Australian 1932 Ford coupe
Je vous emmène de l’autre coté de la planète terre, au continent des Aborigènes qui furent victimes d’un génocide par les colons Britanniques qui se sont absolument tout approprié au nom de leur Royauté, tout comme en Amérique avec les Amérindiens…Et plusieurs siècles plus tard ont refusé par référendum de les reconnaitre car ils ne sont ne sont qu’au niveau des Kangourous, Koalas et autres animaux qui n’existent pas ailleurs sur terre… Alors que la France a le français comme langue officielle, l’Australie utilise l’anglais. La langue française y est souvent considérée comme romantique et expressive, tandis que l’anglais australien se caractérise par son accent distinctif et son argot unique. Les styles de communications varient également, la culture française favorisant une approche plus formelle et hiérarchique, tandis que l’Australie adopte une approche plus décontractée et informelle.
Les Australiens ont tendance à utiliser un langage plus direct et à favoriser l’humour léger dans leurs interactions quotidiennes. Une cuisine raffinée et une passion pour les arts culinaires faisait de la France à leurs yeux, un pays “valant le détour” malgré que tout y est sale, ils considèrent que la France a sombré dans une européanisation-américanophile acceptant le barbarisme des migrants et l’agrégat explosif des cultures en oppositions religieuses… Ils déplorent donc que les Français qui accordaient une grande importance à la qualité des aliments, à la présentation des plats et à l’art de la dégustation, aux fromages variés, aux vins fins, aux pâtisseries délicates et aux plats emblématiques tels que le coq au vin et le boeuf bourguignon, ont laissé toutes ces merveilles de la culture Française, être absorbées dans une sous-culturation sociétale liberticide…
L’Australie est par contre un melting-pot culinaire qui s’assume tel quel, où l’influence de différentes cultures se mélange pour créer une cuisine diversifiée. En raison de son histoire d’immigration, l’Australie propose une variété de plats internationaux, allant des spécialités asiatiques à la cuisine méditerranéenne en passant par les délices du Moyen-Orient. Ils apprécient les barbecues, les fruits de mer frais et les saveurs audacieuses… Le mode de vie en France était pour eux souvent associé à la “joie de vivre” et aux plaisirs de la vie tels que la bonne nourriture, le vin, l’art et la culture et surtout la baise. Mais ils constatent que la culture française qui était colonialiste et guerrière n’a pas su éviter d’être peu à peu rejetée par les colonisés, raillée par les pays émergeants et mise aux pas des pays forts en gueule avec qui les Français croient être amis et qui en réalité les déconsidèrent…
En revanche, les Australiens sont convaincus être perçu comme un pays à l’esprit ouvert, axé sur le plein air et l’aventure, ils n’ont aucun état d’âme que leurs ancêtres ont tout volé aux Aborigènes, ils se perçoivent (entre eux) comme conviviaux, décontractés ayant la passion pour les activités en plein air telles que le surf (au milieu des requins), les randonnées et le camping sauvage… L’Australien est, en gros, un Britannique Américanisé en pire… Avec leur climat ensoleillé et leurs vastes espaces naturels, les Australiens ont une approche détendue de la vie et attachent une grande importance à leur équilibre personnel entre leur travail et leurs loisirs qui ont tendance à se confondre… Imprégnée d’histoires de guerres et vouant un culte pour les royautés, la France est pour eux un pays unique, les Français vénérant les châteaux dont ils ont tué/décapité les propriétaires à particules…
En comparaison, ils considèrent l’Australie comme un pays jeune, avec une histoire autochtone remontant à des millions d’années. Les peuples Aborigènes, non-reconnus par référendum… qui ont été pillés et massacrés tout comme les Insulaires du détroit de Torres, ont toutefois pu conserver par condescendance toute britannique, et besoin touristique, leur culture et spiritualité enracinées dans la terre et les traditions ancestrales. La culture aborigène qui n’est donc pas reconnue sauf comme attraction touristique, ne sert que de conditionnement d’images du même niveau que les kangourous et Koalas déjà cité. A titre personnel, ayant beaucoup voyagé de par le monde, mon avis est qu’au concours de qui est le pire dans les “ceusses de race blanche”, la France et l’Australie sont ex-aequo, chacun ayant leurs fêtes et célébrations reflétant leur identité et valeurs supposées.
En France, les célébrations nationales telles que la Fête nationale et le Jour de la Victoire sont plus l’occasion de profiter de jours de congés que l’occasion de commémorer des événements historiques. En Australie, les festivités sont axées sur des événements tels que l’Australia Day, marquant l’arrivée des premiers colons britanniques en Australie et donc du génocide des populations aborigènes. En fin de compte, je ne vous conseille rien et ne vous souhaite que de vivre le mieux possible dans le monde, particulièrement chez vous… Restez-y… Phil Rillotta est la vedette de cette chronique, c’est un colon Australien sans lien avec les Aborigènes, qui bricole les mécaniques “à l’Américaine”… fraternellement donc, avec les descendants des colons britanniques ayant génocidé les Amérindiens, un vrai mec sympathiquement abominable…
En outre, il est le propriétaire de ce qui était autrefois la voiture de route la plus rapide d’Australie, une Street-Machine Australienne LC Torana, équipée d’un Blower (compresseur) avec injection, qui était bonne pour 8.2@168mph ! Phil possède toujours cette “PRO ST1” et est actuellement en train de la remettre aux goûts évolutifs locaux… Mais je ne vais pas me peler les couilles ici à tapoter un texte causant de sa Torana… Ni de la douzaine de Muscle-cars à numéros correspondants (c’est-à-dire que pour des raisons pratiques, c’est une seule immatriculation qui sert pour toutes, tenant compte qu’il ne sait circuler qu’avec une voiture à la fois)… C’est simultanément une question de budget et de complications d’immatriculation… Comme l’Australie est plus vaste que l’Europe, il est temporairement à l’abri des emmerdes policiers et fiscaux pour les biens automobiles qu’il possède.
Non, je suis ici alors que je pourrais être ailleurs, pour vous faire baver sur son Hot Rod coupé Ford 1932 à cinq fenêtres de style nostalgique… Vous aurez beau jeu d’essayer faire de même, c’est impossible, d’autant plus que les exemples grotesques donnés en émissions TV débilitantes sur les chaines TV Franchouilles, ne donnent que des exemples de réalisations de miséreux grandes gueules œuvrant dans la crasse et les magouilles…. Par contre, la “Hot-Roddisation Australienne” sait y faire, de la carrosserie et son intérieur à la mécanique, tout est parfaitement détaillé/réalisé, c’est immaculé. C’est presque déprimant car en Franchouille un tel résultat est quasi miraculeux… Et cela m’interroge sur mon besoin psychologique de passer des heures à tapoter mes textes qui servent aussi à illustrer les photos, l’inverse étant semblable… A quoi bon ?…
Dans le fond, à supposer même que vous me lisiez en totalité, ce dont je doute, mis à part que vous avez mon âge (avancé), voire vous situer dans une période de 20 ans de moins, je subodore que vous êtes des cinquantenaires pas loin de la retraite qui venez regarder (plus que lire) mes articles en nostalgie et vous marrer que je critique (ceux qui ont lu) tout et tout le monde sans avoir de procès merdiatique sur le dos… Le seul qui m’écrit c’est un ami médecin généraliste… Vous pouvez lire nos échanges en finale de certains articles, c’est généralement excellent… Avouez que je me donne beaucoup de mal pour ça… Si par contre vous réagissez, mes Popu’s, c’est aux anniversaires indiqués dans le réseau asocial Fesses-de-boucs, que je déteste.. C’est déprimant… Avouez que je serais mieux sur mon Lafuma multi-positions au bord de la piscine de mon domaine, entre Brigitte et Bernard qui regardent également la mer…
Celle qui baigne Saint-Tropez… Je précise que j’y habite… Dès qu’on quitte l’endroit, nous sommes traqués par la foule… De plus, pour avoir la paix, je ne circule qu’en Smart, la même Brabus depuis 20 ans… Bien… Je fais une pause déjeuner, puis je verrais mon humeur à tapoter… Voilà, je suis reviendou après 24 heures d’ailleurs, plein soleil, hier c’était pluie… Ou en étais_je ? Ahhhhhh ! Ouiiii ! Le p’tit Hot-Rod Australien… Mignon tout plein, sympathique… Celui de Phil… Bien qu’il soit inutile d’écrire que Phil est un Hot Rodder Australien parce que vous ne le côtoierez jamais et lui non plus, sachez quand même qu’il a toujours eu un faible pour American Graffiti, ce qui l’a amené à fabriquer son premier Hot Rod à l’autre bout du monde, où plutôt de l’autre coté de la boule qu’est la terre. Un de ses amis qui vit à 250km de chez lui, mais qui est en terme Australien “un voisin proche” dans le Queensland, l’a conseillé…
Il connaissait un vieux Ford Coupé Deuce à vendre. Ainsi, six mois plus tard, alors que la famille Rillotta était en vacances sous le soleil du Queensland chez son copain, celui-ci l’a emmené rencontrer Ronnie Wilson et sa Ford 32 rouge… Tout comme Phil est bien connu dans son cercle de Hot Rodder’s, Ronnie n’était pas un inconnu parmi la foule, mais ni l’un ni l’autre n’avaient jamais entendu parler de l’autre, ce qui témoigne que l’Australie est vaste… C’est un pays/continent.. Phil a acheté le Hot Rod et l’a ramené à Adélaïde. (c’est le moment de consulter une carte pour vous imprégner des distances considérables). Ronnie construisait lui-aussi des Hot Rods depuis les années 1960, il avait commencé par un Roadster Type A Chevrolet’29 qu’il avait équipé d’un V8 312ci Thunderbird. Imaginez ça, un moteur Ford dans une Chevy ! À l’époque, le Roadster Chevrolet était une voiture gagnante…
Gagnante de coupes et trophées en fer blanc qui finissent par encombrer les greniers… et depuis, Ronnie construit aussi des voitures de qualité qui ne cessent de s’améliorer. Même Phil, avec ses normes très élevées, a été époustouflé lorsqu’il a vu le Hot Rod et peut encore passer des heures avec ses amis entassés dans le garage, à vérifier tous les détails. Il y a des obsédés partouze… Les pires sont sexuels, mais ce n’est pas ici le propos… La base du Hot Rod était une paire de rails de châssis “Just-A-Hobby” que les gars de “Rod City Repros” ont renforcés, puis configurés pour positionner un essieu Super Bell de 4,1/2 pouces et un différentiel Galaxie rétréci de neuf pouces, avec quatre barres qui maintiennent tout en place à l’avant et à l’arrière. Une fois de retour chez Ronnie et à la merci de son atelier d’usinage, il s’est mis à usiner (ce qui est logique, je me marre d’écrire tout cela)…
D’un coup, ça me donne envie d’aller bouffer des moules… J’y vais et reviens pluche tard… Bien, Je viens d’en revenir… Les trois petits points représentent trois heures passées… Voilà, ou en étais-je ? J’ai même perdu le point d’interrogation… Pfffffffffff !!! Faut-il causer des cache-boulons, du bouchon de radiateur, des pédales de frein et d’accélérateur et de tout un tas d’autres pièces pour finir par décrire le châssis ? Ras-le-bol… Vous radoter qu’il est à un niveau dont beaucoup de gens ne font que rêver m’exténue… Ahhh ! Vous préciser que la plaque ‘Californie’ est un leurre… Et pendant que vous êtes en dessous de tout et de la table pour vérifier tous les détails cachés, vous ratez par impossible de pouvoir vérifier la beauté du plancher en acier inoxydable poli à persiennes et le double échappement en acier inoxydable ! Sachez que la carrosserie est la deuxième 1932 à sortir du moule de chez Deuce Customs.
Ronnie avait prévu d’acheter la toute première, mais au moment où il est arrivé à Melbourne, elle avait déjà été vendue. Il a donc acheté la seconde… Je vous signale que d’écrire de telles conneries m’épuise… Un ras-le-bol bis… Bref… Cette belle couleur rouge foncé est une teinte du catalogue PPG qui a été savamment pulvérisée sur l’ensemble du châssis et de la carrosserie par Kerry Fehldberg. un Australien que vous ne connaîtrez jamais… La garniture blanche Tuck & Roll traditionnelle a été gérée par Larry Unos (idem, donc oubliez-le). Sur une voiture aussi traditionnelle que celle-ci, vous ne voulez pas gâcher le look avec une chaîne stéréo de modèle récent. En outre, il y a suffisamment de choses à regarder avec une gamme complète de compteurs VDO classiques. L’intérieur est complété par un tapis rouge foncé, un volant Moon blanc et un levier de vitesses Lokar.
Les jantes et les pneus définissent un Hot Rod et le choix que nous avons ici plante cette voiture en plein milieu des années 1950 : 15×41/2 à l’avant et 15×8 à l’arrière, enveloppés dans de larges pneus à flancs blancs Firestone. Un ensemble de capuchons de bol pour chien (gag) Ford ’49 et quelques anneaux de garniture ajoutent de l’éclat et aident à empêcher les disques Porsche 356 à l’AV et les gros tambours Galaxie à l’AR de racler la route… Après sa Torana “de huit secondes”, Phil a eu besoin d’un peu de patience pour sauter dans son Hot Rod coupé, mais avec le V8 350 Chevy surmonté d’un trio de Stromberg 97 et soutenu par une boite Turbo 350 à décrochage élevé, le coupé Deuce se déplace très bien.. Cool… Alors, qu’est-ce qui se profile à l’horizon pour Phil maintenant qu’il a le Hot Rod de ses rêves ? Eh bien, il va faire peau neuve de sa Torana.
Une fois que ce sera fait, Phil se lancera probablement dans la construction d’un Roadster très différent (Un V8 Big Bloc 500ci avec Blower et injection Roedek avec environ 1000 cv. Ce sera un nouveau mélange intemporel ! Je ne ferais plus le voyage, il m’expédiera les photos en fichier sur le Web…. Voilà, l’article est enfin terminé, quoiqu’il manque quelques mots en une phrase pour “faire” les 6 lignes entre les photos afin que tout soit régulier… “A la façon Australienne”.... Je vais tapoter quelques lignes en remplissage pour arriver aux 6 projetées J’y suis presque, ensuite je vais replonger dans la piscine… avec Valérie et Blacky… Plus qu’une ligne… Presque… Je vais y arriver… Un ou deux mots et Yeahhhhhhhhhhhh ! (au plus de “h” il y a au plus je touche le but… OK ?Top, 6 lignes… Demain sera un autre jour… Je n’ai plus rien d’autre à ajouter dans cette chronique.