Psychanalyse d’un Street Rod’35 Chevy
Cet article est un inédit contre-culturel, jamais tenté auparavant qui devrait audacieusement spermettre à la masse populaire, dont vous êtes le constituant primaire privilégié dénommé “internaute-lecteur/lectrice”, de découvrir l’analyse Freudienne, superlativement Lacaniènne, de cet objet roulant définissable en tant que sujet “Street Rod’35 Chevy”, après avoir analytiquement réussi l’adaptation de son contenant, obtenu par une synthèse examinative de l’intérèt du sujet qui s’est avéré déjà créé depuis un long temps définissable d’un autre objet tel que semblant lui-même, mais autre…
La découverte primale de l’objet autre mais de même structure, aussi magnifique soit-il en sa forme et sa finition, n’a quasiment jamais été utilisé dans l’esprit dit “Rebel whitout a cause” très utilisé dans la motivation du “JE” instinctif et primal de l’individu “Hot Rodder Américain”, si ce n’est que ce titre, à double sens psycho-neuralitique, indique une néantisation paradoxale des sujets y confrontés : “Se faire créer un Hot Rod uniquement pour l’exposer dans des shows pour être primé et recevoir médailles, coupes et mentions hallucinées, en ce compris la gloire d’une couverture de magazine”, est en effet une sorte de paradoxe-temporal…
C’est tel que décrit doctement dans divers articles, sous la réserve ici formulée de pouvoir en disposer par citation de son origine, pour ensuite plus rien. Ce “RIEN” qui présuppose l’entrée dans un “rien” menant à quelque chose qui semble indéfinissable, à ici une signification en son signifiant caché. Aucun génie dit Kulturel et néanmoins cinématographique, ne va jamais curieusement l’utiliser, pis, et c’est audacieux et simultanément conceptuel, aucune star humaine ne va le conduire… Et un exploit chassant l’autre, ce beau Hot Rod Sujet délirant, va être remisé sous une bâche capitonnée dans un hangar comme un box.
Le seul gagnant du commerce créé en amont de l’aval du signifiant décrit, est le garage qui a construit “la chose”, garage qui, comme entité d’êtres consuméristes, va être sollicité pour refaire la même curieuse action ici définie comme étant “le même coup”, et ce avec les mêmes effets, quoique pas certain dans l’incertain ainsi créé… Au moins, et je l’écris maintenant en un langage écrit moins psychologique, lorsque Ford, General Motors, VW, Ferrari et tous les autres, agissent de même canevas au départ d’une création d’artiste-designer, la finalité consumériste est de générer du profit…
Cela en mettant “l’objet-prototype” en fabrication, en grande ou petite série, qui génèrera du “merchandising” et autres jusqu’à plus soif, et recommencement jusqu’à en vendre… Les “sportivités-aléatoires” dites ‘Machines de rêves” (qui peuvent devenir des mêmes “Machines de cauchemars”), ne servent qu’à faire vendre dans une soupe servie à grandes louches aux cons-sommateurs, faisant partie du système, avec des moyens qui forment eux-mêmes un sous système. Rien que d’en causer, ça donne le tournis et génère l’envie, aux moins crétins des lobotomisés de fuir au loin, ou d’agir de même à moindre échelle…
Ouiiii, mais en utilisant des moyens plus pires que similaires, mais, limités à notre planète boule qui tourne sur elle-même et de même dans l’univers, les cons-sommateurs (et trices) n’ont pas d’échappatoires si ce n’est de mourir dans un temps pré-déterminé de 100 années. Cela explique que des dieux ont été inventés pour aider à digérer que tout ça est aliénant et sans issue. Celui qui ne veut agir et parler qu’avec justesse finit par ne plus rien faire du tout… Un concept en amène un autre… Tout tourne en tête… Que je sache, rien de bon n’est jamais sorti des reflets de l’esprit se mirant en lui-même.
Ce n’est que depuis que l’on s’efforce de se renseigner sur tous les phénomènes de l’esprit en prenant le corps pour fil conducteur, que l’on commence à progresser de rien vers d’autres riens… Attention, je pars en moi-même, j’en sors des mots en phrases qui peuvent vous contaminer : Désillusionné, je dégueule sur la facilité des sentiments… C’est beau ça… Puissant… Peut mieux découvrir… Ce qu’on nomme l’amour n’est que l’alibi rassurant de l’union d’un pervers et d’une pute, pareil qu’un voile rose qui couvre la face effrayante de l’inéluctable solitude… Pessimisme larvé en bouteilles de Champ’…
L’amour, c’est tout ce qu’on a trouvé pour aliéner la déprime post-coïtum pour justifier le fornicateur de l’orgasme, c’est la quintessence du beau, du bien, du vrai, qui refaçonne nos sales gueules et sublime nos existences mesquines… Waouwwww ! Je pratique et je prône l’hédonisme mondain car il m’épargne des euphories grotesque du premier baiser, du premier coup de fil, d’écouter douze fois un simple message, prendre un café, un verre… Qui m’épargne également les faux amis communs, les “chantonneurs/neuses” préféré(e)s aux cachets mirobolants, m’épargnant le mal de vivre et les baiseries pour combler l’affectif…
Rien de tel que se détacher pour… puis plus rien… OUI ? NON ? Pas bon, je sors du sujet Hot Rod… Il me faut, en tant qu’éditeur de ce site-web, organiser la tentation de posséder un Hot Rod pour y rouler et le faire par l’écriture… D’une certaine façon, il faut lire même si ça ne sert à rien. Je parle de la lecture de la littérature, car, sauf mes écrits, il n’y a pas de littérature “Hot Roddiène”. Lit-on mes texticules couillus à cause de leur absence de vocation utilitaire, ou lit-on mes textes en tournant autour, en les sur-considérant comme étant un complément du sujet traité, sans chercher à y apprendre quelque chose ?
La force des textes ! Pfff ! Pendant que les gens sérieux emploient leur temps à des choses pratiques, construire des tanks, devenir investisseurs et regarder BDSMTV, les lecteurs de textes restent tous seuls et tous petits face aux textes. Mais ils y trouvent les choses de mon esprit qui lui communiquent une force incroyable… La véritable fonction de mon lectorat serait de se maintenir en vie dans un monde brutal ou tout le monde se gorge de distractions généralisées. Or, moi, les choses faites pour me distraire, m’ennuient de plus en plus… Les films comiques me semblent sinistres, surtout Louis de Funeste mémoire.
Les livres destinés à m’éduquer me révoltent. Je me méfie de tout ce qui a une intention… Le côté lire, c’est bien, c’est sympa c’est coolesque… On a le droit d’arrêter de lire SI la lecture n’est pas “sympa”, on n’est pas cool parce qu’on lit, c’est une autre forme de niaiserie, car tout est fichu, plus personne ne sait lire. C’est une autre manière de démagogie, tout en croyant être le contraire. Cela flatte la vanité de certains lecteurs : “S’il n’en reste qu’un à lire DeBruyne dans ChromesFlammes et GatsbyOnline, je serai celui-là”... Mon lecteur préféré n’a pas toujours tort dans ses critiques me concernant, mais il n’a pas toujours raison.
C’est un médecin, il a fait du latin et du grec et il me lit avec avidité. Qu’en est-il des médecins d’aujourd’hui ? Avant, il y avait une bourgeoisie humaniste qui aimait la littérature et la lecture, ou au moins faisait semblant. Elle ne fait plus semblant. La lecture, quel que soit le lecteur, est un acte asocial. C’est du politiquement incorrect. Le geste même le montre. On penche la tête, loin de l’action et de ses fanfaronnades. Il y a toujours une confusion entre la lecture, la littérature et la vertu. On ne fait pas cela pour les autres arts, la peinture ou la musique. Cela tient au fait que la littérature est de l’ordre du discours.
L’écrivain utilisant le même outil que le prêcheur, on ne pense pas que les mots soient pour lui des couleurs ou des notes. Certains lisent par haine… Mais oui… certains écrivains disent : “On ne se lit pas entre-nous, on se surveille”. Par exemple, certains critiques haineux, en bande à part, tous ami(e)s, comme par hasard. Ajoutez-y une émission de télévision qui organise la mise à mort symbolique des ceusses comme moi. Ces critiques-là, je les exaspépère. Ils ne fonctionnent que par le ressentiment et la haine, parce que ce sont des gens sans moyens. Et, quand on n’a pas de moyens contre le talent, la seule arme est la vulgarité.
Nous sommes infectés de morale. Quand j’étais adolescent, je n’aurais jamais pensé vivre dans un temps comme celui où je vis aujourd’hui. Tout est signe d’une régression extraordinaire. Ce que j’écris n’est ni du côté du bien ni du mal, c’est ailleurs. Une sculpture de Michel-Ange n’est ni du côté du bien ni du mal, mais elle existe… Cet exemple révèle la contamination de nos cerveaux par le moralisme triomphant. Il y a une forme de monstruosité chez divers lecteurs, qui fait que leur évolution naturelle, adolescents, serait de devenir écrivains pour entrer dans le royaume des fées qu’est la littérature.
Les grands lecteurs sont souvent des écrivains “rentrés”. Un écrivain, ce n’est pas un jaillissement génial venu de nulle part, c’est en lui, successif mais délicat. Ne lisant plus, l’humanité serait ramenée à l’état naturel, parmi les animaux. Il y a un danger qui éveille l’attention, qui nous menace, c’est moins le Net et les nouvelles technologies que le miel de la fausse gentillesse distillée par obligation sous sanction d’effacement et de mise sous silence, destinée à rendre la littérature anodine pour contribuer à nous rendre servile. La séparation du monde qu’opère le lecteur est très violente pour les esprits pratiques.
La lecture n’est pas si aimée qu’on le croit. N’oublions pas que les lecteurs sont très minoritaires dans la société. Bientôt il y aura plus d’écrivains que de lecteurs et presque plus personne ne pourra vraiment ni lire ni écrire. Et la littérature n’existera plus si elle n’est pas lue. De plus, lire n’est pas facile, ni fondamentalement ni nécessairement et bien qu’on vive dans un monde qui vénère l’effort, le seul qui ne soit pas toléré est celui qu’on doit éventuellement faire pour lire de la littérature. Le sens de la fiction s’est appauvri, on ne croit plus qu’aux témoignages. Même s’ils sont faux. La fiction est mensonge.
On parle de la “vraie vie” comme si la vie dans les écrits était fausse. Pourtant, a fiction est indispensable parce qu’elle montre ce qui est caché. La fiction, c’est ce qui soulève le tapis alors que la bienséance voudrait qu’on se contente d’en admirer les motifs. C’est en cela que la littérature et sa lecture restent des actes de contestation… Bien, bref… Il faut en finir… Ce coupé Chevrolet Standard de 1935 a été acheté en 1984 et a passé du temps dans diverses configurations avant d’être modifié chez Traditional MetalCraft dans le Delaware dans le cadre d’une construction qui a été achevée en 2017.
La carrosserie en acier est peinte en vert métallisé et présente un toit “Top-Chop” (on dit maintenant“haché” et incliné (le Rake) ainsi que traité en finale d’un brillant nickelé. La puissance provient d’un V8 Chevrolet 327ci avec une configuration à double carburateur quadruple (sic !). La transmission automatique est à quatre vitesses (200R4) et une pont arrière est un “Banjo Winters”. La voiture roule sur un châssis fabriqué sur mesure avec une suspension à barre de torsion, des freins à disque avant, une direction assistée électrique et des jantes Halibrand de 15 pouces.
La personnalisation de l’intérieur est malheureusement sans risques de surréalisme, elle a consisté à garnir l’habitacle de cuir vert vieilli et de tapis gris à armure carrée, en plus d’ajouter des sièges baquets type bombardier, un tableau de bord Nash Metropolitan et un sélecteur de vitesses à bouton-poussoir. C’est bôôôôôôô mais trop classieux… Cette Chevy Street Rod est maintenant à vendre “offerte” pour au moins 150.000$ avec une housse de voiture, de la peinture supplémentaire et un titre de propriété Pennsylvania “propre”. C’est hyper radin… Je sais… Je n’ai d’ailleurs reçu aucun cadeau, sauf quelques-uns.
De plus, je suis certain de ne jamais en recevoir… Ce qui est bénéfique… car je peux en écrire ce que je ressens… La structure de support en bois de la carrosserie a été remplacée par de l’acier de 1/8po au cours de la construction, ce qui a également impliqué de “hacher” (Top-Chop) et de “ratisser” le toit (le Rake aérodynamique), de remodeler l’arrière et de remplacer la cloison pare-feu et les planchers. Les côtés du capot à persiennes, les baquets de phares, les revêtements des portes, le couvercle du coffre et la jupe arrière ont également été fabriqués chez Traditional MetalCraft, ainsi que les béquilles de phares.
L’insert de calandre est construit “maison” à partir de barres verticales et horizontales. Le Hot Rod a été présenté en métal nu sur la couverture du numéro #70 du Rodder’s Journal (qui n’existe plus tout comme une trentaine d’autres magazines spécialisés (il ne reste que “Top Wheels”, “Motor Trend” en “papier” et “ChromesFlammes” + “GatsbyOnline” en “numérique” avec traducteur pour chaque langue sauf extra terrestre)… La peinture a été réalisée chez Absolute Rod & Custom à Laurel, dans le Delaware (un état débonnaire sur les questions fiscales), en utilisant une finition métallisée inspirée du vert Cadillac Elysian.
La voiture a d’ailleurs reçu un prix pour “peinture exceptionnelle” au Grand National Roadster Show 2017. L’apprêt Clausen a été appliqué avant la peinture Diamont et le vernis, et un litre de peinture supplémentaire accompagnent le Hot Rod… Les jantes sont des prétendues Halibrand de 15 po qui en réalité sont contrefaites (des fausses Halibrand), avec des accents nickelés et des cônes câblés de sécurité, et elles sont montées avec des pneus 165/80 Classic Radial LL800 All-Season à l’avant et des unités 235/70 BFGoodrich Radial T/A à l’arrière. Une direction assistée électrique a aussi été installée.
Les freins à disque avant sont logés dans un boîtier ventilé de type tambour (pour le look), tandis que les tambours arrière (qui sont, eux, authentiques) fournissent une puissance de freinage à l’arrière. Le travail intérieur personnalisé a été réalisé par MikeySeats du New Jersey en utilisant du cuir vert vieilli “Relicate” ainsi que des tapis gris à tissage carré. Les sièges baquets ne viennent pas d’un bombardier B25 ou B17 mais proviendraient d’une Austin-Healey et ont des cadres chromés apparents et des ceintures abdominales (abominables) de couleur assortie. Le tableau de bord est de la couleur de la carrosserie.
Il provient d’une Nash Metropolitan, et la garniture du pare-brise poli a été façonnée pour accueillir le tableau de bord. Un sélecteur de vitesse à bouton-poussoir est monté entre les sièges. Il est à noter que la voiture n’est pas équipée d’un système de climatisation ce qui est un MOINS important. Le volant encadre un indicateur de vitesse de 100 mph avec des compteurs intégrées pour la pression d’huile, le niveau de carburant et la température du liquide de refroidissement. Le compteur kilométrique à six chiffres indique 343 miles, la distance réelle parcourue par ce Hot Rod depuis l’achèvement/construction.
Ce Street Rod est en effet toujours transporté sur remorque fermée et étanche. Le Chevrolet V8 327ci a été construit par Gil Davis Race Engines de West Chester, en Pennsylvanie, et est doté de deux carburateurs Rochester à quatre corps, de couvercles cache-soupapes Corvette et de collecteurs d’échappement revêtus de “corne de bélier”. Les tuyaux d’échappement mènent à des silencieux croisés parallèles. Les tiges de support de radiateur polies sont rentrées dans des évidements du capot suivant la ligne “de caractère”, et des barres rotatives avec des pinces fixent les panneaux supérieurs du capot.
Voilà, c’est terminé… Quoi que vous n’en ayez sans doute “rien à foutre” cet article qui fait partie de 4.500 autres réunis sur ce Web-Site, en dehors du reportage aux USA dans une semaine de 10 sujets nécessitant divers déplacements locaux et internationaux, bouffes et logements, et transport et divers, a nécessité environ une vingtaine d’heures de tapotages et calibrages/retouches photos et montage… Pour l’euro demandé par mois qui n’est souvent même pas versé sur PayPal, cela me spermet de ne pas moins penser que le monde comme décrit “psycho” dans le corps de cet article ne mérite que sa perte…
Mais cette indépendance financière et morale me spermet d’éjaculer librement mes articles tout en brandissant un doigt d’honneur en souvenir de toutes les vicissitudes vécues… Je le réalise car tel est mon bon plaisir… qui est la formule par laquelle le roi de France affirmait sa souveraineté dans l’édiction d’un acte. Il ne s’agit toutefois pas de la traduction d’un quelconque arbitraire : le mot “plaisir” venant du latin “placitum”, qui désigne une décision, un choix, sans connotation négative . La formule latine originale : “Quod principi placuit legis habet vigorem”, se traduit ainsi par “La résolution du Prince a force de loi” …
Je ne vais toutefois pas vous ensevelir avec “L’agathologie platonicienne”, qui fait état des conditions cognitives référentielles… car mêmes les odeurs pures qui se mélangent avec les déjections en sont submergées… Je me contenterais de votre bonne volonté de “FAIRE UN DON” au moyen du système mis en place dans la colonne de droite de la page d’accueil dite ‘d’arrivée’, celle avec les présentations rendues vivantes car tout y bouge, ce qui devrait vous amener à déposer le fameux don à plusieurs chiffres… Plus il y a de zéro, plus c’est émouvant… Soyez-en remercié(e)s d’avance si votre don dépasse les 100 euros ! Fellation littéraire au dessus de 1.000 euros ! Cliquez sur le lien ci-dessous…