Honolulu’LuLu /375.000$
Dans la plupart des endroits de cette Terre, en octobre, l’été est officiellement terminé. Et nous sommes le 1er octobre 2023… Bientôt le dernier évènement Saint-Tropézien que sont “Les Voiles” cloturera la saison avec la fameuse Braderie, dernier espoir des Commerçants de thésauriser pour l’hiver… Bien sûr, les températures extérieures en hausses constantes n’en témoignent pas vraiment pour l’instant, mais il est douteux que beaucoup d’entre vous, du moins les “Franchouillard(e)s” qui vivotent dans le nord, entre Aix en Provence et Roubaix/Tourcoing (comme je vis à Saint-Tropez je ne suis pas concerné mais consterné), pensent aux jours d’avant le boomerang des sanctions (envers la Russie), qui nous ont fait perdre nos colonies africaines et le litron des sens à moins d’un euro (maintenant c’est 2 euros)… nous précipitant avec le reste de l’Europe “aux ordres” dans une aventure ruineuse et le désillusionnement.
Vraisemblablement que les dirigeants Russes et Chinois (en tête, d’autres suivent), n’ont pas apprécié la création du Covid et l’ingéniosité criminelle des faux vaccins quasi obligatoires, toutes manœuvres assorties d’humiliations, sanctions et discours pontifiants. De cet ensemble manifestement pré-calculé en sus de la création et du paiement global par les USA et l’UE de nouvelles fausses révolutions, après la Libye et la Place Maïdan en Ukraine, après diverses humiliations inutiles dont envers Vladimir Poutine au château de Versailles, Russes et Chinois ont réagi/rebondi dans une direction non prévue, naviguant en se regroupant entre les chausse-trappes du Nouvel Ordre Mondial… En deux ans, toute cette gabegie a recréé deux blocs dont l’antinomisme exacerbé par des discours quasi religieux du Moyen-âge, nous amène dans la déconstruction des valeurs et dans des jeux politiques de mensonges.
L’introduction est comme pourraient le dire d’honnêtes Magistrats d’une Cour criminelle de la République Française, Procureur et Juge d’Instruction, concernant la dénonciation en plainte pénale d’une escroquerie au jugement telle l’affaire LéaFrancis : “Parfaite”... Pour le moins… Comme j’ai bon fond et l’envie de vous accrocher un sourire avant que vous basculiez dans la précarité solidaire tout en vous rappelant qu’il y a longtemps, du temps des magazines “papiers” Chromes&Flammes des seventies et eighties, vous rêviez d’avoir un vrai Hot Rod pour rouler plein sud afin de griller les jours sur les plages et baiser les nuits sauvagement… C’est loin tout ça. Du moins du fait que j’ai maintenant 74 ans, soit 54 ans après le départ de cette période de folies douces… Donc, voici de quoi rêver… Rod,Surf,Girl,Cocktails au soleil d’Honolulu/Hawaï.
Ce Hot Rod Delivery jaune avec ses panneaux de bois tout autour, ainsi qu’une planche de surf sur le dessus, constitue une image toute aussi : “Parfaite”... que l’image de l’escroquerie re-évoquée ci-avant… Parfaite pour aller sur une plage isolée pour surfer, baiser, surfer, baiser… et imaginer que c’est à nouveau l’été des temps d’avant… Ca vous plait, tout ça, ces aventures au mitan de l’océan Pacifique, mais est-ce pour une chasse aux trésors ?… Imaginez-vous avec la carte qu’une vieille sorcière (une demie Cougar sexuellement baisable) vous a refilé en sus d’une maladie rare, en même temps que 2 belles putes payables à l’heure d’utilisation. Wapuuhhh ! Vous voilà lancés sur la piste du Singe d’or à Honolulu. Zêtes refaits, la ville est un cauchemar puant, sans parler des arnaqueurs et arnaqueuses, des peaux de banane, des pirates et des fléchettes empoisonnées.
Les tropiques de même que les trésors dans les îles du Pacifique, les belles vahinés languissantes d’amour (et d’argent à prendre) c’était cool du temps des Révoltés du Bounty. Car depuis que les Ricains déboulent partouzes, c’est le bordel général ! (Ce n’est pas étrange que l’homme ait exploré la lune dans un studio d’Hollywood et qu’il en sache encore si peu sur Hawaii)… Bien que les Rod’s Woodies qui vont et viennent soient des constructions excitantes en elles-mêmes, ils ne faut pas trop s’énerver à leur sujet, mais la LuLu d’Honolulu est différente. C’est le nom apparemment approprié de ce Hot Rod Chevy’32 jaune avec boiseries et planche de surf sur le toit, converti en un véhicule de plage par une main inconnue à un moment inconnu dans le passé inconnu. C’est une combinaison de l’avant habituel d’une Chevy’32, d’un châssis d’origine inconnue et de panneaux de bois à l’arrière, l’ensemble formant un “Surf’Wagon”...
Vous suivez ? Pas trop compliqué ? Vous pouvez reprendre la lecture depuis la première ligne… Prenez votre temps… Pour ma part, j’ai déjà tout écrit et relu quatre fois, donc je m’en tape les coucougnettes… La peinture Yellow Pearl complète parfaitement les panneaux de bois qui forment la création de la caisse arrière du Hot-Rod-Mini-Van-Woody… La cabine est donc devenue “Wagon”, ou si vous préférez les descriptions des années ’80, c’est un “Delivery” disposant d’un toit ouvrant manuel. L’arrière a un hayon qui s’ouvre (gag !) pour permettre l’accès au grand espace à l’intérieur qui n’accueille que deux sièges avant, mais il y a suffisamment d’espace à l’arrière pour accueillir des nananas couchées… et, si nécessaire, du matériel de plage. Le V8 Chevrolet Small block 355ci s’est allié à une transmission Turbo350 pour “faire le job”… Concernant les bagages, la remorque Lil’Lulu fait également le job….
Expédiée mi septembre 2023 d’Honolulu au centre de conventions Ernest N. Morial à la Nouvelle-Orléans USA, le public était débordant d’excitation de découvrir de première main ce qu’est l’expérience Barrett-Jackson dans les ventes aux enchères. Pour ma part j’œuvre avec eux depuis les années 1990 avec mes mag’s américains TopWheels et International Motor Shopping, jamais eu de problèmes, des gens hyper réglo, l’inverse des crapules de Coys. Pour la vente aux enchères du samedi 30 septembre 2023, concernant ce Hot Rod, toutes les attentes ont été dépassées, à en juger par les acclamations qui ont éclaté au fur et à mesure que la vente aux enchères se déroulait. Ajoutant à l’excitation a été la visite de Cam Jordan, huit fois Pro Bowler et leader de tous les temps pour les Saints de la Nouvelle-Orléans, qui s’est arrêté pour prendre part à la Super Saturday auction… Du délire pour le Hot Rod Lulu d’Honolulu…
Les autres stars de la journée étaient les voitures aux enchères, bien sûr, qui se délectent sous les projecteurs de la scène de la vente aux enchères ! La voiture la plus vendue samedi était une Chevrolet Corvette décapotable 1958 personnalisée #748. La foule s’est déchaînée lorsque la voiture emblématique s’est vendue pour 660 000 $, établissant un nouveau record mondial aux enchères. Parmi les autres véhicules incroyables qui ont atterri dans le Top 10 le dernier jour de la vente aux enchères inaugurale de Barrett-Jackson à la Nouvelle-Orléans, citons deux superbes Ford GT 2005: une Hennessey 1000 (#725), qui a rapporté 495.000 $ et un modèle original (#735), vendu 418.000 $. Mais “Honolulu Lulu” était le véritable moment fort de la journée car offerte par leur propriétaires Megan et George Shinn au profit des victimes de Maui…
Edward Graham, directeur de Samaritan’s Purse, a rejoint le président de Barrett-Jackson : mon ami Craig Jackson, et son adjoint Steve Davis, sur le bloc avec les Shinn’s pour la vente. “Honolulu Lulu” avec sa remorque personnalisée assortie a fait tomber le marteau sur une offre gagnante de 100.000 $. Dans un geste incroyablement charitable, Michelle Mauzy, l’enchérisseuse gagnante et amie de longue date, a fait don de la voiture pour qu’elle soit vendue une deuxième fois, amassant 75.000 $ supplémentaires aux 100.000 $ grâce à l’enchérisseur final gagnant Ted Mcintyre. Les VIP de Barrett-Jackson, Mike et Tracy Patterson, ont alors fait don de 100.000 $ supplémentaires à la cause… Le propriétaire de l’équipe NASCAR, Rick Hendrick, et les Shinn’s ont chacun fait don de 50.000 $ supplémentaires, ce qui a porté à 375.000 $ le total recueilli pour Samaritan’s Purse et ses efforts de secours aux sinistrés de Maui,
Faire des dons pour les sinistrés est le contraire de la stupidité des “ceusses” qui papotent pour ne rien dire et ne font rien d’utile… Est-ce un art majeur ? La question semble “A Pouf” et provocatrice à première vue, d’autant qu’elle doit vous paraitre incongrue à cet emplacement situé dans le récit qui ne l’y prépare pas… Oui… Mais elle prend une autre dimension si vous admettez que le non-sens puisse servir à sidérer l’esprit, à le stupéfier et à le rendre perméable au sentiment de l’impermanence du monde… Waouhhhh ! Si vous aimez ma prouesse texticulaire (ne pas confondre avec testiculaire, l’une l’autre sans rapport sexuel avec le pénis), faites un don, c’est prévu en page d’accueil colonne de droite… Merci d’avance ! Ainsi certain(e)s ne vont pas hésiter à comparer mes “pensées profondes” à celles des touristes surfeurs/sexuels et l’humour américain local avec les koan du bouddhisme zen, en vigueur à Hawaïi…
Ouhlàlà… Vous risquez de décrocher, les paradoxes logiques échappant à toute interprétation intellectuelle basique… Je me dois donc de vous expliquer ! (Un kōan est une brève anecdote ou un court échange entre un maître et son disciple, absurde, énigmatique ou paradoxal, ne sollicitant pas la logique ordinaire, utilisée dans certaines écoles du bouddhisme chan. Un hua tou est semblable mais ne consiste qu’en une courte phrase, parfois issue d’un kōan)… Voilà, je contribue à votre éducation… Le Hot Rodding ouvre des portes de savoirs insoupçonnés Jugez-en par vous-même concernant les moeurs US importés au paradis du Pacifique : “La boxe, c’est comme un ballet, sauf qu’il n’y a ni musique, ni chorégraphie et que les danseurs échangent des coups”... L’humour Hawaïen s’avère parfois une “révolte supérieure de l’esprit”, un dépassement du conflit qui oppose la raison à l’imagination…
C’est une voie secrète menant de l’observation du réel à l’accompagnement au cours des choses, la recherche du gag verbal pur, libéré de toute velléité satirique, de toute arrière-pensée moqueuse, le style qui s’apparente à une ascèse poétique qui est celle des grands auteurs de non-sens, tel moi-même… ! Ne vous y trompez pas : la pauvreté de toute intrigue fantasmées se déroulant à Honolulu est intentionnelle venant des lndigènes locaux mâles et femelles… Il s’agit encore et toujours de tromper les attentes des touristes, de les priver de leurs repères, de leur couper l’appétit de débiteurs de sornettes aux fins d’emballer les belles Hawaiiennes qui en ont vu d’autres après Marlon Brando. Tsssss tssss tsss ! Il ne vous reste plus qu’à vous laisser porter par le courant de vos idées défaites en attente que j’écrive de quoi vous recomposer… Antivirus…
Certains jardiniers de l’humour destiné aux réseaux asociaux, tel Fesse de bouc, ont appris à cultiver leurs chutes comme d’autres leurs rosiers, avec une précision de cascadeurs ratés, en tapotant des textes dans les divers mag’ du Groupe Hommel en faillite depuis quelques années… C’était ce qu’on nomme pompeusement “le Style Bellu”. D’ailleurs leurs chutes étaient si nombreuses dans leurs récits plumitifs roboratifs qu’on finissait même par rire de leur absence. Les paragraphes servaient essentiellement de “gagoducs” à une verve primale roborative explorant les possibilités comiques des stéréotypes et considèrant le cadre narratif comme des prêches en église… D’où leur goût (imposé) pour les mots simples et la grammaire de cours moyen première année. C’est d’ailleurs la description roborative des Rallyes (ou se trouvent 80% des voitures volées qui n’ont alors pas besoin de papiers, numéros et conformité)…
La petite lucarne qui a popularisé les “pensées profondes du monde des compétitions automobiles” reprises dans tous les mêmes magazines du groupe et des groupes d’amis obligés, parfois prestigieux, ces couillonneries incongrues ont même paru en volumes et livres, à intervalles irréguliers, certes, selon l’humeur et les moyens financiers du Boss Michel-Chatelain dont l’invisibilité souriante présentait quelques similitudes avec divers inconnus… La preuve étant faite qu’une pensée profonde pouvait en cacher une autre, voire plusieurs autres, la faillite générale a été prononcée en dizaines de millions, spermettant une moindre déforestation et une chasse aux trésors perdus que sont les trous noirs des groupes de presse en effondrements gravitationnels irréversibles. En tant que “penseur profond” doublé d’être un véritable et authentique sociopathe, j’avaiscalculé par avance une recomposition quasi philarmonique…
Chromes&Flammes, démélé à GatsbyOnline et à SecretsInterdits dès la fin du précédent siècle (mi 1990) ont transformé mes mag’s papier en numérique. Ce coup de génie unanimement souligné mondialement, m’a poussé à faire “tout mon possible dès la première ligne”, afin que tout concourt au torpillage des conventions, créant un court-circuit général d’envergure quasi cosmique et aussi cosmétique, seul véritable mécanisme de déroulement de toutes actions. Les lois naturelles et la logique la plus élémentaire n’ayant plus cours, l’information sidérante à donc fait loi… C’est le Gonzo qui prime… Actuellement, malgré mes 74 ans, je suis heureux de constater les dégâts causés au “politiquement-correct”... Ils ne viennent ni progressivement ni à l’improviste, pour en élaborer de très bons, il faut de l’imagination et une banque… de données… Voilà… Il est 8h du mat ce dimanche 1er octobre de l’an 2023 et je vais me faire un café.
2 commentaires
Maître,
La philosophie entrepreneuriale qui consiste à amasser un maximum d’argent pour le redistribuer ensuite dans des œuvres caritatives choisies est souvent appelée “philanthropie entrepreneuriale” ou “philanthropie d’entreprise”. Elle implique que les entrepreneurs ou les entreprises accumulent des richesses, souvent par le biais de leurs activités commerciales, dans le but de les réinvestir ensuite dans des initiatives caritatives ou sociales qui leur tiennent à cœur. Cette approche vise à utiliser la réussite financière pour avoir un impact positif sur la société et résoudre des problèmes sociaux. Certains entrepreneurs renommés, comme Bill Gates et Warren Buffett, sont connus pour leur engagement dans la philanthropie entrepreneuriale. Bienvenue dans le monde absurde de l’entrepreneuriat, où les actions sont tout sauf claires et nettes. Imaginez ceci : un entrepreneur, gonflé à bloc par sa “philosophie entrepreneuriale”, décide de distribuer la somme mirobolante de 375 000 dollars aux réfugiés de Maui. Une action qui, à première vue, pourrait sembler noble, une lueur d’espoir dans un océan de cynisme.
Cependant, ne nous leurrons pas, car derrière ce geste de générosité apparent se cache une vérité amère. Cet argent, ces milliers de dollars qui tombent comme par magie dans les mains des réfugiés, est le fruit d’un jeu immoral, une comédie grotesque jouée au détriment de travailleurs pauvres et de personnes escroquées.
Ce philanthrope d’opérette prétend peut-être redonner à la société, mais ne vous y trompez pas : c’est de l’argent sale, souillé par les rêves brisés et les destins anéantis de ceux qui ont été exploités pour l’acquérir. Là où il y a des gagnants, il y a toujours des perdants, et dans cette farce de la philanthropie, les perdants sont ceux qui ont été exploités pour amasser cette fortune.
Il n’y a pas de bonté à sauver des âmes avec de l’argent qui a été arraché aux plus vulnérables. Ce n’est pas de la philanthropie, c’est de la rédemption factice, une tentative pathétique de blanchir une conscience souillée par l’avidité et la cruauté.
L’entrepreneur qui distribue 375 000 dollars aux réfugiés de Maui devrait se regarder dans le miroir et affronter la réalité de ses actions passées. Les véritables héros ne sont pas ceux qui jettent des miettes aux nécessiteux pour apaiser leur propre culpabilité, mais ceux qui agissent avec intégrité, compassion et honnêteté tout au long de leur parcours entrepreneurial.
Alors, avant de célébrer cet acte de “générosité”, gardons à l’esprit que la vraie rédemption ne vient pas de l’argent, mais de la réparation des torts passés et du respect de la dignité humaine. La philosophie entrepreneuriale ne devrait jamais servir de masque à l’immoralité, car une bonne action ne peut être construite sur les ruines des autres…
Excellente analyse. Je ne suis pas risqué dans une critique par fatigue de si souvent analyser et donc critiquer. Je nomme cela des soupapes de sécurité, un lacher de vapeurs et tensions très typé haute société ou chacun/chacune fait briller ses dents éclatantes de santé et d’honnêteté illusionnée pour pouvoir se muvoir dans les clubs chics et chers. Les dons de milliards à l’Ukraine c’est un peu ça aussi de manière officielle, on ne cause pas des retours dessous les tables, l’image suffit… Elle est ancrée dans les moeurs américaines, ils sont devenus naturellement faux-culs entre eux en quère de coups tordus et vicelards… J’y ai vécu, j’en suis revenu… En cherchant des photos illustratives sur la banque photo que je loue, j’ai été frappé que les iles Hawaii soient si moches comparativement à Tahiti… C’est frappant… Et quand j’écris moche, c’est vraiment moche, plat et moche de moche… Brrrrr ! J’ai du bricoler un montage pour créer une ambiance “surf”. De plus les “girls” Hawaiiènnes sont plus moches que les Tahitiennes, c’est déprimant. Affreux… Finalement St-Trop c’est cool…
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