Pro Street’Vette C1 McCabe
Le mouvement Pro Street, vivement résumé comme concernant des bagnoles de Ouf’s allant hyper vite et ayant l’air vraiment cool en le faisant à donf au max… a commencé à gagner en popularité il y a environ 35 ans aux States… Ouaihhh Mec ! Si t’es un Franchouillard, t’es largué fissa ! T’es rien, tu représentes personne, même pas toi-même, t’es qu’un nullard de glandeur, un connard dégénéré qui s’est laisser enculer bien profond par les LOIS européennes qui voulaient favoriser les bagnoles de fiottes et pédés et, aujourd’hui, avec la technologie qui brouille continuellement les frontières entre les vraies bêtes de Drag Yankee et les putes classieuses de la retape, transformer une classieuse historique en une très crédible Street-machine fabriquée sur mesure, est devenu l’un des passe-temps préférés de l’Amérique, mais simultanément c’est devenu une maxi impossibilité Franchouille, la soumission y étant générale.
Aux States, le pays qui nanana rien à foutre des autres, les customiseurs de haut niveau qui ne craignent pas l’extrême de l’extrême, il y a encore quelques choses à dire et écrire sur l’originalité. Et même si de nombreuses entreprises créent des brûleurs spécialement conçus pour éclairer les arbres de Noël des pistes de drag, beaucoup d’entre eux sont à peu près aussi élégants qu’un Pick-up “Malaise Era”… Eh bien, comme vous pouvez le voir avec cette incroyable Corvette qui est la Star de cet article, elle est l’élixir pour le mal des rues et du strip-tease des masses de gueux et fiottes de pédés. C’te Corvette de style Super Gas a été construite pour montrer la force brutale américaine Streetable ET Coursifiable des vais Mecs Super Cow-Boys. Elle combine une esthétique parfaite avec des prouesses mécaniques sérieuses pour mecs qui ont des couilles dans leurs Jean’s et cherchent des performances revigorantes…
C’est une reine de parade digne de la convoitise ou tout simplement une voiture cool à posséder et à posséder. C’est une excellente bête à la fois féroce et docile. Après avoir passé de longues heures à courir les rues sombres de grandes villes en toute illégalité, les vrais pilotes Yankee’s changent maintenant complètement d’orientation. Aujourd’hui, les courses de rue sont sponsorisées et organisées par des professionnels, et ce, officiellement. De plus elles se déroulent en public. Cette Corvette ProStreet montre aux racailles qu’après avoir été la reine des rodéos nocturnes, elle et ses sœurs deviennent les meilleures jouisseuses du monde. À elles maintenant d’aller défier les Rois des Rois et leurs acolytes dans différentes disciplines. De courses de rues, en Sprint, en passant par quelques séances de Drift, l’Amérique met en avant ses talentueux créatifs ! Finis donc les seules petites virées en ville !
Pour les nullards-réducteurs européens, il y a toujours une réaction très primitive envers une voiture ricaine qui a un gros moteur, une peinture flashy et de gros pneus. Mais, comme la technologie nécessaire pour réussir à afficher cette apparence est américaine, l’attrait de cette Corvette Super Gas est beaucoup plus profond que la nouveauté. Le gourou des châssis de la NHRA, Don Davis, en connaît un bout sur la technologie, développant des voitures qui ont remporté plus de la moitié des courses Super Gas d’une saison donnée lorsqu’il fabriquait ses bagnoles. Davis avait déjà passé des années à construire des Hot Rods à succès, cependant, lorsqu’il a voulu commencer à développer son entreprise à temps plein, il s’est installé dans la NHRA car la ligue appliquait un règlement universel. Finalement, Don est devenu si bon dans son métier que la NHRA a commencé à incorporer son travail dans son règlement national.
Et en fin de compte, l’entreprise et l’héritage de Don survivent grâce à l’aide du loyaliste passionné Jim Hughes de Hughes Performance alliés dans la création de cette Corvette imaginée par McCabe Racing, et construite sous la direction directe de Don Davis. L’idée était de créer une voiture légalement Streetable qui pourrait facilement servir de Dragster sur piste et… après quatre ans de travail acharné, cet objectif a été pleinement atteint. La carrosserie de la bête est faite de composites de qualité. Une calandre Corvette chromée rejoint un pare-brise d’aspect rétro et un grand capot pour ajouter un sentiment de puissance stylé et familier. Avec aussi la légalité à un niveau irréfutable de la plus haute importance, car respectant les directives légales aux USA : phares halogènes et clignotants, rétroviseurs et feux arrière d’usine, tout est Street légal.
Un arceau de sécurité, une aile de coffre arrière géante et des échappements polis latéraux donnent direct un ton sérieux à la bête! Et tout est indiqué sur un doc officiel qui a été estampillé de drapeaux ricains croisés et soulignés d’ajouts argentées croustillants qui enveloppent des lauriers de la vieille école autour d’un motif de damier avec la rête de Joe Biden. Le pied intégral : “America first”… Lorsque cette C1 a été construite, elle comportait un moteur 582ci beaucoup trop chaud qui rendait la voiture trop capricieuse. Cependant, les têtes plus froides ont finalement prévalu et la voiture a été rééquipée d’un big bloc 454ci Chevy plus policé gentil-gentil sur les bandes de routes pour bien élevés. Soulevez le fuselage/carrosserie et vous trouvez un radiateur Ron Davis costaud, qui accroche deux ventilateurs électriques devant deux poulies billettes qui font tourner une pompe à eau Weiand, qui refroidit le bloc Jet Black…
Lui-même est centré sur des collecteurs à longs tubes de grand diamètre. Au-dessus de ces tubes, les têtes en fonte sont couvertes avec des caches-culbus en miroir entre des reniflards polis et les fils des fiches MSD Super Conductor qui tracent vers un distributeur Mallory de qualité Number one planté dans une prise de tarentule Edelbrock TM2R, qui traite un gros carburateur Holley coiffé d’un filtre à air K & N X-Stream… Waouhhhh mec ! Et le compartiment moteur très aéré de la voiture est exceptionnellement bien rangé, avec des éléments tels que les tuyaux de fluides, super tressés, un super maître-cylindre Wilwood et une plaque de blocage polie. Tout cet enfer de pièces hyper chères augmente la mise pour la performance et l’esthétique. En dessous, se trouve une transmission sans compromis complétée par un équipement de qualité professionnelle et des planchers en aluminium.
Derrière le Big bloc, une robuste transmission Turbo-Hydramatic 400.3 à 9 vitesses, centre un panneau d’alu poli et un couvercle de volant d’inertie poli lui aussi devant un refroidisseur accouplé à un ventilateur Perma-Cool très venteux. Cette transmission tord un essieu Strange de 4 pouces qui tourne dans un boîtier fabriqué à “contreventement” arrière. Cette transmission est suspendue dans un châssis Don Davis de premier choix, avec des bras personnalisés qui se complètent avec des bobines réglables et une barre Panhard également réglable. Ce clip est dirigé par la direction à crémaillère Flaming River, qui s’étend sur des moyeux Strange finis avec des bras de suspension polis et un deuxième jeu de bobines. Dans les virages, des étriers Strange pressent des disques “fendus” pour contrer l’élan de fusée spatiale du super Big-Bloc-Power qui brûle les pneus 15R560 F-33 -19×5.15 Mickey Thompson Sportsman Pro.
Et, conformément à la tradition d’un compartiment moteur propre, tout, des tuyaux tressés de la voiture à son réservoir de carburant personnalisé, est entièrement trié et prêt à prendre la piste. Piloter ce flip-top est relativement facile grâce à un cockpit confortable et entièrement professionnel. Le conducteur de la voiture et une passagère sexy et chanceuse d’être baisée par un tel King de la route et des pistes de drag, sont perchés sur de simples godets style avion B17 dotés de harnais Crow Enterprizes assortis. Devant ces sièges, un tableau de bord minimaliste trouve la télémétrie vitale de l’Auto Meter derrière de simples interrupteurs à bascule et un tableau de bord en miroir. Sous ce tableau de bord, un tapis encadre une console personnalisée centrée sur un levier de vitesses B&M hyper costaud. Et devant le conducteur, un volant amovible fait clapoter les pédales métalliques….
Très rapide et très facile à utiliser, cette Corvette immaculée est une excellente combinaison de performances exceptionnelles de Pro Streeting et d’esthétique intemporelle du Hot Roding. Quel autre bagnole-à-la-con vous permettrait d’hésiter à posséder un tel engin pour seulement 300.000 dollars qui peut déchirer des passes revigorantes d’un quart de mile, puis vous ramener poliment à la maison pour baiser la passagère durant des nuits d’enfer ? Croyez-moi, elle n’attendra pas et vous obligera à baiser de suite… Ouaisss, les mecs, le temps a rarement été aussi vital pour comprendre l’évolution des marchés boursiers devenus laids. Les obligations, généralement en sécurité sur des îlots de stabilité, de sécurité et de valeur, ont atteint des prix hyper bas alors que les grands fonds de pension et les investisseurs institutionnels les vendaient pour lever des liquidités auprès des nullards cochons payants…
Le marché des bagnoles de collection, quant à lui, surfe sur une série chaude de plusieurs années. Ma mesure à vol d’oiseau de l’ensemble du marché, montre qu’il bat des records et, au moment ou cette bafouille est tapotée, il reste proche de son plus haut niveau historique. Suivant la sagesse sage de Blood, Sweat & Tears (Ce qui monte, doit descendre), il est naturel de se demander combien de temps cela peut durer. Le légendaire financier et banquier d’investissement J.P. Morgan a déclaré : “J’ai fait fortune en sortant trop tôt”... Ce qui peut être issu d’une étreinte sexuelle avec une pute qui avait calculé tomber enceinte et pouvoir lui réclamer la moitié de ses avoirs au nom du bébé “pour sa sécurité”... J.P.Morgan est ensuite devenu le plus grand masturbateur financier au monde. Il se branle et spermate (éjacule) des milliards pour lui seul ! Aucun partage ! Il les bouffe plutôt que les laisser s’échapper dans les WC…
À l’heure actuelle, des millions d’Américains, certains investis dans le marché boursier, d’autres conservant des actifs tels que l’immobilier, l’art et les voitures de collection, copient J.P.Morgan tout en observant les hauts et les bas, évaluant leurs portefeuilles et se posant tous la même question : Comment savoir-quand “trop tôt” est ? Ceci pour jouir un max en spermattant des milliards. Car arrêter de se branler pour les garder au chaud est contre productif ! Pas d’éjaculation, pas de jouissance…Il faut donc éjaculer sans risque, même évaluer le risque d’une capote trouée…Donc, la finance est ainsi devenue auto-masturbatoire dans les marchés en érection… Dans les marchés baissiers, les investisseurs boursiers dénommés “couilles-molles” sont rassurés par l’affirmation selon laquelle le rendement annuel moyen historique des actions se situe entre 8 et 10%.
Sur le long terme, la tendance est en effet à la hausse. Mais de nombreux investisseurs ne parviennent pas à internaliser ce que signifie réellement “long terme”. Mais personne ne peut prédire précisément où ils seront à un moment donné dans le futur. Les marchés n’évoluent pas de manière prévisible. S’ils l’étaient, alors tout les branleurs auraient leurs bourses pleines, ce qui de par la nature des choses est impossible… Les mêmes principes de patience dans le temps de jouissance dans les branlettes financières s’appliquent sur le marché automobile. Sur le long terme, la plupart des classiques prennent toutes régulièrement de la valeur. Cependant, d’une année à l’autre et d’un véhicule à l’autre, les résultats diffèrent considérablement. Par exemple, les données des ventes aux enchères montrent que les voitures achetées puis “retournées” en moins de deux ans et demi ont moins de 50% de chances de réaliser un profit.
Un pur pari, en d’autres termes. “Tenez plus longtemps et vos chances s’améliorent considérablement : à la septième année, les vendeurs aux enchères gagnent de l’argent 95 % du temps. Toutefois le marché automobile évolue beaucoup plus lentement que les marchés financiers traditionnels. Les oscillations ne sont pas aussi dramatiques et sévères. Mais il y a certainement une certaine imprévisibilité” : m’a déclaré David Gooding, président et cofondateur de Gooding & Company. Compte tenu de cette imprévisibilité, les règles strictes et les stratégies d’enrichissement rapide échouent souvent au test de pression du monde réel. Prenons, par exemple, la règle des 7 %… Très simplement, la règle des 7% est une stratégie visant à préserver le capital et à plafonner les pertes, dans laquelle un investisseur vend une action lorsqu’elle perd 7% ou plus de son prix d’achat. Cela semble formidable, mais il n’y a aucune garantie !
Laquelle ? Et bien que la prochaine chose dans laquelle vous investirez fera mieux, surtout en période de volatilité comme la nôtre… Je parle à beaucoup de gars des fonds spéculatifs qui sont de très bons répartiteurs d’actifs, et à l’heure actuelle, ils ne savent pas où se trouve le fond du puits sans fond de la connerie humaine qui est le réservoir de la finance ou git l’humanité… Il faut gardez également à l’esprit que les réactions instinctives peuvent vous tromper des rendements que vous auriez pu voir si seulement vous aviez tenu bon. Les collectionneurs de voitures ont l’avantage de pouvoir profitez de leurs investissements, même dans les mauvaises années en les utilisant par plaisir… Quoique cela induit des tracasseries et frais liées aux pannes inévitables… Bien sûr, la valeur marchande des voitures pourrait être en baisse. mais pourrait aussi être en hausse… Pourquoi on bande où pas ? C’est toujours la question.
Mais à moins que vous n’entriez et ne vendiez, vous ne réalisez aucune sorte de fluctuation sur le marché. Bien qu’il n’y ait pas de chiffre magique ou de stratégie en ce qui concerne les cycles de marché, il existe des modèles historiques qui méritent d’être compris. Le plus important à l’heure actuelle, pour les collectionneurs de bagnoles, est peut-être la façon dont les actifs corporels se comportent pendant les périodes difficiles. Les voitures ont une corrélation négative avec la plupart des actifs, montrant certaines propriétés contracycliques, c’est-à-dire que lorsque les actions et les obligations baissent, les voitures montent. Wall Street et ses clients fortunés ont toujours couvert leurs investissements traditionnels avec des actifs tels que les voitures classiques, les portefeuilles à valeur nette ultra-élevée allouent en moyenne 5% de leur patrimoine aux objets de collection.
À titre de comparaison, l’allocation moyenne pour l’or est de 3 pour cent. Les objets de collection deviennent particulièrement importants en période d’incertitude, car elles peuvent être de précieuses réserves de valeur avec des prix basés sur la rareté et la valeur sociétale plutôt que sur les fluctuations de l’économie. C’est l’une des raisons pour lesquelles le marché des voitures de collection, en particulier ses échelons supérieurs, est passé à la vitesse supérieure au moment même où les investissements, les actions et les obligations plus traditionnels ont manqué d’essence (double sens). L’attrait des voitures dites “de collection” en tant que classe d’actifs en période de volatilité peut toutefois devenir un handicap, car il attire parfois des spéculateurs soucieux de l’argent qui ne comprennent pas suffisamment ce qu’ils achètent, tels les maniacos-dépressifs collectionneurs de Ferrari à la fin des années’80.
Dans une moindre mesure, les Porsche 911 Turbo refroidies par air dans les années 2010 en ont ruiné plus d’un connard… Dans l’ensemble, c’est fondamentalement un jeu de passion pour imbéciles se croyant très futés… Cette dernière observation est renforcée par le rapport d’UBS : The Value of Collecting, qui a révélé que pour la plupart des gens, la collection est une question de passion plutôt que de profit, ils consacrent beaucoup de temps et d’argent à la construction de leurs collections, animés par une profonde passion pour leur sujet. Mais un bon tiers s’y ruinent… La chose la plus importante à considérer lors du “timing” du marché peut être l’avertissement commun que les financiers réglementés par la SEC sont tenus de partager avec leurs clients : “La performance historique n’est pas une garantie de performance future”. À Wall Street et à Las Vegas, cela signifie que la banque gagne toujours…