Satan’s Rat-Rod 1931 Ford…
Le Satan’s Rat-Rod existe, grâce à un article paru dans www.GatsbyOnline.com à la gloire de la réinvention du Hot-Rodding en Russie ! Il présentait en “Première Mondiale”, via mon Site-Web, un projet virtuel de Hot-Rod “différent”, basé sur un tracteur Russe avec des roues gigantesques à l’arrière, que je vous invite à (re)découvrir en cliquant sur ce lien : http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=1160&cat=auto ou sur cette autre lien tout aussi fumant : 2013 Russian-Hot-Rod “Virtuality-One”…
Toute modestie mise à part, c’est grâce également aux quelques articles publiés dans la même veine : – ( Le Hot-Rodding “Militaria” en Russie… http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=1221&cat=auto ) – ( Russia Hot-rod “ZIL 157″… http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=1408&cat=auto )… sous la houlette de la Ivanova Poutinov (photos ci-dessous) chargée de mission pour www.GatsbyOnline.com et les éditions Chromes&Flammes des pays de l’Est et de la Russie (www.ChromesFlammes.com + www.SecretsInterdits.com) ! Le transcodeur automatique-atomique traduit immédiatement les textes Français en Russe et inversément, ainsi que dans toutes les langues du monde, de sorte que n’importe où dans ce même monde, quelle que soit la langue, le système traduit instantanément la totalité des articles dans la langue de chaque internaute. 7.000 visites/jours et nuits à 0,99 euro l’abonnement (premier mois) et 4,99 euros les mois suivants, c’est cadeau ! (page d’info en fin de cet article).
Le Satan’s Rat-Rod qu’Henry Kessler (Producteur à Hollywood) a construit en s’inspirant de mes articles (un pur bonheur, mon cou et mes chevilles enflent encore rien que de m’en souvenir et d’y penser), est un des plus cool Rat-Rods jamais vu aux USA… Il fait tourner les têtes partout où il va (dans une “noire fumée” d’éructations diverses), tant cet “animal mécanique” n’est pas seulement étonnant à regarder, mais transpire d’une sorte de génie caché ayant la capacité de surprendre les plus endurcies têtes de nœuds. Le moteur a été récupéré d’un tracteur Diamond Reo de 1952 (1640 lb-pi de couple)…, le châssis est quant à lui, réalisé avec des poteaux d’éclairage récupérés dans une casse…
“Allez les petits loups”, comme le dit si bien mon proctologue Jéremy Deudoigt à ceux qui ont reporté leurs révisions à Plutarque : “Mettre le nez dans les annales, ne peut que déboucher les narines”… C’est aussi la maxime de mon ami Saint-Tropézien, le Baron de la Messardière, qui aime beaucoup les vins qui sentent l’écurie et pas le curry… On dit qu’il est l’empereur du vin, le faiseur de roi vin ou de vin roi, on le surnomme également le Gourou ou Bob l’éponge. Lui, se qualifie d’amateur de vin, amoureux même. Il est même devenu l’avocat du vin, un vin qui n’avait rien demandé et qui n’était pourtant pas mis en examen. Il est devenu LA référence incontournable en matière d’œnologie. Il a même été sacré Officier de l’ordre de la Légion d’honneur. Il a fait trembler les plus grands châteaux, leurs riches propriétaires s’abîmant en génuflexions comme s’il était le représentant de Bacchus sur terre. Il est devenu le plus puissant critique de vins au monde. Il juge les bouteilles de tous les continents, fait monter ou plonger la réputation (et le prix) d’une étiquette d’un coup de palais… Certes, il marque une préférence pour des vins massifs, bodybuildés, boisés et concentrés, car il est un pur produit de la génétique. Ses papilles valent de l’or, son nez aussi.
Comment cela a-t-il commencé déjà ? Où ai-je rencontré cette énergumène ? Ah oui, une soirée partouze “Au Quai” de St-Tropez, le genre qui tâche et qui pète, je ne sais plus bien. Il était assis à la table royale, tassé, peccamineux, entouré d’Ukrainiennes suaves fraîchement migrées, toutes répondant au non de “Milleuromonchériiii” en ne cessant de me fixer tout en se pinçant les tétons. Je me souviens même que j’ai cru voir une lame lorsqu’il m’a invité à déguster un Pétrus d’avant guerre et que deux gardelettes-de-son-corps se sont approchées de moi. J’ai bien cru que j’allais me faire planter par des femelles Pro-nazies de Kiev mécontentes de mes articles. “Enchanté” que j’ai dit. Il a poussé un cri étouffé perdu dans les jappements de Blacky, mon brave Cocker qui lui bouffait le cul, en tout bien, tout honneur…
J’avoue qu’au début, j’ai eu du mal à comprendre comment il fonctionnait. Pépère, la frisette au vent, la barbe affutée comme un bilboquet, la Chemise Sex and the cystite, pantalon d’haltérophile, l’œil alerte et le potentiel métaphysique d’une huître farcie au Kiri. Son absence de cou m’a intrigué au début, mais bon, sans être l’Einstein ou le Copernic de la dégustation, il se défendait le bougre et il carafait admirablement bien ses vieux Cornas qu’il accompagnait d’un tartare divin, il faisait un peu de rétention d’eau et se fendait d’une jambe lourde, mais, globalement, il tenait la route. A force de le fréquenter j’ai fini par savoir qu’il adore s’envoyer un lobe de foie gras en apéritif, avec un verre de Deutz, puis un pâté aux truffes, un turbo au beurre blanc et un bœuf Wellington avec un petit coup de Chambertin. Il a des goûts simples. Avec lui, la qualité n’empêche pas la quantité. Mais pourquoi que je vous parle de lui ? Je fais du teasing pour la terrible solitude mortifère d’un dégustateur solitaire… Il est grand temps d’en venir au sujet “Rat-Roddien” de cet article et de prendre son Jet privé pour aller saluer Henry Kessler, le producteur Hollywoodien qui s’est inspiré d’un des sujets publié sur GatsbyOnline pour réaliser son Rat-Rod surnommé “Satan-Rod” !
Le sujet qui est ici traité (le Satan-Rod), amène à une question-réflexion existentielle : “L’artiste-créateur est-il maître de son œuvre?”…, un sujet que je connais bien dans la mesure où on m’a souvent dit lorsque je présentais mes créations : “Toi l’artiste, t’es grave con, tu maitrises plus rien”… Dès-lors, j’ai décidé, dès poltron le minaret, le sujet par les couettes… et c’est bien plus bandant si vous visualisez…, Bref, sans pépin, je vais tenter de définir ce qu’est un artiste-créateur de Rat-Rods, et son œuvre (le Satan’s Rat-Rod), avant d’exposer la thèse, l’antithèse, la synthèse, quelques foutaises et une bonne plâtrée de spaghetti bolognaise, parce qu’il faut bien crouter après. Je ne voudrais pas me vanter, mais je dois être le seul Web-site où, si ils et elles avaient la bonne idée de venir, ces boutonneux et des déboutonneuses prépubères pourraient réviser leur BAC philo en toute quiétude, mais ils et elles sont allergiques aux grands crus classés, préfèrqnt de loin le Biactol et le McDo/Coca.
Sans tomber dans la maïeutique de Socrate, dont la mère était sage-femme, il convient de se demander si “l’art d’enfumer les beaufs” c’est “l’art de faire accoucher les esprits”, ou poser les bonnes questions pour faire dire aux dits beaufs qu’ils savaient qu’ils ne savaient pas ce qu’est un maïeuticien. L’Art du Rat-Rodding étant en soit, un concept difficilement palpable (contrairement à ma Valérie), il est donc difficile de définir ses contours avec précision…, si ce n’est qu’un artiste est un gonze qui pratique un des beaux-arts que miss Univers nous envie,… un gazier qui crée, in-fine méritas, ce que Valérie appelle une œuvre, que notre aide-ménagère Sofia appelle une connerie et que moi, je désigne par le petit nom de merde quand je suis en forme et de pompe à merde quand je suis en pleine forme.
Si on va par-là, et pourquoi n’irions-nous pas par-là, le terme “artiste” peut aussi avoir une connotation minorative, en effet, je connais des branleurs qu’on traite d’artiste et qui, en guise de duc, ont juste accouché d’un étron, mais avec un foulard de soie autour du cou et une veste en peau de zgeg sur le râble.
Il est donc important de savoir si on est un artiste parce qu’on produit de l’art, ou si l’art est le seul fruit de l’artiste, et, en corolaire, si le charcutier qui produit du lard, même très bon, est un artiste ? On ne va pas se beurrer la raie pendant des plombes, se mordre la queue pendant des lustres et des lampadaires, on va admettre qu’un artiste créateur est un gazier qui pond son œuvre comme la poule, en se pétant le derche en même temps que les six napses, si, bien sûr, il lui en reste assez, comme le laisse entendre Socrotte quand il disait : “je chie donc j’essuie”…
Ça élimine de fait les mecs qui coulent des bronzes en nous faisant croire que c’est de l’art, les actrices comme Mathilde Seigner, dont je n’admire que les miches, qui n’a toujours pas compris qu’on ne passe pas de Jackie Sardou à Grace kelly en faisant sa mémère… et je ne te parle même pas des starlettes de prisunic qui ont acquis un semblant de notoriété en exhibant leurs nibards pendant une reprise pitoyable de “J’entends le loup, le renard et la branlette”…
La seule chose que maitrise la grognasse, c’est son froc qui s’arrête pile poil à mi- touffe, que dire de ses performances d’artistes, comme celle de Marina Abramovic, gourou new-âge, au projet artistique fumeux, comme rester assise, immobile, tous les jours, dans l’atrium du MoMA de New-York, pour se livrer à un face-à-face éprouvant avec les visiteurs qui défilent un à un devant elle, comme une bande de gnous (le pompon étant décroché par ducon Duchamp, un petit pisseur, mondialement connu pour sa pissotière posée sur un morcif de BA13).
Puisque je dérape en toute lucidité au lieu de rester en ligne droite sur le boulevard de l’art du Rat-Rodding, il vous faut savoir qu’il a un rapport à l’art contemporain qui est complexe, un ensemble qui m’attire et m’agace en même temps, ça m’intéresse parce que je suis naturellement curieux et ça m’énerve parce que l’escroquerie intellectuelle n’est souvent pas très loin. Bon, maintenant que la machine à connerie est en route, que l’artiste et l’œuvre sont défini, posons-nous enfin la question existentielle et salvatrice : “L’artiste est-il maître de son œuvre?”. Pour commencer, il est essentiel de savoir ce que veut dire “être maître”…, je ne parle pas de sadomasochisme, de banquier qui se fait cravacher le fion en tenue latex, par une demi-mondaine qui mesure son degré de liberté à la taille de la laisse parce que son père a été retrouvé ahanant dans son vomis à une rave-party transsexuelle post soixante-huitarde, non je cause de Velasquez, Delacroix, Rembrandt, Renoir, Monet, Vermeer, de ces peintres d’antan qui nous décrivaient leur siècle avec une foultitude de détails criant de vérité que même une japonaise ni-conne, ni mauvaise, ne pourrait égaler, même avec une méga chiée de pixels dans son Sloggi…
Cela exclu de fait, tous ces pseudos artistes qui te collent deux coups de pinceau, un poil de cul collé sur une toile de 200m² repeinte en bleu par un ouvrier portugais blindé au mauvais Porto, qui (le peintre portugais), avec des trémolos dans l’œil et une calculette à la main, explique le concept du surmoi d’une société pourrie par son fondement post apocalyptique à une fausse aristo, fin de race, tarée congénitale prête à dépenser des millions en criant au génie pour se faire tartiner la figue par l’artiste aussi taré congénital qu’elle. L’artiste est maître de son œuvre quand l’œuvre nous laisse sur le cul, quand le spectateur reste coi (reste quoi ?), reste pétrifié, médusé, ébahi, interdit qu’il en perde ses capacités de réaction. Sans voix, muet, ne dit-on pas que le silence, après du Mozart, c’est encore du Mozart, et que dire après du Mozart ? Après Mozart, il y a Dieu en personne et tous ses Seins, les cul-bénis vous diront que l’artiste ne maitrise pas son œuvre car celle-ci n’est inspirée que de l’œuvre de Dieu, bref, mon Popu, quand tu doutes, tu tapes à la maison mère et tu considères la chose au niveau des barbus.
Les fêlés du goupillon considèrent que Dieu est un artiste est que toute chose est son œuvre, c’est peut-être vrai, mais quand tu vois certains hommes, leur œuvre fondamentale, au hasard, Michel Hommell, Georges Buch, Joseph Staline, Thomas de Torquemada, François Hollande, Nicolas Sarkozy, Michel Sardou, Emmanuel Macron, Vladimir Vladimirovitch Poutine , Volodymyr Zelensky, Ursula von der Leyen et Joe Bidden… dans toutes leurs majestueuses conneries, on ne peut pas vraiment dire que le Destin a toujours été Maître de son œuvre ! C’est un diable qui démasque nos congénères et nous les montre tels qu’ils sont, des abrutis absconds, barbares, cruels et insensibles, quand le Destin leur revient en pleine gueule, tout Homme, avec un grand H majuscule (comme la bombe), devient son propre Dieu.
Je crois sincèrement que l’artiste, à l’instant de la création, maitrise son œuvre, après, le péquenot de base, la pécore avide de briller, la rombière affamée de stupre, plus portée sur l’épilation intime que la dernière expo à la Pinacothèque (elle croyait même que c’était un cocktail), toutes ces tanches qui se déchaineront comme une armée de trolls sur un forum de philo, pendant ce temps, le Maître de l’œuvre pourra se faire lustrer le biniou en étant persuadé qu’il a donné de l’art à des cochons. Bref, retombant sur mes pieds, j’en reviens (lourdement parce que ça me pèse vachement), l’art et la beauté des Rat-Rods, ce n’est pas combien on y dépense qui importe, c’est le cœur et l’âme qui en font le compte… Et le Satan’s Rat-Rod de Henry Kessler qui n’est qu’une carcasse arrière d’une Ford 1931 équipée d’un moteur diesel de tracteur Diamant Reo 1952, n’a pas coûté un demi-million de dollars, n’a pas employé vingt ouvriers-carrossiers-peintres…et ne s’embarrasse pas de pièces de fantaisie en chrome brillant. Tout provient de récupérations diverses !
Selon Henry Kessler, le moteur de son “Rat-Rod de Satan” a couvert plus d’un million de miles et n’a jamais été ouvert ! Il crache de la fumée et vomit de l’huile, mais fonctionne, comme dans un rêve, le caractère agricole du moteur signifie que s’il était heureux de se trimballer dans les champs durant les années cinquante, ce sera plus confortable de ronronner dans ce “Satan’s Rat-Rod” pour ses années crépusculaires, même si les phares proviennent d’une Buick et les rails du châssis de vieux lampadaires trouvé dans les casses. Cependant, comme le disait un designer célèbre : “La fonction crée la forme”, une mentalité qui s’étend à tous les coins et recoins de la voiture, y compris les pédales soudées à des barres en acier trouvés autour de l’atelier ! Le moteur produit un 275 chevaux quoiqu’il donne l’impression d’en délivrer 1.000, c’est conservateur, mais le couple de 1600lbft est monstrueux… Par contre il n’y a pas de commentaire à faire sur le poids à vide, mais mon estimation scientifique est que : “Cest trop lourd” ! Les contrôles de santé et de sécurité ont toutefois été contournés dans la création de cette bête, et ce qui est le plus remarquable, c’est que le réservoir de carburant de 6 gallons fait d’une vieille bouteille de propane en acier, fait partie de l’intégrité (gag !) structurelle de la voiture, alors que les renforts de châssis transversaux sont soudés directement à lui (ça fait peur), donc dans le cas d’un accident, le réservoir de carburant devient une zone de déformation explosive…
C’est ça la ligne fine entre le génie pur et la folie totale et je suis maintenant sûr et certain que vous devinez de quel côté de la ligne Henry Kessler se trouvait sur le fil, quand il a construit cette chose… Mais ce que vous devez retenir, c’est que ce n’est pas une voiture construite pour les courses sur pistes et qu’elle ne va pas aller se perdre à 80 miles/pm sur l’autoroute de Los Angeles… le but et la seule mission de cette voiture ayant été que Henry Kessler puisse faire le pitre pour une croisière au soleil dans la grande foule d’Hollywood Boulevard, à la recherche d’une Bugatti Veyron pour faire “Hip-Hop” avec les amortos gonflables… Après avoir tourné la vidéo, la bagnole a été remisée dans le garage en attente d’un pigeon capable de croire que cet engin “C’est de l’art” et capable de payer en conséquence ! En Allemagne, en France, en Belgique, bref dans toute l’Europe, vous finiriez probablement en prison si vous mettiez une voiture comme ça dans le trafic !
Avant de vous quitter (provisoirement) spermettez-moi de souhaiter le meilleur du pire aux indulgents et aux ironiques, aux bienveillants et aux acrimonieux, aux envieux et aux désintéressés, aux zélateurs et aux blasés, aux capricants et aux feignants, aux bien-portants et aux valétudinaires, aux turpides et aux turpitudes, aux vétustes et aux vestales, aux antiques et ceux en toc, aux caducs et aux aqueducs, aux gothiques et aux mystiques, aux golgoths et aux ostrogoths, aux goupillons et aux papillons, aux dormeurs et à la dormance, aux gongoristes et aux culturistes, à nycthémère et aux fan de BFMTiVi, aux incunables et aux incultes, aux saprophytes et aux capitalistes, aux Dupont et Dupond, à Gault et Millau, aux Chevalier-Montrachet et Laspalès, à Michel Blanc et aux grands Blacks, à Mimi et à Mati, à Roméo et Juliette Gréco, à Villeroy et Boch, à Simone de Beauvoir and Garfunkel, à Sacco et Spaghetti, à Paul et mille Victor, aux pandas roux et combaluzier, a Tintin et à Mouloud Achour, aux acerbes et aux croates, aux ceux qui passent et rapaces sans laisser de traces, à ceux qui préfèrent le rouge et noir aux petits blancs, à celles qui pensent et fait mes rides, à ceux qui préfèrent un petit pet à une contrepèterie, aux violeurs, aux voleurs, à ceux qui laissent des livres chiants dans leurs toilettes, aux abscons et aux absents, à ceux qui sont à l’ouest, à ceux qui pensent qu’au nord c’était la Corogne, à ceux qui savent pas distinguer un dialogue, un monologue, un épilogue, un catalogue, d’un blogue, à ceux qui savent que je ne lis pas Sartre parce que je ne supporte pas les mains sales, à ceux qui vermifugent les autobus, aux blaireaux et aux blaireux, aux moustachus et aux imberbes, à ceux qui confondent un Beaujolais et une Rome à nez , aux optimistes et aux utopistes, aux chialeurs et aux râleurs qui se torchent les billes à la toile émeri, aux indécrottables râleurs pessimistes qui ne croient plus en l’avenir, aux antivirus et aux antivax, à ceux à qui je n’ai pas pensé, à ceux qui n’ont rien compris mais ont continué à lire , à tous, je vous souhaite de résister à la connerie de notre époque, de ne renoncer à rien qui vous importe et rapporte (gros), je vous souhaite d’être vous, d’être unique et heureux, grosse bise malgré le virus, et comme le poète l’a chanté, marcher sur l’eau, éviter les péages, jamais souffrir, juste faire hennir les chevaux du plaisir…
2 commentaires
Articlé époustouflant que j’ai lu avec délice en tentant de me réveiller avec un n-ième café au début de la journée. Je me suis dit : “je veux la même chose que ce type-là”, quelle énergie ! Quelles envolées lyriques ! Magistral.
J’étais déjanté cette nuit là, me laissant aller après avoir lu “Guerre” de Céline…
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