Summit Racing QuadraDeuce AWD ’32 Ford Roadster Highboy
Un Hot Rod 4 roues motrices ayant été imaginé, créé, réalisé il y a 29 ans (en 1995) par la société “Summit Racing” et que pas grand monde (si pas personne) ne connait ni ne connaissait l’existence en Europe (particulièrement en France), pas même un soupçon, alors que ce chef-d’œuvre qui était le véhicule promotionnel de Summit démontrant leur “savoir faire”, a été présenté dans toute la presse américaine dédiée aux Hot Rod’s.
Et cela comprenait TopWheels la version USA de Chromes&Flammes. Les magazines automobiles de n’importe quel pays de notre planète Terre, y compris ceux couvrant le Hot Rodding et le Kustomizing en cette époque, sauf aux USA, n’en ont réalisé aucun “SCOOP” mérité/escompté, et ce même pas parce que ce n’était qu’un Hot Rod parmi des centaines de milliers d’autres, non…
C’était parce que les donneurs de leçons franchouillards ne s’intéressaient qu’à eux-mêmes tout en s’ingéniant à couler Chromes&Flammes non pas dans une surenchère de qualité, mais par des moyens orduriers de basse souche. C’était en l’occurrence une délation mensongère qui m’a fait perdre quelques années, sauf dans tous les autres pays du monde ou ces gens n’existaient pas…
Les pontifes propriétaires de “Summit Racing” se sont par contre investis aux USA et ont bénéficié d’articles informatifs offerts à la presse automobile en ce compris toutes les étapes de la construction de ce Hot Rod, par Summit Racing, ce qui était une énorme contribution pour l’avenir du Hot Rodding… C’est typique du business Yankee.
Vous en avez compris la teneur et le sens typiquement consumériste de cette affaire… En l’occurrence il y avait un but à atteindre, il a été atteint… En Europe, personne n’en a causé, la presse s’auto-justifiant être occupée à d’autres labeurs… Se moquer de ceux qui veulent, fût-ce dans les cafés, “changer la société”, voilà le plus sûr signe qu’on a perdu son âme.
Que veut-on dire lorsque l’on affirme qu’un savoir “vaut” plus qu’un autre, qu’il a plus de poids ? Nous vivons dans un univers traversé par des paroles, des témoignages, des diplômes, des statuts professionnels, des expertises, des données probantes (evidence-based) et des meilleures pratiques (best-practices). Alors que certains font autorité, d’autres sont déconsidérés, écartés comme source de savoir légitime.
Pis que tout, ils se retrouvent en bas de la hiérarchie des savoirs. Les groupes dont les savoirs sont stigmatisés peuvent avoir du mal à faire exister dans l’espace public la réalité qu’ils vivent, à se mobiliser et à revendiquer d’autres conditions de vie. En explorant sa curiosité intellectuelle, en recueillant des témoignages, en produisant des analyses,.
C’est ce que je contribue à réaliser pour ce Web-Site, je consolide cette hiérarchie des savoirs légitimes je ne la subverti pas ! Si non, ce serait avec quelles méthodes, quels concepts, quelles postures et quels acteurs ? C’est une réflexion sur l’épistémologie dépassant la stricte interrogation et l’enjeu des frontières disciplinaires visant à situer un univers que je cherche à comprendre. Il semble d’emblée y avoir une asymétrie…
Ce Hot Rod Ford’32 est un roadster Highboy à traction intégrale qui a été initialement construit en 1995 par Summit Racing et utilisé comme véhicule promotionnel pendant les presque trois décennies suivantes. Surnommé QuadraDeuce, ce Hot Rod est motorisé d’un V8 Chevrolet 406ci à injection de carburant couplé à une transmission automatique à quatre vitesses Rossler TH700R4,.
Elle est complétée par une boîte de transfert et un différentiel avant provenant d’un GMC Syclone, et un différentiel arrière à glissement limité d’une Corvette C4 ZR-1. La carrosserie en fibre de verre et en fibre de carbone Harwood est montée sur un châssis en acier caissonné fabriqué sur mesure. Un châssis échelle caissonné est un élément essentiel dans la conception d’un véhicule tout-terrain robuste.
Il est privilégié parce qu’il offre/présente une grande résistance et stabilité, ce qui est crucial pour affronter les terrains difficiles. Le châssis échelle permet une répartition équilibrée des charges. Il est conçu pour résister aux éléments et durer dans des conditions exigeantes. En somme, le châssis échelle caissonné est un choix optimal pour les vrais 4×4 tout-terrain, offrant solidité, simplicité et stabilité.
Il est donc manifeste que cela va bien au delà que ce dont avait besoin et était utile pour un Hot Rod à 5 roues motrices… La suspension avant est à tiges de poussée, la configuration arrière multibras implique des combinés filetés réglables QA1. Dans l’esprit “du meilleur pour tout” se découvre un moteur richement préparé avec un arbre à cames à rouleaux COMP Cams et des collecteurs quatre en un.
Il ne lui manquait qu’un compresseur ou une paire de turbocompresseurs… Les travaux effectués après 40 années d’exposition ont consisté à regarnir l’intérieur en cuir gris et à ajouter une capote amovible Sid Chavers, des roues Budnik de 18 et 20 pouces, des étriers de frein Baer à six pistons, un levier de vitesses Lokar et des compteurs Classic Instruments.
Ce Highboy personnalisé est maintenant proposé à la vente en ce compris son site Web y dédié, avec les droits de marque pour le dispositif 4WD de Summit, une collection de magazines présentant la voiture, des documents d’entretien, une housse de voiture, des clés spéciales sur mesure, un container de pièces de rechange et un titre de roulage californien l’indiquant comme une Ford 1932…
Ouiiiiiiii, aux USA ce n’est pas pareil qu’en Europe, particulièrement en France ou les gouvernements protègent les industries automobiles en interdisant tout ce qui pourrait leur ôter la moindre vente potentielle). Ce Hot Rod à 4 roues motrices construit en 1995 pour Summit Racing dispose du meilleur possible, en l’occurrence d’un design de Mark Stielow.
La fabrication est de Mike Casey et l’assemblage a été réalisé par Mickey Lauria ainsi que le personnel de Total Performance à Wallingford, dans le Connecticut. Il a ensuite été utilisé comme véhicule promotionnel et présenté dans Car and Driver, Hot Rod, Street Rodder, Street Machine et Top Wheels (la version USA de Chromes&Flammes).
La carrosserie Harwood a été construite en un mix de fibre de verre et de fibre de carbone. Le cockpit a été allongé de 6 pouces lors de la construction initiale. Un toit amovible unique a été créé par The Ultimate Dude chez National Fiberglass, et la voiture a été équipée d’un pare-brise DuVall et d’une calandre Dan Fink Metalworks.
Le test d’époque (années ’90) de Car and Driver a enregistré un temps de 0 à 60 de 3,2 secondes et un temps au quart de mile de 11,8 secondes à 115mph. Un article publié en presse signé de Summit Racing, a documenté le rafraîchissement effectué en 2000 par Rad Rides By Troy. Les ajouts comprenaient un capot en acier fabriqué à la main, des panneaux latéraux en aluminium, des phares, un cadre de pare-brise et des montants A de Vic Belzek.
Il y avait également une calandre construite à la main, des carters de sécurité, des feux arrière et un toit amovible reprofilé par Bob Thrash. La nouvelle carrosserie a été réalisée par Warren Lewis avant que la voiture ne soit repeinte en PPG Smoke, Charcoal Silver et Wild Cherry avec des flammes et des graphismes de Bob Thrash.
Les jantes Budnik Pivot SKO ont une finition en titane et des spinners à trois branches ont été installés. Les jantes avant et arrière de 18×8′ et arrière de 20×10′ sont enveloppées de pneus Pirelli P-Zero mesurant respectivement 245/45 et 285/40. Les étriers de frein Baer 6P fournissent une puissance de freinage aux quatre coins ainsi que des disques percés et fendus en deux parties de 14 pouces.
La voiture est en outre équipée d’une crémaillère de direction Flaming River. Les collecteurs revêtus quatre en un s’écoulent dans des tuyaux d’échappement de 2po, deux silencieux Flowmaster série 50 et une sortie centrale qui passe par le bac de sécurité arrière. Le V8 Chevrolet 406ci a été construit par Lingenfelter Performance et comprend un bloc en aluminium, un vilebrequin, des tiges et des pistons forgés Summit Pro-Line.
Il y a également un arbre à cames à rouleaux COMP Cams, des culasses Bowtie en aluminium poli et poli, des ressorts de soupape, des culbuteurs et des poussoirs Jesel, une pompe à eau Meziere, un collecteur d’admission en aluminium Bowtie, un système d’injection de carburant Ducky et un couvercle décoratif peint pour imiter la carrosserie.
Un calculateur Holley et des couvercles de soupape en aluminium peints pour correspondre aux roues. La puissance est de 594 chevaux et 450 lb-pi de couple envoyée aux quatre roues par l’intermédiaire d’une transmission automatique à quatre vitesses Rossler TH700R4 et d’une boîte de transfert provenant d’un GMC Syclone, qui a fournit également le différentiel avant à glissement limité en 3,43:1.
Les roues arrière sont entraînées par un différentiel à glissement limité C4 Corvette ZR-1 avec un engrenage de 3,73:1. Un écran thermique a été ajouté au dessous. Un site Web construit par Summit décrit l’histoire de la voiture, et ses caractéristiques à chaque itération et montre des photos prises à différentes étapes de la construction initiale et des modifications ultérieures.
La propriété du site sera transférée au prochain propriétaire acquéreur avec la marque QuadraDeuce au cas ou l’acquéreur envisagerait une construction en petite série tous droits lui réservés. Ce peut être une affaire pour qui à de l’audace et des moyens financiers… Je me suis mis sur la liste pour un demi million de dollars, calculant un prix de vente à 150.000 dollars par Hot Rod et un potentiel vendable de 500 unités…
La voiture est titrée par un VIN B19141800 comme une Ford de 1932 : AWD ’32 Ford Roadster Highboy. Sans aucun doute, la Ford 1932 – affectueusement appelée le « Deuce », est le hot rod par excellence. Mais comment? Et pourquoi ? C’est une convergence d’événements apparemment sans rapport, certaines caractéristiques uniques à la Ford 32 et une touche de sérendipité ont tous joué un rôle dans les modestes offres de Ford.
Elles sont devenues l’esthétique emblématique des Hot Rods. La Ford’32 comportait beaucoup de tout cela, ce qui a contribué à la faire aimer des Hot Rodders. 1932 était la première année du V-8 flathead, qui était le premier V-8 dans une automobile abordable et grand public. Initialement trop cher pour les Hot Rodders adolescents, il offrira par la suite une plate-forme facile pour installer un flathead.
Et cela rapidement une fois que ces moteurs sont devenus abondants et bon marché. L’offre et l’abordabilité ont été des facteurs clés pour pratiquement tout ce que les Hot Rodders ont incorporé dans leurs voitures à la recherche de style et de vitesse. Une autre première était sa carrosserie renforcée d’acier, une amélioration par rapport aux précédentes structures en bois avec des peaux métalliques estampées clouées.
La plupart des constructeurs automobiles utilisaient cela en 1932. Toutefois, une structure interne en acier signifiait des carrosseries plus légères et plus durables moins sujettes à la dégradation due à des contraintes structurelles continues. Alors que les roadsters et les coupés des fabricants contemporains étaient exposés aux éléments, la pourriture sèche et les termites garantissaient un voyage précoce chez les ferrailleurs.
L’un des avantages esthétiques involontaires d’une Ford’32 est que la suppression des ailes et des marchepieds (effectuée pour gagner du poids et augmenter l’aérodynamisme pour les courses sur les lacs asséchés) a permis d’obtenir une masse corporelle propre sans espaces, tabliers et lignes de carrosserie bancales. Ils étaient harmonieux et propres avec ou sans ailes.
Fait unique, un Deuce sans ailes ou “high boy”, comportait des rails de chassis apparents et élégants qui, exposés, incorporaient une ligne de style estampée qui suivait les points de fixation du garde-boue avant et du marchepied. Aucune autre automobile n’a jamais eu ces détails de chassis stylisé. Parce que c était destiné à être exposé, il n’y avait pas de supports, de conduites de frein ou de renforts de carrosserie qu’un chassis couvert pourrait contenir.
Au fur et à mesure que le style automobile évoluait, la Ford de 1932 était l’un des derniers et des plus évolués de cette école de style “droite et honnête”. Les grilles verticales, les dessus et les découpes de porte ont pris fin en 1933. Dans presque tous les cas, 1933 a produit universellement des calandres décontractées (ou des calandres cachant des radiateurs).
Pas que… il y avait aussi les carrosseries allongées pour rejoindre les marchepieds et couvrir les réservoirs d’essence (éliminant les tabliers), des capots chevauchant les capots et plus d’angle a été appliqué aux pare-brise et aux calandres. Un style épuré rehaussait le design et les détails de la carrosserie, tels que les phares qui n’étaient pas (encore) intégrés aux ailes…
De plus, les toits se fondaient plus élégamment dans la carrosserie et les ailes devenaient plus exagérées. 1933 a inauguré le premier style de carrosserie unifié, semblable à une coquille, de sorte que le style de la Ford de 1932 marque une fin linéaire depuis la création de l’automobile. Enfin, les voitures sont devenues plus grandes après 1932.
Les petites voitures peuvent mieux traverser l’air, donc, toutes choses étant égales par ailleurs, elles sont plus rapides en raison de la moindre traînée. Les Deuce étaient plus légères, plus petites, plus simples et faciles pour y insérer un V8 qui abondaient sur les terrains de casses de voitures, ce qui a aidé la Ford 1932 à devenir la voiture de premier choix.
Alors que mêmes les tramways commençaient à imiter ce qui circulait sur les lacs asséchés de Muroc et El Mirage dans le désert au nord-est de Los Angeles, ils sont également devenus les Hot Rod incontournable des rues. Cela n’avait jamais été prévu. Comment cela pouvait-il être ? Non, le Deuce était un phénomène organique. Il s’est développé à partir d’un besoin d’aller vite à moindre coût et facilement, avec un peu de style dans le mélange.
Même si les Ford sont une automobile d’entrée de gamme qui n’a jamais été connue pour les fioritures stylistiques qui distinguent les Duesenberg, Lincoln et Cadillac à prix élevé, elles offrent néanmoins un bon degré de plaisir pour les yeux. Dans les années 1950, les adolescents devenaient un groupe démographique plus visible publiquement, attirant l’attention sur tout ce qu’ils faisaient et influençant considérablement la culture américaine.
Avec le rock and roll sont venues des chansons sur les Hot Rods. Le sport des courses de dragsters s’est développé à partir des courses des lacs asséchés, avec le surf, l’argot et tout un style et une culture élevant la valeur intrinsèque des Hot Rods, ce qui a élevé la Deuce de manière unique dans la conscience des collectionneurs de voitures…
Qu’en est-il dans une autre réalité ? Laquelle ? La plage, le soleil, les nananas pas farouches tandis que toi, mon Popu, beau mec plein aux as attend de pouvoir découvrir de nouveaux horizons. Ton voeu est désormais exaucé : une balade en liberté sur une île paradisiaque avec Gatsby et Chromes. Tu es un gars plein d’avenir, mon Popu, qui va pouvoir se faire un nom dans le milieu de l’automobile de haut niveau.
Tu vas réaliser un essai routier de ce Hot Rod Quadradeuce… Tu ne vas pas pouvoir te contenter de tourner en rond pour draguer puisqu’il te faut gérer les à-côtés de la vie. Cet aspect simulation de vie bien mené passe évidemment par l’achat de ce Hot Rod… Hop, un don de 150.000 euros sur le lien prévu en page d’accueil, mais aussi par quelques options plus futiles comme un peu de tuning complémentaire et le choix de vêtements TOP Class.
Libre de tes actes, tu vas passer une grande partie de ton temps à explorer l’île d’Ibiza pour te rendre d’un objectif-cul à un autre. Pour rompre la monotonie, les développeurs du jeu ont aussi imaginé le système F.R.I.M., censé encourager le drift et la conduite à risque. Tu vas pouvoir ainsi te remplir les poches dans les longs trajets en réalisant les plus beaux dérapages ou en frôlant les autres voitures à pleine vitesse.
Un moyen simple de gagner, même si les sommes restent faibles. Pour autant, tu préféreras quand même parcourir des environnements remplis de surprises.
, tous les modèles de caisse n’ont pas bénéficié de la même attention au niveau du moteur. Relativement gourmand compte tenu de ses performances, le jeu a évolué depuis le premier épisode.
En effet, il intègre les dégâts sur les carrosseries (sans influer sur la conduite), un cycle jour/nuit et des changements climatiques (pluie). La conduite en l’état digresse… Côté conduite, Test Drive Unlimited 2 choisit de pas trancher entre simulation et arcade, même s’il penche sérieusement de ce dernier côté, à l’instar de….. Quoi ? Tu râles ? C’est un jeu ?
Ben oui mon Popu, je vais quand même pas te confier un Hot Rod QuadraDeuce de 150.000 euros alors que tu n’as pas versé de DON… Je suis tolérant sur les écarts de conduite sans pour autant autoriser le bourinage à tout va… Ce jeu offre un compromis, il faudra tout de même faire un effort, car l’expérience conditionne et demande également une certaine fibre sociale pour être apprécié à sa juste valeur.
Il y a ce qu’il faut, même si à force de tourner toujours dans les coins les mieux conçus de l’environnement, on peut se lasser plus vite que prévu. Dans le même registre, un mode flic à la Need For Speed déclenche des poursuites entre les joueurs en infraction, plutôt sympa pour tromper la monotonie même si on regrettera que le système d’infraction soit assez inconstant. Donc… En finale… Tu vas lire l’article suivant… OK…
2 commentaires
Maître, Schopenhauer propose une hiérarchie implicite des savoirs, plaçant la connaissance esthétique et intuitive au sommet, suivie de la connaissance philosophique et enfin de la connaissance rationnelle et empirique. Cette hiérarchie reflète sa vision du monde où la volonté, en tant que force irrationnelle et fondamentale, ne peut être pleinement comprise que par des moyens qui transcendent la raison et l’expérience empirique. Cela me semble cohérent et applicable à vos écrits : expérience extraordinaire en automobiles, sens de l’esthétique, connaissances philosophiques poussées. You were and still are crushing it !
Serais-je génial ? Ma tête (du moins ce qu’elle contient) m’en tourne… Il ne se peut… C’est intuitif, à vrai dire, je ne me rend compte de rien. C’est une pulsion puisée dans mes tréfonds perturbés un temps par divers problèmes de défécations dont je vous ai informé sous le sceau du secret médical. Vous informé, moi aussi en retour, ce texte s’est ensuite imposé à mes sens… Je m’en vais le relire car je n’en ai qu’un vague souvenir après une nuit Tropézienne de bacchanales… Je pense avoir dérapé…