Rolling Bones’32 Ford Highboy /250.000$
Incarnation du glamour mondain soigné, la “Jet-set” évoque des images de destinations exotiques et de plages dorées, des rendez-vous clandestins sur des yachts cossus, des soirées étoilées dans des demeures somptueuses, avec les femmes en robes couture et bijoux scintillants, les hommes en smokings débonnaires. Les gens de la “Jet-set” étaient les derniers vestiges d’une époque réservée aux méga-milliardaires réputés de culture, d’élégance et de beauté.
Pour dominer, il fallait capturer l’esprit de ce monde, dans lequel la technologie d’aujourd’hui relevait de la science-fiction, lorsque les voyages à l’étranger étaient l’apanage de quelques privilégiés cosmopolites. De l’aristocratie d’antan aux magnats méga-riches modernes, il était impératif de régaler les dominants d’escapades de voyages, d’argent, de sexe et d’aventures. Est-ce qu’un Hot Rod maîtrise les légendes en créant des histoires glamour ?
A l’époque d’entre les deux guerres mondiales (1914/1918 et 1939/1945), des sans-noms se regroupaient au hasard de leurs habitudes de tourner en rond pour passer le temps à dépenser ce qu’ils ne gagnaient pas. Ce fut plus marqué aux USA que partout ailleurs (c’est l’équivalent de Nulle-part) où ces laissés pour compte de qui pouvait en tirer profit, utilisaient des épaves d’occasion et/ou volées pour en extrapoler des “déplaçoirs” réparés façon bricolages…
Les multiples pays d’Europe de l’Ouest et de l’Est, s’ils connaissaient la pauvreté issue de “La Guerre de Sept Ans” (1756-1763) qui s’était déroulée à la fois en Europe et dans leurs colonies, dont l’Amérique, surtout en cause de l’Angleterre exterminant les Aborigènes (Australie) et les Amérindiens (Amérique), quoique les pays européens “génocidaient” les populations d’Afrique pour aider à voler leurs ressources tout en accentuant l’esclavagisme…
Cette guerre oubliée a eu des conséquences significatives sur le monde dont la première guerre mondiale (14/18) qui à généré la crise économique de 1929 à 1940. Déja englués dans la médiocrité qui alimentait la pauvreté générale, les pays Européens n’ont pas compris que leurs actions dominatrices étaient génératrices de rancœurs tenaces amenant l’Allemagne puis le Japon à vouloir stopper les attitudes hégémoniques de l’Angleterre et des Etats-Unis.
Les pays forts d’Europe colonisaient et exploitaient toutes les nations incapables de se défendre. L’Amérique centrale et du sud aux Portugais et aux Espagnols… l’Amérique du Nord, le Moyen-Orient et une grande part de l’Afrique ainsi que l’Australie aux Britanniques… les Français s’accaparant des Iles de çi de là et des petits pays bordant l’Est de la Chine, ne réussissant pas à envahir la Russie… Les guerres se déroulaient entre colonisateurs.
C’est ainsi qu’à force de se battre entre-eux puis à l’intérieur d’eux-mêmes (surtout la France avec la mise à bas de la Royauté du sang) les colonisateurs ont perdu peu à peu leurs colonies. C’était une guerre mondiale entre colonisateurs… Peu à peu, tous ont ainsi perdu leurs immenses colonies qui se révoltaient avec des résultats parfois récupérés par des partages économiques avec divers dictateurs à leur solde puis à celle de pays offrant plus…
Incapables de gérer les immenses colonies des Amériques ainsi que la Chine et échouant tel Napoléon à conquérir la Russie, les colonisateurs ne pouvaient s’entendre entre-eux pour gérer la découverte et l’utilisation du pétrole… Toujours l’Amérique du nord soudain se pointait devant eux sous menaces de pressions, boycotts et sanctions ce qui a amené le Japon et l’Allemagne à leur déclarer la guerre…
Les USA ont vite compris que déclarer des guerres en ayant un parapluie atomique était un moyen de s’enrichir de la pauvreté des autres nations provoquée par leurs guerres fratricides… Amener les nations à se détruire entres-elles pour mieux les exploiter au nom de la paix qu’englobe le consumérisme planétaire protégé par la capacité atomique à tout détruire, devait amener les USA à une domination planétaire… Mais il y a des engrenages qui se grippent…
Si le Rock’N’Roll a assassiné la Douce France de Charles Trenet, le Hot Rodding que Chromes&Flammes a importé fin des années 70 en même temps que les Dragsters n’a pas réussi de même façon en cause des guerres internes d’éditeurs et d’une crainte infondée par les constructeurs automobiles européens que ces engins ne perturbent leurs ventes… Citroën a cru que les Visa’s-Kustomisées allaient créer un mouvement “d’jeune” amenant des ventes à foison…
Rien… Exit Citroën… Et les autres tentatives avec le Tuning n’ont rien apporté de significatif… De même le Van Renault Espace qui devait apporter du sang neuf au “Vanning” a été un Flop… Incapable d’en profiter, le mot d’ordre envoyé aux gouvernements européens fut d’arrêter la mascarade incontrôlables. Plus aucune publicités venant des constructeurs et quelques lois votées à l’échelle européenne ont finalement interdit Kustoms, Hot-Rods, Van’s et Tuning.
La guerre entre éditeurs y a contribué… Actuellement, l’empire C&F de 500.000 exemplaires en 5 éditions/langues mensuelles a été brisé via une mascarade fiscale déclenchée par le Groupe Michel Hommel, ce qui s’est retourné contre lui qui s’est ainsi retrouvé en faillite. J’ai eu la présence d’esprit du numérique au niveau planétaire sans limite avec traduction intégrée dans toutes les langues, mais “le système” est aux mains de grands groupes qui ne partagent rien.
Ca fonctionne quand même… Mais le “A quoi bon ?” m’est asséné par mes proches assez souvent qui finalement laissent faire le vieux Patrice DeBruyne qui va avoir 75 ans le 16 mai 2024… “Ca l’amuse le pépé et ça plait à ses anciens lecteurs car il publie un nouvel article par jour pour un euro par tête, notez que ça représente plus que du temps du papier”... Pfffffffff ! les chiens aboient, la caravane passe…
Avant 1941, aux USA, les Hot Rodders qui ne s’appelaient pas encore Hot Rodders, utilisaient tout ce qu’ils pouvaient trouver ou voler pour bricoler les épaves d’automobiles qui leur servaient de “déplacoirs”. La crise de 1929 avait en effet eu un impact majeur sur les États-Unis et marqué le début de la Grande Dépression, accentuant les écarts sociaux et amenant la durabilité des écarts asociaux.
Partout dans le monde, cela va générer des dictatures qui apparaissaient comme des mouvements sociaux nationaux populaires, destinés à apporter un meilleur bien être sociétal… et le nazisme en était la pierre angulaire en égalité avec le communisme soviétique, ce qui va créer et alimenter la seconde guerre mondiale 1939/1945… Quelques-unes des conséquences dans le contexte nord-américain vont durablement refaçonner le monde.
Les États-Unis s’étaient frappés par eux-mêmes dans un krach boursier sans précédent, en octobre 1929. La crise a d’abord touché le secteur financier, puis s’est étendue à l’ensemble de l’économie. La surproduction industrielle, la spéculation boursière et le crédit avaient gangréné le système nord-américain, entraînant une forte récession et une hausse inquiétante du chômage. Pour surmonter la crise, les États ont adopté des politiques protectionnistes.
La guerre nazie et japonaise va permettre aux USA d’enter en guerre en la finançant avec des promesses financières obligataires des pays envahis par les Nazis et les Nippons… Le président Franklin Delano Roosevelt a mis en place les mêmes méthodes de sur-profits sur “avances de fonds et moyens” qui avaient générés la crise de’29… Le consumérisme qui en a découlé a permis à la machine industrielle de se régénérer sur le même moyen que les crédits usuriers…
Le New Deal, qui a donné un rôle économique central à l’État Américain, cachait l’arnaque du consumérisme. En somme, la crise de 1929 a laissé une empreinte durable sur l’économie, la politique et la société américaine, et a marqué une période de profonds bouleversements. Entre 1929 et 1932, les ventes de nouvelles automobiles avaient chuté de 75 %. Les entreprises automobiles enregistrant une perte combinée de 191 millions de dollars en 1932.
C’est l’équivalent de 2,9 milliards de dollars aujourd’hui, soit 25 % des ventes de l’industrie de l’époque. En comparaison, les bénéfices s’élevaient à 413 millions de dollars en 1929, soit 14 % des ventes de l’industrie. Le segment des voitures de luxe, autrefois très rentable, avait pratiquement disparu. En revanche, le segment des voitures bon marché a augmenté, passant de 40 % des ventes en 1929 à 80 % en 1933, et restant à 60 % même après la reprise.
Les entreprises ont adopté des stratégies défensives et offensives pour maintenir leur performance et ont jeté les bases de leur succès futur. Le marché automobile, qui avait été divisé en trois segments avant la crise, a subi des changements structurels importants. Ces succès pendant la Grande Dépression ont eu des répercussions durables sur l’industrie automobile américaine. C’est ce qui fut le déclencheur de la créations de voitures bricolées…
C’est la naissance des Hot Rods qui au début se nommaient “Throttler’s”… Avec les courses de feux tricolores et lacs asséchés, les jeunes passionnés d’automobiles s’amusaient en modifiant d’antiques Ford T pour les faire courir d’un feu tricolore à l’autre. Certains ont commencé à participer à des courses sur les lacs salés du désert de Mojave qui offraient de vastes surfaces planes et désertes, idéales pour tester la vitesse de leurs véhicules modifiés.
En 1932, Ford avait lancé son modèle “B”, équipé d’un puissant moteur V8 (le fameux Flathead à soupapes latérales). La combinaison de ce moteur avec des carrosseries dépouillées (ailes et marchepieds supprimés) a été une aubaine pour les passionnés de vitesse pure. À cette époque, ils atteignaient déjà des vitesses de 200 km/h. Après la Seconde Guerre mondiale, le phénomène s’est amplifié. “Hot-Rod” a remplacé “Throttler’s” pour désigner ces vieilles voitures.
Ces occasions achetées à bas prix par les jeunes (dont beaucoup de soldats démobilisés), ils les modifiaient ensuite pour gagner en compétitivité avec préparation des moteurs et allègement maximal de la carrosserie. Des magazines spécialisés ont vu le jour, la technique a évolué rapidement, et des kits haute performance sont apparus. Les courses sur les lacs asséchés se sont structurées grâce à la création d’une multitude d’associations.
Par exemple la “Southern California Timing Association” et la “Rusetta Timing Association”. Esthétique et diversification : Beaucoup de passionnés, ne souhaitant pas participer à des compétitions plus formelles (qui ont donné naissance aux dragsters), ils se sont concentrés sur l’esthétique, soignant les châssis, chromant les mécaniques et peaufinant les carrosseries. En 1960, la pénurie de caisses en tôle ont amené la création de répliques en polyester.
Ce nouveau souffle a été suivi par de nombreuses entreprises spécialisées. C’est ainsi, les Hot-Rods ont marqué l’histoire de l’automobile Américaine en alliant vitesse, esthétique et créativité et c’est pour cela qu’ils ont été incorporés dans le rêve consumériste mondial Américain, le gouvernement facilitant à 100% toutes les formalités d’immatriculations parce que les Hot Rods étaient populaires, généraient du business, et détournaient l’attention des guerres…
Il est ici question des guerres impériales hégémoniques (Viet Nam, l’Irak, Afghanistan et autres). L’Europe n’avait pas de mouvement semblable, elle s’était empêtrée dans les obligations de remboursement des aides financières, se voyait volée des stocks d’Or confiés aux USA, qui ne seront jamais remboursés et seront effacés sous Nixon instaurant que la valeur du dollar n’était plus basé sur l’or (qui avait été détourné/dépensé) mais sur le confiance envers le Dollar…
Un Hold-Up planétaire… Aux USA, le Hot-Rodding est ainsi de même devenu légal, en même temps qu’une industrie… Imparable… Imaginez que nos gouvernements européens aient eu l’idée d’agir de même plutôt que sévir et interdire… Le mouvement des Buggy’s sur recyclage de VW aurait prospéré, de même que les répliques, on aurait pu faire de même avec les 2CV… Les interdictions édictées par le biais des constructeurs n’ont pas sauvegardé l’industrie.
L’engouement créatif des jeunes en Europe concernant les automobiles issues de recyclages, est tombé à rien, ce qui n’a sauvé personne… Même le Tuning a été interdit en Europe. Les Kit-Cars également… Tout devait-être aseptisé à l’extrême, il fallait être “Politiquement-correct”... Des constructeurs automobiles se sont appropriés les tendances observées, des persiennes, des bouches d’aération et des prises d’air et des spoilers pour les faire paraître plus puissantes.
Ces enlaidissements étaient en proportion inverse de la puissance. Au tournant du XXIe siècle, le pouvoir au peuple n’était plus qu’un illusionnement. Des catalogues de Tuning colportaient des décorations métalliques boulonnées pour ailes et capots, des itérations plastifiées, auto-adhésives, facilement applicables qui donnaient l’apparence à des poubelles d’être ultra-rapides, ont commencé à apparaître dans les magasins de pièces automobiles.
Ils pendaient de manière séduisante aux crochets de panneaux perforés dans des emballages de cellophane froissés, attirant ceux qui avaient soif de vitesse bon marché ou de faux-semblant. Différentes formes dominaient dans différentes régions. Ces anthrax prenaient diverses formes, bouches d’aération, grilles, écopes, garnitures de ceinture de caisse, et même des trous de balle en vinyle… et étaient fréquemment appliqués sur les capots et les ailes.
Cela a évidemment culminé avec la série de films Fast & Furious… Dans un sens, toutes les voitures sont destinées aux dragues, comme des costumes portés pour exprimer l’individualité, évoquer une identité fantastique, saper les normes fastidieuses et vous ravir, vous et le reste du monde. Cela donne un peu de bling et un certain statut. Dans le but d’identifier l’origine de ces objets , j’ai passé des jours à fouiller sur le site Web de l’Office américain des brevets…
J’ai seulement déniché deux écopes de capot ornementales à clipser du début des années ’90. Frustré, j’ai contacté des fournisseurs d’objets automobiles éphémères, dans l’espoir de sonder leurs archives. Mais cela a abouti à une mystérieuse série de murs de pierre contrits qui confinaient au complot. Ces pressions semblaient presque métastatiques alors que les gadgets ridicules proliféraient sur les voitures dans les années Chromes (entre 1979 et 2000)…
Tout l’intérêt et la gloire d’une personnalisation facile, ce n’était pas une question de fonctionnalité : car de nombreux experts estiment que même les prises d’air d’usine les plus gourmandes des muscle-cars classiques à moteur avant telles les rapaces Ram Airs, Shakers et Grabbers des années 60 et 70, n’offraient guère plus que des “performances visuelles” une fois la traînée supplémentaire ajoutée. Il s’agissait de rendre une voiture belle au yeux de son propriétaire.
Il n’y a pas de règles en soi, presque tout ce qui est né de la vitesse tel que mettre de gros pneus à l’arrière et de petits pneus à l’avant, des écopes, c’étaient toutes des applications logistiques. Mais le principal, c’est qu’ils avaient l’air cool… Maintenant que les voitures des années ’90 deviennent des objets de collection et que les tendances de l’époque reviennent, est-il probable que nous verrons le chrome adhésif faire son retour comme une commémoration ?…
Voilà… J’en viens au Hot-Rod Coupé Ford ’32 de cet article. Il est le 22 ième construit par “Rolling Bones Hot Rod Shop” de Greenfield Center, New York, et a été commandé par le propriétaire actuel en 2014. Achevé en 2017, il utilise une réplique de carrosserie de Ford Coupé à cinq vitres en acier avec un toit surbaissé et des panneaux de carrosserie avec des “Louvers”. Il repose sur un châssis personnalisé qui intègre une suspension à barre de torsion AV/AR.
La puissance provient d’un V8 Ford Flathead d’avant les années ’40, équipé d’un compresseur S.Co.T, de culasses Navarro, de cames Elgin et d’un allumage électronique. Le moteur est soutenu par une transmission manuelle Tremec à cinq vitesses et une différentiel/pont arrière à changement rapide. Les points forts supplémentaires de la construction incluent un boîtier de direction de style Schroeder, un alternateur et une sellerie en cuir marron.
Le tableau de bord provient d’une Pierce-Arrow 1932. Ce Hot Rod Coupé Highboy Deuce est l’oeuvre de Ken Schmidt et Keith Cornell. Depuis début 2000, Rolling Bones fabrique des véhicules inspirés de voitures de course et des Hot Rod’s façon Bonneville Salt Flats construits dans les années 1950 et 1960. La carrosserie en acier de reproduction de cet exemple provient de United Pacific. Elle a été peinte/finie en Dark Dearborn Blue et n’a parcouru 3.500 miles.
La peinture craquelée et écaillée est un “Plus” façon antique” qui est dans la même idée de personnalisation que les pièces volontairement rouillées… Les jantes de 4×16po avant et de 5×16po arrière portent des enjoliveurs bombés et sont montées avec des pneus radiaux Excelsior Stahl Sport mesurant respectivement 5,00 et 7,50po. Le volant deux branches en alu et le levier de vitesses à courte course est surmonté d’un bouton “Lucky’s Hot Rod’s”.
Notez le boîtier de direction de style Schroeder situé dans l’espace pour les pieds. Le tableau de bord Pierce-Arrow 1932, a servi de pièce maîtresse pour la construction. Il abrite des instruments classiques conçus sur mesure comprenant un compteur de vitesse de 100 mph, un tachymètre à 6000 tr/min et des compteurs pour la pression d’huile, la puissance de l’alternateur, la température du liquide de refroidissement et la température de l’huile.
D’autres compteurs pour le rapport air/carburant, la pression de suralimentation et le niveau de carburant sont dissimulées dans la boîte à gants gauche. Le V8 Flathead est un bloc moteur français, S.Co.T. avec compresseur et culasses Navarro. L’arbre à cames Elgin a été profilé pour fournir un couple utilisable à bas régime et les doubles carburateurs sont surmontés d’une prise d’air de style requin…
Un kit de conversion d’allumage électronique PerTronix a été installé avec un boîtier de filtre à huile, qui a été modifié pour fonctionner à pleine pression et débit. Un ventilateur extracteur électrique refroidit le radiateur et un ancien extincteur en laiton sert de vase d’expansion. Le dessous de ce Hot Rod est recouvert d’une plaque en aluminium à persiennes construit comme une seule unité, monté sur des bossages intégrés dans le châssis.
Voilààààààààààà ! Plus rien d’autre à en raconter et tapoter sur mon clavier d’ordinateur, si ce n’est que ce Hot Rod est estimé aux environs de 100.000$ et est immatriculé selon le rite “complaisance” comme une Ford 32 d’époque… Le business est roi… Théoriquement, les pays d’Europe doivent accepter d’immatriculer sans aucune restriction cette Ford 1932 importée des USA telle que comme telle…