Hot Rod’32 Plymouth PB Coupe
Lorsque vous entrez dans le monde du Hot Rodding, c’est comme entrer sur une autoroute, une Highway interminable ou il n’y a ni début ni sortie finale, seulement des opportunités, des besoins, des envies. On quitte par manque d’essence, et/ou de moyens pour en acheter, parfois en cause de pannes voire aussi par fatigue, inhérente aux fonctions humaines, mais aussi par le “ras-le-bol” lié au découragement et aux emmerdes, légaux ou non… Devoir progresser et régresser de même façon détruit inévitablement le rêve des grands espaces devenus de grandes solitudes… Il y a beaucoup de sorties qui invitent à changer de route, à ne plus continuer sur l’autoroute en sens unique réglementé. C’est alors le temps des routes secondaires, tertiaires, des ronds-points, des sens interdits et des voies sans issues… Et ça, c’est le basique…
Noyé dans les foules qui vont et viennent, se tapent dessus, se volent, s’entretuent, amène à s’insupporter des complications et des obligations mêmes sociétales… Arrive la fatigue de s’auto-supporter ce qui devient des délires et du grotesque, variable selon l’arbitraire et les aléas qui ne sont pas que judiciaires… et en fonction des éducations ou de leurs manques, une infinitude… Comme tout le monde meurt à un terme approximatif de 100 années, et que c’est pareil que s’endormir ou être assommé voire torturé, les “ceusses” qui pourraient s’en plaindre d’avance n’en témoigneront jamais sauf par le biais de fantasmes, hallucinations, rêves et cauchemars tapotés en textes, en images, en “oeuvres” dont les clés de compréhension et les moyens d’usage finiront par être obsolètes si pas perdus… Quoi donc vous tapoter en ce dimanche matin ?
Je vous imagine, transpirant, moite, suintant le mauvais rosé et la chipolata avariée, vous morfondant au chocolat, tremblant et attendant fébrilement depuis quelques jours le texte que vous lisez… Ben non, allez vous faire foutre.. Premièrement, je ne suis pas venu ici, déguisé en chou pour me faire brouter le cul par des lapins et faire marrer mes ami(e) faux-culs. C’est à ma dose de grossièretés doctement élaborées qu’on mesure le degré de morgue que je porte aux incultes et aux faux-culs de toutes espèces. Dans la culture paysanne, le fait de se faire brouter le cul par des lapins est de la plus grande bassesse, on peut affirmer que c’est toujours le cas de nos jours même si le garenne ne court plus les rues, sauf dans les palais, alors que les faux derches pullulent comme des lapins. Si l’expression est tombée en désuétude du fait de sa disparition progressive quoi vous raconter desdits brouteurs dans l’environnement moderne ?
Tabernacle di merde, être blâmé de la sorte et s’en est fini de l’honorabilité de qui est visé devenant un patte-velu, un faux jeton, un tartufe, un faux-cul et que même les trémoussements et masturbations des oublis n’y feront rien, sinon que de justifier le bal des faux-culs pourtant lui aussi désuet, mais ceci est une autre histoire… Honnêtement, cela me beurre pas mal la raie de savoir si une bande de dégénéré(e)s se fasse couiner pendant 5 heures, pour répondre à cette question de la plus haute “inimportance”. Il serait opportun de définir un concept antinomique et superfétatoire après vérification que nos chers et chères Gouvernant(e)s n’ont plus leurs cartouchières plus longues que leurs fusils, signe que les saccages du vécu sont, de toute évidence, supérieurs à ceux du futur qui fait pendre les gonades en dessous du niveau raisonnable d’estime de soi.
C’est parti pour une interro-philo : Il y a bien longtemps, les Grecs étaient des maniaques sexuels. Culture du viol, du kidnapping, de l’inceste, de la zoophilie… Entre Zeus qui avait fait un chiard à sa sœur Demeter, Héphaïstos dont le seul objectif dans la vie était de coucher aussi avec sa sœur et Gaia n’en pouvant plus de se faire violer tout le temps par Ouranos, demande à Cronos d’émasculer Ouranos histoire de bien lui faire comprendre que la fête du slip, c’est terminé… Pendant l’émasculation, du sperme se répand un peu partouze, y compris dans la mer Egée… et qu’est-ce qu’il se passe quand du sperme entre dans la mer ? Normalement rien, mais en l’occurrence, quelque chose : Aphrodite naît. Le miracle de la vie. Et c’est pourquoi les Grecs ont des beaux culs et par la même, les vins grecs aussi, à défaut d’être bon. Cette brillante démonstration justifie a priori les normes d’interprétation du beau cul…
Elles placent, de surcroit, l’interprétationniste (moi-même en personne) devant un dilemme, soit échouer à justifier ces normes, soit les rendre inutiles et impertinentes par cette justification même, d’autant (en emporte le vent du pet) que l’indétermination de la traduction et l’inscrutabilité de la référence du beau cul peut biaiser notre jugement dès lors que l’extension pragmatique du principe de beau cul peut pallier une indétermination, absente en pratique, et dès lors superfétatoire et infondée. J’espère avoir été aussi clair qu’un notaire cravaté ! A ce stade de ma réflexion, je ne sais pas encore si les belles (bouteilles) ont toutes des beaux culs… C’est angoissant… Vous vous dites : “Ca y est, il est reparti dans le graveleux, le libidineux, le grivois, le cru, le grossier, voire l’obscène” et vous avez raison, mais c’est pour la bonne cause. Si je vous sers du cochon, c’est pour l’information…
Les filles qui boivent du vin rouge aiment plus le cul que les autres. C’est une info vérifiée, la consommation de deux verres de vin rouge quotidiens chez la femme entraîne une augmentation du désir sexuel et une meilleure lubrification vaginale. Dixit une étude italienne auprès de 798 femmes de 18 à 50 ans. Le vin donne aux femmes l’envie de faire des galipettes aux hommes. Chez les hommes, c’est l’inverse. Mazette, c’est quand même bien fait, la nature “des choses”… Mais je reviens à la question du jour concernant le cul (des bouteilles). Chez les Grecs, les philosophes portaient la toge, avaient la mèche rebelle, le verbe facile et ils avaient des théories fumeuses que la plèbe avalait comme du petit lait pendant que les politiques vidaient les caisses en confondant bacchanales, orgies, chlamydia et bien être du citoyen. Aujourd’hui, les philosophes portent des chemises blanches, ils ont la mèche rebelle et le livre facile.
De plus ils ont des théories fumeuses sur la guerre en Ukraine que la masse laborieuse avale comme du petit lait pendant que les politiques vident les caisses en confondant suppôt du capital, impôt et pot de vin, partouze, chlamydia et bien être du citoyen. Mais les politiques s’assurent du futur incertain qu’ils ont créé, ils se font verser 50% de leurs dons sur leurs comptes secrets… Les temps changent, pas les politiques. Après cette valse de fonds, de fions et de fioles, savoir si une belle bouteille a un joli cul amène à un niveau de réflexion inaccessible au peuple… Je terminerai par l’incarnation la plus pure de l’esprit du cul, celle du dieu du Kâmasûtra, le suce-nommé moi-même, qui m’auto inspire quoique je reste humble tout de même. Je vous renvoie à mon œuvre complète pour approfondir votre érudition, presque 4.500 articles tapotés avec amour (de ce que ça rapporte malgré votre radinerie)… Que soit…
Je terminerai, en guise de conclusion, avant d’attaquer (par le cul) mon texticule concernant un Nième Hot Rod, convenant d’un classicisme trop aigu pour être véritablement malhonnête, mais les valeurs sûres, même les plus surannées, sont une garantie de réussite. Souvent, cette influence vous suit dès votre plus jeune âge, ouvrant un chemin vers l’inconnu qui est souvent probablement un masturbateur compulsif ex-lecteur du mag’Nitro ne s’en étant jamais remis… C’est le cas clinique de Paul Barber de Milton, Ontario, Canada, qui a passé beaucoup de temps à grandir en tant qu’assistant dans le magasin de pièces automobiles de son père, entouré de nombreux Hot-Rods, Kustom’s et Muscle-cars ainsi que de leurs propriétaires. Avec une famille dévouée aux produits Chrysler (c’est clinique mais pas pris en charge par la Sécu), il n’est pas étonnant qu’il ait emboîté le pas au fil des décennies avec ses derniers efforts.
En l’occurrence, un coupé Plymouth PB de 1932, présenté ici avec beaucoup trop de photos et une histoire incroyable qu’il aurait été préférable de ne pas publier… Avant même de savoir conduire, Paul était devenu membre du Waterloo County Rod & Custom Club, assistant régulièrement à des réunions alors qu’il commençait sa première construction à l’âge de 15 ans, une camionnette Dodge de 1954 avec un V-8 360ci. Beaucoup d’autres ont suivi alors qu’il devenait un membre turgescent actif de la scène Hot-Rod locale, héritant, possédant et exploitant finalement la boutique familiale “Horton Hot Rod Parts” dans sa ville natale du Canada. Dans une merde Ford… (une mer de Ford) rien ne se démarque pas plus qu’une non-Ford, d’où la Hot-Roddisation d’un Coupé Plymouth PB 32. Dans sa forme la plus basique. Ce Coupé Plymouth avait un empattement de 112 pouces, soit 6 pouces de plus que le Coupé Ford Deuce…
Je reconnais que ces explications sont “bourre-pifs” mais j’emmerde tout le monde… Je continue donc…La longueur était de 175 pouces, soit 9-1/2 pouces de plus que celui de la Ford, ce qui lui donnait un niveau d’élégance-Canadienne plus élevée avec une carrosserie fluide et des lignes d’ailes avenantes, mais coutant 565 $ de plus. (croyez-le mais c’est de la connerie)… Ayant toujours voulu prendre en charge la construction d’un Hop-Up précoce rempli de tous les bons produits (et pas d’un Hot Rod Yankee), Paul Barber Milton a commencé à chercher une voiture donneuse appropriée. En localiser une dans le pays des Caribous, cependant, était comme chercher un diamant dans un tas de sable… Maudits Français… Christie de saint-cimonaque de gériboire de charogne de viande à chien de torrieux de maudit de cimonaque de boswell. Avec un peu plus de 11.000 coupés produits, le taux de survie n’était pas au plus haut niveau…
Faut vous l’écrire pour que vous compregniez que c’est de la maaaarde… Bref… Agissant sur l’exemple de son bon ami Jim McAllister, Canadien lui aussi, il a découvert un Canadien local (un pur) qui vendait un Coupé Plymouth partiellement restauré avec une remorque pleine de pièces. Sachant à quel point la découverte était aussi rare qu’un filon d’or, un accord a été conclu pour échanger des dollars contre l’épave et les pièces, le tout étant amené dans la boutique de Paul qui a alors imaginé en réaliser un Hot Rod Coupé highboy sur un chassis Deuce équipé d’un V-8 Hemi suralimenté. Grant Schwartz de Bloomingdale s’est fait payer pour re-concevoir et re-fabriquer une châssis basé sur celui de Paul (si vous perdez le fil, reprenez du début, purée de marde)… Ce qui va suivre concerne la re-fabrication et c’est tellement chiant que j’ai décidé de vous éviter cela…
C’est toujours pareil, des bouts de ferrailles découpés, soudés et brossés avant peinture… Sans oublier le Qwik Change et autre choses dont vous n’avez strictement aucune utilité pour transformer la Dauphine de Grand-mère en Hot Rod Franchouille… Bout d’crisse de bout d’ciarge de viande à chien de saint-cimonaque de patente à gosse de bâtard de cimonaque de saint-sacrament de saint-ciarge de Jésus de plâtre de crucifix de câline de boswell de sacristi de verrat de viarge de sapristi de ciboire de cibouleau de mautadine de batince de sacrament de purée de tabarnane de crisse de bout d’viarge de torrieux d’astie de cochonnerie de torvisse de ciarge de p’tit Jésus d’enfant d’chienne de saint-ciboire de christie de charrue de sainte-viarge de crime de câline de bine de colon… Aux USA et au Canada, la presse survivante continue à publier les listings de pièces et l’âge et l’adresse du ferrailleur… Et pas que ça…
Y mettent aussi celles des putes rencontrées et baisées au rabais ainsi que les retranscriptions de notes avec les prix payés… C’est chiant… C’est pour en avoir des bibittes toute la journée… De l’autre coté de l’Atlantique, cela aide à obtenir des pubs et des putes au rabais, mais en franchouille, y a rien de semblable… L’utilité de ces descriptifs est d’avoir de la pub et des pièces gratuites en contrepartie, en Franchouille, y a rien de tel… J’ai donc décidé de passer ces lignes… et simplement survoler le moteur car ça vous fait baver… En l’occurrence c’est un V8 Hemi vintage 354ci acquit chez Big Al’s Toy Box de Gaylordsville, dans le Connecticut, qui avait été oublié dans la carcasse abandonnée d’une Dodge Hemi 1956 cracheuse de feu. Un bloc 354ci a été massé à la perfection un coït s’est déroulé avec une admission Weiand portant un compresseur 6-71 aidant à la respiration profonde d’une paire de carbus…
Quoi sont-ils ? Purée d’marde, z’en avo rien à faire. J’vous l’écrit quand même… Des Quick Fuel Q-Series 750-cfm couronnés d’une cuillère BDS. De pluche, avec l’état dégradé de la tôle de la Plymouth, il fallait un vrai maître carrossier pour tout ramener à la vie. Rob Allison de Pinhead Metal Craft à Elmira, Ontario, Canada, s’est attelé à la tâche… Bin dans son temps… Quand est v’nu le temps de donner au coupé une élégance subtile, la femme de Paul, Raquel, a choisi la teinte Ford Seafoam Green de PPG… Pour une allure qui corresponde au reste de la construction, le tableau de bord a été lissé et traité avec un tableau de bord Dodge’36 rafraîchi, converti en Plymouth par l’équipe de Classic Instruments pour surveiller les signes vitaux. Un volant Plymouth de 1946 restauré par Vintage Performance a été monté sur une colonne inclinable idididit pour tracer le parcours…
Pas que.. car pou k’les changements de vitesse se déplacent sans effort à travers un bâton Lokar avec une unité de tableau de bord Vintage Air Heritage-Series, ajoutant une brise fraîche par temps chaud. Un kit American Autowire Builder-Series installé par Cam Wadsworth de Guelph relie parfaitement le tout. Pour un confort ultime, Peter Giampa de Tack Auto & Marine Upholstery à Loretto, Ontario, Canada, a recouvert un banc Tea’s Design d’une combinaison de cuir caramel et beige tout en fabriquant tous les panneaux latéraux et la garniture de toit, enveloppant le tout d’une moquette à tissage ed’maudit français… Cocorico… Enfin, le moment des pleurs est arrivé, on se quitte… J’espère sincèrement que j’no pas ici fait qu’aller fucker m’chien après que j’ai passé m’nuit su’l corde à linge. Tabernacle d’maudits français… et que j’peu aller frencher m’cheum et la faire venir d’un coup ! @ pluss les gars…