Rat Rod Luxus, apothéose artistique /4.000.000$ !
Le luxe est fascinant. C’est un monde qui attire et captive, polarise, provoque et qui n’est que du consumérisme prétendant que l’essence du luxe va au-delà du matériau, qu’il touche nos sens, nos rêves et nos désirs. Fariboles d’escrocs bonimenteurs et bonimenteuses… Le terme évoque à la fois des idées diverses associées à des opinions fabriquées et attentivement ancrées avec 90% d’affirmations positives et 10% négatives.
La question ne se prête donc volontairement pas à une saisie facile. Aucune étude systématique du luxe en tant que concept consumériste ne trouve d’écho à publication dans les médias presque tous aux mains de groupes de milliardaires dont le luxe est autant un business que de façonner l’opinion des gens. Il y est affirmé que comme tout ce qui est beau et sensuel, le luxe ne peut être mesuré, physiquement prouvé ou défini par des caractéristiques objectives.
Le luxe prospère fonctionne sur le fait qu’une expérience très individuelle est associée à quelque chose qui est réellement inutile. Par conséquent, aborder le phénomène du luxe est ouvertement contré avec manichéisme, en prétendant que les critiques n’ont pas de connaissances globales, ni ne possèdent la capacité d’objectiver des perspectives sur ce sujet… Ils alignent dès lors des arguments fallacieux avec de faux avis de personnages emblématiques-clés…
Des philosophes milliardaires, des directeurs de Palaces, des parfumeurs renommés (par eux) et des concepteurs de voitures d’hyper luxe, en y ajoutant, bien sûr, les bénéficiaires du monde matériel du luxe avec leurs marques déterminantes. Le but est qu’il doit être définitivement défini que le luxe est plus qu’un symbole de statut ou un geste superficiel de richesse, que c’est toujours un moment spécial lié à une expérience personnelle positive…
L’ajout de divers avis (pré-payés eux-aussi) de sociologues définissant le luxe comme une dépense qui va au-delà du nécessaire, vise que ce fourre-tout devienne une définition de type credo religieux. Un pas de plus et tout détracteur devient terroriste ayant le but de détruire l’extraordinaire édifice constitué de “nos” inutilités renommées valeurs. De là est ravivé la peur des iconoclastes destructeurs d’œuvres d’art, sculptures, et agglomérats putrides.
Peintures et peinturlurations sont également de la partie truquée, confondues et volontairement mêlées aux automobiles, aux vêtements et aux breloques redéfinies bijoux. Ce “foutoir” généralisé en vient à considérer une paire de baskets peinturlurés comme œuvre d’art, de même qu’un graffiti au pochoir. Pire, un slip-string taché de merde agrafé dans un cadre devient une œuvre d’art si attribué à une Starlette de l’inutile telle Madona et/où Béyoncé…
Elles qui n’auraient qu’été saltimbanques au Moyen-âge sont adulées de notre temps comme reines… Dans ce fourbi glauque aux mains d’excentriques imbéciles dégénéré(e)s, a même été créé la fonction lucrative d’influenceurs et influenceuses sévissant sur les réseaux asociaux. Tout est acceptable si vendable… Notre civilisation ce n’est que ça. Le grand rêve américain ce n’est que ça…Lorsque nous colonisons, c’est pour ça…
Ajoutez-y machinations et corruptions pour bétonner l’ensemble et nos colonisés non rentables qu’on abandonne à leurs tristes sorts se révoltent et nous chassent en copiant nos révolutions. Nos fausses convictions ne sont-elles issues que d’avoir nous mêmes été chassés de je ne sais quel paradis inventé ? Démontrant par l’absurde que nous sommes les marionnettes de nous mêmes, “nos” opprimés nous expulsent et se regroupent pour une Nième éradication.
Ce ne sera qu’un autre épisode… Mon problème à ce stade est d’illustrer ce texte en fonction de ce auquel il a été pensé, tout en réalisant la pirouette d’une adaptation positivo-négative… Un Rat-Rod nommé “Luxus”.. Un non-sens total… Quasi suave et bandatoire… Iconoclaste Luxus, le nom de cette “désopulente” chose roulable, (désopilante également) dit tout. Il s’agit d’esthétique, de décadence, de beauté, de tendances, de glamour et d’argent…
C’est pour vous plonger dans le monde fascinant des riches, des célébrités et des stars. À l’aide de photos impressionnantes complétées par mon texte génial et informatif, je ne vous présente pas de marques en autocolants sur ce qui reste de carrosserie, pas de montres, sacs et bijoux liés au luxe et placés très habilement en évidence comme éléments clés. J’ai donc abordé le phénomène du luxe d’un point de vue artistique et scientifique…
J’ai toutefois approfondi des questions profondes (sic !) telles que “Qu’est-ce que le luxe ?”, “Pourquoi recherchons-nous le luxe ?” et “Comment le luxe affecte-t-il notre vie quotidienne ?”. En tant qu’expert en je ne sais plus trop quel domaine, je ne cherche pas à me montrer, je préfère accorder de l’importance aux aspects philosophiques, psychologiques et sociologiques du phénomène du luxe. D’une manière presque admirable (à mes yeux).
Car en réalité tout ce barnum me faisant chier grave (ce qui est positivement sain), je pense répondre à cette norme scientifique tout en captivant mes lecteurs/lectrices (mes Popus) avec de magnifiques photos dans l’attrait de ce monde axé sur la beauté et la perfection… Ce Rat Rod “Luxus” regorge en effet d’idées exceptionnelles et je me suis donc efforcé de réaliser un texte de haute qualité incarnant mes visions décalées de l’imperfection…
Sous cette forme et par conséquence intellectuelle, l’engin est devenu un projet artistique que je me devais d’accompagner d’une exposition d’art avec une adaptation cinématographique… Un abonnement à vie sans limitations vers l’infini à GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits étant le cadeau parfait pour ceux et celles qui sont fasciné(e)s par les émotions et les mythes entourant le sujet du luxe… Prix minima en tant qu’œuvre d’art : 4 millions de $ !
Au cours de la dernière décennie, la scène des voitures classiques a connu un changement monumental vers une forme extrême et une fonction d’œuvre d’art. Certains attribuent toutefois ce changement à un simple ennui. L’un des principaux moteurs de cette transition a été l’engouement pour les Rat Rod’s. Qu’on les aime ou qu’on les déteste, une chose est sûre, ces créations cool font TOUJOURS tourner les têtes.
Et si vous vous êtes lassé du barrage apparemment sans fin de bagnoles hors de prix pour pingouins hyper fortunés mais crétins puissance 1.000, ce Rat Rod innovant est un billet de première classe pour le romantisme rustique ! En tant qu’œuvre d’art ce Rat Rod qui échappe aux contrôles techniques est l’essence même de la construction artistique ! Patinée à l’extrême, la cabine de ce Rat Rod est sectionnée en tous sens dans l’esprit de ce qu’aurait fait Picasso.
En face de cette objet grandiose, le respect du à toute œuvre de l’esprit s’impose même aux gabelous et fiscards. Ils seront stupéfaits à la vue de la visière exagérée façon abat-jour et sidérés devant le pare-brise à manivelle, le miroir monochrome et les lampes à capot ambrées. Juste derrière ces lampes, les poignées de porte traditionnelles font éclater des portes suicides pivotantes. Cette œuvre grandiose doublée de bois brut est réalisée avec des outils rétro…
Ils dateraient de l’époque de Léonard da Vinci, que les imbéciles y croiraient aussi intensément que les Fake-News officielles débitées par BDSM Tivi dont une expertise officielle indique l’impossibilité de pouvoir affirmer le contraire (gag !). Ces divagations se marient aux bidons de carburant vintage d’époque Mérovingienne, qui sont restés fonctionnels, alimentant en fait le moteur du Rat Rod. À l’arrière, les vieilles planches seraient issues d’un navire Viking…
Des clignotants d’époque indéterminée se joignent à des feux arrière à DEL soigneusement patinés pour éclairer les clôtures réutilisées qui servent de pare-chocs élégants. En parlant de réutilisation, la caméra Comp Thumpr originale de la construction, datant des années20′ est accentuée par des capuchons de clôture recyclés contrôlant la direction choisie par l’intrépide pilote. Ce qui mène la calandre sophistiquée et les phares Chevy Twilite rétro vers l’inconnu.
Et tout éclate en finale grâce à des embellissements chaleureux qui sont venus directement de la main de Kirk James de Bluzman Pinstriping… Bravissimo ! Beaucoup de puissance est fournie par le 454ci big_bloc Chevy qui, en plus d’être reconstruit professionnellement par Eric’s Automotive Machine Shop de New York, a été soigneusement altéré par éraflures et lavage à l’acide. Les carbus eux, disposent d’écopes vintage flottant dans une configuration chaudasse.
3 Rochester arborent un design avant-gardiste créatif, ressenti comme étant un joli clin d’œil aux moonshiners traditionnels. Ces éléments sont équipés d’une plaque d’adaptation personnalisée. Le ventilateur électrique Oberhausen exceptionnellement rare car datant de l’épopée nazie des Valkyries a été entièrement mis à jour avec un câblage de 12 volts et un distributeur Delco-Remy qui tire des étincelles à travers les câbles Accel Hi-Temp Super Stock.
Des couvercles de soupapes bien patinés recouvrent des têtes de fer et un bloc de fer, tous deux mouchetés de peinture Chevy Orange familière. Un radiateur en aluminium fonctionne avec l’appui d’un gros ventilateur électrique. Une courroie trapézoïdale fait tourner une pompe à eau traditionnelle à côté d’un alternateur moderne. Tout respire à travers des Zoomies restreints en interne. Et divers détails sympas incluent quantités d’objets vintage…
Tel un tach Equus lumineux, un bol de carburant Carter rétro, un réservoir d’expansion Quaker State réutilisable et une jauge à vide Marshalltown.
Garez cette Chevrolet sur un ascenseur et regardez de près les dessous affriolants qui ont nécessité des heures de sueurs et d’innovations, toutes nécessaires pour réussir ce Ramshackle Chic et Choc. Il est maintenant grand temps de vous causer du moteur V8 quasi indestructible…
Il est épaulé par une boite Turbo-Hydramatic 400 à 3 vitesses qui transmet la puissance à un pont AR GM 10 boulons. L’ossature se marie entre l’ancien et le nouveau avec des coussins gonflables reliant les amortisseurs à levier de la vieille école, des bras de suspension fabriqués-maison et des ressorts retravaillés. Le “stoppage” est géré par des tambours assistés. Tout est poussé par des 10.00-15 “Firestone Dragsters”, coiffant des jantes “Steelies”.
Battez les portes violement et vous découvrirez un intérieur personnalisé de bon goût façon “Mad Max”, le thème artistique de ce RatRod étant de combiner un style maximalement crapuleux avec une fausse convivialité maximale, le genre utilisé dans les taudis de Marseille-Nord pour violer les touristes femelles aux gros seins… Les sièges fabriqués sur mesure et soigneusement patinés à l’urine d’animaux dans une ferme, arborent un cuir sur le thème de Rat-Fink.
Ces godets, complétés par un extincteur vintage et des appuie-tête très indépendants, font face à un tableau de bord inutile car dépourvu de tout sauf de la télémétrie de la température, de la tension et de la pression d’huile. Un plancher personnalisé expressément mal réalisé centre un levier de vitesses exagéré entre une lampe de poche vintage et des poignées de porte en cuir. Le conducteur doit toutefois attraper un skull knuckle buster pour faire tourner le volant.
Il est à dégagement rapide en cas d’incendie… et un manomètre Jas P. Marsh vintage garde un œil sur les sacs à merde non dévoilés. Perpétuellement cool et visuellement magnifique, ce Rat Rod est une superbe œuvre d’art rafraîchissante érigée en concept classique destiné à être exposé dans le salon d’un épicurien. Combinant une innovation de premier ordre avec une mécanique éprouvée, il présente l’occasion rare de posséder une œuvre d’art roulante.
Classique et vraiment unique elle se double d’être bien huilée. Ne manquez pas votre chance de posséder cette création artistique annoncée 4 millions de US$ ! Le Sur Mesure fut le programme de personnalisation ultime calqué sur ce que fait Bugatti, offrant une couture automobile limitée uniquement par l’imagination des clients. C’est un processus personnel de co-création vraiment incomparable, un parcours de plusieurs mois et années de collaboration.
L’artisan et le client sont en effet liés pour réaliser une exécution précise de leurs visions réciproques. Au cœur de ce processus se trouve Alexander Pouchkine, un designer Russo Franco Américain spécialisé dans le “Sur Mesure”, qui oeuvre maintenant aux USA. Il a joué un rôle clé pour donner vie à cette création sur mesure, travaillant la main dans le pantalon du proprio pendant plus de deux ans pour transformer une idée en une œuvre d’art intemporelle.
Chaque étape fut un voyage vers l’inconnu formé par la conversation et l’échange de pensées et liquides corporels entre le client, les artisans-ouvriers et un ingénieur. Au cours de cette exploration, il s’est assuré que les besoins et les demandes du client étaient satisfaits tout en respectant l’ADN du Rat Rodding et la conception aérodynamique et thermodynamique méticuleuse de cet hyperRatRod, ainsi que les normes de qualité strictes indispensables…
A ce sujet il m’a confié que : “Ce processus collaboratif, dans lequel le client m’a apporté activement ses propres idées créatives a créé un environnement dans lequel nous avons cherché à repousser les limites pour développer les idées les plus inventives. Ensuite, mon rôle fut de discuter de la conception et de l’ingénierie pour trouver des solutions pour livrer les idées qui correspondraient à la fois à la conception et au dossier technique”… Une responsabilité tout à fait unique dans le Rat Rodding.
Il a ajouté : “J’ai commencé mon parcours dans le département de design extérieur de deux voitures de sport phares chez Zaztava en Russie. Les deux ont déjà été considérées comme des classiques modernes, entre autres en raison de leurs conceptions bizarres de carrosserie sur mesure qui ont été appliquées au groupe motopropulseur et au châssis, ce qui nécessitait une connaissance approfondie des exigences techniques complexes d’une automobile Russe”.
Il a encore ajouté : “Aujourd’hui, la guerre en Ukraine m’a contraint à l’exil et j’ai pu rebondir grâce a quelques passionnés de Rat Rodding. Je leur ai apporté toute mon expérience en design récupératif, travaillant en étroite collaboration avec les clients pour les guider à travers un processus de possibilités quasi infinies, leur permettant de dépasser leurs propres attentes quant à ce que peut être un Rat Rod sur mesure lors de la création d’un chef-d’œuvre unique”…
Son engagement à réaliser les rêves d’un client est illimité, qu’il s’agisse de voyager à travers les pays pour trouver les pièces d’une commande très spéciale. Mais plus qu’un simple facilitateur des ambitions de couture automobile des clients, Alexander Pouchkine est le guide extrême. Avec sa passion pour le Rat Rodding, sa connaissance de l’histoire impeccable et sa profonde appréciation pour le travail de la famille Bugatti, il offre une inspiration “complémentative”.
Les Rat Rodders qui veulent explorer de nouvelles idées ont avec lui le conseiller idéal : “Parfois, un client vient avec une vision claire de ce qu’il veut, ce qui pourrait être un hommage à une certaine voiture. Ensuite, nous travaillons ensemble pour trouver comment nous pouvons transporter l’essence de cette voiture dans le présent mais toujours d’une manière extrêmement authentique. J’aide alors mes clients dans la configuration de leur projet, et ce sans limite”…
Mais il est également impliqué dans la re-création une fois que la vision du client a été définie dans une idéation, il travaille alors en étroite collaboration avec le client et les ouvriers pour réaliser un Rat Rod dans sa forme la plus pure. Oeuvrer pour des clients inattendus et surprenants, c’est ce qu’il s’efforce de faire, et en particulier avec ce Rat Rod Pick-Up. En ce sens, il a recréé ce Rat Rod en pensant à ce qu’aurait fait Léonard de Vinci à sa place.
Il s’est assis et a dessiné jour et nuit pour s’assurer que ce Rat Rod devienne une pièce artistique “Sur Mesure”, un chef-d’œuvre quasi collectiviste. En hommage subtil a Léonard, il a également incorporé des graphiques sur mesure pour orner la carrosserie. C’est ce dévouement unique à la perfection qui le distingue. Tout a été réalisé avec un niveau intime et personnel de personnalisation sur mesure fortement inspiré par les peintures rupestres de Lascaux…
C’est du moins ce qu’il affirme. Il les aurait réalisées avec une attention méticuleuse aux détails. Dans un monde où chaque voiture est une expérience incomparable, le travail d’Alexander Pouchkine est totalement inégalable, grâce à son expérience et au niveau de dévouement qu’il offre à ses clients. Il espère percevoir 5% des 4 millions annoncés, en discussion. L’exposition devrait avoir lieu à Paris chez Artcurial spécialisé dans les histoires absurdes.
2 commentaires
Maître, je suis moins ébahi par la qualité de cette auto que par la qualité de votre texte, ce qui n’est pas peu dire. Pourriez-vous m’expliquer pourquoi j’en trouvé extrêmement novateur, surtout intelligent votre allusion à l’odeur d’urines ? (certes un peu exagérée puisque vous affirmez également que ce genre d’auto est utilisé dans les taudis de Marseille-Nord pour violer les touristes femelles aux gros seins alors que tout le monde sait qu’Auto Union a dévloppé le RS3 pour cette clientèle). Lorsqu’on parle faux-pauvre, tout ce qui aurait pu être pauvre il y a 50 ans devient cool, y compris la fausse rouille… et pourtant, personne ne reproduit la fausse urine, les fausses mauvaises odeurs, hors pratiques sexuelles spécialisées. Je trouve formidable que vous remettiez les pendules à l’heure en un seul mot.
Très cher et incomparable lecteur internaute assidu et néanmoins médecin ainsi que docteur des âmes en perdition… Je suis incapable d’expliquer pourquoi vous avez trouvé novateur et surtout intelligent mon allusion aux odeurs d’urines… Je n’y vois que votre ressenti en lecture de mon texte allusif… Et l’odeur de pisse (excusez ce raccourci olfactif) n’est que votre déduction interprétative puisque ma plume (alerte) dictée par mon cerveau en ébullition, indique plus un trempage des peausseries dans l’urine animale que la réaction chimique établissant conséquemment une odeur exhumée par de l’urine collectée par les chiens alentours dont je n’ai pu déterminer la race, ni par ailleurs l’identité des beautés aux gros seins pendouillant, atrocement violées dans les taudis de Marseille-Nord… Qu’importent les macérations et déjections qui par ailleurs n’ont pas été ni décrites ni développées de manière médicale dans mon commentaire, seule l’œuvre d’art qui a été créée par des moyens contemporains de l’art anal actuellement en vogue car utilisé par nos plus éminents artistes underground. Je ne puis donc, répondre à votre interrogation qui concerne votre ressenti personnel extirpé du plus profond de vous-même. Puis-je vous recommander la lecture des historiettes Lacanniènnes qui seules peuvent vous donner les solutions inversées à vos faux problèmes? J’en abuse moi-même dans diverses situations précaires…
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