produit des médias et ne reflète pas la réalité !
L’Union soviétique n’a pas constitué une menace pour la paix et la liberté mondiales, ni pour le mode de vie du travailleur moyen aux États-Unis. Les travailleurs aux États-Unis n’avaient aucune raison de craindre la propagation du communisme. En 1969, le Secrétaire général des Nations Unies, U Thant, avait averti : “Je ne veux pas paraître exagéré, mais je ne peux que conclure des informations dont je dispose en tant que Secrétaire général, que les Membres des Nations Unies ont peut-être encore dix ans pour subordonner leurs anciennes querelles et lancer un partenariat mondial pour freiner la course aux armements. améliorer l’environnement humain, désamorcer l’explosion démographique et donner l’élan nécessaire aux efforts de développement. Si un tel partenariat mondial n’est pas forgé au cours de la prochaine décennie, je crains fort que les problèmes que j’ai mentionnés n’aient atteint des proportions si stupéfiantes qu’ils échapperont à notre contrôle”. (cité dans Meadows et al., 1973:17).
Une décennie plus tard, répondant à une directive du président Carter d’étudier les changements probables dans la population, les ressources naturelles et l’environnement de la planète jusqu’à la fin du siècle pour servir de base à notre planification à long terme, le Conseil sur la qualité de l’environnement et le Département d’État ont rapporté : “Si les tendances actuelles se poursuivent, le monde en 2000 sera plus encombré, plus pollué, moins stable écologiquement et plus vulnérable à la perturbation que le monde dans lequel nous vivons maintenant. De graves contraintes impliquant la population, les ressources et l’environnement sont clairement visibles à venir. Malgré une production matérielle plus importante, les populations du monde seront plus pauvres à bien des égards qu’elles ne le sont aujourd’hui. Pour des centaines de millions de personnes désespérément pauvres, les perspectives en matière de nourriture et d’autres produits de première nécessité ne seront pas meilleures. Pour beaucoup, ce sera pire. À moins de progrès technologiques révolutionnaires, la vie de la plupart des gens sur terre sera plus précaire en 2000 qu’elle ne l’est aujourd’hui, à moins que les nations du monde n’agissent de manière décisive pour modifier les tendances actuelles”. (Barney 1980:1) Malgré ces avertissements, venant non pas de Radicaux rouges, mais de représentants de l’establishment, rien n’a été fait. Plutôt que de s’attaquer aux problèmes de la vie réelle décrits dans ce rapport, Reagan a poursuivi la plus grande course aux armements de l’histoire et a lancé Star Wars. De toute évidence, la classe dirigeante est moins préoccupée par la faim, la maladie et l’ignorance de la majorité de notre espèce que par ses propres profits. Une grande partie de ce qui précède a été écrit avant que les événements de 1989 ne modifient radicalement toutes les conceptions antérieures sur la nature de l’Union soviétique et de l’Empire du Mal. Alors que les dirigeants soviétiques ont mis en pratique leur nouvelle façon de penser et désamorcé le conflit mondial, l’administration Reagan-Bush a continué son ancienne façon de penser et d’agir.
Alors que l’Union soviétique permettait à une vague de révolutions sociales de transformer la politique de l’Europe de l’Est, l’administration Bush déployait sa puissance militaire aux Philippines pour préserver le gouvernement chancelant d’Aquino et préparait l’invasion du Panama. La crise actuelle qui menace de devenir une autre guerre mondiale, est une preuve supplémentaire que la véritable menace pour la paix mondiale n’a jamais été ni l’Union soviétique ni la Russie. Il est plus raisonnable de voir l’impérialisme américain comme une menace pour la paix mondiale…Telles sont les grandes lignes du monde dans lequel nous vivons. Pour que l’aventure humaine continue, il est essentiel que nous comprenions cette réalité et comment elle s’est développée. Ce n’est qu’alors que nous pourrons envisager intelligemment des solutions. Mais, la plupart des Américains refusent de croire que des solutions sont possibles. Même lorsque la réalité du rôle des États-Unis dans la politique mondiale est reconnue, la plupart des Américains adoptent une attitude cynique comme pour dire: “C’est comme ça, et rien ne peut être fait à ce sujet”. Cependant, même ce dernier refuge de passivité politique ignore les potentialités cruciales de changement dans notre société. Par exemple, le président Nixon a menacé en 1969 d’utiliser des armes nucléaires si les Nord-Vietnamiens n’acceptaient pas ses conditions. Ces menaces n’ont toutefois pas été mises à exécution. Pourquoi ? Nixon lui-même en donne la raison, une seule, dans ses mémoires : “Il y avait trop d’Américains dans les rues, manifestant de manière non violente contre la guerre, le 15 octobre, et de nouveau le 15 novembre, 1969, l’époque des actions du moratoire sur le Vietnam et de la marche de Washington contre Dean, qui chevauchait son ultimatum secret du 1er novembre”. Nixon s’est rendu compte le 16 octobre, rapporte-t-il, que le mouvement de protestation avait tellement polarisé l’opinion publique qu’il n’aurait pas suffisamment de soutien pour son escalade prévue. Selon lui, le mouvement anti-guerre l’avait empêché de mettre fin à la guerre à sa façon. D’un autre point de vue, les actions de protestation (dont Nixon avait gardé le pouvoir et l’effet réels à l’époque aussi secrets du public que son ultimatum) ont prolongé le moratoire sur l’utilisation des armes nucléaires au combat d’une douzaine d’années jusqu’à présent.
Il n’est donc pas vrai que le peuple américain soit impuissant face à ses dirigeants. Il y a eu de puissants mouvements de changement social dans le passé de l’Amérique, et il y en aura d’autres dans notre avenir. De tels mouvements confirment l’observation de Marx selon laquelle : “La société actuelle n’est pas un cristal solide, mais un organisme capable de changer et qui change constamment”(Marx 1867:10). Tout cela peut sembler comme si je ne faisais que substituer un mensonge scandaleux au grand mythe américain. Je ne pense pas, mais même si je l’étais, mon point de vue resterait valable. Nos hypothèses communes sur le monde ne sont pas les seules raisonnables. Il est possible de développer une vision tout aussi convaincante qui est diamétralement opposée à notre vision conventionnelle. Nous devons évaluer ces points de vue contradictoires pour voir quelle est une image plus vraie de la réalité et laquelle est un meilleur guide pour l’action. Pour ce faire, nous devons nous tourner vers la science. Les problèmes auxquels nous sommes confrontés sont sociaux et non naturels. Le problème de la faim n’est pas parce qu’il n’y a pas assez de nourriture, mais à cause de notre ordre social mondial. La question de savoir si le capitalisme ou le communisme peut mieux résoudre nos problèmes est une question que les sciences sociales doivent aborder. Mais la réponse en avance semble déjà écrite avec “The Great Reset”… Notez qu’à 73 ans actuellement, je n’en verrais vraisemblablement rien… Je vais donc en revenir au Hot-Rod dont les photos égaient cet article qui si non serait plein de photos d’explosions nucléaires…
Hot-Rod McCulloch Blower
Il y a beaucoup de raisons pour lesquelles quelqu’un construit un Hot-Rod, mais assembler une voiture entière autour d’une seule pièce ? C’est nouveau et cela parait plus crétin que fou. Pourtant, c’est exactement ce que Steve Lenain a fait avec son roadster A/V-8. La pièce ? C’est un très rare compresseur McCulloch positionné au dessus du V8 Flathead. C’est un modèle de production avant-gardiste qui remonte à la fin des années 1930 : “J’ai toujours aimé les compresseurs, explique Steve : Quand j’étais enfant, je lisais tout sur les Paxton et les McCulloch dans HOT ROD Magazine et je leur écrivais pour obtenir des informations. J’ai ainsi essayé de fabriquer un compresseur pour mon kart à pédales à partir d’un aspirateur”... Il s’arrête un peu. “Ça n’a pas marché. L’aspirateur a explosé ! C’était vers 1980”, se souvient Steve, quand un de ses amis lui a dit : ” Hé, j’ai quelque chose que tu pourrais aimer, un compresseur pour camion”, et Steve l’a acheté sur place. La chose était, cependant, que c’était juste le Compresseur. Pas de poulies. Pas de prise. Pas de plomberie. Alors Steve l’a mis sur son étagère et a commencé à construire d’autres Hot-Rods. C’est 25 ans plus tard que Steve a eu l’idée de faire quelque chose avec le compresseur. Lors du spectacle de la fête des pères au L.A. Roadsters Club, entouré de centaines de Hot-Rods, un représentant de la firme Brookville était présent au salon et Steve lui a commandé une carrosserie de Roadster en acier, qui lui serait livrée l’année suivante au salon. Steve a ensuite passé les 12 mois suivants à assembler le reste de la voiture. Il a commandé un châssis à TCI et y a accroché un essieu à l’avant sur des triangles divisés.
Il a obtenu un pont arrière Ford ’40 rearend et l’a adapté au châssis (des restes de l’époque) pour fournir des perchoirs pour les ressorts arrière Ford ’40. Le V8 Flathead est d’une ’50 Merc 8BA de son copain, Kenny Myers. Sinon, les spécifications sont stock. Steve ne voyait pas la nécessité de changer la compression car le compresseur ne produit que 4 ou 6 livres. Les culasses sont des pièces vintage d’Edelbrock, et les collecteurs acheminent l’échappement vers une paire de silencieux Smitty, qui émettent un son très doux. Il a fallu un certain temps à Steve pour comprendre comment adapter le compresseur McCulloch au moteur, car il était à l’origine destiné à être utilisée sur un moteur de camion, pas sur un Flatheaf. Son expérience professionnelle en tant que mécanicien s’est avérée utile, car il a dû fabriquer les poulies et trouver comment les faire fonctionner autour de son système d’allumage, ainsi que comment refroidir le compresseur. Le moteur s’assiste d’une transmission trois vitesses Merc ’50 actionnée par un mécanisme de changement de vitesse à colonne que Steve a assemblé à l’aide d’un levier de vitesses Early Ford Store et d’une boîte Ford ’39, car il ne voulait pas de levier de vitesses sur le plancher. Une fois la carrosserie Brookville livrée, il n’a pas été difficile de la positionner au châssis, bien qu’il ait greffé un capot original avec l’évent rempli.
Ce qui a été le plus difficile, fut de déterminer de quelle couleur peindre la voiture. Il a photographié la coque de la calandre Brookville dans sa couleur préférée, Washington Blue, mais a ensuite peint d’autres panneaux de différentes couleurs pour voir comment il les aimait. Il suppose qu’il a conduit la voiture comme ça pendant cinq ans avant de la démonter pour terminer le travail de peinture en “Washington Blue”, son premier choix : “La peinture a pris près de deux ans à compléter, car mon ami, Junior Renteria, a peint la voiture dans la cour arrière de Steve. Nous avons peint à l’extérieur, accroché les portes et les panneaux sur des cordes à linge, ou les avons mis sur des chevaux de bois” m’a-t-il-dit-il en riant. La qualité de la peinture est exceptionnelle, ne donnant aucune indication de sa nature maison. Le roadster est terminé depuis quelques années maintenant, et le résultat final est au Top… Steve tenait particulièrement à remercier son bon ami, Bill Pupo, pour toutes ses connaissances et son aide. Steve aime conduire l’A/V-8, et il l’a présenté au rassemblement de la fête des pères des L.A. Roadsters à Pomona, ce qui lui a permis de boucler la boucle depuis ce jour de 2005 où il a eu le virus de construire enfin une voiture autour d’un rare compresseur…