Le Design Russe à l’assaut du monde
Malgré les bombes tombant sur l’Ukraine et la Russie, des designers des deux pays déchiré par ce qui ne devait être qu’une “Opération Spéciale” et qui devient une guerre qui risque de devenir mondiale, exposent leurs œuvres pour défendre leurs patrimoines culturels respectifs saccagés par leurs armées qui pilonnent musées, théâtres et galeries d’art en même temps que toutes les infrastructures… Ce n’est officiellement pas une guerre entre l’Ukraine et la Russie où inversément, mais quoiqu’on puisse l’appeler, cela concerne le monde entier dans la vision impérialiste Américaine d’une domination planétaire.
Celle-ci a débuté avec le génocide des Amérindiens (Les Amériques) et des Aborigènes (l’Australie) et des peuples d’Afrique. C’est civilisationnel, c’est humain dans l’inhumain que nous sommes, dans le sens ou nous sommes des prédateurs… Donc les Ukrainiens et les Russes vont exposer chez qui veut d’eux… Beaucoup de putes de chaque peuplade ne sont pas en reste pour vendre leurs corps, des orgasmes ET aussi des organes de substitution, tout se vend car tout s’achète… Le monde n’est qu’un vaste bordel ou le consumérisme est roi et nous sommes esclaves soumis…
Par exemple, lors de la relance des magazines “papier” Chromes&Flammes puis GatsbyMagazine, imprimés Cocorico en France, je me suis fait démarcher par des imprimeurs d’ailleurs, dont à Vilnius en Lituanie. C’est l’Union Européenne au dessus géographique de la Biélorussie et de l’Ukraine, cote à cote avec la Russie et avec le chemin d’accès à l’enclave Russe de la Baltique… Imprimer mes magazines y revenait 3 X moins cher qu’en France et se réalisait sur du matériel ultra moderne télécommandé en pré-press via le web… De plus, c’était livré sans supplément aux Messageries de Presse (Lyon)…
Et, les exemplaires pour les abonnés et les annonceurs m’étaient fournis à Saint-Tropez… Incroyable… L’Opération Spéciale de Poutine a tout stoppé, de plus les faux vaccins Covid ont anéanti le business en Europe… Maintenant, les dons généreux donnée à l’Ukraine en échange des retours de commissions aux donneurs (nos chefs) ont eux aussi servis aux seuls chefs Ukrainiens… Et le business s’écroule un peu partout, dont actuellement les paysans qui ne gagnent que 7.000 euros par an en moyenne et partent en guerre contre les gouvernements de tous les pays de l’Union Européenne…
Que je me souvienne… Lorsque nos gouvernements européens jouaient les faux-culs avec la Russie, (Macron en tête) le business se portait pas trop mal, gaz bon marché, ouverture du marché Russe aux produits européens, Poutine invité à Versailles (quoique humilié par Macron qui feint d’oublier que c’est Napoléon qui a débuté la guerre en Russie pour le beau cul d’une Polonaise et que la Grande Armée à été décimée par l’armée Russe ce qui a permis aux Anglais de gagner à Waterloo… L’armée Russe qui a aussi contribué à vaincre les Nazis)… Bref, les “enculades” sont “le propre” des humains…
Ce qui fait qu’on vit dans la merde… Appréciez le double sens si vous comprenez VIT dans son autre sens… Donc comme Chromes&Flammes a toujours été international et diffusé en Europe, aux USA et en Russie dans la grande épopée des années ’80 et ’90, je m’estime libre de penser et publier en tant qu’organe de presse disposant d’un numéro paritaire… Je ne suis pas qu’un numéro, je suis un homme libre… Donc j’en viens aux artistes et designers Ukrainiens et Russes qui créent des meubles, des motos et des automobiles… Minimaliste, c’est ainsi que le design Russe se réinvente… La Russie est à la mode…
L’opération spéciale envers les nazis Ukrainiens a relancé ce pays sur la scène internationale au-delà des conflits politiques et des Fake-News débitées de manière incessante après avoir occulté “RT”... Tout au long de son histoire, le design Russe a toujours été respecté et a influencé les arts du monde, de même que la littérature Russe et le cinéma Russe… Les designers Russes visent le design international avec une boom de designers émergents dont les œuvres sont d’une approche innovante et minimaliste. Par exemple, la formule fondamentale de la conception des motos a peu changé depuis les premiers jours.
Du moins lorsque les constructeurs ont découvert qu’ils pouvaient adapter les cadres tubulaires de style vélo pour accueillir les nouveaux moteurs à essence de l’époque. Même la moto électrique moyenne joue actuellement selon le même ensemble de règles de base, bien que le moteur à combustion interne soit de plus en plus remplacé par des batteries et un moteur électrique. Le prototype de moto électrique Guido est par exemple conçu par Vlad Belyakov de l’atelier Russe Box93, un fabricant de motos à Moscou, en Russie, pour envisager la façon dont les motos pourraient être conçues “autrement”.
La moto, qui est construite autour d’un cadre en aluminium fraisé complexe, a été achevée sur une période de neuf mois. Pour donner une idée du niveau d’effort nécessaire à chaque composant, la roue avant de 30 pouces a nécessité à elle seule 200 heures de temps machine, tandis que la carrosserie profilée a été minutieusement formée à la main en aluminium. Le résultat est une sculpture à deux roues, une œuvre d’art mécanique vraiment unique en son genre. À juste titre, la création a été nommée en référence à Guido Reni, le maître peintre italien de la période baroque.
La “Guido” est dotée d’un groupe motopropulseur électrique fonctionnel et est capable de se déplacer par ses propres moyens (et oui, elle peut tourner, bien que son amplitude de mouvement de direction soit limité par son ensemble avant profilé). Pourtant, il ne s’agit pas que d’une machine destinée à un usage routier c’est une œuvre d’art roulante, une expérience dans la forme et une invitation à imaginer à quoi pourrait ressembler un moyen de transport à deux roues dans les années à venir, lorsque les nouvelles technologies de fabrication seront pleinement libérées. Et que la “guerre” sera terminée…
C’est un concept provocateur exécuté avec une incroyable attention aux détails, la “Guido” est digne d’une place d’honneur dans une collection ou un musée. Qu’il s’agisse d’une écurie personnelle axée sur le passé, le présent et l’avenir des transports, ou d’un assemblage de beaux-arts, c’est à son prochain propriétaire de décider… Il en est de même avec d’autres designers Russes dont certains sont des Hot Rodders fanatiques internautes de ChromesFlammes et Gatsby et lecteurs des versions Chromes & Flammes des pays de l’Est de l’Europe et de la Russie…
Voir des Hot Rods circulant à Moscou est assez extraordinaire… L’influence de l’URSS sur la mode, le design et l’art au sens large a donc survécu à Mikhaïl Gorbatchev et survivra à Vladimir Poutine. La mort de Mikhaïl Gorbatchev a donné lieu à de nombreux portraits-hommages. L’ancien président de l’URSS, maître d’œuvre de la fin de la guerre froide, y est souvent représenté comme bonhomme et sympathique, caricature et autodérision ont participé à faire briller l’aura de bienveillance du lauréat du prix Nobel de la paix… Son portrait est même reproduit et recolorisé, métamorphosé en icône pop…
Mais, c’est à la manière d’Andy Warhol, au même rang que Marilyn, par Alexander Kosolapov, un cool factor qui n’est pas aussi innocent qu’il en a l’air. Dans la pop culture, l’esthétique soviétique fait florès: ces dernières années, on a vu apparaître nombre de vêtements inspirés de ceux des ouvriers de l’ex-bloc soviétique, ou de pièces de sportswear parées de faucilles, marteaux et autres slogans en cyrillique. Les garants de cette mode dont le succès ne se dément pas s’appellent Gosha Rubchinskiy, Ria Keburia, Yulia Yefimtchuk, leur figure de proue est le directeur artistique de la maison de couture Balenciaga.
Ce style soviétique est promu par des créateurs issus de pays qui se tenaient jadis derrière le rideau de fer. Ces derniers se déclarent autant inspirés par des souvenirs de leur propre enfance que par des sous-cultures occidentales dont l’anarcho-punk (régulièrement remis au goût du jour, comme en 1997 par Banksy et son Lénine affublé d’une crête) mouvements qui empruntent à une certaine esthétique de l’idéologie communiste “L’art appartient au peuple”… Pour Karl Marx, l’art n’était pas à prendre à la légère, il l’indique dans sa Critique de l’économie politique parue en 1859.
Le théoricien de la révolution insiste sur l’importance de l’art et son aptitude à transformer les individus et la société, évoluant avec les avancements techniques : “L’objet d’art comme tout autre produit, crée un public apte à comprendre l’art et à jouir de la beauté. La production ne produit donc pas simplement un objet pour le sujet, mais aussi un sujet pour l’objet», estime-t-il. L’artiste est donc un travailleur comme les autres, et même un peu plus: c’est un rebelle faisant fi de l’idéologie bourgeoise qui voudrait le cantonner à un rôle superficiel”.
Dans l’idéologie marxiste-léniniste, l’art est un moyen de subsistance autant que de résistance. Vladimir Ilitch Lénine va faire en sorte qu’il ne soit pas réservé aux élites mais rendu compréhensible et accessible (intellectuellement et économiquement) au plus grand nombre. Car selon lui : “l’art appartient au peuple. Ses racines doivent pénétrer, le plus largement possible, au plus profond du cœur des masses laborieuses. Il doit être compréhensible et être aimé d’elles”... C’est une ne démarche validée par le caractère universel pérenne de l’art et du design graphique russes, dont l’influence est omniprésente.
C’est dans la foulée de la révolution de 1917 que naît l’art de l’affiche de propagande russe. Gosizdat, la maison d’édition d’État créée en 1919, en produit ainsi pas moins de 3,2 millions d’exemplaires en 1920 (elle n’est pas la seule), auxquelles s’ajoutent 7,5 millions d’affiches distribuées au cours des trois années suivantes. Leur style est frappant… Est-ce la propagande qui a façonné l’art russe de l’époque, ou le contraire ? Rien d’étonnant à ce que le style imposé par le réalisme socialiste déplaise profondément aux artistes de l’avant-garde, bientôt étiquetés contre-révolutionnaires.
La fuite de ses membres les plus éminents va durablement marquer l’histoire de l’art. Découpages géométriques dynamiques, caractères en gras, police sans empattement (sans sérif): les œuvres de l’avant-garde de l’ex-bloc soviétique sont intemporelles. Elles explorent le design graphique, le collage, la photographie ou le textile, flirtent avec l’abstraction et le minimalisme. On reconnaît encore la patte des artistes réfugiés en Allemagne dans les années 1920, membres du Bauhaus, dans les logos de Netflix, McDonald’s ou Nike.
Certains marqueront les domaines du cinéma, de la publicité ou même du visual merchandising des grands magasins, comme László Moholy-Nagy. Ils sont constructivistes, futuristes, suprématistes –comme Kasimir Malevitch qui invente l’Agitprop, un art de la révolution, et l’art abstrait. Leur héritage est partout… La guerre froide et l’obsession pour la conquête de l’espace fourniront de nouveaux sujets: les formidables posters vantant les ambitions et réussites du programme spatial soviétique renouent avec la force jubilatoire des affiches de propagande de la première partie du siècle.
Une éloquence visuelle que même la NASA leur enviera… On ne serait pas étonnés d’apprendre que leur audace stylistique a fait impression sur l’artiste américain Shepard Fairey (son poster Hope pour Obama montrait déjà quelque signes de l’influence stylistique héritée de la propagande soviétique). Son écusson pour la Station spatiale internationale semble en fournir la preuve. Dmitri Vrubel, est l’artiste russe auteur du plus célèbre graffiti ayant orné le mur de Berlin “My God, Help Me to Survive This Deadly Love” (1990) reproduisait une photographie prise par Régis Bossu pour Paris Match en octobre 1979.
L’URSS a été dissoute l’année suivant la réalisation de la fresque de Dmitri Vrubel, mais l’influence de son imagerie, teintée de propagande et d’utopie, elle, s’est avérée pérenne. Je termine avec le designer russe Mikhail Smolyanov, ces Hot-Rods à moteurs Volga et ses motos électriques dont la roue avant est beaucoup plus grande et plus large que la roue arrière, son créateur voulant offrir la sensation de manipuler une manette dans un jeu vidéo. Les phares, comme les roues, ont également des tailles différentes et Smolyanov joue avec les couleurs comme éléments différenciateurs…
2 commentaires
Maître, Je salue votre impartialité, et vous avez raison de constater que l’Occident ne détient pas la suprématie qu’il affirme dans tous les domaines. À l’approche de la guerre, la somme des Produits Intérieurs Bruts (PIB) de la Russie et de la Biélorussie représentait 3,3% du PIB occidental, englobant le Canada, le Japon, l’Europe, les États-Unis et la Corée. En juin2023, plusieurs rapports, dont certains émanaient du Pentagone, ont mis en lumière les lacunes de l’industrie américaine, soulignant son incapacité à fournir des munitions à l’Ukraine. Ces 3,3%, capables de produire davantage d’armements que le bloc occidental, posent un double problème : d’abord pour l’Ukraine, qui perd la guerre en raison du manque de munitions, et ensuite pour la science phare de l’Occident, l’économie politique, dont la nature fallacieuse (Bidon ?) est ainsi exposée au monde entier. Cela incite à réfléchir sur la relation de l’économie politique néolibérale avec la réalité. On nous avait assuré que les sanctions économiques infligées à la Russie, ainsi que son exclusion du système bancaire Swift, la mettraient à genoux. Cependant, cette foi déraisonnable en la toute-puissance occidentale n’a pas perçu que les Russes avaient déjà adapté leur économie aux sanctions de 2014 et s’étaient préparés à être autonomes dans les domaines informatique et bancaire. La Russie moderne est loin de l’image rigide de l’autocratie néostalinienne que certains médias dépeignent au quotidien, démontrant une grande flexibilité technique, économique et sociale.
Mon expérience de vie m’a forgé différemment d’autres gens et amené à une manière d’analyser toutes situations en ne croyant absolument pas aux guides de pensées qui robotisent les populations depuis “la nuit des temps”…
Dans “l’affaire Russe”, il est d’évidence que les coalisés Américano-européens ont manœuvrés les dirigeants Russes qui ont peu à peu cédés aux mirages et corruptions de l’Occident. Poutine a vu “les choses” différemment et a lui aussi manœuvré pour remettre l’Empire Russe en avant. Le fait d’avoir été trompé par Angela Merkell et Macron sur l’Ukraine a précipité “les choses” qui lui démontraient que l’Europe était sous la coupe de divers multimilliardaires et Maîtres à penser… Je pense que Macron a été un fiéffé crétin en humiliant publiquement Poutine lors de sa visite sur invitation à Versailles et a du subir le “Maître-Macron” lui faire la morale devant un parterre de soumis endimanchés…
Si j’avais été Poutine, je serais parti durant le Sermon de Macron… Le choc aurait été de taille…
Finalement Poutine a été confirmé dans son analyse d’être le dindon d’une farce occidentale, lorsqu’Angela Merkell a été publiée dire que le plan avait été à Vilnius de tromper Poutine…
Pas plus, pas moins, la guerre a ainsi commencé alors que l’Occident créait “les Révolutions Orange” un peu partout dans le monde…
Maintenant nous en sommes encore (heureusement) sous les “raconteries” et discours creux mettant la soi-disant démocratie occidentale en avant de notre “Grandeur” affirmé à tous les crédules…
L’affaire D’Israel devenant aussi pire que les nazis est un autre sujet qui vient compliquer le tout et va sans doute encore plus mal se terminer qu’en Europe…
Pendant ce temps quantités de fous se mettent à promettre l’apocalypse, tel je ne sais qui dont j’ai copié-collé “le message” qui vaut son pesant de rire, mais qui, analysé, indique que l’avenir va être encore plus compliqué que les conséquences de ci-avant décortiquées… Lisez donc :
La nano-Technologie est dans les vaccins, TOUS les vaccins est destinée à ROBOTISER la population
Une minorité de la population survivra comme Robot Esclave et la majorité sera exterminée par les vaccins, la nourriture et l’eau contaminée les Chemtrails et autres…
Ceci est le Plan des 300 familles multimilliardaires : Bill Gates, Rothschild, Rockefeller, et tous les autres… ainsi que les portes flingues: Klaus Schwab, Yuval Noah Harari,Jacques Attali et les autres…
Toutes ces tristes personnes travaillent pour les Extraterrestres Négatifs, principalement les Reptiliens et d’autres aussi… dans le but d’obtenir l’immortalité physique et le pouvoir sur d’autres planètes !
Ceci est leurs Plan que nous subissons actuellement.
Si beaucoup d’humains élèvent leurs niveaux vibratoires ce plan échouera d’autant plus que la Terre est en train de basculer physiquement pour passer en 5ième dimension !!!
Voila la réalité de la connerie humaine…
Triste… Je n’avais pas imaginé à quel point l’humain était tel… Heureusement que 100 ans est la durée de vie car au dela on deviendrait également dingues…
Pour ce qui est de mon article en dessous duquel nous échangeons, j’ose tout… Cela m’a valu des remerciements de Russes et une augmentations d’environ 100 internautes Russes en 24 heures…
Voilà…
Je vais continuer ma nouvelle journée…
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