Willys Hot Swoopster V8 454ci 550cv
Le Hot Rodding aujourd’hui, dans mon Web-Site ChromesFlammes/GatsbyOnline, ne serait-il plus que mes commentaires analytiques de cet art mobile, qui peuvent paraitre complexes à la compréhension sommaire du “Vulgum Pecus” alors que ce qui n’est que difficile ne plaît guère, à la longue, aux masses. Personnellement, j’en suis fort aise d’en débattre, les débats de fond étant une habitude.
Mais il reste cependant certains aspects de diverses polémiques qui restent inabordés, alors que je les considère fondamentaux. Certes plus de 10.000 internautes déboulent ici chaque jour et nuit… mais les seules réponses viennent de mon ami médecin qui ausculte mes texticules et m’en fait divers commentaires psychologiques…
Je plaide non-coupable depuis toujours, c’est une question de principe, jamais avec la contrition suffisante pour m’amender, soulignant que les culpabilités sont en plus grand nombre que les aveux et regrets. Cela procède en général d’une conviction préalable refusant ne serait-ce que la manifestation d’un intérêt limité, se situe automatiquement en retard sur le temps qui ne fait que passer…
Je revendique le droit inaliénable d’aimer ou de ne pas aimer qui ou quoi que je n’apprécie pas, peu importe le style ou le moment. Je vois mal les raisons pour lesquelles je pourrais me sentir forcé de m’intéresser à une chose plutôt qu’à une autre, constatant que notre époque se caractérise par la coexistence simultanée d’un nombre quasi vertigineux de styles.
Je ne vois pas donc pas comment on peut affirmer que tout est son contraire, ce qui relève dans bien des cas de processus plus complexes que la soupe populaire, mais je me retrouve toujours aussi incapable de justifier cette association inéluctable que l’on voudrait que je fasse entre la complexité et la grandeur de la représentativité de notre époque.
Je souhaite vraiment que si un jour il plût à quiconque de s’intéresser à mes écritures, ce soit par plaisir et non par contrition. C’est une proportion que je considère honnête, et dont je ne m’inquiète nullement. Je pourrais faire la même constatation en parlant de musique populaire, de poésie, de cinéma, de musique classique ou même populaire. Pourquoi ferais-je exception ?
Avec un répertoire de quatre mille cinq cent articles composant ce web-site cela le situe dans un répertoire qui a fait l’objet de diverses épurations faute de quoi il se situerait au double, ce qui est par trop considérable. Il est donc parfaitement justifiable que les internautes y confrontés avouent ne pas avoir pu tout lire ni ne pourront y remédier pour parfaire leur savoir.
Là où je m’interroge, c’est lorsque certains, voire certaines, me sortent un théorème selon lequel l’abandon partiel de la lecture relève d’un processus de continuité dû à l’érosion de leur système intellectuel et à l’épuisement de leurs fonctions dominantes-toniques… Diantre… Quel souk… À ce qu’il me semble aujourd’hui, ce n’est pas tant le système intellectuel qui s’essouffle que l’hégémonie de l’Europe tout entière.
Et cela tant sur le plan géopolitique que sur le plan culturel. Si on accuse souvent les Etats-Unis d’impérialisme culturel, ne faudrait-il pas plutôt comprendre que le succès international de ChromesFlammes/GatsbyOnline est précisément dû au fait que le monde entier avait soif d’une nouveauté que l’engourdissement général n’était plus à même de fournir ?
Etre né trop jeune, dans un monde trop vieux . L’exil massif de plusieurs artistes/écrivains/journalistes me semble confirmer la crise qui sévit sur le Vieux Continent. On objectera que s’exiler est souvent motivé par la montée d’humeurs au symptôme de la fin de l’hégémonie européenne. L’abandon n’est toutefois pas une évolution nécessaire.
C’est un changement radical dans la conception même due à l’importance exagérée qu’on accorde à vouloir faire du neuf à tout prix. Il est encore possible aujourd’hui de faire appel de façon originale. Bien sûr, il ne s’agit pas d’être pour ou contre. Je ne voudrais pas que l’on brûle ce que la majorité trouve difficile et inaccessible… Mais personne ne se propose de brûler quoi que ce soit !
Nous devons simplement admettre que les responsabilités ne concernent le commun des mortels que de façon fort marginale. Personnellement, je ne saurais les blâmer, car le créateur de textes choisit de lui-même d’évoluer dans les confins de la stratosphère, mais ne vient par la suite, pas se plaindre de manquer d’oxygène. À qui la faute ?
Croyez-bien que de l’oxygène, il m’en faut pour tapoter une histoire sur cet étrange Hot Rod personnalisé qui a été construit en 2012 par Dave’s Rod Shop de Lake Ozark, Missouri, USA, en utilisant une carrosserie de roadster Willys 1941 réalisé en réplique par Dennis Taylor Reproductions. Je conviens que rien de semblable n’existe en Europe spermettant d’éjaculer la même chose…
De ce fait j’ai des difficultés à en texticuler une histoire cohérente… Certes, les banalités indiquant par exemple que le châssis de ce Hot Rod est également l’œuvre de Dennis Taylor et intègre une suspension avant indépendante, des freins à disque aux quatre roues et une partie arrière à quatre bras. J’ai presque honte d’en arriver à des commentaires aussi nuls et, j’ose l’écrire ; stériles…
Oui, car en Franchouille, aucune reproduction ne saurait s’effectuer Vous en êtes donc poussé à une frustration, voire à une indifférence due à l’impossibilité d’un accouplement jouissif, qui serait contre nature et contre productif… De mon coté, inconscient volontaire du stress causé, je persévère dans mes commentaires en annonçant que la puissance est fournie par un V8 GM 454ci soutenu par une transmission automatique TH400…
Lire ça alors que ce genre de moteur ne se trouve dans aucune casse ni n’est disponible à l’achat dans l’Hexagone J’ai donc créé une frustration intellectuelle tout comme si je publiais une nananana hyper bandatoire semblant avoir des envies irrépressibles de sexe… Je compatis que vous deviez vous absenter une dizaine de minutes pour satisfaire un besoin.
Calmons-nous, avec les points forts supplémentaires de la construction de cet engin délirant qui comprennent une suspension pneumatique réglable, des jantes Billet Specialties, une pnt arrière de 9 pouces et des portes-suicide télécommandées. Waouwwwwww ! Comment en sortir en cas de panne des sens… euhhhh d’essence…
Comme déjà écrit, je pense, je n’en suis plus certain, l’habitacle est recouvert de cuir gris et dispose de sièges baquets, d’un levier de vitesses TCI Outlaw, d’une colonne de direction inclinable et d’un système stéréo personnalisé. Bingo, c’est passé cool… Surnommée “Swoopster”, cette Willys customisée et Hot Roddisée est maintenant proposée à la vente pour un peu plus de 100.000 $ alors que les offres ne dépassent pas 50.000$… Dilemne !
Qui plus est le vendeur ET sa chose sont en Californie, avec un titre de roulage “propre” du Michigan. Un achat de France est possible, mais quid de l’immatriculation ? Comme écrit en débur d’article, la carrosserie en fibre de verre de style Willys provient de chez Dennis Taylor Reproductions et a été peinte en blanc et noir avec des accents rouges à l’aérographe.
Les détails extérieurs comprennent une calandre en billette, des phares Mini Cooper et des portes suicides télécommandées. Le couvercle du coffre est également commandé à distance… Les jantes héritées de chez Billett Specialties sont des 17po à l’avant et des 20po à l’arrière et portent des pneus Nitto 215/40 AV et 285/30 AR.
L’avant indépendant et l’arrière à quatre bras sont tous deux équipés d’une suspension pneumatique réglable RideTech, et le freinage est assuré par des disques aux quatre roues avec des rotors percés de trous trous… Les sièges baquets sont recouverts de cuir gris, et l’équipement intérieur comprend un démarrage par bouton-poussoir, et un levier de vitesses TCI Outlaw
Il y a aussi une chaîne stéréo Kenwood CD avec un caisson de basses enfermé derrière le siège du conducteur. Un volant à trois branches avec une jante en fibre de carbone est monté sur la colonne de direction inclinable. L’instrumentation Dakota Digital comprend un indicateur de vitesse de 160mph et un tachymètre à 8 k/min,…
Je n’oublie pas de mentionner les divers compteurs pour le niveau de carburant, la pression d’huile, la température du liquide de refroidissement et la tension. Un manomètre pour la suspension pneumatique est monté sur la console centrale. J’arrive au bout de l’article… Le V8 GM 454ci est équipé d’un collecteur d’admission Edelbrock, d’un carburateur Edelbrock à quatre corps et d’un distributeur MSD Pro-Billette.
Il y a également un réservoir de liquide de refroidissement en billette et d’un radiateur en aluminium. Un système d’échappement deux en un en acier inoxydable sort par le pare-chocs arrière. Une batterie Super Start a été installée. La voiture est immatriculée comme une Willys deux portes de 1941 utilisant le VIN VT335891 attribué au Vermont… Comme disent les truands : Bonne chance… si vous en voulez…