Le Rallye des Princesses et la Mazda RX2…
J’étais garé, un peu où je pouvais, Place Vendôme à Paris, avec ma vieille caisse…, j’attendais je ne sais plus qui ou quoi…, c’était un lundi, le 31 mai 2010…, le lendemain du jour de la Fête des Mères, Maman vivait encore !
Je l’ai vu arriver derrière moi…, le temps de mettre le contact… et puis pas le temps d’enclencher la première : choc…, une Lamborghini Countach enfonçait mon pare-chocs arrière.
Ce premier coup, je l’excusais inconsciemment, persuadé d’être un peu fautif de m’être garé à un mauvais endroit, c’était pourtant étonnant, se faire tirer sans coup de semonce…, c’était peut-être jour de défonce…, là, j’étais ahuri, sans voix, sans explication raisonnable de ce curieux acharnement.
Le deuxième coup de bélier me parvint dans la seconde suivante…, puis la Lamborghini a finalement reculé dans un grincement de pignons, c’était épouvantable à entendre.
J’ai vu alors dans mon rétroviseur que c’était une jeune dame blonde qui conduisait… et pensé que cette conductrice était parvenue, enfin, à enclencher sa marche arrière, ce qu’elle n’avait probablement pas réussi à faire jusqu’ici, causant le deuxième choc.
Je suis alors descendu de mon Excalibur…, hébété…, prêt à cet instant encore à l’excuser… et puis pour constater avec elle les dégâts…, lorsqu’elle vint dans un nouvel élan rebouter mon automobile préférée, une série III Phaéton grise rarissime…, quoique, merde enfin : Sûr qu’elle va moins bien marcher à présent…
J’ai tapoté sur le pare brise, essayant de stopper ainsi naïvement cet entêtement brutal, ses yeux bleus avaient la profondeur d’un lac artificiel, où s’y noyait tout ce qui pouvait l’envelopper.
Fixes, ils n’avaient qu’un objectif, mon Excalibur, obstacle à sa progression, pas un regard pour moi qui continuais à frapper le pare brise.
Elle était raide la fille, faite comme une raquette, sourde au monde, déterminée à poursuivre ses coups de boutoir jusqu’à ce que le passage se dégageât…, manifestement, elle ne me voyait pas.
Quelques spectateurs médusés, s’amusaient de me voir essayer de la persuader de ne pas conduire dans son état.
Je remontai dans ma voiture, reculai, en évitant un énième coup de sa petite voiture toute cabossée, croisai encore son regard vide dans le rétroviseur… et je suis allé me garer quelques mètres plus loin.
La place Vendôme me semblait anormalement encombrée, avec une circulation inhabituelle…., du monde partout…., je la vis dans mon rétroviseur emprunter le mauvais côté du rond point pour partir, croisant une camionnette de la maréchaussée.
Un jeune mec encapuchonné, est arrivé à ma hauteur :
– C’est le Rallye des Princesses, j’ai regardé, elle a sûrement pris des cachetons. Tout le monde en prend ici, c’est un suicide collectif, c’est à pleurer, les caisses on s’en fout, c’est de la merde, mais les humains, les humains… Aujourd’hui elles sont toutes folles !
– C’est quoi ce “Rallye des Princesses” ?
– Le 12e “Rallye des Princesses” est un rendez-vous Automobile Féminin. De la Place Vendôme à Monaco pour le chic, en passant par les plus sinueuses petites routes de France pour le Sport. Bref, un rallye réservé à la gente féminine au volant de voitures anciennes ou de prestige…
– À ne manquer sous aucun prétexte, sûrement !
Une belle petite brunette est venue se joindre à notre conversation :
– L’Excalibur, là…
– Oui, c’est ma voiture…
– Enchantée, mais c’est le “Rallye des Princesses”, les hommes ne peuvent pas conduire, mais ils peuvent être co-pilotes !
– Je ne participe pas, je suis ici par hasard… et je me suis fait emboutir par une…
– Ça doit vous changer.
– Comment, ça doit me changer ?
– Oui, d’habitude ce sont les hommes qui… les femmes… vous saisissez ?
– C’est sexuel ?
– C’est un rallye pour toutes celles qui rêvent d’une semaine inoubliable entre copines sur les plus belles routes de France… et pour toutes celles qui, le temps d’un rallye, aimeraient oublier le quotidien pour piloter leur propre plaisir au volant d’une voiture de légende, l’espace d’une petite semaine.
– Les reines de l’évasion !
– C’est subtil mélange de découverte, et de dépaysement, le Rallye des Princesses souffle ses douze bougies lors de cette édition 2010.
– Passionnant et sans nul doute que ce sera tout à fait mémorable.
– Six jours anti-stress, anti-morosité, incubateurs d’émotions sur les routes les plus reculées et les plus extraordinaires de l’Hexagone.
– Certainement une épreuve sportive et conviviale, non ?
– Contrairement aux idées reçues, le Rallye des Princesses n’est pas réservé à une élite… et nul n’est besoin d’avoir une particule pour y participer. Innovant, élégant, original, le Rallye des Princesses offre aux femmes modernes aimant conduire une voiture ancienne ou de prestige, l’occasion de se découvrir une passion, de se surpasser, tout en profitant de la beauté des paysages traversés et d’étapes reposantes et luxueuses. Les habituées pourront vous confirmer l’ambiance sportive et conviviale qu’elles ont créée au fil des années pour affronter les différents classements proposés.
– Je devine que l’épreuve est ouverte à toutes de 14 à 77 ans !
– C’est une expérience unique et inoubliable ; ces amazones montrent aux hommes que sur les traces du Paris Saint-Raphaël Féminin d’antan, le sport automobile ne se conjugue pas uniquement au masculin ! Départ ce lundi 31 mai 2010 : 1ère étape Paris – Saint-Aignan… Mardi 1er juin 2010 : 2e étape Saint-Aignan – Vichy… Mercredi 2 juin 2010 : 3e étape Vichy – Le Rouret Ardèche… Jeudi 3 juin 2010 : 4e étape Le Rouret – Le Castellet… Vendredi 4 juin 2010 : 5e étape Le Castellet – Domaine de Saint Martin – Monaco… L’arrivée sera jugée le 4 juin 2010 à Monaco en milieu d’après-midi. Au total, 1600 kilomètres de petites routes pittoresques seront effectués, 300 à 350 km par jour en moyenne. Trente épreuves en secteurs de régularité auront lieu. Les équipages devront réaliser les tests de régularité à une vitesse moyenne imposée, selon leur catégorie afin que tous les véhicules puissent concourir équitablement : moyenne basse de 40 km/h pour les véhicules d’avant-guerre ; moyenne intermédiaire de 45 km/h pour les véhicules de 1945 à 1963 ; moyenne haute de 50 km/h pour les véhicules à partir de 1964 ; Villages à 30 km/h. Les participantes ont pour but de s’approcher le plus possible d’une moyenne idéale afin d’effectuer un trajet défini.
– La vitesse n’est ainsi pas un critère de sélection ?
– La sélection se fait en effet sur la navigation et le respect minutieux d’une vitesse moyenne donnée.
– Quand il se pointe, l’orage s’en fout que vous soyez riche, ou pauvre où bien une combinaison des deux. Il est coiffé d’un frac de style cumulonimbus et cravaté d’un discret cumulus genre “diabolus”, noir comme une queue de pie.
– Mais…, il n’y a pas le moins souffle d’air.
– C’est le calme plat avant que le ciel ne pète, sûrement. Et ça va tonner… et çà tombe bien, parce qu’aujourd’hui, j’ai comme des poussées d’anarchiste atrabilaire qui se laisse répandre en pensées de ronchon à l’aigre douce. J’ai envie d’être méchant, ce n’est pas gentil mais ça soulage. Je vais toutefois ravaler mes relents d’idéologie et je vous suggère de rester à l’abri. Quoique, pas vraiment…
Décision fut prise d’en rester là !
J’ai proposé à la jeune brunette de descendre avec moi, en Excalibur, jusque Monaco, ou je devais me rendre pour affaires…
– Nous pourrons assister à l’arrivée de ce Rallye des Princesses, qu’en dites-vous ?
– Bonne idée, mais ma copine vient avec moi…, ok ?…
Bizarre cette sensation d’un retour en arrière.
– OK ! La route sera magnifique, les blés semés avant l’hiver seront là, rassurants. Pas encore bien hauts, mais en pleine santé et de belle couleur, signifiant un peu d’espoir d’une bonne récolte après moisson. Tandis qu’arriveront à grands bruits et hennissements, piétinants ce tapis vert de pauvres arguments et de lourds sabots, les maîtres de ces terres, des preux chevaliers que d’aucuns à l’esprit chagrin poussés par quelque démagogue, dénommeraient fielleux, et qui livreront bataille sous nos yeux ébaudis, pour un avenir radieux, demandant à ces derniers, gueux, serfs, paysans, lutins et résistants et autres habitants du comté de la zone de relégation sociale un avis, ou un vote à la suite de ces joutes seigneuriales qu’on appelle campagne.
– Eh oui, c’est bien cela le problème, il me faudra prendre parti pour l’un ou l’autre engagé dans cette bataille.
– Voulez-vous la carotte ou le bâton ? Plusieurs, qui choisirent le bâton, aveugles allégeant leur prince borgne de la lourde charge d’être du côté du manche et frapper ainsi leurs compagnons de misère avant qu’ils finissent eux mêmes par être du lot, tant il est vrai qu’on est jamais aussi bien battu que par soi même.
– Et moi assise sur une carotte méditant du bien fondé de mon choix ?
– Ouiiiiiiiiiii, me déléguant le pouvoir de suivre le cours des choses !
Voilà…, il m’arrive de réconforter la plèbe ahurie comme à l’accoutumée…
Je vous avoue que je m’attendais à un piètre résultat…
Il n’en fut rien.
Nous sommes le 4 juin 2010, jour de l’arrivée en la Principauté, du Rallye des Princesses…, Monaco çà ressemble à une bière avec de la grenadine dedans.
Les techniciens s’affairent dans tous les recoins pour installer câbles et lumières au milieu des badauds qui baguenaudent, bavent et pissent comme des chiens et chiennes dans une oreille de Mickey décrochée d’un décor Disney world.
Un petit train à touristes passe…, les drapeaux et oriflammes s’ébouriffent au dessus des têtes bien coiffées… Une lampe installée à la hâte s’écrase juste devant moi, tandis qu’à l’aplomb de mon crâne échevelé, un loustic se fait engueuler :
– Çà fait trois jours que t’es là et tu fais que des conneries, tu bossais où avant ?
Je me sens pris de compassion pour l’ouvrier maladroit qui gamberge :
– Ben oui Ducon, quand tu n’as pas travaillé depuis longtemps tu oublies parfois le petit geste élémentaire, tu es fragilisé avec parfois un peu de manque de confiance en toi.
Je collerais bien un bourre-pif à ce connard qui engueule ce lampiste…, mais je poursuis, direction le musée, après qu’un garde amidonné et coiffé d’un œuf m’intime l’ordre de repasser une limite dont j’eus pu prendre parfaitement connaissance à l’issue d’une formation sévère…, je suis efflanqué de deux jeunes graines d’aristocrates, dont la superbe brunette embarquée place Vendôme à Paris, quelques jours auparavant…
Je trace jusqu’à être stoppé net à l’entrée du musée par une pancarte : Onze euros par personne.
Je garde les mains dans les poches, m’en fous du musée… et nous voilà après une courte queue (sic !), face à face avec le long nez du commandant Cousteau impressionnant en Cyrano de grand fond, en petite tenue et en photo dans le hall d’entrée.
On descend comme dans un métro vers les aquariums où évoluent des poissons condamnés à squatter toujours la même station sans espoir qu’une rame ne les ramène un jour dans la grande bleue.
On y disparaît jusqu’à ce que la faim nous amène à nous retrouver en surface, au sommet de l’édifice baroque, installés à la terrasse du restaurant…, les jeunes femmes s’y attablent en silence tandis que je m’émerveille d’un goéland perché sur les rives de la plate-forme, à qui je donne du pain.
J’aime être généreux avec les goélands, je trouve le regard de la bête merveilleux.
Les jeunes femmes me regardent et se marrent doucement…, dans la présente situation, c’est peut être moi qui a la tête du volatile…, je commande distraitement un plat de pâtes au basilic pour nous trois.
Un cocktail sous le soleil les a déridées quelque peu, mais elles apprécient peu les goélands…, en cet instant, elles pensent qu’ils ne font rien qu’à chier sur les personnes qu’ils survolent… et puis non c’est normal, les goélands, ils tournent au cul de ceux qui lâchent des miettes.
Je me souviens de mon monitorat de voile aux Glénan…, ils étaient trois voiliers au mouillage près de Concarneau… et ceux qui, sur chaque embarcation, s’étaient désignés pour nettoyer les couverts à l’issue du repas en avaient jeté par-dessus bord à peu près simultanément les reliefs…, les goélands s’écriaient et venaient à la curée.
Un peu plus loin, également au mouillage, un petit bateau de pêche affrété pour balader les pauvres, se signalait autrement que par les regards étrangement fixes de son équipage, debout au bastingage…, des quatre bateaux, il était celui qui n’attirait nullement la convoitise des éboueurs des mers…, pas de pain, pas de cri, pas d’oiseaux, il y a un truc bizarre…, en fin je me suis dit que pour moi c’était bizarre, pour vous je ne sais pas, dites moi un peu si c’était bizarre tous ces gens adultes, debout à applaudir, à s’enflammer, contents…
Une heure plus tard, nous revoilà en bas du rocher, en attente des arrivées du “Rallye des Princesses”…, ils sont contents…, ils ont trouvé…, ils ont trouvé la bonne personne, la bonne parole…, c’est sûr, une dame va gagner…, va gagner quoi ?
Il y a quelque chose d’enfantin…, je le ressens comme presque indécent, cette recherche de quelqu’une qui va s’arroger le droit de gagner…, les spectateurs ont peut être besoin d’une maman (et certains d’un père fouettard)…, cette fois çà y est les petits, je suis au point, on va s’en sortir.
– T’es sûr, vraiment t’es sûr que tu vas pas te casser la gueule et nous avec ?
– Je vous aime… parce que vous êtes formidables…
Elles sont vraiment formidables parce qu’elles aiment s’entendre dire qu’elles sont formidables…, besoin de suivre, comme les moutons qui passent…, jusqu’à ce qu’un jour, la bétaillère, grande ouverte comme un entonnoir, surprise, c’est quoi le message ?
Il y a de l’espace, de l’herbe, des fleurs sauvages, des arbres, et tout autour le monde…, je ne peux pas avoir l’indécence de comprendre ce qui se passe.
Le vent s’engouffre, dévalant des hauteurs du massif, rappelant qu’ici, le maitre ce n’est pas nous, c’est la nature qu’il représente… et la terre qui révèle son parfum aux premières gouttes de pluie… et le plaisir de se sentir coincé dans la virginité d’un décor assourdi… et puis il y a l’impression, que le temps n’a pas de prise ici, même si l’électricité y arrive (sic !), même si l’ordinateur a ouvert une fenêtre au delà des montagnes (re-sic !!).
Je suis certain, que la vie n’a rien à voir avec celle qui s’engage dans son mal être à présent…, non, juste de la tristesse, du béton froid, de l’architecture sommaire à l’exemple des boites aux lettres des grands halls.
J’imagine la mer dans des céramiques bleues, des pignons, des tours, des grandes murailles nous offrant l’illusion d’un espace à conquérir sans incendies de poubelles, de chiottes d’appartement d’étage qui puent et de cris, d’engueulades, de mobylettes bruyantes.
On sent bien qu’il s’agit d’un autre monde, qu’on est un peu parqués, en transit dans la vie…, que dire aujourd’hui, si ce n’est de constater la fin d’un monde.
J’ai été enthousiasmé (et oui, ça m’arrive encore !) par la Mazda RX-2, fabriquée de 1970 à 1979… et animée par un birotor de 1146cc développant 120 ch à 6500 tr/min…, capable d’atteindre 180km/h.
Souvenirs, souvenirs, nostalgie !
C’est que j’en ai eu une à mes vingt ans…
Mazda et le moteur rotatif c’est une vieille histoire qui a débuté avec la Cosmos Sports 110S en 1967.
A cette époque, l’allemand NSU avec la Ro 80 et Citroën avec la GS birotor s’étaient également lancés dans cette technologie développée par Felix Wankel…, malheureusement des problèmes de fiabilité (en particulier une usure des segments d’arête) et une consommation excessive sonneront le glas de ce type de motorisation chez ces deux constructeurs européens après le premier choc pétrolier en 1973.
En tout cas, c’est toujours un bonheur de croiser un véhicule mû par un moteur rotatif, d’entendre son bruit si particulier et ses montées en régime.
Après plus de 1.600 km sur les petites routes de France, c’est le coupé Mazda RX-2 N°40, emmené par l’équipage Cindy Fabre/Chris Mayne qui a remporté la 11ème édition du Rallye des Princesses. 2010.., Mazda est monté ainsi sur la plus haute marche du podium après seulement trois participations.
L’ex-Miss France Cindy Fabre s’est réjouie de cette affaire :
– Je n’arrive toujours pas à y croire ! Cela fait deux ans que Chris et moi étions à deux doigts de l’emporter. Cela n’a pas été de tout repos. Mais c’est un bel accomplissement que je dédie à mon équipière et à Mazda France qui nous soutient depuis longtemps.
Une impression partagée par sa coéquipière, la chanteuse Chris Mayne, connue grâce au duo Native formée avec sa soeur Laura Mayne, qui a déclaré :
– Cindy a été grandiose. Elle a une aptitude naturelle à la conduite automobile qui me stupéfie à chaque fois. Car il n’est pas évident de changer de voiture chaque année pour se lancer dans pareil défi. Nous formons une équipe incroyable !
Au classement du rallye historique sont arrivées en deuxième position : Carole Gratzmuller et Michelle Paques sur une Austin Healey Lenham de 1961 ; la troisième marche du podium revenant au duo Anne Doux et Carla Rebeiz Chawkatly sur une Porsche 911 Targa de 1970.
Pour sa troisième participation au Rallye des Princesses et dans le cadre des 90 ans de la marque, Mazda Automobiles France avait engagé un splendide coupé RX-2 de 1972…, après deux podiums successifs, avec une RX-7 en 2008 et une MX-5 en 2009, le tandem Cindy Fabre (Miss France 2005) et Chris Mayne (chanteuse du groupe Native puis Deux Voix) a tenté sa chance (gag !) avec une Mazda RX2 dans le pur style VHC (Véhicule Historique de Compétition).
Les deux princesses ont du toutefois jouer plus que jamais un esprit d’équipe avec un look très travaillé pour profiter du battage médiatique orchestré par Mazda… Cindy et Chris portaient les vêtements de la ligne « Mazda Heritage » lancée en début d’année ainsi que des casques Ruby Pavillon Saint-Honoré…, de quoi encore plus les remarquer à la veille d’une activité estivale chargée : défilés (grassement payés) pour Cindy Fabre et concerts (grassement payés bis !) pour Chris Mayne…, le consumérisme est un art…
La Mazda Coupé RX-2 est motorisée par un birotor de 1146 cm³ qui développe 120 chevaux à 6500 tr/min, lors de sa sortie en 1970, la RX-2 inaugurait une évolution du moteur rotatif (12A) avec une cylindrée et une puissance accrues.., à l’époque, elle figurait dans la liste des sportives compactes avec 180 km/h en pointe.
De nombreux véhicules se distingueront des productions en vigueur avec une sonorité à nulle autre pareille : Cosmo Sport (1967), RX-7 (1978), 787B (prototype victorieux aux 24H du Mans 1991) et RX-8 (dès 2003).
Le rallye des Princesses 2010 s’est déroulé sur cinq jours, de Paris à Monaco, sur un parcours de 1600 km :
– Dimanche 30 mai 2010 Vérifications et exposition des véhicules, Place Vendôme, de 10h00 à 17h00
– Etape 1 : Lundi 31 mai 2010 Paris – Senonches – Saint-Aignan (337 km et 7 secteurs de régularité)
– Etape 2 : Mardi 1er juin 2010 Saint-Aignan – Château de Mornay – Vichy (324 km et 8 secteurs de régularité)
– Etape 3 : Mercredi 2 juin 2010 Vichy – Usson en Forez – Le Rouret (340 km et 7 secteurs de régularité)
– Etape 4 : Jeudi 3 juin 2010 Le Rouret – Saint Christol – Le Castellet (362 km et 7 secteurs de régularité)
– Etape 5 : Vendredi 4 juin 2010 Le Castellet – Château Saint-Martin – Monaco (262 km et 6 secteurs de régularité)