La vie d’Elodie Pouffe se résume, en gros, à rien…
(Juste un beau cul, un Prowler sexy et un compte en banque bien rempli) !
Pendant les années ’80 et ’90 elle glandait et passait son temps libre à se masturber…, après avoir raté 4 fois son Bac, elle a tenté sa chance en participant à des talk-shows (pour de l’argent), en plus d’un job de caissière dans une grande-surface de la malbouffe-surgelée pendant 3 ans, avant qu’elle ne se décide à évoluer dans le non-sens sexuel, où elle a enfin trouvé sa voie : le porno-anal échangiste.
Le porno-anal était un créneau tout trouvé pour Elodie Pouffe, qui m’a déclaré avoir couché avec plus de 3.000 hommes et femmes durant sa carrière sexuelle (glup !), sa discrétion en la matière lui a également permis d’infiltrer les clubs échangistes de la haute société, où elle a pu s’en donner à cœur joie avec les épouses de quelques uns des hommes les plus riches et puissants de France.
Elle est devenue “LA” coach de l’échangisme-anal, prodiguant tout un tas de conseils aux couples branchés-partouzes tels que construire un “Glory-hole” (Attention aux échardes) ou comment utiliser une “Sex-machine”, avec l’assurance et la décontraction d’une monitrice de canoë-kayak.
Bien qu’elle ait participé à quelques vidéos pornos crapuleuses (ce qui lui a permis d’acquérir un Prowler à demi-prix, l’autre demi étant un échange sexuel) , elle n’a absolument rien de la perverse déviante…
Son histoire est juste un exemple parmi tant d’autres des détours que peut vous faire emprunter la vie, en transformant une nanana plouquesque à qui il est arrivé de faire des plans à quatre avec une mère, sa fille et leur chienne, en réalisatrice de partouzes-anales échangistes.
– Je t’ai connue alors que tu avais crevé un pneu avec un Prowler, je n’imaginais pas que ta vie était aussi délurée ! Comment t’es-tu retrouvée dans ce souk, Elodie ?
– Le souci avec les échangistes, c’est l’anonymat. La plupart y tiennent, c’est souvent la base même du truc. Mais j’ai fini par trouver quelques personnes qui étaient ok pour baiser avec des stars de manière très spontanée, je suis obligé de pas mal improviser, parce que ce sont de vrais échangistes, pas des acteurs et des actrices. Je fais toujours une petite apparition dans ces plans-culs, même si c’est toujours difficile de gérer tout en baisant. Cela dit c’est un truc que j’ai appris à maîtriser avec les années.
– Comment est-ce que tu trouves les échangistes qui veulent baiser avec des célébrités ?
– Il faut savoir qu’il n’y a pas UNE sorte d’échangiste. Chaque couple a ses règles, ses préférences. Moi, je fais du porno-anal, donc si un couple de ploucs refuse de baiser avec un couple de stars pour telle ou telle raison, je suis dans la merde. Une façon très simple de remédier à ce problème, c’est de caster, pas castrer ahahahah ! des gens qui se connaissent et qui ont déjà baisé les uns avec les autres. Mais il ne faut jamais oublier que chaque couple a ses règles, surtout les femmes ahahahah ! J’ai donc rédigé un questionnaire que je leur demande de remplir avant chaque plan-cul de luxe. J’ai foiré une fois avec Amanda, j’ai retenu la leçon.
– Il s’est passé quoi au juste ?
– Ce qu’il s’est passé, c’est qu’un couple s’est désisté à la dernière minute parce qu’ils pensaient que c’était une transsexuelle et que j’ai du les remplacer par un autre couple. Sauf que personne ne voulait baiser avec eux parce qu’ils étaient sadomasochistes pénétrateurs. Donc, à partir de là, j’ai envoyé ce questionnaire à tous les couples que je castais. Il y a des règles à respecter également. Par exemple, les hommes ont parfois du mal à bander ou à éjaculer dans le cul d’une célébrité. S’il n’y a pas d’éjaculation, c’est le retrait de ma liste. C’est la règle, et c’est écrit en toutes lettres sur le document que j’envoie à chaque couple.
– Comment t’es-tu retrouvée à fréquenter la communauté échangiste ?
– Ça a commencé avec ma copine. On n’était pas vraiment dans le truc, mais on avait quelques amies et amies haut-placés avec qui on s’amusait de temps en temps, tu vois ? Et je me suis très vite rendue compte que j’aimais voir ma copine baiser analement avec un homme en même temps qu’elle se faisait brouter par une femme tandis qu’elle me doigtait jusqu’au Fist…
– Tu es branchée cuckolding ?
– Non, pas vraiment. Le cuckolding implique l’humiliation du voyeur ou de la voyeuse, il m’est arrivé d’en faire, j’allais chez ces gens hyper friqués, hyper puissants, qui vivaient dans des baraques immenses. C’était flippant parce que c’était le genre de mecs capable de me faire disparaître en un claquement de doigts. Et on faisait du cuckolding ou du cuckolding inversé. Je baisais leurs femmes pendant qu’elles humiliaient leur mari ! Et moi j’étais là, au milieu de tout ça ! C’était des gens hyper connus, hyper riches. Mais je ne dirai jamais qui c’était…, Johnny et François pourrait me faire disparaître dans la seconde.
– C’était le côté interdit qui les excitait ?
– Oui, complètement. en tout cas, c’était la raison principale pour laquelle ils faisaient appel à moi. J’ai des tatouages cachés, tout ça. Un truc marrant c’est qu’il y a une de ces femmes qui m’a dit un jour : Je n’ai jamais couché avec un chef d’état… Tu pourrais m’arranger ça ? Comme si c’était une race à part entière ou un truc du genre.
– Tu as eu des plans particulièrement mémorables ?
– Le truc le plus mémorable, c’est forcément le plan à quatre avec la mère, la fille et leur chienne ! Ce truc, c’est presque une légende urbaine. Dans la vie de tous les jours, tu peux au mieux espérer te taper deux sœurs. Mais pour avoir la mère et sa fille en même temps que leur chienne, il faut jouer de la cornemuse. C’est le genre de trucs que tu ne peux partager qu’avec des gens spéciaux.
– Tu penses que l’échangisme peut améliorer une relation de couple ?
– Non, l’échangisme ne peut rien améliorer. Il faut que le couple soit solide à la base. Si la relation repose sur des principes de confiance et d’honnêteté très forts, on peut y aller. Mais sinon, il vaut mieux éviter. Par contre la baise anale c’est bon pour renforcer les liens.
– C’est quoi le plan le plus dingue qui te soit arrivé ?
– Le plus dingue, c’était avec un homme d’affaire libanais et une top-model. Elle n’aimait que la sodomie. Le libanais n’a même pas vu à quoi ressemblait sa chatte ! Enfin bon, quel mec refuserait de sodomiser une top-model ? Mais c’est devenu un plan bizarre à cause de son chien. La fille avait un tout petit chien et on l’avait foutu dehors parce que c’était vraiment pas possible de baiser avec tous ces gémissements et ces aboiements, mais il a réussi à rentrer dans la chambre. Et il s’est mis à se frotter sur l’avant-bras du libanais pendant qu’il était en train de sodomiser cette fille ! Je me suis dit : Ok, si je vire le chien, il va se faire mal et la fille va m’en vouloir et me foutre dehors… Du coup, je l’ai laissé faire. Je voulais pas faire de mal à un animal et puis de toute façon, qu’est-ce que j’en avais à foutre qu’il se branle sur le bras du libanais pendant que je broutais le minou de la top-model ? Au final il a éjaculé, il a éjaculé, tout le monde était content.
– Wow. C’est quasiment de l’échangisme zoophile à ce niveau…
– Si on veut. Mais je dois avouer que la drogue a pas mal joué sur ma décision de laisser ce chien venir se frotter à l’avant-bras du libanais. Sobre, je n’aurais peut être pas réagie de la même manière. En tout cas, quoi qu’il en soit, c’était chelou. Pour une nana, baiser avec les fesses est l’un des meilleurs trucs au monde, simplement parce que douleur, destruction et dégradation sont trois concepts parfaitement FUN. C’est cette vérité que je peux te démontrer ensemble tout-à-l’heure… et s’il y a une chose à retenir, c’est bien ça.
– Du genre que “celles” qui…, quand elles auront fini de lire cet article-interview, seront en train de reconsidérer cet orifice grotesque planté au milieu du derrière et imaginer le nombre infini de trucs à insérer dedans ?
– De toute évidence, l’anal est une idée saugrenue. C’est pour ça que c’est bien. Chez les filles, ça rime avec “non” la plupart du temps. C’est l’une des premières choses qu’on apprend dans la vie : “comme il y a des choses qui sortent de mon trou de balle, je ne suis pas censée en introduire d’autres”… OK, mais l’essentiel du délire c’est justement de désobéir aux lois fondamentales de la physiologie. La sodomie penche du côté du bien, de la même manière qu’il est bien de casser les couilles aux branleurs, de pisser sur une voiture de police ou de brûler le drapeau américain…, sauf qu’ici, la seule figure d’autorité contre laquelle les filles se rebellent, c’est elles-mêmes. C’est à un autre niveau. C’est comme six mois de thérapie psycho pourries style : “Renouez avec la vraie personne qui sommeille en vous”…, mais condensés en 20 minutes…
– Ça ne se fait pas vraiment au pif comme la plupart des autres expériences à tenter une fois pour pimenter sa relation…
– Enfin, on peut, mais dans ce cas il faut s’attendre à ne vivre le truc qu’à moitié, parasité que vous serez par les “oh, ça c’est pas hyper agréable” ou autres “j’espère que je vais pas choper une infection urinaire !”…, pas en phase avec le véritable esprit anal. En réalité, il faut que le désir parte d’un profond besoin de se faire souiller. “Faites-le comprendre, faites parler votre corps, mais ne transformez JAMAIS ça en pour-parler d’oreiller” que je dis aux filles qui disent à leur mec : “OK je te laisse faire ce que tu veux mais tu viendras au mariage de ma cousine, hein ?”… (je n’invente rien, j’ai vu ça). Je pense qu’il y a un temps et un lieu pour l’anal, et quand viendra l’heure, vous le saurez, les filles, votre libido vous le dira. Enfin non, c’est vous qui lui direz si vous avez les ovaires pour ça…
– Glup !
– Oui, j’ai eu des saignements d’anus qui ont duré des semaines (pas non-stop ceci dit, ce serait invivable), et laisse-moi te dire que je n’échangerais ça pour rien au monde. À dire vrai, je reste persuadée que vivre l’expérience de la fissure anale peut aider à mieux comprendre le monde, parce que devine-quoi ? La vie c’est devoir gérer des trucs qu’on préfèrerait éviter, comme avoir du sang qui s’écoule du trou de balle. Ce qui implique des jours entiers à ne plus vouloir manger parce qu’on ne veut pas déféquer pour ne pas rouvrir des plaies que l’on espère cicatrisées. Mais un jour, les fissures ont guéri, et c’est alors qu’on pense au choix, a remettre çà… C’est par accident que je suis tombée sur ces petits bijoux que sont les myorelaxants (relaxants musculaires, pour les débiles). Un jour, un garçon a enfoncé sa bite dans mon cul sans le moindre effort. J’étais un peu perturbée…
– Quoi, mais c’est pas censé faire super mal ?
– Sans y réfléchir plus que ça, je m’étais imaginée que mes muscles anaux étaient inhabituellement mous. Plus tard j’ai compris que toute cette fluidité était due au fait qu’à l’époque je prenais des myorelaxants tous les jours (la raison n’a aucune importance). Sache une chose : Le lubrifiant c’est nul, mais avec le Baclofène, les bites dans le cul c’est quand on veut…
– Et alors ? C’est hilarant quand on y pense.
– On se sent puissante l’espace d’une seconde à l’idée d’expulser du liquide reproductif de son corps de femme, avant de se rendre compte qu’en fait c’est nul. C’est une image tellement bizarre qu’on dirait la métaphore foireuse d’une œuvre d’art contemporain, ou alors le titre d’un bouquin féministe. Chier du sperme : vers une société (enfin) matriarcale.
– As-tu été sexuellement abusée ?
– Non, je n’ai jamais été sexuellement abusée. Non, je n’ai pas été abandonnée par un père qui me battait. Pourquoi est-il si difficile de comprendre qu’une fille aime PRENDRE ? On est bâties pour ça. Bâties pour prendre des sexes masculins. C’est ce qu’on fait. Ça ne fait pas de moi une victime, ça ne me rend pas inférieure, ça me rend heureuse. Avant de réaliser que j’aimais ce genre de trucs, j’avais une vie sexuelle naze, chiante, pénis-dans-vagin et puis fini. Ça commençait tout en galanterie et ça finissait par un demi-orgasme forcé. Se faire “fonceder” n’est pas une fatalité.
– Au pire, vous aurez quoi, un anus perforé ?
– Pffffff, c’est comme les rapports vaginaux, pour être franche : il suffit de s’y préparer, et ça fait bizarre au début. Puis après on se regarde dans la glace, on y réfléchit avant de dormir, on oublie, et on en sort grandie. Une putain de vraie femme. Il y a tellement d’autres bonnes raisons de se contenter uniquement de sexe anal. J’ai été irresponsable et me suis béatement concentrée sur les plaisirs sensuels, oubliant par conséquent d’exposer des arguments rationnels et pertinents qui convaincront les mesdemoiselles, mesdames, je l’espère, de laisser les messieurs passer par derrière, et par derrière uniquement. Je ne vais donc pas te disséquer tous les arguments parfaitement raisonnables, quoiqu’un peu égoïstes, qui font qu’on ne devrait pas vouloir une larve humaine à l’intérieur de notre ventre, prête à gâcher notre vie pour les vingt années à venir. Non, je vais plutôt adopter une approche démographique. La population mondiale devrait atteindre les huit milliards d’ici 2025. Il sera difficile de nourrir tout ce monde là, et même si nous pouvions, que ferions-nous des déchets, des eaux usagées … ?
– Aujourd’hui, alors que nous sommes 7 milliards, et nous produisons déjà 100 tonnes de déchets chaque seconde.
– Alors, qu’est-ce qui fait le plus peur : ça, ou un peu de merde sur le membre du copain ? Ça me paraît être un prix bien faible à payer si ça permet d’éviter de vivre une existence vraiment merdique. La surpopulation est un cauchemar, et nous nous devons, en tant qu’espèce, de faire quelque chose pour la limiter. C’est ce qui rend le sexe anal si important. On ne peut pas tomber enceinte dans les fesses, mais on peut avoir un orgasme si on s’y prend bien.
– Si les filles laissaient tomber toutes les autres formes de copulation, y aurait-il moins d’humains sur Terre ?
– Oui, moins de ressources seraient gâchées chaque jour, et la qualité de vie de notre espèce s’en trouverait probablement améliorée. Certains veulent déjà chercher une planète habitable dans l’espace, alors qu’il n’est pas nécessaire de regarder vers le ciel, mais dans nos culs, pour se rendre compte que la Terre elle-même peut redevenir vivable. Les gens doivent laisser tomber ces histoires d’énergies renouvelables ou de voyage spatial : l’avenir est là. Un avenir fait d’espoir et de sexe anal.
– En plus d’aider à contrôler notre population en amont en diminuant la natalité, le sexe anal permet aussi d’augmenter la mortalité, c’est çà ? Je bande !
– C’est simple : les maladies existent pour une seule raison : limiter la population humaine, vu que les hommes sont à l’image de Dieu et que tout l’univers n’a de raison d’être que si on le met en perspective avec l’homme, pas vrai ?. Or, il est facile de constater qu’on peut mourir de plein de trucs : le choléra, l’hépatite, le SIDA, et même de Clostridium difficile.
– Si, comme les Pokémon, on cherche à les attraper toutes, on est soudainement heureux d’apprendre que la sodomie le permet.
– Tu imagines l’impact sur notre démographie si tout le monde s’y mettait ? C’est pour ça que tout le monde devrait participer à des orgies anales pour que les maladies infectieuses puissent égayer la courte vie du plus grand nombre.
– Si avec la publication de tout ça je ne finis pas par me faire canoniser, je n’ai plus rien à faire dans ce monde…
– Divers messieurs qui, bien qu’hétérosexuels, aiment l’idée que leur copine puisse enfiler un gros phallus avant des se les enfiler eux-mêmes. Si la plupart des couples hétéros se refusent à essayer un truc pareil, je peux t’assurer que certains essayent. Une fois, j’ai parlé avec un type qui assumait complètement sa sexualité et m’a avoué qu’il aimait les orgasmes prostatiques. Je crois sincèrement que la domination sexuelle et le masochisme peuvent être à la fois amusants et gratifiants, pour peu que des conditions adéquates soient réunies. Du coup, je pense qu’il n’y a aucun problème à ce qu’un être humain puisse introduire un godemiché exagérément gros à l’intérieur d’un autre être humain consentant. Hommes, femmes, enfants : depuis la nuit des temps, tous ont pris part à ce rite millénaire qu’est la sodomie.
– Les Grecs ! Et pourtant, ça philosophait dur… Et par dur, j’entends beaucoup. J’ai peut-être mal choisi mes mots.
– Autant est-il que la pédérastie a longtemps été une pratique socialement acceptée, une forme d’apprentissage de la vie par le vit, de jeunes étudiants entretenant des relations érotiques avec leurs professeurs qui en échange acceptaient d’être l’équivalent antique d’un coach de vie !
– En revanche, la question de la pénétration est plus complexe et divise les cultures.
– L’art romain et grec suggère que la pénétration ne concernait que les prostituées et les esclaves. En revanche, il existe dans d’autres civilisations des témoignages qui attestent de l’existence de relations anales entre compagnons. Mais que les hommes du passé aient vraiment eu l’habitude d’insérer leurs pénis dans le derrière de leurs amis ou non, la stimulation anale semble avoir été une pratique répandue, apparue spontanément dans plusieurs cultures pourtant éloignées géographiquement ou temporellement.
– Il est donc alors tout à fait légitime de se demander si, sans la sodomie, la démocratie, le langage, le sport ou la science auraient vu le jour…
– Rendons-nous à l’évidence : il existe ce que je n’hésiterais pas à appeler une SYNERGIE ANALE TRANSCENDANTALE !!! Tant que j’y pense, j’aimerais par ton interview qui sera publié dans ton site-web, m’adresser aux hommes qui m’envoient des messages pour me faire part des difficultés qu’ils ont à convaincre leur petite amie à essayer la sodomie : Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi faites-vous ça ? Pourquoi envoyer un mail à quelqu’un que vous ne connaissez pas pour lui raconter des choses pareilles ? Qui peut bien en avoir quelque chose à faire ? Qui ? Pourquoi ? Pourquoi ?
– Bien, c’est dans la boîte, ça sera publié. Maintenant, comme convenu, nous…
– Par derrière !