Peugeot Asphalte 1996, le HotRoadster Français oublié…
Comme pour nous-même et quantités de choses et faits, l’humain touche parfois au sublime et s’en retrouve vilipendé et accusé d’être politiquement-incorrect par le biais de discours points de vue abscons en prêchi-prêchas laxatifs constitués de bla-blas clopin-clopant et d’attitudes moralisatrices débitées cahin-caha en couçi-couças évangéliques. La Peugeot Asphalte 1996 n’est jamais entrée en production, pourtant elle ignorait les contraintes fonctionnelles et était présentée comme objet de pur amusement. Avec ses quatre roues, originalement implantées en trapèze, l’Asphalte réutilisait la route qu’elle ne dominait que de quelques centimètres, sa mécanique alerte permettant à ses intrépides occupants de prendre littéralement l’air en toute quiétude.
Protégés par des saute vent, les bienheureux ne l’étaient pas des censeurs. L’Asphalte aurait pu être LE Hot Roadster damant le pion aux Yankee’s… Son abandon fut comme un carnage auto-destructeur généré par une presse aux mains de milliardaires s’en servant comme outil de propagande subventionnée pour des besoins politiques. Une presse dirigée pour maintenir le consumérisme en tant que valeur sociétale lorsque les mots à lire sont générés comme des mots à dire selon des directives issues de plans de campagnes élaborés en telles sortes que l’illusion perdure… Dans une lettre adressée peu avant l’an 507 du 1er siècle, à son cousin germain Apollinaire, fils de Sidoine, Avit de Vienne demandait à ce dernier son avis sur les poèmes qu’il lui avait fait parvenir.
L’Avit se présentait alors comme un évêque dont l’occupation principale était l’édification de la communauté catholique burgonde et qui, au milieu de ces occupations, prenait le temps de s’amuser (lusi) à écrire des “libelli” de “Spiritalis Historiae Gestis” (SHG) : il s’agissait de cinq chants devant s’identifier à l’Histoire spirituelle : “Hic nunc nihil falso, nihil adsentatorie me loqui coram sinceritate uestra imprecor testem Deum : tantum me tuo iudicio delectatum, ueluti si auribus domni mei, patris tui, Sidonii Apollinaris, meditata confessus, cuiuscumque laudis momentis eo censore donarer”… Avit semblait donc tenir au jugement littéraire de son cousin car il voyait en lui l’ombre de son père Sidoine, le chantre admiré d’une poésie fortement marquée par la rhétorique et la préciosité.
L’évêque viennois cherchait ainsi à se placer dans la continuation de son oncle. C’est donc en écrivain pleinement conscient des virtuosités poétiques acquises lors de sa formation rhétorique qu’il composait une épopée biblique adressée à un public partageant cette même culture. C’est un peu comme Notre Président Macronpoléon se référant à l’appui inconditionnel des financiers qui le dirigent, ses électeurs/lecteurs premiers étant, comme lui, les membres représentants d’une élite politico-religieuse gallo-romaine très attentive à la pratique d’une poésie respectueuse des lois métriques et rhétoriques classiques. Toutefois, dans le prologue, Avit prend soin de définir plus précisément ses conceptions.
Il s’éloigne alors de la rhétorique précieuse de son oncle Sidoine (qui est l’équivalent de la Guide des Banquiers) pour préférer une austérité stylistique plus appropriée selon lui à la transmission de la vérité chrétienne, terminant son manifeste poétique par la revendication d’une poésie qui dit la seule vérité autorisée. Ainsi la poésie de cette époque n’est pas uniquement l’expression d’un loisir agréable, mais est avant tout la transmission sérieuse d’un message dont le poète chrétien est responsable devant Dieu et son but est d’instruire son public en le divertissant… : “Pour l’heure, je prends Dieu à témoin qu’en présence de votre sincérité, je ne dis rien faussement, rien par flatterie, sinon que je suis ravi de ton jugement”…
Il continue en augmentant peu à peu cette inversion trompeuse : “C’est comme si, ayant présenté aux oreilles de mon seigneur ton père, le fruit de mes travaux, j’étais gratifié par ce censeur de quelque louange d’importance”... (Salubrius dicenti clerico non impletur pompa quam regula et tutius artis pede quam ueritatis uestigio claudicatur. Non enim est excusata perpetratione peccati libertas eloquii. Nam si pro omni uerbo otioso quod locuti fuerint homines, rationem redhibere cogentur, agnosci in promptu est illud periculosius laedere, quod tractatum atque meditatum, anteposita uiuendi legibus lo- quendi lege, praesumitur)… C’est en conformité avec la conception d’une poésie austère, subordonnée à la transmission d’une vérité inventée…
Les cinq livres du SHG débutent assez abruptement par une série de relatives “descriptives” donnant immédiatement la portée d’une catéchèse poétique visant à lobotomisation des lecteurs, cela en contaminant les matrices poétiques classiques : “Quidquid agit uarios humana in gente labores, unde breuem carpunt mortalia tempora uitam, uel quod polluti uitiantur origine mores, quos aliena premunt priscorum facta parentum, addatur quamquam nostra de parte reatus, quod tamen amisso dudum peccatur honore, adscribam tibi, prime pater, qui semine mortis tollis succiduae uitalia germina proli”… Mieux vaut pour un poète (moi par exemple tapotant mes texticules couillus) écrire des vers sans ostentation que sans respect de la foi (en les paroles Macronpoléonniennes)…
Il est en effet plus faussement satisfaisant de trébucher sur un pied que dans la voie de la vérité. En effet, commettre un péché n’est pas excusé par la liberté de l’expression (le triffouillage des lois est calculé). Car, si pour toute parole vaine (les écrits vont de même) qu’auront proférée les hommes, ils seront forcés à rendre compte, il faut alors reconnaître qu’il est tout particulièrement dangereux d’oser écrire une telle parole après réflexion et considération et de préférer la loi du langage aux lois de la vie… Tout ce qui, dans la race humaine, engendre des tribulations variées, d’où l’existence humaine tire une vie brève, ou encore la souillure originelle de nos mœurs corrompues qu’accablent les fautes de nos premiers parents, qui nous sont étrangères.
Il est vrai que notre propre culpabilité s’y ajoute, notre inclination à pécher du fait de la perte déjà ancienne de nos prérogatives, tout cela, c’est à toi que je l’imputerai, premier père, toi qui, par la semence de la mort, enlèves à ta postérité déchue le germe de la vie… Waouwwwwwww mes biens chers frères et soeurs ! Tout ça pour vous écrire que les moyens qu’utilisent nos Héraults qui ne sont que vils mécréants aux ordres se résument à la directive “d’enculer le peuple”… amorce poétique polémique pour souligner l’importance du péché originel et ainsi la portée du message théologique transmis dans les suites. Mon propos est ici de souligner la description de l’état masturbatif incssant de nos élites…
Je laisse de côté les différents sens exégétiques portés par l’intrusion de la voix auctoriale de notre Président porteur d’un discours géographique implicite qui renouvelle la vision du monde transmise par les épopées classiques, via des discours stylisés qu’il ânonne pour “son” public…Il est déjà trop tard de s’en inquiéter d’autant que cela a été intégré dans le temps qui nous est imparti. Chacun dans le monde étant auto-persuadé de représenter les forces du bien précédant celles de l’enfer… C’est dans ce processus que la création d’une automobile de loisir diffusant l’esprit Français dans le Hot Rodding américain a été “auto-suicidée”... Modulable, l’Asphalte était pourtant aussi élégante en biplace qu’en monoplace.
Un élément de carrosserie, logeable sous le capot moteur, permettait de masquer la place du passager. Son conducteur pouvait régler volant et pédalier pour être le plus à son aise dans ce poste de conduite aux allures de cockpit. Côté design, une ligne de crête part de l’emblème avant pour arriver au feu stop arrière, renforçant la pureté de son style. Les deux volumes des phares, de part et d’autre de cette ligne médiane, forment une flèche synonyme de rapidité. Côté motorisation, un accélérateur, un frein et une boîte de vitesse automatique pour ne pas avoir à gérer les changements de vitesse et se concentrer sur les sensations décuplées de la conduite. C’était un concept très automobile qui ne gardait que l’essentiel pour le conducteur.
Pas de clé de contact mais un bouton “On” pour donner vie au moteur de 90cv, un bouton “Off”, et le tour était joué. Pas de portes car on y entre en enjambant le véhicule façon Roadster, après avoir enlevé le volant pour plus de facilité. On se retrouvait alors confortablement calé dans des sièges moulés dans la coque, séparés par un “dormant” central. Voilà, c’était génial mais par trop “politiquement incorrect”...La description de ce concept est comme celui du jardin d’Eden, il devrait être, selon la classification rhétorique antique, une topothesia, c’est-à-dire la description d’un imaginaire, mais, sous le calame d’un évêque chrétien, elle devient topographia, c’est-à-dire la description d’un réel inaccessible.
S’il s’agit d’une vision idyllique très stéréotypée qui reprend tous les éléments topiques du genre associes à la réalité du monde afin de lui donner une matérialité, participant à la transformation de la conception par l’utilisation appropriée de techniques acquises. Considérez que je vous rappelle ici que les savoirs nouveaux, diffèrent de ceux hérités par la tradition classique. Se profile ainsi une vision nouvelle du monde. Mais pffffffff ! Je me dois d’expliquer… En 1971, le président de l’époque, Richard Nixon, a mis fin à la convertibilité des dollars en or, affirmant que cette décision n’était que “temporaire” afin d’empêcher les pilleurs de devises d’attaquer le dollar.
C’était un mensonge, bien sûr, et il était basé sur le fait que le gouvernement des États-Unis imprimait beaucoup plus de monnaie qu’il n’avait d’or pour l’échanger. Permettre à d’autres banques du monde d’échanger des dollars contre de l’or (que les USA avaient reçu dès 1939 de tous les pays Européens qui craignaient que les Nazis s’en emparent était impossible car les USA ont considéré en 1945 que cet or couvrait leurs dépenses pour sauver les Européens du nazisme… Ils ont tout dépensé en guerres diverses et cela a anéanti le stock d’or mondial que possédaient les États-Unis à l’époque. Nixon a donc dû trouver une solution de type gangster planétaire.
C’est ainsi qu’ont commencé plus de 50 ans de création monétaire illimitée… L’’impression monétaire remplaçant l’or à créé la construction artificielle de la “prospérité économique” que la plupart d’entre nous ont connue toute notre vie. Ce système touche à sa fin étant toujours une certitude mathématique, bien sûr. Et bien que la boîte ait été repoussée à maintes reprises, nous n’avons plus d’or et les dollars ne sont que du papier qui est imprimé à l’infini et cette escroquerie planétaire a été basée sur la confiance… et des boîtes de conserve. La responsabilité s’arrête ici. La guerre en Ukraine a de surcroit généré la fabrication d”un même système regroupant les nations non-occidentales sans cesse menacée de la terreur des sanctions…
L’effondrement économique attendu depuis les années 1970 ne peut plus être évité. Le souci à se faire est que comme l’a dit Vance en février 2025, ce qui a été la cause du Clash à la Maison Blanche avec Zeelinsky : “Le péril ne vient pas de la Russie mais de la corruption des gouvernements européens par le biais des retours sur les achats obligatoires de faux vaccins créées pour une fausse pandémie, puis par le biais des retours sur les dons de charité à l’Ukraine (en réalité à Zelenski) effectués par nos chefs de gouvernement avec % de remerciements à l’organisatrice auto-nommée cheffe de l’Europe”... Le même mal corruptif a été institué aux USA sous la Présidence de Joe Biden, son fils se retrouvant gravement compromis avec des laboratoires de virus à utilisations militaires en Ukraine.
Trump à beau vouloir réduire la taille du gouvernement US surgonflé, couper les cartes de crédit gouvernementales abusives et mettre fin aux opérations de blanchiment d’argent de l’USAID, tactique nécessaire pour désactiver les chaînes d’approvisionnement financières du blanchiment d’argent démocrate, du trucage des élections et de la fraude criminelle… Mais cela touche également au cœur de l’économie artificielle, qui a été soutenue par de l’argent artificiel sous la forme d’une impression de monnaie apparemment sans fin depuis Nixon. Il s’avère que la fragilité du système économique sous lequel nous vivons tous est largement sous-estimée.
La coupure de la masse monétaire artificielle déclenche une série d’événements en cours qui conduiront à un effondrement économique (puis à une réinitialisation) aux États-Unis et en Europe occidentale, les pays regroupés par Vladimir Poutine devant s’en sortir épargnés. Peut-être que c’est à dessein, peut-être pas. Mais la relation de cause à effet ne peut pas être annulée simplement parce que nous n’aimons pas les effets… Le résultat final est que les économies occidentales sont sur le point de plonger dans une phase de forte contraction menant à la destruction générale. La valeur des actions va plonger, l’immobilier sera fortement touché, les détaillants feront faillite en nombre record. Une fin de monde.
Les compagnies aériennes et les constructeurs automobiles déjà actuellement contraints de réduire leurs activités et des millions de gens se retrouveront sans emploi. Tellement, en fait, qu’il y en aura plus qu’assez pour remplir les rangs d’une révolte populaire. Les actions de terrorisme intérieur seront grandioses, plus organisées, bien financées, violentes et destructrices. Ces révoltes populaires menaceront l’existence même du monde occidental, En résumé, les conséquences à court terme de ces coupes sont indéniables. Les détaillants, les restaurants et les entreprises qui ont compté sur l’afflux artificiel d’argent gratuit sont confrontés à l’effondrement. Plusieurs millions de gens vont perdre leur emploi.
La réinitialisation économique en cours sera chaotique, douloureuse, perturbatrice et vaine. C’est une étape nécessaire vers le démantèlement d’un système qui a longtemps été truqué envers les populations occidentales. La douleur que nous éprouvons peu à peu aujourd’hui est le début d’une nouvelle ère définie par la transparence, la responsabilisation et la croissance économique organique. Cependant, alors que nous naviguons dans cette transition, nous devrons également faire face à la menace très réelle de troubles civils. Les groupes politiques enhardis par la perte de contrôle de leurs diverses caisses noires, se mobilisant pour utiliser la dislocation économique causée par des réformes nécessaires pour recruter des adeptes…
C’est l’effet Madronpoléon, qui s’excite lui-même à inciter à la violence en créant des moyens de déstabilisation de notre société occidentale. C’est un crime humanitaire sociétal que d’envoyer nos enfants à la guerre se faire massacrer, soit tuer, soit estropier et traumatiser à vie pour faussement sauver l’Ukraine d’elle-même et ses tourments nazis. La Russie n’a jamais attaqué l’Europe, c’est l’Empereur Napoléon qui pour des plaisirs sexuels misérables à une Princesse Polonaise a envahi la Russie jusque Moscou, s’est piégé de suffisance et a perdu 80% de sa Grande Armée en franchissant la Bérézina. Les Russes n’ont jamais fait la guerre à la France, eux et les Américains ont par contre sauvés la France du Nazisme…
“C’est parce que des centaines de milliers de nos Boys Américains sont venus combattre les Nazis”, (tout comme des millions de Russes) “qu’en France on ne parle pas allemand”, à dit la représentante de Trump à la Maison Blanche… Pour ce qui est de notre Président élu pour faire barrage à Marine LePen, on dit que la masturbation rend sourd… A ce point, la déviance transgenre préconisée en fête en clôture des jeux Olympiques de Paris 2024 doit servir à alimenter les incitants masturbatoires. Nous vivons une décadence et les prémices d’un soulèvement global se ressentent avec des manifestations contre Tesla, des attaques contre la propriété privée et des appels croissants à la destitution de nos politiques corrompus. Le risque d’une guerre civile cinétique est réel…