Hot Rod Plymouth’33 Old Boy
Qui croit encore naïvement, mon Popu que j’aime car tu es abonné à ce website, que l’ultralibéralisme implique le droit du peuple à disposer de lui-même ? Si tu dépasses la vitesse autorisée de moins d’environ 1km/h, tu te retrouves traité comme un mâle faisan de basse cour par des poulets un peu trop cuits. Si pour suivre le nouveau courant des bagnoles électriques tu te laisses aller à envisager une Chinoiserie, on t’informe que : “Attention danger, favoriser les chinoiseries d’un pays allié de Poutine peut provoquer l’effondrement financier de la France”... C’est retransmis en TV au moyen des roboratives FakeNews …
Celles de la nuit aux mains depuis presque dix ans de la même clique d’ahuri(e)s ânonnant des stupidités en faveur de l’Ukraine… Si tu te laisses entrainer, ta santé mentale en prendra un coup sur la cafetière t’obligeant à aider l’industrie des médicaments en achetant plusieurs boites de Doliprane, Temesta, Valium, Xanax, Diazépam, ainsi que quelques plaquettes de chocolat, quelques boites d’anchois et un saucisson de Boulogne prédécoupé en tranchettes… C’est après que tu apprendra que c’est pas bien que tu n’envoies pas tes économies à Zemlinsky…
A ce sujet qui en est la cause, les Français sont les champions du monde toutes catégories de la consommation d’antidépresseurs et psychotropes de l’univers et des dons à des escrocs… Tu dois comprendre, mon Popu que j’aime d’autant plus fort si tu t’es abonné à mes web-sites (3 en 1), que tout ça est le résultat d’un complot ourdit par l’industrie pharmaceutique qui, non content d’avoir embobiné nos édiles un peu débiles et braqué les caisses de la sécu, ont mis au point l’escroquerie planétaire des vaccins Covid’s rendus obligatoires pour générer un flux incessant par milliards, ristournés en commissions…
Elles sont gigantesques et destinées à nos politiques (dont la même dame Von der Leylen) ayant pris le pouvoir de nous faire les poches… En tête de liste, la dite dame Von der Leyen a tout appris en siphonnant les caisses de l’armée allemande lorsqu’elle en était ministre, car c’est une spécialiste du tir aux pigeons… A ce stade de France (sic car les salaires des footbaleux en un mois sont l’équivalent du tien de toute une vie), tu es raisonnablement en droit de te demander si tu ne va pas déménager en Laponie subsaharienne pour échapper à notre pays, la Franchouille, où on se demande comment payer les retraites…
Celles des vieux cons comme moi qui a maintenant 75 ans. Je témoigne qu’on insiste lourdement pour empêcher les gens de clamser tranquille. Pour peu on va enrôler les chomdus comme volontaires à la guerre d’Ukraine… Pour oublier tout ça, je te présente le Hot Rod idéal, pré-pourri, qui te spermetrait de marquer ta différence dans notre système consumériste en totale débandade financière que nous subissons toutes et tous aujourd’hui. En effet tu en deviens proprio pour 20.000$, sauf surenchères, mais il y a aussi des frais, taxes et autres montants à payer…
Pour ceux qui rentreraient d’un voyage en Ukraine, qui ont le cervelet en yaourt ou qui n’auraient pas vraiment suivi depuis le début, voilà quelques explications simples mais pas forcement simplistes : Les rêves qui virent au cauchemar et les voraces qui en profitent, c’est le résumé de la crise financière actuelle (qui dure depuis plus de 10 ans). Elle semble avoir été faite pour les nullard(e)s, quand les voraces sifflaient dans le noir pour les rassurer et les attirer … Après avoir dépensé NOS milliards d’impôts en dons de charité à l’Ukraine, reversés à 50% à nos donneurs politiques… Tous pourris…
Sans oublier la donneuse en chef qui dictaturise l’Europe. Pfffffff ! Tout le bastringue est en crise. Nos milliards d’impôts sont partis payer un clown-pianiste avec son pénis, retourné à 50% à chaque généreux donateur sur un compte off-shore indétectable fiscalement, le tout savamment calculé pour durer le plus longtemps possible pour que la pompe à fric fonctionne à plein régime. Ce qui amène à l’effondrement de nos industries, surtout automobiles, qui devaient être délocalisées en Ukraine ou la main-d’oeuvre est de moins de la moitié du tiers du coût d’en France et Allemagne et Italie… Génial…
Comme ça n’a pas fonctionné malgré la grande fête et la tuerie du Maïdan à Kiev financée par les USA, notre Président Macron a refilé au Maroc ce qui existait encore de notre industrie automobile en France. Sauve qui peu, ça fonctionne aussi aux commissions… Dans ce chacun pour soi, l’industrie automobile allemande a été laissée sur le carreau des mines de charbon… C’est l’effondrement en cours. Les usines automobiles ferment… Or les voraces ont besoin de liquidités. Mais plus rien ne va… Zeelinsky ne rendra rien à nos escrocs. Dame Von Der Leylen non plus… D’ailleurs on l’épingle pour s’en souvenir.
Donc les kits et modifs et surmodifs, le tuning et autres KitCars, Vans et HotRods, c’est mort, tous font plouf, plouf, plouf… L’immobilier suit le mouvement… Dès que nos monstres ont commencé à ronronner en fêtant le coup d’Etat organisé au Maïdan en Ukraine, il a fallu les nourrir. Les classes moyennes ont été rapidement ruinées, il fallait trouver d’autres moutons à tondre. Il ne reste plus que les pauvres. Mais les voraces continuent à leur vendre des salades avec leurs boniments de vendeurs de casseroles. Les pauvres sont nombreux, le gâteau s’annonce alléchant. Voilà le rêve des économistes réalisé.
Les théoriciens voraces avaient raison, le système fonctionnait dans leurs têtes, moralement et politiquement. Tout le monde devait toutefois participer à la fête, et même accéder à la propriété en étant noyés de crédits, même les plus pauvres. Le rêve européen à l’américaine a été débité en tranches entre diverses chansons. Même les pauvres avaient le droit d’accéder à la propriété. Jusqu’ici, même les plus minables pouvaient consommer, mais pas posséder. Inadmissible. Il fallait trouver un moyen pour que les pauvres puissent acheter un bien, une voiture et une maison afin de pouvoir les ruiner au plus profond.
Évidemment, pour acheter, les plus pauvres devaient s’endetter, et, à gros risque, gros intérêts. L’intérêt permettant de rémunérer le risque. Et puis on a créé une “novlang” comme chez Orwell. On s’est mis à parler du droit à la propriété, le marché comme une entité. La force des mots, le choc des clichés prenaient ici tout leurs sens. On pouvait exiger d’être proprio, comme si ce droit n’avait aucune contrepartie. Pour conclure les voraces avaient un argument choc : “Comment ça, vous êtes contre la participation des pauvres au festin?” Les voraces avaient réalisés le rêve de l’abbé Pierre, celui de baiser tout le monde…
Là aussi on s’est pas fait prier. Alléluia ! Les banquiers, surtout européens, sont bas de plafond et pas farouches. Dans ce panier de crabes où la rapacité, la concurrence et la recherche du profit à tout prix sont érigés en dogme, le marché des pauvres est comme une carcasse fumante pour les prédateurs. Une pute même bien maquillée reste une pute ! Le tour est maintenant joué. Le poker menteur va faire place à la roulette russe… Tout s’est emballé. Les escrocs ont augmenté leur fortune. Puis, tout s’est effondré. Pire qu’une pierre dans la chaussure, c’est un grain de sable qui a fait s’écrouler le château de carte.
Et en finale, se rendant compte d’avoir été dupés, les gens ont réouvert la voie en nommant Trump Président des USA (et du monde) pour la seconde fois… Va savoir mon popu, si avec “America First” ont va nous aussi en Europe en baver après la victoire de Poutine ? Certes ce sera avec des millions de morts, mais on n’en est plus à pousser la démographie, au contraire, il faut éradiquer, faire sauter des bombes atomiques partouze et génocider, comme font les Juifs/Hébreux/Israéliens envers les Palestiniens qui sont chez eux, qui en sont ignoblement chassés dans un génocide de 45.000 personnes…
M’est avis que la clique à Netanyahou sont des anciens nazis sous faux drapeau, qui utilisent les mêmes méthodes radicales après avoir flingué les colonisateurs Britanniques qui ont eux-mêmes génocidés les populations aborigènes d’Australie… comme les Irlandais ont génocidés les populations amérindiennes… Nous sommes des descendants de massacreurs-colonisateurs… Certains veulent toutefois sortir de cet enfer ou l’offre dépasse encore la demande, quoique le système s’affaisse peu à peu… En réalité ces populations nous haïssent… Cela va commencer par créer la panique, pas tout de suite….
Non… Pas tout de suite… Quoique la France perd ses colonies, ne représente plus rien en Afrique, sauf au Maroc qui hérite de ce qui reste de notre industrie automobile moyennant commissions royales… Dernier coup de notre Président Macron… Faut pas pleurer on a voté pour lui pour faire barrage… Fallait le voir éructer en hurlant en TV… Même les pauvres sont attachés à leur patrimoine, si pauvres soient-ils. Mais la pression des fins de mois est la plus forte. Il faut se résigner à vendre. mais, il n’y a plus d’acheteurs aux bons prix. Dommage. donc c’est la liquidation… C’est un génocide financier…
Les pauvres resteront pauvres et endettés avant de crever. Les voraces préparent leur prochain coup puisque leur entreprise ne connaît pas la crise. Une fois renfloués plus rapidement qu’un cornichon dopé au viagra par les États et l’argent des contribuables, les voraces n’hésiteront même pas à mordre les mains qui les ont nourrit. Les États, déjà surendettés, pour sauver les banques ont emprunté encore et encore, aggravant leurs déficits et se sont encore plus fragilisés, quoique c’est avec nos économies… Il fallait aussi que les actions des banques se tiennent à peu près bien pour les bilans de fin d’année.
Pour les bonus, et les dividendes, ce qui fut fait pour donner confiance… Quelques patrons voraces bien informés, ou bien placés pour sentir le vent du pet, ont d’ailleurs réalisé en catastrophe leurs stock-options en toute fin. On a créé du papier surévalué dont il faut se débarrasser maintenant et employer le produit de la planche à billet à des jeux plus rémunérateurs et demandant encore moins d’efforts, par exemple sur les matières premières ou le monétaire. Comme les salles de marchés gagnent en bourse à la hausse et à la baisse, pour peu qu’elles s’entendent astucieusement.
Et pour que les agences de notation leur servent de haut-parleurs, c’est toujours fastoche. Les voraces spéculent donc sur les dettes et profitent du merdier qu’ils ont eux même engendré pour se faire encore plus de thunes. On entend refleurir les chrysanthèmes et les “Le marché s’auto-inquiète”. Le marché c’est qui ? C’est quoi ? Appelons un chat un chat : des voraces. Comme pour le quatre quarts, Il faut quatre ingrédients pour permettre au système de fonctionner. Un rêve : le droit à la propriété, le rêve américain pour les pauvres et des voraces qui n’hésitent pas à abuser des plus faibles.
Ce sont des banquiers cupides et des économistes idiots qui nous annonceront la nouvelle fin de l’histoire, qui est plutôt une histoire sans fin. Donc, voici le Hot Rod de circonstance pour les “ceusses” qui pourraient encore rêver de Hot Rod’s… Aujourd’hui on nous vante les bienfaits d’une “crise salutaire”, mais ce sont les mêmes qui nous annonçaient la propriété pour tous qui nous proposent maintenant du sang et des larmes ? Pfffffffffffff ! La firme Plymouth a été fondée en 1928 par Walter P. Chrysler pour élargir le groupe Chrysler à une nouvelle clientèle populaire, face aux Ford et Chevrolet.
Plymouth connaît ses heures de gloire dans les années 1940, 1950 et 1960 où la marque est à la troisième place en termes de volume de production derrière Ford et Chevrolet. Puis elle perd de plus en plus d’adeptes dans les années 1970 et 1980, pour devenir presque marginale dans les années 1990 en commercialisant le Prowler, le Hot Rod des temps nouveaux… Fin 1999, le groupe Chrysler annonce la disparition de Plymouth qui a écoulé près de neuf millions d’unités de sa série “standard” baptisées Plaza, Savoy, Belvedere puis Fury et Gran Fury, une série proche des séries “standard” de Dodge et De Soto.
Elle inaugurait la carrosserie ponton (sans ailes apparentes) chez Plymouth en 1948. Sa production est arrêtée en 1981, après de nombreux changements de carrosserie. Le groupe Chrysler ne parvient plus, en effet, à vendre de grosses voitures depuis la crise pétrolière de 1973/1974. La filiale Imperial, la branche de prestige du groupe, est ainsi passée de vie à trépas en 1975. Le groupe lui-même est au bord de la faillite et a dû vendre en catastrophe en 1978 ses filiales européennes, Chrysler-France (ex-Simca) et Chrysler-UK (ex-Rootes). Plymouth est donc victime de la mauvaise santé du groupe Chrysler en général.
Et cela à partir du milieu des années 1970, mais les décisions prises au sein de la direction ont encore aggravé plus particulièrement les difficultés de la marque Plymouth. Car si Dodge peut jouer sur la carte jeune et sportive, et Chrysler sur celle du confort et du luxe, l’image de Plymouth reste floue. Le créneau de la voiture populaire n’est plus approprié car l’embourgeoisement de la clientèle américaine est une évolution constante depuis des années. Les marges sont par ailleurs plus faibles sur les voitures populaires que sur les modèles de moyenne et haute gamme.
La nouvelle direction du groupe, qui a évité de peu la catastrophe, est davantage intéressée par les bénéfices plutôt que par les volumes de production. Dès lors, la survie de Plymouth s’avère délicate. La décision de fusionner les réseaux Plymouth et Chrysler dans les années 1980 avec le Prowler, va lui donner le coup de grâce… Ce Hot Rod Plymouth 1933 est un coupé équipé d’un siège rumble qui a été acquis par Dick Duston de Mukwonago, dans le Wisconsin, en 1990 qui en a réalisé un Hot Rod qui, devenant déglingué au fil des ans, est devenu un Rat Rod.
La puissance provient d’un V8 Hemi 331ci avec une configuration à induction à six carburateurs Stromberg soutenue par une transmission automatique à deux vitesses Powerglide et un pont/différentiel arrière Ford. La carrosserie en acier totalement rouillé portait une peinture noire dans ses plus jeunes années qui s’est rouillée de partouze, à l’intérieur et à l’extérieur, ainsi que les ailes, le compartiment moteur et le châssis. Le revêtement des sièges en tissu maintenant pourri/usé est accompagné d’une lunette d’instrument centrale guillochée, d’une radio AM Motorola et d’un levier de vitesses.
L’équipement comprend un arbre à cames Racer Brown, un collecteur d’admission Crower U-Fab et un ensemble mixte de jantes. Ce Hot Rod Plymouth est maintenant proposé à la vente par le fils de son père décédé. Le corps en acier rouillé, euh, la carrosserie en acier rouillée, conserve des zones de peinture noire usée et de divers lettrages blancs. Des décalcomanies d’époque sont restées sur les vitres et le capot (qui n’est pas aligné). Les panneaux latéraux du capot ont été retirés en même temps que les pare-chocs. Un parachute a été monté et une signature “Don Big Daddy Garlits” orne le couvercle du coffre.
Le Hot Rod brinquebale sur un ensemble mixte de jantes et de pneus disparates. La banquette est recouverte d’une sellerie en tissu décoloré et endommagée, et les panneaux de porte ont été retirés. Le levier de vitesses est surmonté d’une poignée de robinet Schlitz… L’usure des planchers de bois et la rouille sur les surfaces intérieures peuvent être considérées comme un “Super Plus” pour un Rat Rod antique. Le volant à trois branches se trouve devant un tachymètre monté sur colonne ainsi qu’un ensemble mixte d’instruments dont un compteur de vitesse de 90 mph.
Le compteur kilométrique à cinq chiffres indique 60.000 miles. Le coussin de siège inférieur a été retiré et une pile à combustible a été montée dans le plancher. Ce Hot Rod a été présenté dans un article/profil publié dans le numéro 37 de Rat Rod Magazine. Le “Title” du Wisconsin comprend une notation “Street Modified” et indique que le # VIN est le #1828597. Pour moins de 20.000 $ pour qui aime et a encore quelques moyens, c’est jouable et immatriculable en France… Quoique… Laissez tomber… Courage, fuyez… Vous seriez capables de la restaurer à neuf… Pfffffffffffffff !