Too Much Rod…
Force nous est d’en tenir compte, on n’immatricule plus n’importe quoi et les bons vieux “trucs” de contournement des Lois et Directives ont été déjoués depuis des années, pire, les passages obligatoires aux Contrôles Techniques sont équipés pour déjouer ruses et stratagèmes, le fisc veille, tout ce qui sort de la masse est répertorié et suivi… Ce n’est pas vraiment pour “Notre bien et la sécurité routière”, c’est le prétexte, c’est pour faire rentrer un max de flouze dans les caisses de l’Etat et domestiquer la population qui doit s’inscrire dans des normes.
La fiscalité automobile française basée sur le CO2 a passé un nouveau cap en 2024 : le malus maximal exigible sur les véhicules neufs a atteint 60.000 euros, soit 10.000 euros de plus qu’en 2023. Qui plus est, le seuil à partir duquel ce montant est appliqué est descendu à 194 g/km. Autant dire que tous les modèles thermiques fortement motorisés sont victimes de cette taxe dissuasive qui a, depuis plusieurs années, un fort impact sur le marché : les ventes de SUV thermiques de prestige et de sportives à moteur multicylindres se sont écroulées en France.
C’est au profit de modèles hybrides rechargeables ou même électriques. Pour les irréductibles fanatiques amateurs de grosses cylindrées, il reste la solution de les acquérir en occasion s’ils sont déjà immatriculés en France, de quoi profiter d’exemplaires encore plus ou moins “frais”, à des prix réduits par rapport au neuf et, surtout, exonérés de malus. L’Etat français a en effet renoncé à la surtaxe imposée durant quelques années aux véhicules d’occasion à fortes émissions, sauf pour les véhicules importés qui sont massacrés !
Les véhicules thermiques de forte cylindrée récents sont donc de plus en plus rares dans l’Hexagone. Le malus ne frappe pas seulement les SUV : il est aussi redoutable pour les sportives, à commencer par les Porsche’s redevables sur toutes leurs versions 911 de la taxe maximale. Avec la diminution des ventes neuves de ces types de modèles en France, les opportunités d’acquérir une occasion récente peu kilométrée vont toutefois se raréfier. Les amateurs de fortes cylindrées ne pourront bientôt accéder à ce type de plaisir, soit en occasion ou même en collection… soit en payant le prix fort…
Payer sans s’inquiéter de ces quelques centaines de milliers d’Euros supplémentaires, est pour les plus riches, une manière d’assumer leur différence financière… C’est le cas des SuperCars qui peuvent dépasser un ou deux millions d’euros… Pour ce qui est des Hot-Rods et Kustom-cars qui zigzaguent encore entre les mines fiscales auto-explosives de plus en plus nombreuses, on constate que les Kit-Cars (Cobra et Porsche 356) ont quasi-disparu, de même que les Néo-classiques (Excalibur’s et Clénet’s), ils sont devenus fragiles car très souvent irréparable de leurs carrosseries, il n’y a plus de pièces disponibles.
Que pouvez-vous dire de plus sur une voiture qui a reçu tant de notoriété, de couverture médiatique et d’éloges du public que la plupart n’auraient jamais pu l’imaginer ? C’est un problème difficile à résoudre depuis la surface, mais dans la profondeur des arcanes tout est toujours possible en payant des dessous de table, des pots de vin et autres compromissions, c’est ce qu’on nomme “la manière Ukrainienne de résoudre quasi tout”, très utilisée en milliards par nos divers chefs de gouvernements (européens et américains) du genre un milliard charitablement donné, un demi milliard ristourné au donateur…
Il n’est que voir les mines réjouies, les embrassades, les étreintes, les baisers, les baisotages, les enlacements et les enculeries à chaque fois qu’ils s’occupent de dons… Je me sens assez à l’aise d’exposer le glauque de notre monde tout en ayant l’honneur d’en écrire mon ressentiment… Nul journaleux n’est tenu de dévoiler ses sources et la presse est libre… La vie tient à un fil… Sans avoir à vous soucier pour moi de trouver une tangente aléatoire sur laquelle m’arrêter sachez qu’après tant d’années et d’années (une première dans l’histoire européenne), approfondissez de par vous-même…
J’en viens au sujet officiel de cet article qu’est le Hot-Rod Ford, avec une question-clé destinée à vous régénérer vos cellules : Qu’est ce qui fait de ce Tudor un Hot -Rod si exceptionnel ? Eh bien, d’une part, que vous aimiez les Hot-Rods contemporains ou traditionnels, ce Tudor s’adapte presque parfaitement aux deux catégories, ce qui n’est pas facile à réaliser sans pencher dans un sens ou dans l’autre. Mais personnellement, ce qui me plaît, c’est le fait pur et simple qu’il est exactement comme il est censé l’être. Croyez-moi, je comprends la timidité que l’on peut avoir lorsqu’on s’engage dans un lourd investissement…
Je cause du coût du bestiau qui atteint la valeur d’une Supercar de style Ferrari où Lamborghini et donc dépasse ce qu’est vendue une Corvette C8… Comme tel sur la voie publique il s’expose aux dommages potentiels qui peuvent en découler, mais c’est à cela que sert une bonne police d’assurance ! Et peu m’importe à quel point il est inestimable… Si un Hot-Rod n’est pas construit pour être conduit dès le départ, ce n’est pas un Hot-Rod mais une garniture de garage… Les Mariani Bros ne construisent pas de Hot-Rods à grande échelle (comme Chrysler pour le Prowler) destinés quasi-uniquement à l’exposition.
Et Bob Panella Motorsports ne construit pas de moteurs statiques à ma connaissance, c’est pourquoi les frères, Mark et Dennis (les Mariani Bros) comptent sur eux pour réaliser des moteurs fiables et puissants, d’où le moteur V8 small bloc alimenté par EFI et équipé d’une boite cinq vitesses. Cela, avec la direction et les freins assistés, la suspension réglable et les pneus Coker Tire. Le résultat est fiable, performant et confortable, c’est le moins qu’on puisse en écrire, mais, de plus, d’un point de vue esthétique, littéralement, ce Hot-Rod est à la fois étonnant et subtil. Comment ça ? Eh bien, lisez la suite…
Rad Rides qui chapeaute toute l’affaire, ne s’est (malheureusement pas à mon gout) appuyé sur une couleur saisissante (rouge, jaune, bleu) pour illustrer le vaste travail de tôlerie sous-jacent, mais plutôt sur un bronze métallique contemporain aux saveurs brillantes et satinées comportant un accent de revêtement en poudre dorée utilisée sur des objets décoratifs de maisons de stars du cinoche… C’est vomissif et littéralement “à chier” selon mes gouts… Le big-Boss m’a fait remarquer que c’est une question de gout personnel et que les jantes peintes comme la carrosserie sont des démarreurs de conversation…
L’intérieur est également un exercice juxtaposé de subtilité et de non-restriction avec des cuirs italiens, tous étirés et/ou perforés, des tapis made in Germany à tissage carré serré (Porsche), en passant par les accessoires usinés en interne, les panneaux en tôle façonnés à la main, et ainsi de suite, c’est donc présenté comme un objet remarquable, pour dire le moins. Quand est venu le temps de choisir la triple couronne qui est la plus haute et récompense célébrant le plus fantastique Hot-Rod de l’année aux USA, c’est ce modèle A Mariani Bros. Rad Rides by Troy qui fut le choix évident pour la presse…
Félicitations à Mark et Dennis Jr., ainsi qu’à toute la famille élargie de Rad Rides by Troy, le constructeur sur mesure de l’engin qui l’un des noms les plus connus et respectés du secteur. Le Gourou… Courbettes, salutations, génuflexions, accolades, mines réjouies, embrassades, étreintes, baisotages et enlacements ! En plus de construire des voitures pour plusieurs des plus grands collectionneurs automobiles du pays, Troy Trepanier a travaillé en étroite collaboration avec Ford, GM, Chrysler et Toyota sur une variété de véhicules promotionnels.
En raison de sa présence dans l’industrie du Hot-Rodding, Troy Trepanier a été présenté sur “Rides” de “Discovery Channel”, a participé avec Chip Foose à deux épisodes de “Overhaulin” et a été mis en valeur dans divers documentaires. Troy Trepanier a grandi autour des voitures et de l’artisanat, travaillant toujours dans l’atelier automobile de son père. Son grand-père lui a appris ceci : “Il n’y a qu’une seule façon de faire les choses : la bonne façon”… C’est l’esprit de compétition, et la passion pour l’excellence qui prime, en sus d’une attitude et d’une affirmation : “Rien n’est impossible pour un vrai Américain”…
Tout cela a façonné la vie de Troy Trepannier et chacune des voitures qu’il a construites. Inutile d’écrire qu’il est admirateur de Donald Trump, prône “America First” et préfère que les USA fassent un deal avec Poutine plutôt qu’avec le pianiste pénien Ukrainien… Vous connaissez peut-être le nom de Mariani, même si vous n’êtes pas fan de Hot-Rods ou de courses de vitesse sur terre battue. Les exploitations Mariani ainsi que la Mariani Nut Company font toutes partie de l’héritage familial de la vallée de Santa Clara en Californie, dont les frères Mark et Dennis Jr. sont des représentants (quatrième génération).
En dehors de leurs racines agricoles, jeu de mots involontaire, les frères Mariani s’adonnent également un peu aux courses sur lac salé avec des roadsters Hot-Rods basés sur les anciens modèles B. Troy Trepanier/Rad Rides by Troy est responsable de la mise en piste de la version la plus récente qui porte le N°46, la Mariani D/SR de 1934, sur les terrains d’essai de Bonneville, ainsi que d’un Streamliner C/GS en aluminium façonné à la main avec 800 chevaux pour Dennis Sr., qui a fait ses débuts au SEMA 2014 et a été piloté plus récemment par Dennis Jr. cet été avec une pointe de vitesse de 308 mph.
Il y avait un autre projet inspiré par Mariani qui prenait forme chez Rad Rides après le Streamliner et si vous étiez au même salon réputé pour les révélations l’année dernière, vous avez pu le voir dans toute sa splendeur au stand Flowmaster. Troy a conspiré avec Mark et Dennis pour construire quelque chose avec un peu moins de puissance (pas de beaucoup), mais extrêmement riche en pièces uniques faites à la main de la proue à la poupe. Le résultat, étant une déviation drastique mais bienvenue de la Ford Model A Tudor de 1929 d’Henry Ford.
Plus vous regardez la berline des frères, plus vous réalisez toutes les déviations particulières que Troy, Adam Banks et le reste de l’équipe de Rad Rides ont habilement intégrées dans l’extérieur en tôle. Prenez la visière, par exemple : alors que certains l’auraient complètement omise, non seulement elle a été conservée (comme une unité séparée, non soudée), mais elle a été façonnée pour dicter le pare-brise en deux parties de style plus tardif en dessous. Ce qui a été soudé et mélangé, cependant, c’est le haut du capot (réservoir d’essence d’origine) qui se fond maintenant sans couture dans les sections latérales…
Elles sont bordées magnifiquement par des doglegs redessinés à l’arrière et un pare-feu galbé, étreignant le moteur à l’avant. Probablement la première chose qui attire votre regard, cependant, c’est cette grille, en partie Deuce (en quelque sorte), en partie Ford de 1935-1936 (un peu), en partie fabriquée sur mesure pour l’occasion (complètement), elle ne remplit pas seulement son rôle visuellement, mais sert aussi de seul élément saillant à l’avant en dessous de ces phares commerciaux avec leurs “stanchions” uniques.
En tournant dans la direction opposée, derrière le toit coupé (avec des montants A inclinés vers l’arrière, des gouttières douces et un insert en métal formé), la section arrière a été équipée d’un panneau de queue inférieur amovible avec des ouvertures pour l’échappement et la section centrale à changement rapide Halibrand. Les vitres avant, latérales et arrière non d’origine ont été fournies par AM Hot Rod Glass. Autant le dire, la carrosserie de la Tudor Mariani elle-même est un exercice de remodelage du métal exécuté plutôt bien, mais aussi au point où elle aura certainement ses sceptiques…
Ce qui est très bien, c’est pourquoi il y a du chocolat et de la vanille au dessert. Mais il y a plus. Cette carrosserie de 1929 et toutes ses diverses modifications reposent semi-haut sur un châssis périphérique ‘rail’ Ford de 1932 d’American Stamping que Casey Modert et Ian Walton de Rad Rides ont passé de nombreuses heures à construire. Parmi les caractéristiques uniques, ce qui peut ressortir le plus pour certains sont les tiges qui actionnent des barres de torsion cachées à l’intérieur des longerons grâce à des liens fabriqués sur mesure (l’arrière utilise des barres d’échelle Dog Bone en aluminium)
Elles ont été redessinées pour correspondre au contour de la carrosserie). Celles-ci, ainsi que tous les autres composants de direction et de suspension, ont été conçus en interne chez Rad Rides, et programmés/usinés par Lawrence Laughlin. Mécaniquement, la berline utilise une boîte de direction de piste de terre de KSE montée à l’intérieur, avec la manivelle usinée et la biellette de direction qui ressortent à travers le côté du capot. Les plaques de support à prise d’air sur les tambours auto-énergisants de Lincoln sont la plateforme pour, et accentuent vraiment la conception des bras de direction mentionnés ci-dessus.
Les amortisseurs RideTech disparaissent littéralement dans les moitiés arrière des seaux de phares uniques, qui servent de supports à double usage pour les deux. Malgré tout ce qui vient d’être dit, vous devez d’abord dépasser ces roues… des œuvres d’art en aluminium de 19 et 20 pouces conçues par Banks et usinées par Laughlin, chaussées de radiaux Excelsior Stahl-Sport de Coker. Fixez-les assez longtemps, et vous pourriez trouver un certain nombre de sources d’inspiration potentielles, des premiers wide-fives aux coureurs Indy du milieu du siècle…
Pour rester dans l’unicité de la construction – sans parler de l’héritage de course NorCal des Mariani – le moteur est un V-8 Dart/Chevy 377ci préparé par Bob Panella Motorsports. Une fois en possession de Rad Rides, le long bloc en aluminium a été complètement ébavuré (ainsi que chaque autre composant de transmission à coulée brute) par Brian Ferguson. Ensuite, il a commencé à prendre sa forme distinctive, du TruTrac Billet Specialties manipulé aux couvercles de soupapes usinés (et monikérés) aux supports de moteur élégants, il est vraiment dans une classe à part.
En termes d’induction, une admission Offy 3×2 a été utilisée comme plateforme pour un trio de corps de papillon EFI 48 d’Auto Trend enveloppés par un filtre d’air inspiré du bain d’huile fabriqué par Adam Banks. Tout le câblage du moteur et du châssis, réalisé par Alex Marion, est recouvert de tissu “à l’ancienne” et discrètement acheminé. L’échappement, qui commence avec un ensemble de collecteurs d’échappement Tru-Ram de Speedway Motors à finition brossée, est un système à ajustement glissant fabriqué par Toffer Barta qui utilise des silencieux Hushpower.
Enfin, faisant le pont entre le différentiel Halibrand à engrenages de 3,50 via un arbre de transmission Mark Williams, une boîte de vitesses à cinq rapports Legends provenant de Bowler Transmission a été accouplée au small bloc via une cloche d’embrayage en magnésium Quartermaster… Maintenant, malgré l’intérieur et la peinture “encore à venir” (je vous ai ai déjà causé elle est gérée par Warren Lewis de Rad Rides), l’intérieur de la Tudor Mariani présente une quantité importante de travail manuel en tôle comme les planchers à motifs amovibles et la structure sous le tableau de bord qui encadre la direction.
Ne pas oublier l’assemblage des pédales sur mesure, les maîtres-cylindres d’embrayage/freins Wilwood, et même une unité AC Vintage Air, et des passages de roues intérieurs entourant l’accommodation arrière du pan pour le kick-up de 10 pouces du châssis. Je me souviens, il y a quelques lunes, d’un pick-up à cabine fermée en métal nu qui faisait parler de lui (c’était bien avant l’avènement des médias sociaux, donc les gens parlaient réellement…). C’était à l’époque où cette infestation de rongeurs n’en était qu’à ses balbutiements, et c’est ainsi que ce 1934 haché est devenu l’antithèse de ceux qui comprenaient…
Mais simultanément il était aussi l’enfant de l’affiche de la perception erronée de ceux qui ne le comprenaient pas, mais s’accrochait à un slogan et l’appliquait à tout ce qui n’avait pas de peinture brillante. C’était aussi un tournant dans le temps où les Hot-Rods soi-disant inachevés (mais finis) sont devenus plus socialement acceptables. Les constructeurs ont commencé à tirer parti de la tendance en faisant photographier de nouveaux projets à l’état brut pour un long métrage avant la peinture et le rembourrage, cette transition de nu à habillé était généralement rapide afin de respecter les délais…
Mais Troy Trépanier et son équipe Rad Rides by Troy ont apparemment une approche différente de ce processus de transition sur certaines constructions, une approche qui retire l’interactif du monde de la réalité virtuelle et le remet à sa place : dans le monde réel. Plutôt que de ramener la Tudor Mariani Bros. directement à l’atelier de l’Illinois pour ses dernières étapes de construction après les débuts au SEMA, Trépanier a pensé que ce serait une bonne idée pour l’atelier de l’exposer lors de certains des plus grands événements nationaux, à commencer par le Grand National Roadster Show.
Cela a évidemment donné aux spectateurs l’occasion de voir le modèle A dans toute sa splendeur de métal nu, mais cela leur a également permis de rencontrer certains membres de l’équipe de construction et de découvrir tous les comment, pourquoi ils mouraient d’envie de savoir. Adam Banks, de Rad Rides, résume ainsi le processus : “En tant qu’atelier, nous pouvons prendre une voiture, encore en construction, et discuter de tous les détails relatifs à cet aspect de la construction. Ensuite, nous pouvons le reprendre une fois terminé et discuter d’un tout nouvel ensemble de détails”…
Que quelqu’un l’aime mieux avant ou après, ou les deux, cela ne fait aucune différence. Le but est de partager le processus. Bien sûr, les gens veulent en savoir plus sur la fabrication, les aspects mécaniques et où ils peuvent acheter ces jantes uniques… la manière dont la surface du métal brut est préservée. Après six mois de show ‘n’ tell, Rad Rides a finalement remis la berline Mariani sur le calendrier de construction, alors que le SEMA Show approchait à grands pas. Cela signifiait que l’atelier avait une courte fenêtre d’opportunité pour commencer le processus de transition.
Le tableau de bord, tous les panneaux intérieurs, le cadre et la mousse des sièges, les moulures de garniture et les garnitures intérieures ont tous été construits à partir de zéro. Le tableau de bord est doté d’un groupe d’instruments Packard de 1949 usiné sur mesure par Lawrence Laughlin de Rad Rides et de compteurs Classic Instruments. Laughlin a également usiné les bouches d’aération de la climatisation Vintage Air Gen II…Le volant est doté d’un moyeu à dégagement rapide et d’une colonne inclinable, permettant une entrée et une sortie plus faciles de la voiture ainsi qu’une meilleure position de conduite.
La carrosserie a été réalisée par Warren Lewis et Gary Childers, tandis que la peinture a été réalisée par Lewis, ainsi que le ponçage et le polissage à l’eau avec l’aide de Zach Ingram et Ed Robinson de Zrods à Knox. Indiana. Les décors sur la carrosserie ont été réalisées par le peintre d’enseignes local Tom Evans. La peinture est un mélange personnalisé de bronze Glasurit métallisé sur la partie principale de la carrosserie et une version modifiée de la même base avec un transparent satiné sur les pièces d’accent et l’insert de toit. Les composants de la transmission ont tous été ébavurés et préparés pour être peints.
Le moteur, la transmission et l’essieu arrière ont également été peints avec un mélange personnalisé de satin Glasurit or foncé. De nombreux composants de la suspension ont été sablés lourdement avec de la grenaille d’acier et enduits de poudre avec une texture or-bronze pour leur donner un aspect moulé. D’autres composants de la direction, de la suspension et de la transmission ont également été recouverts d’un revêtement en poudre d’un bronze doux métallique plus foncé pour plus de durabilité. Le placage de la voiture est entièrement en nickel brillant, réalisé par Sherm’s Custom Chrome à Sacramento.
Toutes les sous-couches d’insonorisation et de moquette sont des produits de Dynamat, ce qui réduit au minimum la chaleur et les bruits indésirables, tandis que les vitres de la voiture sont en acrylique bronze d’AM Hot Rod Glass. L’assemblage final est un effort collectif dirigé par Troy ; Alex Marion a fait tout le câblage et une grande partie de l’assemblage mécanique de la voiture, avec l’aide de Dale Cherry d’Injection Connection pour le réglage ; Casey Modert, Ian Walton, Brian Ferguson et Gary Childers sont tous impliqués dans divers aspects de la construction finale.
Le Hot-Rod Mariani Bros. a fait ses débuts en grande tenue, avec une apparition à Pomona,. Il a été présenté pour la première fois dans une émission spéciale d’une heure de la chaine US Velocity Channel, ce qui a été tout un honneur de gagner les 3 couronnes au Sema show… Les gens le connaissent à la fois avant et après. 50% l’aimaient brut, 40% auraient référé qu’il soit jaune ou rouge et 10% l’aiment en bronze… La critique constructive est une chose à laquelle il faut s’identifier, même si on n’en n’obtient jamais grand-chose.