Swow Rod 2024…
Des Hot-Rods utilisés en période de neige et de gel, waouwww !… Cela rompt totalement avec l’esprit des Hot-Rods “concours” qui ne sortent qu’en été sous le soleil… Pffffffff ! Ne t’inquiète pas mon Popu, tu sais que je suis iconoclaste, politiquement incorrect, et, dans cet esprit “Little-destroy” il est normal que je te présente enfin des Hot-Rods utilisés en hiver…
Cela n’a jamais été fait/publié depuis les débuts “papier” de Chromes&Flammes fin des seventies. Oupss !!! Personne ne me semble s’être laissé aller à un tel reportage, même dans mes C&F des pays de l’Est et de la Russie… Dans aucune des sections/chapitres Hot-Rods de ChromesFlammes + GatsbyOnline ne s’en découvre…
Serait-ce un présage “destroy” pour ce qui peut nous arriver si la folie guerrière “Macronniènne” prend de l’ampleur en cause de la rage occidentale suscitée par la guerre en Ukraine qui n’évolue pas dans le sens rêvé par nos dirigeants dictateurs pour une sorte de “fin du monde” réalisée façon “Art&Essai” par les pitres habituels dont l’ineffable Bernard Henry Levy…
Cette affaire d’aides à l’Ukraine est chapeautée par notre Président Macron qui d’un seul coup de rage envers Vladimir Poutine, joue à Napoléon partant sauver sa belle Polonaise Marie Walewski qui rêve d’une Pologne libre, et nourrit une haine des Russes qui occupent la Mazovie, où elle est née… En nptre cas actuel de 2024, l’ineffable récipiendaire est Ukrainien et spécialiste des dons de charité…
Les mauvaises langues “Poutiniennes” affirment en effet que si nos chefs de gouvernements, membres OTAN, sont si généreux avec les montagnes d’or et d’argent de leurs pays respectifs obtenus par les impôts et taxes, c’est que Volodymyr Zeelinsky ristourne 50% des dons au donateur… Pas au pays donateur, mais aux donateurs et à la donatrice (qui en semble émerveillée) via des comptes Off-Shores indétectables…
L’Ukraine est championne dans cette catégorie, ce pays qui fut plus nazi que l’Allemagne d’Hitler, est reconnu internationalement comme le pays le plus corrompu de notre planète… A regarder certaines photos, le système semble bien rodé… Ni vu ni connu… Mais… Si pas de “return” immédiat et anonyme… plus de dons… Ceci explique cela… En ce compris les “gueulantes et menaces”...
Cela avec la promo assurée “indéfectible” de la clique de BDSMTiVi reine des Fake-News… Noooon… Que nenni… Bref… J’en reviens au vrai sujet de cet article qui, tel une refonte d’un sujet “Art et Essai” patronné par nos Maîtres-à-penser, débute par la création de Ricky Brown un américain qui a fait son métier et son business de la construction de Hot-Rods et ce au sein de son entreprise dénommée “Ricky Bobby’s Rod Shop”…
L’engin a été surnommé “One Nite” c’est un Hot-Rod modèle A’28 surbaissé noir, utilisable et utilisé en toutes saisons… Ricky Bobby Brown, construit des Hot-Rods depuis plus de 10 ans et est bien connu pour fabriquer des Rods ultra-personnalisés uniques et accrocheurs. Son Rod “One Nite” est un exemple typique de sa démarche atypique (sic et gag !).
En commençant par le châssis personnalisé, il présente un “kick up” de 12’po à l’avant et un énorme 22’po à l’arrière, percé de trous comme l’étaient les châssis des Mercedes SSKL des années ’20 percés de manière “millimétrique” aux normes des “calculations” Anglo-Saxonnes, à un pouce près, il sert de base à l’essieu avant également percé de même façon qui fut celui d’une Lincoln Zephyr’39.
Ayant toutefois une voie plus large qu’un modèle A, il a fallu l’adapter et agir de même avec triangles de suspension AV également percés de mêmes trous, retravaillés au niveau des fusées d’essieu, pour l’abaisser, avec un ressort à lames transversal provenant d’une Ford modèle A standard, tout cela avec des amortisseurs courts effectuant les tâches “rebondissantes”…
T’as pigé mon Popu ? Si pas, tu recommences la lecture en lisant plus lentement… À l’arrière, c’est un essieu de 8,8 po provenant d’une Mustang 2009, avec des “coilovers”, trois maillons et une tige Panhard (cocorico c’est une invention Franchouillarde), positionnée exactement là où elle doit être. Je n’ai eu aucune information sur les jantes, sauf qu’elles sont en acier de 18’po à l’avant et 20’po à l’arrière.
Elles disposent de cache-disques et d’enjoliveurs sur mesure pour imiter le look d’avant-guerre, un job sacrément délicat. Encore une fois, on ne m’a pas raconté grand-chose en dehors du magasin de Ricky Bobby sur le small bloc V8 Chevy, à part qu’il utilise des cache-culbuteurs Edelbrock, un carburateur à double pompe Holley 650cfm et de jolis échappements de style “Limefire”.
Je passe maintenant à la carrosserie, mon Popu… Elle a été achetée dans une casse comme une carrosserie de récupération avec des tonnes de soudures et une coupe de toit de 4″ mal foutue… Ricky a rectifié cela en diminuant encore de 5’po la hauteur de toit ! 4’po supplémentaires ont été retirés des quartiers arrière pour obtenir un look totalement dingue, tandis que la carrosserie a été adaptée sur le nouveau châssis pour assurer une position “panoramique”.
La finition façon ciel de toit en bois et tissu a été peaufinée façon standards Rolls-Royce, tandis que l’intérieur comprend des sièges minimalistes fabriqués à partir de sacs à dos pour fantassins aéroportés de la Seconde Guerre mondiale… Le tableau de bord avec des compteurs à profusion provient d’un super hors-bord Chris-Craft…
La faible hauteur de carrosserie avec le châssis au ras du sol signifie que l’arbre de transmission passe à l’intérieur de la voiture (et pas en dessous), dans un tunnel de transmission “flottant”...Oouaissss mon Popu… c’est si bas que… Bof !… Je ne vais pas y perdre trop de lignes… Un réservoir de carburant de 12 gallons sur mesure a été fabriqué, juste assez pour passer d’une station-service à l’autre, sans aucun garantie…
Et où se trouve le radiateur ? Derrière un panneau à persiennes dans la queue du Hot-Rod, qui tient compagnie au réservoir de carburant et au radiateur. Le petit réservoir occupant l’espace vide dans la coque de la calandre est le vase d’expansion… Comme tu le constate mon Popu, c’est inhabituel et ingénieux… Bien que ce Hot-Rod ait été peint en noir pour des raisons pratiques (l’état de la coque), j’aime plutôt le fait qu’il le soit…
En effet, e look métal nu a été fait un peu trop souvent et le noir donne une certaine attitude menaçante à ce Hot-Rod…. Et contrairement à certains qui semblent un peu trop inachevés, “One Nite” trace une ligne fine entre le cru dépouillé et tout simplement le cru basique… Voilà… La première partie se termine… Pose café…
C’est maintenant qu’arrive le moment d’aller participer à des “Courses de Hot-Rods” dans la neige… ! Le “Flaming Gorge Snow Rally” est destiné aux Hot-Rod’s Vintage et traditionnels, d’avant 1949. L’hiver dans la moitié nord des USA étant une période d’hibernation pour les Hot-Rods traditionnels typiques…. L’hiver est un bon moment pour effectuer l’entretien et les réparations en vue des prochains mois de croisière au printemps, en été et en automne.
Cependant, il existe un groupe de gens courageux dans les montagnes du nord-est de l’Utah qui sont convaincus que la période la plus enneigée de l’année est idéale pour s’amuser. en glissades lors de “Snow-Race” en Hot -Rod ! Woody Bair, copropriétaire du “Flaming Gorge Resort” situé à Dutch John, dans l’Utah, a toujours eu une passion pour les Hot-Rods et les manèges classiques.
Il a créé le “Hot Rod Hillclimb” et le “Hot Rod Dirt Drags” …pour célébrer des événement attirant énormément de public sur le terrain givré de son spacieux complexe hôtelier de l’Utah… Tout cela pour en tirer profit selon les lois du consumérisme… C’est l’Amérique… Avec l’appui de Tanner Davis, Janalee Collett et de son épouse, Maretta Bair, le “Flaming Gorge Snow Rally” en est à son quatrième événement annuel cette année avec des conditions parfaites.
Il y a en effet un max de neige et il fait -15°… : “Mon Snow Rally offre une expérience hivernale unique pour Hot-Rods. La programmation est organisée, avec une préinscription requise, garantissant que l’événement restera toujours dédié à ses premières racines. Cette année un grand publisher est mon invitaté et nous saluons donc Patrice De Bruyne qui édite TopWheels aux USA ainsi que Gatsby/ChromesFlammes le plus incroyable site-web au monde avec 10.000 visites chaque 24h”…
Voilà ce qu’à déclaré Woody… Il a évidement continué… “Les pilotes s’affrontent sur le parcours dédié. Nous imaginons un nouveau parcours pour chaque année et tout est réalisé sur les vingt-cinq kilomètres de notre station”.… Le FGSR a toujours été un événement qui plait à tous, et qui constitue l’endroit idéal pour un rallye neige. L’événement est visuellement époustouflant, avec les Hot-Rods éjectant de la neige à chaque virage.
Non seulement le “Flaming Gorge Resort” abrite cet événement, mais il abrite également certaines des meilleures pêches à la truite, avec le gigantesque réservoir “Flaming Gorge” et son homologue cristallin, la rivière Green de renommée mondiale, deux destinations de pêche aux rubans bleus que tout pêcheur ou plaisancier apprécie.
Le complexe dispose d’un café, d’une boutique de cadeaux, d’un parc de camping-cars et de 49 chambres de motel. Les dates du “Flaming Gorge Snow Rally” sont toujours en janvier, le week-end de Martin Luther King… et les plans sont déjà en cours pour le prochain épisode. L’événement continue de croître chaque année !
Bien…. Ayant été particulièrement bien reçu “tout compris à profusion, gîte, nourriture, amusements sexuels et Hot-Rod à disposition”, j’ai convenu d’incorporer un petit article “tourisme” dans cet article indiquant que la ville de Dutch John porte le nom d’un des premiers habitants, John Honselena qui était un marchand de chevaux dont les acquéreurs étaient les émigrants et les pontifes du chemin de fer dans les années 1860.
Les gens l’appelaient Dutch John à cause de son fort accent, même s’il était en réalité allemand et non néerlandais. Le domaine où il gardait ses chevaux était également connu sous le nom de “Dutch John”. Les origines de la ville au nom éponyme commencent près de cent ans plus tard, lorsque le gouvernement des États-Unis a commencé la construction du barrage de “Flaming Gorge” en 1958.
Le gouvernement avait besoin d’un endroit pour loger les travailleurs du projet et a construit une ville temporaire sur “Dutch John Flat”. Elle a déménagé dans des maisons de transit, des caravanes et a construit quelques bâtiments pour loger les travailleurs. Les services résidentiels tels qu’un hôpital, une caserne de pompiers et un bureau de poste ont également été initialement installés dans des caravanes.
À son apogée, la ville abritait environ 3.500 habitants et présentait des semblants de ville permanente, avec notamment une école primaire. Une fois la construction du barrage achevée, la plupart des habitants ont déménagé et la ville a été utilisée comme site d’habitation gouvernemental pour les employés du Service forestier et du “Bureau des Réclamations”.
Suite au virage conservateur des années Reagan, le gouvernement a décidé que les logements sociaux subventionnés n’étaient pas justifiés et des plans ont été élaborés pour privatiser la ville. Les sénateurs Bob Bennett et Orrin Hatch ont parrainé un programme dans le cadre duquel le gouvernement fédéral éliminerait progressivement son soutien à la région sur une période de quinze ans.
Cela leur fournissait un financement annuel pour les dépenses communautaires et un terrain à proximité du site à utiliser comme assiette fiscale pour revenus futurs. Ce programme a pris fin en 2013 et, après avoir évalué plusieurs options, la ville a opté pour la constitution en société, qui a été approuvée en 2015. Aujourd’hui, “Dutch John” est une petite ville dont la population oscille entre 150 habitants en hiver et 250 habitants en été.
Les résidents temporaires viennent pêcher à la mouche sur la rivière Verte ou voir le barrage ou participer aux courses de Hot-Rods d’hiver sur et sous la neige… Situé dans le nord-est de l’État, le comté de Daggett est peut-être le plus isolé géographiquement de tous les comtés de l’Utah. Géologiquement et historiquement, il partage autant ou plus de points communs avec la région de Green River, Rock Springs au sud-ouest du Wyoming.
Avant les autoroutes et les chasse-neige, le siège du comté de Vernal aurait tout aussi bien pu être sur Mars pour les résidents vivant sur le versant nord des puissantes montagnes d’Uinta. Sur des questions allant de la propriété foncière et des droits à l’eau à la construction de routes et d’écoles, ces citoyens ont estimé que leurs voix n’étaient pas correctement représentées.
C’est pourquoi, le 31 juillet 1917, les habitants de cette région isolée ont voté pour quitter le comté d’Uintah et former leur propre gouvernement. Aujourd’hui, le comté de Daggett reste quelque peu isolé. Avec un peu plus de 1.000 habitants, il a la particularité d’être le plus petit comté de l’Utah en termes de population ; l’itinéraire le plus rapide vers le très peuplé Wasatch Front de l’Utah emmène en fait les conducteurs à travers le Wyoming.
Les résidents partagent un seul représentant de l’État avec les comtés de Duchesne, Morgan, Rich et Summit et un sénateur d’État avec les comtés de Duchesne, Summit, Uintah et Wasatch. Leurs enfants fréquentent l’une des deux écoles primaires ou la seule école secondaire du district scolaire de Daggett. Alors que Daggett commémore le 100e anniversaire de sa fondation, l’histoire remarquablement riche du comté mérite d’être revisitée.
Mais je ne vais pas m’enfoncer dans la retranscription d’un livre d’histoire-géographique… Voilà, voilou… C’est terminé… La relecture est gratuite…