TR3 V8 Hot Rod Transgender Sex Machine
C’est indiqué dès “la porte d’entrée” de “votre” club GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits, vous pénétrez textuellement et visuellement, (sexuellement également), dans l’univers déjanté du premier magazine numérique quotidien mondial 24h/24h réservé aux hommes (femmes et transgenres bienvenues), épicuriens, intelligents, déjantés, caustiques, désabusés, humoristes, cinéphiles, baroudeurs, satyres & satiriques, aimant la vie, les femmes, les autos, les motos, les bateaux, les avions et les machines extraordinaires !… Pour décrire plus brièvement, c’est “LE” site-web satirique (c’est indiqué pour des raisons légales) le plus sulfureux, déjanté, caustique, classe, snob et politiquement incorrect de toute la francophonie mondiale !
Il est en effet nécessaire de prévenir les téméraires internautes lecteurs/lectrices de ce qui les attend, afin de ne pas choir dans la masse des merdias d’opinions diverses. En ce sens notre con frère Charlie Hebdo pouvant tout se spermettre, particulièrement l’humour colon (intestinal) a été défendu par des chefs d’Etats du monde (presque) entier venus le manifester en cortège funeste (funèbre) à Paris… Donc, il en serait de même pour mon web-site et mes mag’s GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits au cas ou… Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Qui donc était ainsi venu nous défendre (de même que “la presse d’opinion”), ultra préventivement, en grandes pompes quasi funèbres ? N’était-ce une manière de marquer les limites des “No limit” ?
Qui donc était là ? Le président d’alors François Hollande, la chancelière allemande d’alors Angela Merkel, le Premier ministre britannique d’alors David Cameron, le président du conseil italien d’alors Matteo Renzi, le président du gouvernement espagnol d’alors Mariano Rajoy, le président de la Commission européenne d’alors Jean-Claude Juncker, le président du Parlement européen d’alors Martin Schulz, le président du Conseil européen d’alors Donald Tusk, et pour ne pas devoir rappeler que c’étaient les sommités d’alors engageant une kyrielle de nations, considérons que ces gens engageaient durablement leurs nations à défendre le droit à la satire et au satyrique sans limite aucune…
Il y avait également les chefs de gouvernement danois Helle Thorning-Schmidt, belge Charles Michel, irlandais Enda Kenny, néerlandais Mark Rutt, luxembourgeois Xavier Bettel, suédois Stefan Lofven, finlandais Alexander Stubb, polonais Ewa Kopacz, grec Antonis Samaras, portugais Pedro Passos Coelho, maltais Joseph Muscati, tchèque Bohuslav Sobotka, letton Laimdota Straujuma, bulgare Boïko Borisov, hongrois Viktor Orban et croate Zoran Milanovic, montenagrais Igor Luksic, slovaque Robert Fico, slovène Miro Cerar, ainsi que le président roumain Klaus Iohannis…. Egalement le symbole de la paix et de la juste vérité, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, avec son chef de la diplomatie Avigdor Lieberman… Ca en jette, avouez !
Et c’est pas terminé… Il y avait également le président palestinien Mahmoud Abbas, le roi de Jordanie Abdallah II et la reine Rania, la présidente de la Confédération suisse Simonetta Sommaruga, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, la Première ministre norvégienne Erna Solberg, la présidente du Kosovo Atifete Jahjaga, les Premiers ministres albanais Edi Rama, turc Ahmet Davutoglu et géorgien Irakli Garibachvili, le président ukrainien Petro Porochenko, le vice-premier ministre de Bosnie-Herzégovine Zlatko Lagumdjiza, le Premier ministre tunisien Mehdi Jomaa et le ministre d’Etat de Monaco Michel Roger. L’Afrique était représentée par les présidents malien Ibrahim Boubacar Keïta, gabonais Ali Bongo et nigérien Mahamadou Issoufou…
Pas qu’eux… Pas fini… Il y avait aussi le béninois Thomas Boni Yayi, sénégalais Macky Sall, tchadien Kalzeube Payimi-Deubet, togolazis Faure Gnasingbe, et l’Amérique du Nord était bien là via le ministre américain de la Justice Eric Holder et le ministre canadien de la Sécurité publique Steven Blaney, et les représentants du Maroc et du Brésil, ainsi que le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg, tout comme les dirigeants d’autres institutions internationales (Organisation internationale de la Francophonie, Bureau international du Travail, Ligue arabe). Egalement les maires de diverses grandes villes européennes telles Milan, Barcelone, Turin, Florence… En gros, a ainsi été défini/confirmé que la caricature, la satire et les opinions sont libres…
Imaginez l’impact, incluant même le déjanté… Si Julien Assange avait présenté les horreurs américaines de manière satirique en “se foutant de la gueule des arabes qui se font exploser par les libérateurs américains”, il aurait eu la Médaille d’honneur du Congrès, ainsi que les plus grandes décorations avec pots de fleurs assorties… S’il avait été libre il aurait ainsi pu publier/titrer “30.000 de moins” concernant le Génocide des Palestiniens de la bande de Gaza depuis un an et obtenir le prix nobel… Tout tient à peu de chose… Pour ce qui nous concerne, cela confirme qu’avoir la liberté de présenter “les choses” sous un autre éclairage est un pur bonheur… Donc, je suis l’exemple (c’est un double sens), et j’ose écrire et diffuser… Voilà…
Aujourd’hui, c’est la Triumph TR3 qui va déclencher la haine des irréductibles fanatiques envers ce web-site, de ce qu’elle a été évoluée façon Hot Rod par des iconoclastes. J’ai ajouté une nanana sexy-bandatoire pour maximiser l’effet érectile des mêmes et transgenres inclus incluant l’effet “mouillage” au port d’attache… Comme pour presque toutes les voitures de sport britanniques, la grande majorité des TR3 (environ 85 %) ont été exportées, et la plupart d’entre elles sont allées en Amérique du Nord. C’est le cas de cette Triumph TR3 de 1957 qui exportée du royaume d’Albion (la perfide) et importée sous le soleil californien, à, “oh mon Dieu !”, été comme transmutée/transgendrée de diverses améliorations !
Officiellement, cependant, elle est toujours enregistrée/immatriculée comme un modèle de 1958 avec une immatriculation Estonienne, ce qui semblait être un secret bien gardé avant que mes yeux aguerris ne scrutent les dessous de la chose… En 2010, cette britannique qui avait 53 ans a reçu une sérieuse cure de jouvence de plus de 150.000 $ aux États-Unis. C’était un projet de passion absolue de l’ancien propriétaire et son dernier atout. Refaite de partouze, cette vieille peau est devenue transgenre façon beau coquin hyper musclé n’ayant aucune crainte de montrer ses muscles et attributs virils, style : “découvrez mes extensions de passage de roue personnalisées, mes pare-chocs chromés et mes doubles tuyaux d’échappement latéraux”...
Devenu Hot Rod et n’étant plus une belle vieille petite salope anglaise, il sait comment se montrer. À l’intérieur, c’est comme un bar à cocktails, mais ce Hot Rod TR3 ajoute une touche Funny avec un système stéréo Pioneer et un volant Moto-Lita ainsi que des instruments numériques. Eh bien, cela m’a révélé qu’il n’a pas beaucoup bandé… Sous le capot se trouve un V8 Ford 347ci coiffé d’un carburateur Edelbrock à quatre corps disposant d’une admission personnalisée avec deux faux seins filtres coniques. Avec une boîte de vitesses manuelle très macho (mmmmmummm !) Tremec à cinq rapports et un essieu arrière Currie 9′, ce Hot Rod TR3 est prêt à gommer les pneus et assurer les fonctions érectiles de qui suit les tendances Elyséennes !
Ahhhhhhh ! Dès Homère et Hésiode, les espaces de l’Au-delà sont formés de trois composantes nettement séparées : l’Hadès, le Tartare et la Plaine Élyséenne… Dans l’Hadès, se rendent indistinctement les âmes des morts, pâles reflets des vivants. Le domaine d’Hadès est loin d’être monolithique, il comprend plusieurs régions distinctes comme les idylliques Champs Élysées réservés aux âmes (et putes) vertueuses et le sombre Tartare, prison des Titans… Une comparaison “automobilesque” spermet de distinguer l’unique en son (trans)genre dans le monde de l’automobile, “un (trans)genre unique en son genre” qui ne ressemble à aucun autre spécimen. Par comparaison, les Porscherie’s sont des bêtes de trait, les Bugatti’s des pur-sang mélés, et….
Ouiiiiiii… Et…. Et cette TR3 est un bufflette qui sillonne un magasin de porcelaine. Donc, si vous recherchez une montée d’adrénaline instantanée et mettez vos compétences à l’épreuve, cette Triumph-ale TR3 de 1957 est exactement ce qui ne plaira pas aux lecteurs des écritures de Serge Bellu et consorts… Pour un filousophe comme môa, choisir de stigmatiser la connerie est plutôt surprenant. C’est pourquoi je soutiens que l’important n’est pas la connerie, mais les cons et connes, la connerie est en effet indéfinissable en tant qu’idée générale… J’ai voulu étudier un phénomène de rejet qui s’exprime le plus souvent par des mots d’argot, voire par des insultes, qui expriment au fond un jugement à la fois intellectuel (untel est un idiot) et moral (untel est un salaud).
C’est associé à des émotions si fortes que l’esprit de celui qui juge est en pleine confusion. C’est cette confusion que j’ai voulu caricaturer, voilà pourquoi je ne définis pas les cons et connes qui se reconnaîtrons sans assistance, c’est inné : ce qui m’intéresse est de savoir comment et pourquoi quiconque en vient à appliquer ce qualificatif à quelqu’un d’autre. Et comment sortir de cette confusion. En quel sens est-on forcément ramené au con qui nous fait face ? Comment dénoncer les cons sans devenir con ? Eh bien c’est impossible. Dès que nous identifions un con, nous bloquons nos propres capacités d’empathie et d’intellection, donc nous en devenons un. Pour sortir de ce cercle, il faut accepter notre interdépendance, donc ne jamais nous situer…
Ni comme spectateurs/spectatrices de la pure victime, et ne jamais sortir du rôle actif qui est le nôtre. Attention, je ne fais pas un plaidoyer volontariste qui défendrait l’idée que chacun est maître de sa connerie, il s’agit de toujours rester vigilant pour trouver les issues hors des situations de souffrance ou de conflit. Voilà ce qui spermet de lutter contre le con en soi… il s’agit de déjouer autant que possible les tentations qui nous appellent à la violence, au rejet, aux ruptures. Mais, bien sûr, on n’y échappe que de manière ponctuelle, notre propre connerie ne cesse de renaître. Rarement, voire jamais, en nous souvenant de ces dernières années, nous avons rencontré un homme con ou pas, qui a acheté une TR2 ou une TR3 et a regretté son achat…
C’est une attitude identique du sieur Hans Stevens organisant le vol de ma LéaFrancis et se retrouvant piégé par sa connerie… Dans mon cas, croyez-vous que, tel Serge Bellu, je me souviens très bien de la première fois en 1954 lorsque j’ai été installé dans une TR2 d’essai, l’une des toutes premières… Non… Parce que c’est faux…. Je n’ai donc pas pu penser alors que je n’avais que 5 ans, après une journée dans la voiture, comment les Anglais pouvaient assembler autant de voitures pour si peu d’argent… Non… Mais Serge Bellu, lui, OUIIII. Ce mec est incroyable, si jeune et déjà avoir le sens des choses… La TR3 était l’une de ces rares voitures dont on hésitait à en sortir après avoir hésité à y entrer. Aujourd’hui, j’ai toujours le même sentiment, encore plus.
Pour le plaisir de conduire pur, la TR3’58 est difficile à égaler. Les changements primordiaux de ce modèle sont dans le style. L’ouverture de la calandre en treillis encastrée dans un effet museau suggéré, à la Ferrari. Les renflements des phares incorporés dans la face avant du capot… La TR3 est un chou à la crème à lécher… Avant de “faire des courses” au supermarché pour tester le volume du coffre en comparaison d’une camionnette, et simultanément effectuer divers tests et essais routiers de toutes natures, j’ai simplement conduit la bête, parcourant plus de deux kilomètres. Ce Transgenre Hot Roddisé s’est comporté avec délices, quoi que je lui faisais comme saloperies…Il ne fait aucun doute que cela continuera à s’améliorer.
Jusqu’à présent, je n’ai pas ajouté d’huile pour la lubrification analytique. Le moteur, ainsi que ses engrenages et les autres composants mécaniques, jusqu’au dernier boulon m’ont paru correctement assemblés… J’ai relevé beaucoup de puissance, même autour de 2000 tours, mais le moteur aime dépasser la barre des 3000. C’est la zone, 3000 à 4500, de laquelle on sort vraiment lorsqu’on appuie sur l’accélérateur. La boîte de vitesses était serrée, mais elle glissait facilement d’une vitesse à l’autre. L’embrayage étant facile à actionner, s’enclenchait progressivement et était très positif lorsqu’il entrait en phase de jeu. Mais le levier de vitesses court est peut-être la caractéristique la plus agréable de ce département… Sexuellement s’entend…
J’ai changé de vitesse en tendant la main et en saisissant le…. en caoutchouc fixé sur… sur… le manche… Ouiiiiiiiiiiiiiiiii et changé les… fentes…. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii en bougeant simplement le pouce. Ce fut aussi simple que cela… Jouissif… L’accélération du rythme peut être la cause d’un claquement du cou : d’autre part, l’embrayage à engagement doux et les bonnes caractéristiques de couple à bas régime permettent également des décollages en douceur suffisant pour vous faire décoller, si vous voulez de la douceur et que vous n’êtes pas pressé, vous pouvez aussi y trouver plaisir… Les freins ne laissent absolument rien à désirer. J’ai fait plus de dix arrêts consécutifs… des arrêts brusques avec juste assez de pression pour ne pas bloquer…
Le réglage était défectueux, et malgré le fait qu’à chaque arrêt, il y avait un blocage, ma lecture de jauge était de l’ordre de 2/3 g, soit environ 70% d’efficacité. Apparemment, freiner les ardeurs de ce type et de cette taille sont possibles en diverses suites capables de faire presque tous les arrêts. Il a été pour moi intéressant de me demander, cependant, comment j’ai pu finalement m’arrêter ! C’était aussi bon quand nous avons terminé que quand nous avons commencé… En nous je cause de la TR3 et moi en personne, ne confondez pas les genres et le transgenre de la chose qui peut laisser à comprendre de l’inattendu, quai Elyséen dans le transgenrisme des trois composantes nettement séparées : l’Hadès, le Tartare et la Plaine Élyséenne… Pfffffffffff !