Hot Rod’32 La pluralité des genres
Comme le bestiau choisi est gris monochrome, l’idée de faire entrer l’écriture le concernant dans une zone de turbulence à l’aide d’une notion centrale : “La pluralité des genres”, devrait emporter qui est autorisé à lire, dans une transformation incessante d’une écriture qui glisse d’anecdotes en apologue dans une description impersonnelle, un monologue textuel où dansent ensemble prose et versets, amenant à incertitudes, évidences et connaissances.
Toutes choses que je distille chez mes internautes qui n’entrent normalement pas ailleurs qu’ici, dans un univers dont ils peuvent apprendre les codes et les règles, pour y trouver une information. Cette perturbation, non seulement exprime le chaos typique du monde plus que du Hot Rodding, mais elle est aussi destinée à relancer sans cesse, presque à chaque page, une parole exsangue à sauver le langage du naufrage qui le menace.
C’est en cause du charabia des réseaux asociaux. Il se fait que la vieille norme des mag’s automobiles “à-la_papa” façon Bellu père et fils, devenant la triste norme du faux-chic bon-genre, a amené à la désaffection du lectorat s’estimant grugé, provoquant le “plus nécessaire” à la faillite en centaines de millions d’euros de diverses maisons d’édition, dont le Groupe Michel Hommel qui avait lancé les hostilités via une délation fiscale visant C&F…
La guerre du Kustom fut le glas d’un écroulement d’une dictature de la désinformation qui a instauré par récupération, un système narratif débilitant, copié par les réseaux asociaux, y créant des empires de la désinformation et des publicités subliminalement cachées, ce qui nous a amené dans un monde artificiel générateur de stress et d’invalidations intellectuelles ou s’éclatent influenceurs et influenceuses qui y génèrent des fortunes abyssales.
Celles-ci ne profitent nullement au bien-être général, car échappent aux impôts par le biais de sociétés Offshores, ne faisant qu’amplifier le gouffre séparant les réalités des irréalités éphémères… et ils et elles s’y maintiennent en surenchères d’influences néfastes et artifices trompeurs financés par les mêmes grands groupes aux mains de multi-milliardaires… Je me suis donc aventuré vers d’autres ailleurs, dont la construction d’un magazine numérique.
Ce 3 en 1, laisse voir clairement en ses articles pour plus de 200.000 abonnés/mois que l’univers consumériste devient par trop oppressant. Donc, je suis devenu un Don Quichotte de la Mancha qui propose d’en sortir, aux lecteurs/lectrices devenu(e)s internautes. C’est par l’oscillation, la versatilité que se crée l’inquiétude, obligeant les internautes des réseaux asociaux et de la presse aux ordres du consumérisme, à lire/subir sur le qui-vive
Cela, puisque aucune régularité dans l’emploi des formes ne vient jamais tempérer leur affolement… Faire l’impasse devant cette instabilité calculée, s’effectue en un click sur www.ChromesFlammes.com et/ou www.GatsbyOnline.com … Un style incisif y privilégie les contractures, et les étranglements, les ellipses s’insinuant partout, trouant les textes de silences. Chaque récit se morcellant en scènes détachées disposant d’une continuité de style et d’esprit.
Cela avec les autres articles, chaque page pouvant éclater en paragraphes disloqués. Les phrases, si elles se suivent et semblent parfois se détacher les unes des autres en raison d’une réticence assez marquée à l’emploi de ce qui pourrait faire lien (connecteurs logiques ou chronologiques, conjonctions de subordination ou de coordination), sont en réalité et au contraire pensées pour démontrer que l’affaiblissement de l’ordre du monde va jusqu’à la fracture.
Cela est cristallisé avec les énumérations de diverses phrases nominales. Le présentatif devient alors une nudité sans fard, à vif. L’être humain lectorat, même anonyme, privé de nom, accède à ce que les articles ont à cœur d’offrir : une présence explicative. C’est ce qui manque aux réseaux asociaux et à la presse de monos-opinions à qui personne ne peut écrire, les courriers des lecteurs ont disparu, c’est la nomination qui est le premier élément d’une narration corrodée.
Car “nommer”, a perdu sa fonction, et toutes les possibilités de liens… Le web n’accepte que des anonymes, des numéros, et non des individus. Le nom ne singularise plus, ne protège plus. Tout l’Internet repose sur cette faillite de la nomination, fondant des attentes sans résolutions, les réseaux asociaux ont créé le règne de la déshumanisation. La plupart des actions se lient alors à l’attente, à la non-réalisation.
Tentez donc d’envoyer un courriel au CEO d’AXA, Mr Burbell par exemple… Impossible, il n’y a aucun lien, pas d’adresse, aucun téléphone… Et les indications découvertes ne mènent qu’à de fausse adresses et références. L’effort constant de mes texticules ainsi malaxés consiste à décrire la masse de véritables événements qui se produisent et se déroulent. Et ces événements échappent au cadre logique du monde qu’il n’est plus possible de comprendre.
Demeure pourtant un repère temporel face auquel ils peuvent être situés : leur commencement, une rupture qui marque un avant : Aucun de nous ne reviendra, dans notre univers, la borne est approximative de 100 ans quasi jamais dépassée. Un début et un déroulement avec une fin, telle est la nature paradoxale de l’événement de vivre un temps unique. Par diverses invectives répétées, la bonne conscience est anéantie, pulvérisant tous les moments…
Ceux où, à l’abri de son présent, chacun/chacune pourrait oublier qu’il/elle ne peut pas ne pas être concerné… Je vous cause depuis un “Je” furtif et réticent, désincarné, instable, ou alors tel un fantôme de 75 ans (76 en mai 2025) qui relate. C’est pourquoi de nombreux paradoxes jaillissent en sujet de verbes mais sans qu’aucun internaute puisse leur affecter un référent clairement défini, générant une attente et une interrogation dans une dé-situation…
Mais qui devient une dé-subjectivation, qui est le fondement même de la réflexion à créer en scrutant les achoppements des textes… Pfffff ! Immobilisation, attente, inconstance et vulnérabilité des points de vue, sont des notions destinées à s’entretenir les unes les autres dans l’écriture qui converge pour vous offrir une écriture fragmentée plus qu’une écriture du fragment. Car le fragment n’a plus rien à voir avec un certain passé…
Celui qui, chez un La Rochefoucauld ou un La Bruyère, prétendait éclairer le monde d’un trait ferme, le ramasser dans une formule… C’est terminé, fini… L’écriture fragmentée s’ouvre au contraire au doute, aux blancs, aux béances du réel, et dit mieux que tout autre la coupure des hommes avec les hommes, avec leur passé, avec le monde réel. C’est une écriture que nos désastres enfantent, une idéologie de la machinerie, de la hiérarchisation par les financiers.
C’est donc un système. Aussi faut-il avoir l’effort de comprendre au mieux mes singularités qui invalident radicalement toutes postures qui pourraient avoir quelques ressemblances avec celles des journaleux “bourre-mou”. Je ne souligne que l’inconcevable en asséchant les discours/textuels d’explications psychologiques ou anthropologiques, informatifs de mes faux collègues journaleux, qui dépouillent les lecteurs de tout ce qui est authentique.
De là votre fascination pour ma littérature qui ne se défend pas de répertorier le réel, pour le réorganiser et le re-trier, combattant le désir de faire signifier le monde, qui nous frustre de cette assurance dont nous avons besoin pour braver l’épouvantable du système consumériste qui tourne au dérisoire, afin que ce système et ses rouages doivent rester secrets. Et pour contrer cela, je tisse et détisse un texte troué, en lambeaux, qui recueille les lacunes du réel…
Mais sans les suturer, les gestes les plus dérisoires œuvrant comme un contrepoint aux manifestions les plus exemplaires de la barbarie marchande… C’est dans ce jeu de basse continue que l’angoisse et la résistance se fortifient. La variété formelle de mes textes trouve là l’une de mes motivations les plus éclatantes : l’écriture ne peut pas et ne doit pas faire système… Mais, n’est-il temps de causer de ce Hot Rod ? Je vous avoue préalablement un coté vicieux.
Seuls les abonné(e)s peuvent me lire, ce qui n’est que juste retour amical de votre contribution à l’édification de ce web-site qui ne correspond en rien aux normes établies… Ce Hot Rod, Boss Nine’32 Roadster HiBoy est un Roadster à carrosserie “Brookville” en acier qui a été construit par le propriétaire actuel entre 2016 et 2019. La puissance provient d’un Ford V8 préparation “Boss Nine” de chez “Kaase Racing Engines” disposant d’un système d’injection.
C’est un “Borla” à 8 injecteurs. Il y a aussi un vilebrequin “Crower 4,25” et des bielles “Oliver Racing” . Les commandes sont à boutons poussoirs reliés à un module de distribution d’énergie “ECU MoTeC M130″… Il y a aussi du matériel “ARP” et un système d’échappement double en acier inoxydable. Il est soutenu par une transmission automatique à quatre vitesses “Hughes Performance 4L80E” et le pont-différentiel arrière est un “Strange Engineering”.
Un contrôleur de transmission PCS TCM-2800 est intégré à l’ECU et offre un contrôle de traction ainsi que des points de changement de vitesse programmables et une fermeté accrue. Une boucle de sécurité entoure l’arbre de transmission. Ce Hot Rod porte une finition volontaire en métal nu à l’intérieur et à l’extérieur, monté sur un châssis “maison” disposant de combinés filetés réglables et d’une suspension avant indépendante.
Une direction à crémaillère, une configuration arrière à quatre bras et des freins à disques ventilés aux quatre roues avec étriers “Wilwood” sont au menu… Que du bon et très cher… À l’intérieur, les sièges en cuir noir sont accompagnés d’un levier de vitesses “Lokar”, d’une colonne de direction inclinable “Flaming River” et de jauges/compteurs de chez “Style Vintage”. Parmi les autres points forts, citons un pare-brise incliné et une capote amovible.
Il y a aussi des jantes “American Racing” de 18 pouces et un antipatinage. Ce Highboy personnalisé est maintenant offert en vente par le vendeur au nom du propriétaire avec un titre propre de l’Arizona l’inscrivant comme un “SPCON 1932”… Le numéro d’identification a été attribué par l’Etat d’Arizona avec le numéro AZ370615… Aux USA le consumérisme est roi et fait les Lois, le Hot Rodding crée un marché gigantesque apportant des flots de dollars et de taxes.
Ce marché est donc protégé au même titre qu’une norme Outlaw légalisée… En d’autres mots, tant que vous payez les taxes et que vous vous conformez aux lois et c’est : “Bonne route et bonne chance”…Des planchers personnalisés ont été installés et des nervures de renfort ont été ajoutées dans la zone du coffre. Les détails extérieurs comprennent un pare-brise (trop) incliné, une capote amovible noire, un capot ventilé et des poignées de porte en acier inoxydable.
Il y a aussi des phares à trois barres, des feux arrière ovales, un insert de calandre poli et des barres d’écartement (pareil qu’en BDSM, visitez la section SecretsInterdits pour mieux en connaitre, vous passerez de bons moments masturbatoires)… Aucune finition n’a été appliquée sur la carrosserie ou le châssis, volontairement, et les bosses et imperfections autour de la voiture peuvent être vues car faisant partie de la vie de ce Hot Rod…
Les jantes “American Racing” de 18 pouces sont montées avec des pneus avant Michelin Pilot Sport 215/45 et arrière Mickey Thompson × 280/12po… Voilà… Comptez selon les copies des factures que ce Hot Rod a dû couter pas loin de 100.000 US$… En conséquence c’est au minimum ce montant qui constitue le plancher d’une transaction auquel s’ajouteront taxes et emmerdes si vous rêvez de l’amener en France… Au vu des photos, aller vivre en Arizona c’est cool…