MERCOS-AMG-GTR 2020…
Désireux de me confiner temporairement en un lieu où les règles Macronniènes ne sont pas d’application, j’ai été invité par un de mes illustres voisins Saint-Tropézien en un endroit exotiquement lointain où, au milieu d’une jungle luxuriante, divers clubs de strip-tease, casinos, hôtels et lieux de débauches mènent grand train, attirant les plus abominables piranhas d’affaires qui abusent des jolies jeunes femmes comme si elles étaient des gazelles tombées dans les eaux glauques du puits sans fond de la connerie humaine !
En ces lieux ou la luxure se confond avec la boucherie, la chair est chère, mais le plaisir de la dégustation est assez vite rentabilisé puisque contrairement aux bas quartiers de Nice, Marseille et Paris ou les boudins sont quasiment impropres à toute consommation “Top-Classe”, ici on ne trouve que de beaux morceaux affichés “premier choix”, superbement épicés, dont la traçabilité est toutefois relativement suspecte, le choix du ou des corps devant s’effectuer judicieusement !
Ayant succombé à une belle plante exotique et vénéneuse, le corps terrassé d’amour, je me suis réveillé le lendemain matin, encore englué dans les muqueuses entrebâillées de cette indolente aux soupirs languissants et, en m’extrayant péniblement de ce flasque mollusque, j’ai tenté de reprendre une certaine consistance, soudain animé par une substantielle faim de viennoiseries chaudes.
Après m’être coulé dans mes frusques négligemment abandonnées sur le parquet flottant, le pas ralenti par mes semelles gélatineuses par trop adhérentes, je me suis fondu au dehors ou je suis tombé sur une vieille limace se présentant comme la propriétaire des lieux.
Sa poignée de main, sans plus de teneur que la queue d’un serpent, m’a semblé me couler entre les doigts tandis qu’elle me baragouinait je ne sais quoi dans un sabir local guttural en agitant de son autre main un jeu de clefs.
J’étais soudainement en nage, imaginant mille choses abominables, mais ce gastéropode humain, me les tendait avec une telle conviction démissionnaire tout en me montrant quelque-chose, je ne sais quoi, qui devait être derrière moi… que je lui ai susurré un “Thank-You” enjoué tout en tournant mes yeux (verts) vers ce qu’elle semblait m’indiquer… et se produisit “le” choc !
Là, sur le pavé humidifié de bruine, dégoulinaient les lignes verdâches d’une Mercos AMG GTR, une monstruosité esthétisante qui par sa couleur semblait avoir le gout d’un gâteau d’épinards à la crème.
L’humidité ambiante la rendait luisante comme du coulis gras sur un flan nappé, elle m’apparaissait soudain comme un pudding automobile qui suintait sous mes yeux déconfis comme de la gelée fraîche… ce n’est en regardant ma montre molle que j’ai compris que je nageais en plein trip salvadordalien.
A l’approche angoissante de ma soixante douzième année, les cohortes moutonnières d’autos grisâtres me plongent toutes dans les épaisses ténèbres des matins sans caféine, telles les interrogations parasitaires sur ma situation matrimoniale que me posent les succubes qui me draguent, dont les noms à particules sonnent comme autant de rappels à l’ordre de l’inconscient collectif vers le lit-copulatoire, basse condition de tout mâle lambda, inséminateur et futur payeur de pension alimentaire… !
Lot commun des mâles nécessaires prêts à ensemencer autant de ventres sur pattes, les autos grisâtres sont à mes yeux des bétaillères à mioches qui sentent le talc tiède, les tétines humides et les couche-culotte usagées… et s’il s’agit ici de considérations spermatiques, c’est surtout au sens des scènes de ménage, là où théières aériennes et soucoupes volantes viennent déchirer le beau ciel bleu des amours pliant sous le poids des chaînes.
N’en doutez pas un seul instant, chers lecteurs et lectrices pingres dont seulement 0,002 % a répondu à mon appel de fonds destinés à publier le GatsbyMagazine N°2 qui devait sortir ce 31/10/2020 et que j’ai décalé en conséquence aux calendes Grecques !
En ce temps actuel où l’ordre Macronnien balaie les libertés, je ne me laisserai pas enchaîner sans combattre, les constructeurs automobiles, tout comme les lessiviers et autres suiveurs de mensonges, auront beau aguicher le futur planqué à coup de jantes sport et de faux placages en alu ou en faux bois, leurs bagnoles n’en resteront pas moins aussi envoûtantes à mes yeux qu’une Agnès Busyn en porte-jarretelles et dessous cuir.
Alors, viens ma sauvageonne ! Embrasse-moi que je t’embrase, étreins-moi que je m’éreinte ! Viens t’égarer, le corps à cran et la crinière au vent, consume avec moi le reste de jouvence qu’il nous reste, nous n’avons plus de temps à perdre, dame Nature nous rappelle déjà à la raison, je ne le sais que trop, ce pour quoi nous avons été conçus.
Muse enchanteresse et mère pondeuse ne sont que les deux facettes de la même médaille mais grâce au poids des ans je n’ai plus à redouter le jour fatal où tu me suggèreras, entre le creux de l’oreille et celui de l’oreiller, de semer en toi ma mauvaise graine sans que je puisse te refuser quoi que ce soit.
Ce n’est pas votre cas, bande de cloportes amorphes et radins qui me lisez gratuitement, bande de pingres (0,002 % je le rappelle ici encore pour que vous ayez honte de continuer à me lire gratuitement, bande de profiteurs et profiteuses) … votre fonction biologique accomplie, vous n’aurez plus qu’à vous glisser derrière le volant d’une connerie roulable avec deux ou trois têtes-à-claques dans le dos et rejoindre vos pantoufles en attendant l’inexorable chute.
Alors que la peur de l’ogre ne sévit plus que dans les contes et que les martinets appartiennent à la légende, l’enfant-roi n’en finit plus de tyranniser les derniers tenants de l’autorité parentale… en effet, combien de géniteurs désemparés ont dû céder aux exigences consuméristes de leurs chères petites têtes blondes sous peine d’essuyer de redoutables crises de larmes ?
Au nom des droits sacrés du chérubin ingénu, parce qu’enfance rime fatalement avec innocence, le petit se doit d’être traité comme un prince, dispensé de tout effort physique, connecté à internet du matin jusqu’au soir, joignable 24h/24 par téléphone portable et convoyé devant l’école dans un carrosse.
Imaginez-vous un seul instant venir chercher votre pauvre chou dans une guimbarde hoquettante sous les quolibets de ses camarades ? Et les droits de l’enfant à voyager dans un SUV dernier cri, y avez-vous pensés, persécuteurs de gosses ? Misérables radins qui me lisez gratuitement (je le répète encore pour enfoncer le clou, bande de lâches) !
Que nenni ! Forçats de la puériculture, esclaves de vos progénitures, vous que rien n’obligeait à vous reproduire, il est encore temps de vous libérer de vos chaînes, profitez de l’occasion que vous offre Macron, entrez pleinement dans la désespérance et suicidez-vous !
Au lieu de vous saigner aux quatre veines pour la dernière star des ramassages scolaires, songez un instant à l’humiliation de votre sale mioche à la vue de votre bétaillère grotesque, imaginez l’abaissement de votre ingrate marmaille lorsqu’il lui faudra prendre place dans l’une des plus atroces mochetés ambulantes jamais imaginée par l’homme, savourez dans le rétroviseur les larmes du votre petit tyran déchu dans son carrosse ridicule et enfoncez le clou en calant votre moteur, exprès, devant l’assistance de ses copains hilares…
Voyez, rien n’est perdu, il ne tient qu’à vous de rabaisser l’enfant roi au rang de larve humaine qu’il n’aurait jamais dû quitter ! (Ainsi que d’aller verser au moins 1.000 euros ICI : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/gatsbyonline-gatsbymagazine
Fort de cette évidence, la firme a l’étoile a songé déjà à contrecarrer la surenchère en renforçant son arsenal, en sur-dotant sa version AMG qui légitime à elle-seule l’entrée du néologisme “sécuritarisme-ultra-sportif”...
Jugez-en donc : du système d’assistance anticipatif d’éternuement AT-CHOOM PLUS au détecteur de terroriste embarqué PATRIOT-TRONIC III avec appel d’urgence relié au central de la CIA en passant par les essuie-glaces à capteurs de cannettes de bière RIOT-CONTROL PLUS, le système électronique de prévention des vols à la portière NO RACK-I et le brouillage radio automatique contre le terrorisme intellectuel de gauche MIND-SAFE !
Sans omettre l’hygiaphone incorporé à la vitre conducteur MICROBE-SAFE, vous aurez un alléchant aperçu du meilleur des mondes possibles que vous envierez bientôt aux happy few touchant plus de 15.000 euros par mois.
Malgré la paranoïa actuellement en vigueur chez les obsédés, il semble que les cerveaux aient failli quelque part, car d’après une très sérieuse enquête d’un laboratoire indépendant (Sanofi ?) qui fait déjà trembler les états-majors automobiles, un grand danger guette encore l’intégrité de la Mercos AMG, une menace de tous les instants, une épée de Damoclès prête à se rompre à tout moment.
Rangez vos enfants dans le placard et anticipez d’ores et déjà le couvre-feu et les confinements consécutifs, car après enquête, nous chez GatsbyOnline (et GatsbyMagazine qui attend votre DON, bande de radins), détenons désormais une piste risquant fort de faire l’effet d’une bombe… j’en ai eu la révélation lors de mon essai de cette Mercos AMG.
Là, j’étais là, seul au milieu, de Very UnImportant Persons et autres cuistres qui s’agitaient comme les comédiens d’un opéra-bouffe accros et à crans, faux-culs et faucons, gâteux et catins, requins et parrains, tous clients Mercos…
Après mûr examen, les frasques bruyantes de cette faune vulgaire m’ont suffi à faire mien l’aphorisme de Léo Campion selon lequel le conducteur est, de très loin, la partie la plus dangereuse d’une automobile.
S’il faut vivre caché pour vivre heureux, élites et idoles trouveront dans cette Mercos le meilleur moyen de rouler à l’ombre, banalisée en couleur Vert-Macht rase-muraille de peur d’attiser la haine des encore plus riches et dépourvue du chiffre de cylindrée à l’arrière pour ne pas ranimer la lutte des classes !
Ce chef d’œuvre de convenance BCBG restera ainsi pour longtemps l’un des moyens les plus sournoisement faux-culs de traverser crises économiques et troubles sociaux à l’abri de la vindicte populaire… ce qui n’est certes pas là le signe d’un esprit très rebelle !
Il va sans dire que cette Mercos AMG traduit le même élan de spontanéité que le mot liberté dans la bouche d’un stalinien pratiquant… ou une évocation de Jean Jaurès perdue au beau milieu d’une harangue Macronniène.
Or, je le rappelle à ceux qui n’auraient d’autres références culturelles que divers misérables magazines destinés à la plouquesque, cette Mercos AMG est en matière artistique l’équivalent assez exact d’un bras d’honneur adressé à tous les conformismes… il faudrait donc pouvoir expliquer en quoi ces quelques 1800 kilos d’orthodoxie germanique rompent avec les conventions sociales et esthétiques d’un certain establishment… une rude gageure !
Symptomatique d’une génération ayant dissolu l’esprit de sédition dans l’aisance, politiquement correcte au point de dissimuler les plus licencieuses des grosses cylindrées sous les dehors trop oubliables, conformes aux sempiternels codes esthétiques prisés des Rastignac et Machiavels soucieux d’incognito, rigoriste jusque dans ses ténébreuses harmonies intérieures, la Mercos AMG cache fort bien les penchants révolutionnaires de conducteurs assez peu suspects d’idées contestataires.
Mercedes aurait certes pu s’inspirer des plus audacieuses compositions de Kandinsky pour élaborer ses sinistres nuanciers, voire enluminer ses habitacles funéraires de sérigraphies colorisées à la Andy Warhol, sinon faire dans l’Art Cart… nul doute que le concept aurait séduit la clientèle des cuistres soucieux d’exhiber leur goût pour les arts – fussent-ils de merde enveloppée – dans les milieux tenus pour distingués.
Par quel miracle du marketing en est-on arrivé là ? Admettons que pour les non francophones, la langue de Montaigne, même employée à tort et à travers, possède d’incontestables vertus pédantes qui feraient passer nos plus viles expressions pour le comble du raffinement ultra-mondain : “Oh, France, lovely, so sweet !”
Et si pareille antinomie ne provoque en général qu’un hochement de tête résigné, il est rassurant de savoir, comme l’avait démontré Desproges, que l’on peut très bien vivre sans aucune espèce de culture… quoique l’Allemagne, on le sait, est le pays de la musique et le mélomane averti ne trouvera guère d’objection à ce qu’AMG figure parmi les meilleurs compositeurs d’opéra symphonique à quatre temps.
Dommage que l’audition orgasmique d’aussi fougueuses envolées nécessite l’abattement moral d’une clientèle aussi souvent indigeste aimant tout autant les volumes atrophiés et les profils congestionnés que des lignes torturées tentent en vain d’alléger… tous ces ingrédients semblant réunis pour faire de cette Mercos AMG, une étoile Wagnérienne…
Toutefois, au pays de Wagner, on ne loge toujours pas à la même enseigne les musiciens et les stylistes, la tâche bassement rébarbative de ces derniers se résumant depuis Adolf H… à l’habillage sans génie des chefs-d’œuvre du répertoire mécanique.
Difficile d’évoquer la polyvalence, l’insonorisation, la qualité d’amortissement ou le confort de la Mercos AMG GTR, surtout dans ce cadre, elle m’est apparue redoutable : moteur inépuisable, boîte véloce, châssis agile dans les virages serrés puis très stable en grandes courbes, une efficacité impressionnante qui n’assagit pas son tempérament, bestial !
En mode Confort ou Sport, les vocalises du V8 4.0 ne passent déjà pas inaperçus, en mode Sport+ et Race, il devient un sauvageon tintamarresque : son timbre rauque à l’accélération fait s’imaginer dans une auto en échappement libre, et lâcher la pédale de droite ne met pas fin au concert, au contraire : de véritables explosions naissent dans le silencieux échappement (sic !), au point qu’on imagine des flammes de 5 mètres en sortir… c’est hallucinant.
La sensation d’être aspiré vers le vide de l’avant… suit cette impression auditive, avec un moteur qui pousse partout, tout le temps, de 2 000 tr/min jusqu’à la zone rouge située 5 000 tr/min plus tard…
En accélération maximale, on a presque pitié pour la transmission à double embrayage encaissant les 700 Nm de couple, mais elle reste digne, enchaînant les rapports sans le moindre temps mort.
En position Race, mieux vaut toutefois prendre les choses en mains (mode manuel) car en mode automatique, la boîte rétrograde dès que cela devient techniquement possible au freinage… c’est-à-dire très -trop- tôt… de plus, avec deux seules roues motrices et pas de moteur appuyant sur les pneus arrière, des odeurs de gomme brûlée envahissent l’habitacle.
Finalement, le différentiel à glissement limité piloté et la bonne répartition des masses (moteur central avant et boîte à l’arrière équilibrent le poids à 47,3 % sur l’avant et 52,7 % sur l’arrière) aident les Michelin Pilot Sport Cup 2 à s’agripper au bitume sans trop réveiller l’antipatinage.
Sur cette version R, ce dernier est d’ailleurs paramétrable sur neuf seuils d’intervention via une molette jaune plantée sous les aérateurs… un clin d’œil aux GT3 de compétition pour un outil d’initiés : il nécessite en effet de désactiver l’antidérapage ESP et module seulement l’arrivée du couple sans corriger la trajectoire.
Sous la pluie, mieux vaut donc rester réactif au (contre) braquage, surtout que le bridage du couple rend le dosage de l’accélérateur moins naturel en dérive…cela demande un peu de pratique !
Pour les fans d’efficacité, l’idéal reste d’évoluer sur sol sec où le tout premier enchaînement de virages fait éclater la pertinence des quatre roues directrices : avec une stabilité parfaite, la GT R pivote en entrée de virages sans même devoir conserver les freins pour l’aider à tourner (sous 100 km/h, les roues arrière braquent dans le sens opposé aux roues avant).
La gamme Mercedes-AMG GT démarre au prix de 127.200 € en version 476 chevaux, puis les tarifs progressent au fil des déclinaisons : 146.300 € pour l’AMG GTS (522 chevaux), 171.800 € pour l’AMG GTC Edition 50 (557 chevaux, roues arrière directrices), et 174.800 € pour cette AMG GTR…
Il y a là de quoi dépasser la barre des 200.000 € en quelques croix dans la colonne des options (clef mains-libres à 950 €, cuir/alcantara étendu à 3.600 €, jantes forgées à 1.800 €, vert-macht Jungle à… 7.600 €), avant même de s’être acquitté des malus Franchouilles.
Ceux qui ne pourront s’offrir cette Mercos AMG Coupé débattront encore longtemps à longueur de bla-bla-bla électroniques… les autres, moins diserts, ne se feront pas prier pour étreindre la route allegro vivace, car après tout, qu’importe le flacon tant qu’ils auront l’ivresse !
J’ai vu une dernière fois la vieille limace qui s’était présentée à moi comme étant la propriétaire des lieux et qui m’avait remis les clés de la Mercos AMG GTR verdâche… mais impossible de les lui rendre, elle gisait à même le sol, tandis qu’une légère odeur de noisette me venait aux narines, et qu’un pneu plus loin, l’indolente aux soupirs languissants, la belle plante exotique et vénéneuse, flasque mollusque aux muqueuses entrebâillées, m’est apparue en femme désespérée, entourée de policiers… elle pleurait toutes les larmes de son corps.
Sur le tapis du salon, la vieille limace faisait peine à voir, j’eus du mal à m’en approcher, mais, après un court moment d’observation et quelques réserves de courage distillées dans ma lâcheté, je me suis avancé vers le corps qui reposait sur le ventre, la tête tournée sur le côté, dans un angle qui aurait fait rougir des mathématiciens.
Je me suis aperçu que ce que je prenais pour de la purée de choux-fleurs était en réalité sa cervelle… un légiste a alors murmuré : “Elle est cuite à point”... c’est qu’elle avait voulu démonter un interrupteur, qui fonctionnait mal et s’était ainsi envoyé de l’index au cerveau 220 volts en continu pendant près d’une demi-heure.
L’entendant pousser d’effroyables hurlements, l’indolente aux soupirs languissants, la belle plante exotique et vénéneuse, flasque mollusque aux muqueuses entrebâillées, en proie à la panique, a cherché le disjoncteur dans toute la maison.
Le trouvant enfin, elle a coupé immédiatement le courant… et n’étant plus prisonnière de la fée électricité, la vieille limace est tombée en arrière, se retournant dans sa chute et heurtant à la volée une chaise qui lui pulvérisa la fontanelle, répandant toutes les idées qu’elle aurait pu avoir en une coulée verdâche poisseuse sur le tapis du salon… c’était affreux à voir et sentir, de plus la similitude de couleur m’a fait vomir : du verdâche également… du coup j’ai gardé les clés et la voiture !
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