L’affaire LéaFrancis continue…
Autant mettre les pieds dans le plat tout de suite : âmes sensibles et autres thuriféraires des élans romantiques s’abstenir ! Cet article est réalisé au péril de ma vie. Ce sera peut-être mon testament avant mort subite commanditée par les Sévices Secrets Interdits Ukrainiens et Belges ! L’amour tue, l’amour coûte cher, l’amour est un poison ! C’est pourtant bien après lui que tout être humain court, et ce, dès la naissance, quand il cherche le sein de sa mère où bien plus tard, en arrangeant sa coiffure devant un miroir, avant un rencart. De peines en déboires, on en vient parfois à penser que tout serait plus simple si seulement nous n’étions pas si dépendants de cette drogue sentimentale ! Sauf qu’un être qui n’éprouve pas le besoin d’aimer ou d’être aimé, afin de ne pas devenir aussi crétin que Johnny Deep baisé par Ambert Heard (et pas le contraire), cela porte un nom… C’est un psychopathe où une tarlouze !
Comprenez (où non) qu’avec le jeu des catégories sociales forçant à la pérennité du système, que l’homme con, victime de ses pulsions sexuelles héréditaires y plonge pour y surnager de facto en pleine folie ! Certes, existent des dérives sociales telles les guerres et les compétitions sportives qu’aucun média n’analyse vraiment. Aucun organe (et pas orgasme) de presse n’a vraiment souligné à l’appui d’enquêtes et de réflexions, la crapulerie et le “déjantage foutraque” que les nouveaux Maîtres du monde, sous le label “Nouvel Ordre Mondial”, nous font subir (faux vaccins à l’appui de pandémies aussi organisées que lucratives par exemple non-limitatif)… Sauf www.GatsbyOnline.com, avec ses très (trop ?) nombreux articles “judicieusement-incorrects” publiés à l’aune des horreurs gore de plus en plus perverses fomentées par nos Gouvernements et à peine narrées sans décryptage, analyses, enquêtes, examens et recherches dans les merdias “Politiquement-corrects” en dévotion perpétuelle d’eux-mêmes !
Il faut savoir que le sésame de la presse d’opinion, est considéré par les gens des médias comme étant le sacro Saint numéro de Commission Paritaire qui, certes, permet la TVA à taux réduit et autres avantages fiscaux et postaux, mais ne constitue en rien un sésame de Droit permettant de prétendre que les Fake-News peuvent être réprimées au delà des périodes électorales… La loi du 22 décembre 2018 sur la manipulation de l’information, ne concerne que les trois mois précédant une érection-présidentielle, pour faire cesser la diffusion “d’allégations ou imputations inexactes ou trompeuses d’un fait de nature à altérer la sincérité du scrutin à venir […] diffusées de manière délibérée, artificielle ou automatisée et massive par le biais d’un service de communication au public en ligne”… En conséquence, écrire que les vaccins anti-Covid n’en sont pas, qu’ils peuvent être mortels, amener à une manipulation de l’humanité… et que compte-tenu de la corruption en Ukraine, de celle de divers hommes et femmes politiques des pays Européens, on est en droit de se poser des questions sur les dons par milliards à l’Ukraine qui semblent être un moyen pour les chefs et cheffes des Gouvernements d’obtenir des rétro-commissions de 50% sur les montants versés via des comptes off-Shores !
Les Banana’s-Panama’s-Papers par exemple non limitatif où on retrouve le nom de Volodymyr Zeelynsky et autres personnalités notamment liées aux armements en Allemagne, ne sont pas des Fake-News, pas plus que ce que j’ai publié concernant le vol de ma voiture de collection LéaFrancis qui mettaient en cause AXA et son Agent SA Jean Verheyen comme étant, si pas auteurs, complices du vol par co-organisation directe en ayant fabriqué une fausse assurance et l’avoir utilisée avec des faux numéros d’identification BCE à l’appui de fausses déclarations en Justice avec la complicité du Parquet Bruxellois qui de plus fait tout pour que l’affaire n’arrive jamais à terme y compris par la disparition des dossiers “papiers” et “informatiques” durant deux ans !!!! Incroyablement vrai. Le Président de la Cour de Cassation Belge à qui plainte a été déposée à retrouvé les dossiers concernant le vol de ma LéaFrancis auprès de chez le Procureur Marc Meilleur qui “Parquetement vôtre” avait accepté la fausse assurance et les faux numéros BCE…
Pour démontrer la gravité des faits, le procureur Bruxellois Pascal Tielle m’a avoué par écrit que sa hiérarchie lui avait demandé de réaliser un réquisitoire à charge contre moi alors qu’il ne connaissait rien à l’affaire, et qu’en conséquence il avait raconté n’importe quoi… De plus la Juge d’instruction Laurence Heusghem a refusé d’enquêter sur un enregistrement des responsables du vol où l’organisateur demandait de m’indemniser pour en finir… La Chambre d’instruction s’est ensuite soi-disant trompée dans les qualifications… et le ministre de la Justice Belge et surtout le Premier ministre n’ont jamais voulu répondre à aucun de mes 12 courriels dénonciateurs des faits ! Les voir congratuler Miss Ursula Von Der Leylen et Volodymyr Zeelynsky au nom des citoyens et citoyennes de l’Europe et louer l’angélisme américain en oubliant toutes les guerres qu’ils créent, laisse pantois ! En tant que Citoyen Français, victime de toutes ces saloperies Belges, j’ai demandé à un cabinet d’avocat Français de déposer plainte contre la Belgique, mais l’avis du Procureur Général ayant pris langue avec “les Belges” à répondu que cela allait créer un incident diplomatique aussi pire que si la France attaquait la Belgique en pleine crise en Ukraine !!! “Vous devriez déposer cette affaire au Canard Enchainé, à Marianne, au Point, à Paris-Match où mieux à Elise Lucet pour Cash Investigation”…
Sur fond d’été torride, d’érotisme politique hardcore quoique has been, de culs sublimés et de partouzes sans limites, diverses épopées féroces se croisent avec deux dénominateurs commun les bagnoles et le sexe sous toutes ses formes : classiques, tendancieuses, libidineuses, pornographiques, débiles, mutantes, etc… Dénominateur commun basique, les bagnoles qui déjantent, d’un côté quelques-uns/unes qui décident de s’adonner, façon American Pie à une mémorable orgie dans une cabane isolée au fond des bois ; de l’autre, une horde de perver(e)s dégénéré(e)s vivant dans leur Palais (de Justice) et non pas dans un container rouillé au bord d’une décharge pourrie… Toutes qui littéralement font culbuter et massacrer les “ceusses” qui passent à vue de tir… Ma description un rien poétique et expérimentale versus destructeurs/trices im-mondes, voilà, le funeste et fort décor grindhouse est planté. En mêlant, à la bétonneuse livresque cradingue, l’or, l’argent, les diamants, le pouvoir, le sexe, l’horreur et l’humour noir, foin de toute limite et hors de toutes bornes, j’assume la jouissive écriture de la dualité freudienne entre Eros et Thanatos de ce qu’est le monde en réalité : un jeu de dupes dirigé par des pervers !
Sur le modèle explicite d’une parodie de film d’horreur hilarante reprenant les clichés du genre pour mieux les détourner, je m’empare des canons fondateurs de toute histoire d’horreur aux pays des nouveaux tarés (si vous pensez évidemment à Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper vous l’avez fausse dans le fion, mais tout actuellement dans le nouvel empire du slasher gore qu’est l’Ukraine), pour commenter la décadence généralisée sur fond de poncifs éculés ! Vous devez avoir un pot-de-chambre à portée de main afin de le remplir à ras-bord des vomis de merdes rasoirs que vous allez dégueuler, car les beaux costumes politiquement-corrects de nos pontifes et présentateurs et présentatrices TV aux dentitions époustouflantes ne valent pas la réalité des crasseuses chemises des pro-nazis d’Azoz affublés de casquettes élimées vissées sur l’occiput (pour ne pas dire l’os qui pue) au surplomb de chicots bien destroy toutes et tous à l’instar du vit en rut “bons messieurs, bonnes dames” ultra-violent(e)s et amateurs/amatrices de tortures en tous genres : of course !
Sans vouloir déflorer mon inventivité narrative et délirante qui repose avec maestria sur une plume trempée dans moultes sécrétions et excrétions, disons que mon lectorat découvre en mes incessants et incroyables écrits nanardeurs-poisseux, divers articles olfactifs et visuels aux confins pestilentiels de la cave muséale macabre de nos humains consanguins aux esprits gorgés d’intenses gorges profondes, de pénétrations compulsionnelles diverses et variées (parfois avariées), de viols tous azimuts (dont certains à l’aide d’outils), de sodomies hénaurmes (osera-t-on citer le désormais anthologique perforage d’anus au gode-perceuse réinventé par les brigades Azoff Ukrainiennes pro-nazies?), du bondage forcené, de la castration artisanale à la baïonnette, des élans d’amoures aussi incestueux que nécrophiles, des émasculations lors de chasses zoophiliques ouvertes frénétiquement envers les ours Russes, qui ont finit par être excédés (tardivement) des saloperies et crapuleries qu’on leur fait…
A l’enseigne du désir basique de l’extermination des autres non empreint de l’aura magique civilisationnel de la race blanche dominante au nom du dieu amour pourtant crucifié, l’hémoglobine et la cyprine coulent donc à flots en Ukraine, les trucidé(s)s devant agoniser dans la repentance. Rien d’étonnant dans la mouvance de l’extermination des populations mécontentes d’être conquises, pillées et colonisées, quand l’on sait que céans, au nom de l’Amour de Jésus, les attributs virils des “sous-hommes” rendus esclaves, se découpaient au couteau de chasse, ces pratiques civilationnelles barbares qui mettent à bas sans état d’âme, l’ensemble des codifications moralo-sociales-chrétiennes régissant nos communautés assassines. En ce nouveau monde farcesque-cauchemardesque, le naturel bestial autodestructeur, chassé par l’oppressive culture WASP (White Anglo-Saxon Protestant est un terme sociologique désignant les Américains blancs protestants appartenant à l’élite de la nation américaine), revient bien au galop et traque sans pitié aucune le moindre rudiment de représentation consciente et rationnelle. Voilà tracé le portrait à l’huile de vidange, de l’occidental dégénéré s’engageant à l’aide de l’Ukraine née d’un coup d’Etat néo-nazi en 2014 financé par l’Amérique et l’Europe par milliards d’euros et dollars ristournés à leurs bienfaiteurs et bienfaitrices via des comptes off-shore façon Banana-Panama-Papers à 50% en rétro-commissions aux généreux donateurs et généreuses donatrices !
Aujourd’hui rangé des voitures (expression en argot utilisée à partir de la moitié du XIXe siècle qui s’emploie pour une personne qui adopte un style de vie différent), je vis retiré à Saint-Tropez depuis presqu’une décennie et, en cette année 2022, subissant depuis le 1er juillet la grande invasion des touristes barbares, j’ai été invité pour décompresser, par Gérard de Hautefeuille, l’un des grands noms de la haute cuisine Saint-Tropézienne, qui m’a dit qu’il me fallait arrêter avec les goûts brouillés et sucrés des plats d’avant garde, qui sont une succession d’amuse bouche où rien n’est identifiable, ni la texture, ni la fraîcheur, ni la saveur originelle du produit. Voulant montrer tout et son contraire sous la foi du renouveau, il a organisé un dîner pré-payé/sponsorisé par une célèbre maison de Champagne, en présence de plusieurs personnalités de l’univers de la table, dont Frigibert de l’Estaillet, ancien haut fonctionnaire, directeur de la Télévision publique du Loir et Cher durant la transition démocratique et actuel président de l’Académie de la nouvelle gastronomie du Var.
Le repas était composé de 38 plats, en réalité une suite d’amuse-bouche servis dans de grosses cuillères ou des ramequins. Pour honorer ses invités, Gérard de Hautefeuille avait préparé une sélection de mollusques à son bastringue de “la Ponche”, la petite hanse (toujours infestée de méduses) en surplomb de laquelle se dresse son restaurant éphémère. Des espèces rares que ces mollusques, que l’on demande en général aux enfants de ne pas toucher de crainte d’empoisonnement violent. Parmi les mets les plus insolites nous servis avec raffinement, une gélatine de “méduses de la Ponche” aux câpres sur fond de raviolis d’anémones de mer à la cervelle de lapin, un flan d’olothuries (des limaces, dite concombres de mer) aux œufs de merlu et des tagliatelles de laitue de mer à l’infusion de salicorne.
Des 38 préparations, seules huit ne purent, malgré toute ma bonne volonté, être avalées ; quatre me laissèrent un souvenir délicieux et les 26 autres m’inspirèrent un dégoût relatif, ce qui ne fut pas le cas de certains convives, en extase absolue, notamment le baron Hubert de Valencreuze, flatté par cette forme de suprématie de la cuisine Tropézienne comparée à celle de Valenciennes (Nord) où il sévit. Le plus frustrant pour moi (et d’autres qui m’ont demandé de ne pas les citer) fut de n’avoir jamais à me servir de mes dents pour ces plats, car tout devait se lécher, se sucer ou s’aspirer. Chacun/chacune devait déglutir les maxillaires en berne.
Le plus triste concernait les vins. De prestigieux flacons de champagne furent servis ce soir-là. Pour rien car le contenu de l’assiette agressant, voire annihilant, celui du nectar nébuleux, puisque l’accord-vineux n’intéressait pas le Maître des lieux, on n’a donc pas vu l’utilité d’une cave aussi somptueuse que celle qu’il affiche sur sa carte gastronomique. Aussi, les sommeliers de ce laboratoire gustatif de luxe faisaient-ils penser à des marchands de tableaux dans un centre de non voyants. Et pourtant, ça tournait. Les suceurs de gelée pouvaient-ils vivre sans ? Voici un exemple de plats signés Gérard de Hautefeuille. Ingrédients : 1000g d’eau, 250g de base de croquette sans farine, 5g de E400 (alginate), 6g de E578 (gluconate de calcium), 6g de E 327 (lactate de calcium), 0,8g de E 415 (xanthane). La formule de préparation sera bientôt disponible sur www.GatsbyOnline.com, en réciprocité commerciale d’infos.
J’hésite toutefois à publier celles-ci concernant la gamme complète de produits chimiques gélifiants, sphérisants, émulsifiants ou épaississants à l’étiquette du baron Hubert de Valencreuze ! Chacun d’eux était destiné à la réalisation d’une recette présentée en vidéo sur les réseaux asociaux ! Une approche particulière de ce que l’on a franchement du mal à appeler cuisine. Une fois que les dégâts sur la profession culinaire et le patrimoine alimentaire auront été inventoriés, une lourde responsabilité pèsera, non sur l’école moléculaire, qui a parfaitement le droit d’exister, mais sur le guide Michelin, qui fait croire à la terre entière, par ses étoiles de prestige, que cette mascarade relève de la restauration gastronomique.
Je passe à d’autres “jouitiveries” ! Les femmes, qu’il s’agisse de vos vioques ou de vos nanas, sont toutes les mêmes. Vos affaires, elles s’en tamponnent la coquille. Ce qui importe pour elles, ce sont leurs petites couenneries. Pour les jeunes, c’est le nouveau hâle solaire ; pour les vioques, les dernières laines de la Redoute ! On n’y peut rien, c’est le genre humain qui est ainsi. Si vous avez des réclamations à formuler, prière de les adresser sur carte postale à M. le Créateur dans le secteur Azur. C’est curieux, qu’on puisse comprendre que les hommes sont les mêmes partouze et définitivement ! Les frontières, elles ne figurent en réalité que dans nos âmes… Sur les atlas de géographie c’est juste un gros bidon pour compliquer… Le monde est plein de gens impressionnables, tous prêts à filer leurs contemporains dans la mouscaille, pour trente deniers ou une mandale bien appliquée… Pas seulement des faibles, mais des salauds… Surtout croyez pas que je sois sceptique. Au contraire, je suis comme qui dirait un anti-sceptique… Mais j’ai le sens du positif. Si vous croyez que je vous bourre le mou avec un appareil à cacheter les bouteilles d’eau minérale, comptez sur vos dix malheureux doigts le nombre d’amis sûrs que vous possédez…
Des amis vrais, de ceux qui sont capables de vous emprunter dix sacs sans changer de trottoir après et sans clamer partout qu’il n’y a aucune différence entre vous et une poubelle de quartier pauvre ! Vous verrez que vous aurez du rab sur vos dix doigts. Il vous en restera de disponibles que vous pourrez vous introduire dans le nez, ou ailleurs, suivant vos préférences ! J’en ai mal au cul. Souvent la bêtise des gerces me porte au bocal. Je me sens frémir de la coiffe dans ces cas-là ! Le plus dramatique, c’est qu’ayant des mœurs orthodoxes je suis obligé d’en passer par elles. Je me déguise en crème d’andouille toutes les fois que je le peux, c’est-à-dire très souvent. Le grand jeu, les mignardises, les grandes envolées de voix et les prouesses du slip, oui, tout ça et le reste je le regrette lorsque je me retrouve près d’une bergère comme July de Meschoses-en-Salade ! Bien que je suis face à la mer, aucune brise ne me parvient du large. La mer est inerte. Des touristes harassés passent en traînant péniblement leurs ombres… Il n’y a plus de guitariste pour animer. Je pense que le gratteur de jambon s’est emmené en villégiature tandis que je fais mon rodéo dans le quartier maudit. L’établissement (si je peux employer un terme aussi pompeux pour qualifier le bouge), se vide. Je respire un grand coup avant de replonger. Ça me fait une vilaine impression, comme si je descendais dans un égout. Et au fond, sans vouloir bomber dans la littérature, l’image convient.
J’évite soigneusement la populace et je vais m’enquiquiner dans un des fameux dancing Tropéziens. C’est un truc peint en bleu, avec des lampes versicolores autour de la lourde. Pour l’instant, elles sont éteintes évidemment. Je file un coup de périscope autour de moi. La même faune lamentable, craspecte et débraillée, roule sa misère sur les trottoirs étroits. Personne ne prête attention à moi… Personne du reste ne prête attention à personne. Ici les gens vivent leur vie comme ils peuvent. Ils sont attelés à leur destin comme des bourricots à leurs voiturettes… Hue ! Et c’est l’existence qui fouette !,La nuit est constellée d’étoiles repeintes à neuf. Il fait doux et calme… Les gens se baguenaudent en cherchant on ne sait quoi avec une obstination qui est l’obstination même de la vie. Je les considère avec tristesse et même, charriez pas : pitié ! C’est moi qu’on emmène au grand ramonage, et c’est eux qui me paraissent précaires. Ils vont, pareils à des fourmis effrayées, se cognant contre des murs ou contre eux-mêmes, avec une espèce de bonne volonté pitoyable… Je regarde l’infini en grande sérénité, me confiant au charme alambiqué d’une méditation qui passerait pour philosophique
J’évoque le cosmos, grouillant d’étoiles et de planètes si vertigineusement grosses que, comparée à elles, la Terre n’est qu’une orange. Et ces mondes monstrueux sont atrocement vides. Des espaces infinis (pense à ce mot, essaie de lui donner une signification) où s’accomplit la valse du néant ne recèlent aucune vie. Ils sont pétrifiés et nous, blottis sur cette boule de billard qui tourne dans la ronde, sommes perdus, élus, punis de vie ! On fait pousser des fleurs et des tours Eiffel. On peint la Joconde. On chope le Covid et plus le Sida. On aime, on meurt, on rit, on boit du Château Pétrus. On s’encule, on s’atomise, se décore. On devient Gaston Dunœud ou Victor Hugo. On va vérifier que la Lune est bien déserte. On croise Dieu, on découvre l’Amérique, le four à micro-ondes, le couteau Opinel, le théorème de Pythagore, la pénicilline. On bâtit les Pyramides, le pont de Brooklyn, des châteaux en Espagne.
On fait des guerres, et puis des guerres et encore d’autres guerres, sans réfléchir qu’on est désespérément seuls et que tuer un vivant équivaut à se tuer soi-même. On oublie ce formidable, cet INCONCEVABLE environnement de cailloux au centre duquel nous dérivons, pauvres naufragés élus. Nous dérivons à corps complètement perdus en enculant le cosmos et ses minéraux. Ils n’ont donc pas eu droit au bon Dieu, là-haut ? Quand les bonnes gens s’imaginent que le ciel est dans les nues, m’est avis qu’ils se plantent la bite dans l’œil ! Là-haut, je te le ressasse, y a que des roches et pas d’air, pas d’eau. C’est assez lugubre comme chanson d’adieu. Le décor convient bien à une prise de congé définitive. Quand on voit ça, on a envie de faire sa valoche.
Dans ma sortie en boite, je tombe en émotion érectile sur une beauté suave, une plante carnivore, une succube qui porte une robe rouge sang, à manches gigot noires, agrémentée d’une broche aussi grosse qu’un projecteur, mais beaucoup plus lumineuse. La dame a sacrifié sa chevelure de jument poulinière pour suivre cette mode ridicule qu’un glandu de coiffeur a inventée à l’intention de connasses qui n’hésitent pas à pratiquer l’automutilation afin de se rendre (croient-elles) intéressantes. La nuque rasée est surmontée de tifs teints dans une couleur différente ; en l’occurrence, les cheveux rasibus du bas sont jaunes alors que sont bleus ceux du haut. L’ensemble pourrait donner à d’autres femelles, l’aspect d’un travelo germanique, participant au carnaval des saucisses de Francfort. Elle produit un maquillage en parfaite harmonie avec les extravagances que je viens de mentionner, à savoir que son fond de teint est d’un blafard crayeux, ses cils et sourcils d’un noir profond, et sa bouche surchargée de rouge est typique des Ukrainiennes qui squattent BFMTIVI toutes les nuits pour radoter des Poutineries obscènes !
Ce n’est pas une entrée, c’est une apparition ! Il faut avoir essuyé un choc de cette force pour savoir si l’on est apte ou non à s’engager à épouser Madonna où à s’engager dans les milices pro-nazies de Volodymyr Zeelynsky ! Elle dégage, surtout quand elle est en mouvement, une odeur de boucherie patriotique guerrière et d’œillets en décomposition avancée. Je manque défaillir ! J’ai l’impression de partir en voyage dans le Donbass ! Le monde pourrissant d’Ukraine arrivant à Saint-Tropez pour faire de la retape ! Voilà l’image par laquelle je traduis ma sensation… Ça pue le pourri, le moisi, l’aigre, le rance… Ça pue tout court ! C’est le voyage au bout de la nuit à Kiev ! Une érection sournoise me trahit, mais soudain, j’entends, en provenance de l’autre côté de la salle, un rire cristallin qui me fait frémir la peau des testicules. Je me tire-bouchonne sur mon siège pour sonder les peuplades rassemblées en ce lieu de luxure !
Je sursaille et pose un regard sur une autre plante vénéneuse qui surgit ! Les deux plantes (la carnivore et la vénéneuse) se fourrent dans les bras l’une de l’autre pour de sauvages effusions mêlées de larmes, de morve et de salive, ainsi qu’il sied à des gens que la vie a longtemps séparés.
Attirée par cette liesse farouche, une troisième femelle paraît à son tour, blafarde et rouquinante, avec un œil qui n’est jamais parvenu à se réconcilier avec l’autre. Elle a d’exquises verrues groupées en essaim au menton, un ventre qui sert d’emballage cadeau à l’un des plus splendides fibromes qu’il me fût donné d’admirer et des jambes marbrées de bleu genre lapis-lazuli. Elle pare au plus pressé en éclatant en sanglots longs comme les violons de l’automne.
Nouvelles étreintes, embrassades farouches, plaintes inarticulées, plaintes articulées, geignardises, hoquets sur plancher, sécrétions polyorificielles, début de hurlements, gémissements pré-orgasmiques, cris de pleureuses, cornes de brume, couinements évoquant ceux qui ponctuent une descente de cercueil, et puis gloussements de bonheur, clapotis d’orgasmes, et mugissements libérateurs. Un récital ! Quelques instants s’écoulent et elle laisse filer un vent long et modulé qui fait penser à l’appel du caribou en gésine dans le Grand Nord canadien !
J’écoute cette émission intestine en agrandissant de la main le pavillon de mon oreille.
— Pas mal, hein ? demande-t-elle en exagérant sa modestie.
— Superbe, la flatté-je.
— Un soir de haricot de mouton j’ai battu tous les records avec une note coulée qui a duré trente secondes. C’était à un congrès médical, à Londres : les participants se sont levés pour m’ovationner et le prince d’Edimbourg qui présidait le repas a tenu à me féliciter, m’assurant que même son épouse, très portée sur les flatuosités, en privé, ne m’arrivait pas à la cheville.
— Vous devriez écrire vos souvenirs, conseillé-je.
— J’y songe. J’ai déjà le titre : « Contre vents et marées » ; qu’en pensez-vous ?
— Je l’affûterais, conseillé-je. Que diriez-vous par exemple de « Contre vents et diarrhées » ? Ce serait plus porteur.
— Magnifique ! Ne sentez-vous pas la nécessité d’un sous-titre ?
— Peut-être.
— Vous avez une idée à me souffler ?
— La voix d’en bas du Donbass ?
— Mais vous êtes tout bonnement génial, mon cher ami. Vous pensez écrire un jour ?
— Qui sait ? imperturbé-je.
La nuit tombe. Loin, en bas, des bateaux rentrent à leur mouillage, traînant des triangles de remous argentés. Le ciel immense est boursouflé. Il malaxe des cumulus gris. Çà et là, se produisent des déchirures à travers lesquelles on voit du rose. La lune dessinée en blanc, sans luminosité, attend son heure. Je lui adresse un signe de ma main posée sur le volant : elle feint de ne pas le voir et imperturbe. Salope ! Si proche de nous et déserte. Toute cette hantise qui m’assaille depuis quelque temps, qui tourne au leitmotiv : nous autres seuls sur un ballon lancé dans la gravitation universelle, seuls, à nous entre-faire chier. Le jour où Le Grand va lâcher la ficelle et qu’on ira valdinguer dans les cosmos gigognes, on aura bonne mine. Note qu’on y est déjà au fond de tout puisque ce TOUT n’a pas de fin, pas de fond. On se mêle à la valse des astres morts, d’une monstrueuse inconcevabilité. Et le petit monde bleu avec ses cinq continents, happé par la gravitation générale. “Beau Danubleu d’Ukraine”, toujours… La pauvre Terre mignarde dans ses atmosphères ; uniquement minérale, au départ, mais riche de son oxygène. Balle-peau, pour décarrer, c’est le désert comme ailleurs.
Et puis ce miracle : la vie (en anglais, the life). De la grosse boule minérale comme les copines, sourd ce miracle extravagant : papa, maman, le diplodocus, la Ferrari, la canne à pêche en bambou refendu, le cancrelat, le chien, le coq de combat, le mouton de pré-salé, Pasteur, moi, Gengis Khan, la capote anglaise, le coup du père François, la fellation, la fusée Ariane, le Centre Pompidou, la main de ma sœur, la Joconde, les Pyramides, la tête de veau vinaigrette, la guerre en Ukraine, le cuirassé Potemkine, les Petites filles modèles, le château d’Yquem, le chat de ma voisine, sa chatte, les moustaches de Staline, celles de Salvador Dali, la terre de Feu, le feu follet, Jacques Attali, l’Empire State Building, le morpion savant, le café Grand-Mère, la clé du champ de tir, le Tampax à musique, le Dernier des Mohicans, la douane, Vivaldi, Al Capone, ma bite, la tienne, la pierre philosophale, le flan caramel, le Carmel, le point de mire, la saignée du bras, les parcs à huître, la valse à deux temps, le mouvement perpétuel, Venise, le Grand Prix de Monaco, le nœud et le trombone à coulisse, les coulisses de théâtre, Libé, les étrons de Sa Majesté Elisabeth number two, la Chaussée d’Antin, celle des Géants, le pot aux roses, la Cour de la Grande Catherine, la mort dans l’âme, l’impôt sur le revenu, les loups dans la bergerie, la conscience pour soi, le ticket modérateur, le jeton de présence, le cahier d’absence, la culotte mouillée, le prix du veau, la fortune du pot, Ravaillac (qui sans Henri IV serait demeuré totalement inconnu), le gratin de cardons, le volubilis, le Chant des Partisans, le…
Sur l’arrière du motel, ça fait un peu lande, entre la construction et le bois où mourut Proute l’Arsouille. J’adore les bois, les forêts, les bocages. Là est le départ du monde. Là, on retrouve la Terre avant la venue de ce con sublime qui s’appelle l’homme. L’odeur de lent pourrissement, les remugles de sépulcres frais me chavirent. Devant les clapiers, plusieurs misérables transats de toile décolorée. Des dames y prennent le soleil. Les plus vieilles tricotent en jacassant d’un bungalow à l’autre. Une vachasse bourreletteuse offre ses cuisses bleues aux rayons de l’astre du jour, comme disaient les Romantiques du siècle dernier, qui ne chiaient pas la honte. La dame la mieux du lot, une châtaine-blonde avec de grosses lunettes noires, lit un bouquin de Stephen King qui doit peser 3 kilos 600. Je coule un regard à la fois con, cul et pissant sur la vacancière que j’allusionne. J’apprécie son soutif noir, son short blanc, ses longues cuisses ambrées, ses ongles de pieds vernissés carmin. M’attarde sur ses genouxes bien ronds. La personne doit envisager la quarantaine sans trop paniquer. Le genre de gerce capable de tenir le premier rôle féminin dans “Le bidet en folie”. D’emblée, je me dis qu’il doit être plus joyce de l’escalader que la Roche de Solutré… mais au moment de traverser le hall, je sens quelque chose qui tente d’explorer mon trou du cul. Une prompte volte d’orthodoxe m’apprend que c’est un saint-bernard qui s’intéresse de cette manière appuyée à mes orifices naturels.
Une voix féminine exclame :
— Castor ! Veux-tu !
Je découvre, par-delà le chien, une femme si tellement ravissante de partout que, d’instinct, je cherche mes lunettes de soleil pour amortir les dégâts oculaires qui pourraient y consécuter. Une beauté éphémère d’environ trente-cinq balais, brune, bronzée, avec des yeux d’or, des seins fabules accrochés à l’endroit où ils font le plus d’effet, des hanches à te couper l’envie d’aller visiter le Louvre, des jambes longues au modelé poustoufleur, le tout enveloppé dans une toilette paille et saumon qu’elle n’a pas dû acheter sur catalogue. Son rouge à lèvres ocré renforce le dessin d’une bouche qui m’inciterait à…
C’est de l’électricité pur fruit qui me picouille le corps, depuis le haut jusqu’au bas, avec arrêt prolongé à la station Mayburnes. Je referme des bras pieuvresques sur cet être palpitant, si doux, si chaud, baisotte sa nuque, frotte mon tarbouif contre ses oreilles, la respire à fond, trique comme la culée d’un pont, salive, m’humidifie, râle d’amour, tout ça crescendo, comme disent les Italiens. Dans la frénésie la plus complète. Elle en gémit de too much, roucoule blanche colombe, émet de minuscules plaintes qui m’égosillent la passion.
En moi, il y a combat entre mon cher ange gardien, toujours prêt à faire du zèle, et mon démon perditeur. Lequel va l’emporter ? Saigneur ! Faites que ce ne soit pas l’ange, mais le diablotin pousse-au-cul ! Le dur, c’est de procéder à mon décarpillage sans laisser baisser la pression. Mais le rut rend ingénieux. Tout en m’employant de la droite, je consacre mes autres doigts et ma bouche à son service entretien. Le Saigneur est clément : Oh ! Ce ne sont pas les Champs-Elysées, ni même la rue Royale, mais le plus ardu a été fait. Deux heures ! Plus : deux heures dix ! Avec des plages de concentration, œuf corse, des périodes de mignotage languissantes. On laisse souffler nos émois. On se recharge le sensoriel. Elle soupire des mots d’amour, les roucoule tourterelle. Moi, je dérive dans une douce songerie. J’essaie de faire bon ménage avec mes souvenirs capiteux. Ils se pressent au portillon de ma mémoire. J’ai aimé tant et tant de gentes femelles que je croyais différentes, mais c’était en vérité toujours la même : la femme ! Souveraine, mouvante, emportante. Hôtesse du septième ciel qui te chatoie la bite sous des traits différents, mais reste identique sempiternellement, qu’elle soit vioque ou jeunâbre, tartouze ou bioutifoule, salingue ou réservée, dévorante ou bêcheuse.
La prouesse dépasse celle des flotteurs de bois canadiens qui te livrent une forêt abattue comme ton épicier des rouleaux de papier-cul. La dame-donzelle émet un cri en forme de gémissement. Y a de la souffrance dans son panard. C’est un chant d’agonie. Ça remonte les âges. Ensuite, privée de sa substance, elle glisse du lit et choit sur le plancher, au risque de s’enfoncer des échardes dans les meules.
Je l’entends qui balbutie :
— C’est trop !
Quoi de plus sublime, des instants de cette intensité, de cette qualité, faudrait pouvoir les garder intacts ; en faire des confitures pour l’hiver.
Et moi, dadais d’homme, de lui susurrer :
— C’était bon ?
On peut pas s’en empêcher, nous tous, les matous, on se prend pour des démiurges, on espère des lancers d’encensoir, les grandes orgues de la cathédrale.
Elle me délivre le satisfecit que j’attends :
— Merveilleux.
Elle se comporte très bien. Ne crois pas qu’elle sursaute, bondisse, croasse. Non, juste elle soupire, sans abandonner sa voix languissante :
— Que vous dire, grand fou ?
S’il y a une qualification que j’abomine, c’est bien celle-ci. “Grand fou !”… C’est indigne d’elle.
Après l’Amour on cause toujours de tout et rien à défaut de dormir et, intrigué par quelques photos d’une LéaFrancis sur son bureau j’en suis venu à lui causer du vol de mon Ace Of Spades d’il y a plus de dix ans. M’est avis que Madame a prémédité son coup envers ma modeste personne qui est tombée dans le piège de l’amour… Je découvre qu’elle cachait un autre trésor sous ses dessous, une LéaFrancis Ace Of Spades en épave en cours de reconstruction laissant plus qu’à penser en un joyeux cafouillage mélangeant genre et transgenre. J’avais, peu après le vol, suspecté que ma LéaFrancis volée serve de pièces pour la reconstruction d’une autre qui se trouvait chez son constructeur Barrie Price, qui cherchait des pièces pour combler ses manques ! J’ai donc subodoré que la partie sexe n’était qu’une entrée en matière… Personne n’en connaitra davantage car alors que j’envoyais un message assez croustillant aux autorités judiciaires Belges, la voiture va de nouveau disparaitre… Devinez où ! En Pologne à un jet de pierre de l’Ukraine !!! Etrange affaire…
Lea-Francis est l’une des plus anciennes marques de voitures au monde et pourtant elle est presque inconnue. L’histoire de la marque est assez excitante et s’étend avec des interruptions jusqu’à l’année 1998. Tout a commencé avec une usine de vélos des entrepreneurs Richard Henry Lea et Graham Francis en 1895 à Coventry. À partir de 1903, la société LéaFrancis a également produit des automobiles, en 1911, la gamme a été élargie pour inclure des motos en sus des véhicules Singer sous licence. Trois ans plus tard, ils se sont associés à Vulcan pour partager le réseau de concessionnaires et les installations de fabrication afin d’économiser de l’argent. Vulcan produisait les carrosseries, tandis que Lea-Francis produisait les transmissions et la direction. Lorsque Vulcan a cessé la production automobile en 1928, la coopération a pris fin. À cette époque, Léa-Francis s’était déjà forgé une image sportive. Cela était dû, entre autres, à la S-Type-Hyper, la première voiture de production britannique avec un moteur suralimenté.
Avec l’Hyper,Lea-Francis a remporté l’Ulster TT en Irlande du Nord en 1928 devant plus de 250.000 spectateurs. Ce succès allait être converti en bons chiffres de vente. En 1937, George Leek a repris la direction de l’usine et a rendu la gamme de modèles encore plus sportive et plus luxueuse. Avec le début de la Seconde Guerre mondiale, l’entreprise passe à la production d’armements. Ce n’est qu’en 1946 qu’elle a continué avec des voitures d’avant-guerre légèrement modifiées. De nouveaux modèles ne sont apparus que quatre ans plus tard. Grâce à une coopération avec Connaught Engineering, leurs châssis prêts à conduire des 14 HP Sports ont été convertis en voitures de sport L2 et L3. Après les débuts de la Lynx en 1960 en tant que roadster 2 + 2 places avec châssis tubulaire, en 1962 des problèmes financiers ont mis fin à l’aventure. À cette époque, près de 10.000 Lea-Francis avaient été créées. En raison de la caisse enregistreuse vide, la Lynx n’a pu entrer en production que par le biais de commandes prépayées. Cependant, le design semblait trop démodé à la clientèle ciblée.
14 ans, plus tard Barrie Price a acquis les droits de marque et a commencé à refabriquer des pièces de rechange et des travaux de service pour tous les véhicules LéaFrancis encore existants. Il a également travaillé sur une nouvelle voiture de sport propulsée par un moteur Jaguar qui a fait ses débuts en 1980 sous le nom de Ace of Spades. Au-dessus d’un châssis en aluminium se trouvait une carrosserie en aluminium, disponible en configuration Coupé 2 places ou en Roadster deux places. Au total, seulement six exemplaires ont été produits en dix ans, dont le dernier, un Roadster n’a jamais été achevé et est restée en possession de Barrie Price, même lorsqu’il a vendu la marque incluant tous les droits en 2019. Ce Roadster Lea-Francis Ace of Spades châssis #5506 est resté inachevé dans un garage en Grande-Bretagne de 1990 à récemment. A un moment, après le vol de ma LéaFrancis Ace Of Spades Coupé on a supposé que Barrie Price y était pour quelque-chose afin de disposer de pièces pour terminer son Roadster mal peint en bleu.
Barrie Price, n’était pour rien dans le vol de ma LéaFrancis, la sienne est restée à pourrir lentement. Atteignant 90 ans il a mis son Roadster en vente en joignant divers documents attestant que c’était la cinquième LéaFrancis d’une série de 5. Elle a été vendue en Pologne à flanc de frontière avec l’Ukraine.
Des 5 LéaFrancis construites, ne restent que le Roadster bleu de cet article qui nécessite un important travail, un autre Roadster beige-or qui survit en Angleterre et ma LéaFrancis Coupé Ace Of Spades jaune paille volée il y a plus de dix ans et que certains m’affirment qu’elle serait à Tel-Aviv en attente que le temps passe…