Pontiax SexKustom…
Il y a, comme ça, des jours où il fait vraiment trop chaud pour écrire des trucs subtils. Ouaissss ! Ben, je me sens d’un coup l’âme d’un Outlaw interstellaire. Au volant de ma Pontiac semi kustomizée, au V8 tout en chromes&Flammes, une créature de rêve (du genre XXX, le panard intégral !) s’étire lascivement dans le style Atomic Bitchwax. Rien que le nom et le cliché sex sont vendeurs de rêves programmés destinés à attirer les branleurs ! Ouaisss mon Popu ! Si Jésus a inventé la multiplication des petits pains au chocolat, une Bombasse Atomique crée ici le miracle de la multiplication des abonnements ! Déjà que les vidéos SecretsInterdits se négocient à prix d’or sur divers sites crapuleux de dealers d’occases, on est définitivement bien peu de chose lorsqu’il s’agit de spermater à flots répétés ! Ne va pas chercher plus loin mon Popu, tout est dit et écrit, je ne m’épanche pas en seconde zone, Gatsby + Chromes&Flammes c’est un double concept de Ouf’s, bien plus riche (intellectuellement) que ça !
Il y a même, caché dans la structure, une formule basée sur la science du Motherfucking ! Forcément, à un moment donné on est obligé de passer par là, même s’il y a de gros décollages psycho-orgasmiques gigantesques qui s’implantent dans le cerveau ! Basiquement ça se déguste avec des packs de Corona (virus) dans la glacière en trinquant à la santé du Docteur Rouault qui ne freine pas aux feux rouges. Jamais ! En général, il appuie à donf sur la pédale d’accélérateur et n’économise pas les freins. Mais toujours avec la touche “space-rock” qui grésille bien, qui fait des blips et des blops, des effets délirium, la tête à lécher la bibine dans les décolletés de gros nibards et le cerveau dans l’abîme stellaire traversé par un météore bourré de Macronite qui fait une bonne synthèse de la formule du Covid19 pas compliquée, déjà éprouvée, mais que pas n’importe quel blaireau peut se spermettre de réfuter, faute de péché mortel d’excommunication !
Parce que nécessairement quand on n’a rien à dire il vaut mieux fermer sa gueule… Et le grand Komix il ne l’ouvre que pour de très bonnes raisons, comme sur un “Shit-Coup-De-Trique” avec Madame, ce qui engendre des effets robotiques qui plongent les sujets dans une ambiance genre Millenium taillée direct dans le gras du bidou. Et de là il suffit de décoller vers les étoiles pour se propulser fissa sur la Planète Gros Nibards, avec des putains de tétons radioactifs érigés et des sexes épilés à la brésilienne pour laisser la peau douce sous la main gauche, la droite en aller-retours incessants dans le conteneur à bibine. Ou le contraire ! Il fait trop chaud et j’chui dyslexique après 5 cannettes. C’est simplissime, on met les doigts et on prend son pied ! C’est dingue ! Et pour ceux qui critiqueraient ce texticule bien couillu en affirmant que c’est bourré (comme moi) de sexisme primaire comportant des références tellement bas du cul qu’on dirait qu’elles ont été écrites en état de rut alcoolisé après un gros coup de soleil, je vous rappelle qu’à tout moment, faut assumer la part reptilienne de son cervelet !
Bien, je reprends les choses en mains où je les avais laissées, c’est à dire… Euhhhhh ! Sur le volant ! Le moteur de la Pontiac tourne à plein régime et j’espère pouvoir prendre le tremplin assez vite pour atteindre une ou deux planètes peuplées d’amazones, avec une volonté d’enfer de copuler un max. C’est-y pas la classe ça, mon Popu ? Ouaissss ! Bon ! Trêve de plaisanteries aussi grasses que les putes gratteuses de coucougnettes de classe interstellaire… Au point qu’essayer de pondre une chronique là-dessus pourrait se limiter à un opus liminaire, avec les même gimmicks robotiques textuels et essaimages de jeux de mots ! Et surtout, et ce n’est pas peu de l’écrire, avec le même bonheur primaire de dégueuler sur les connards et connasses rien que pour le fun, gratuitement ou presque ! Dans les années ’70, on les aurait sodomisé(e)s avec raison, mais il faut maintenant se rendre à l’évidence, dans la lignée des magazines de Kustoms et Hot-Rods, il n’y a eu que Chromes&Flammes qui a osé se spermettre de dépasser les limites !
Avoue, mon Popu, que c’est jouissif avec force satisfactions primitives ! Encore plus en se faisant masser les couilles et tripatouiller le gland par la beauté illustrée dans les photos et la vidéo de cette page, parce que c’est la vie, la chaleur, les mini-shorts, les boobs et la bibine fraîche. Oh mais m’emmerde pas avec tes considérations glamour de queutard-cosmique comme il en reste dans les concentres et comme il en sillonne sûrement encore des milliers sur les routes poussiéreuses avant de s’arrêter pour se rafraîchir dans des bars douteux ou on croise des catcheurs et des serveuses/stripteaseuses pré-mouillantes de partouze ! Parce qu’il ne faut pas oublier que c’est aussi vers les étoiles que ces Bitches font vrombir les réacteurs ! Plusieurs G dans ta gueule, juste à coup de bouteilles de 33cl. Écroulé sur le comptoir après des heures à mater les décolletés, tu ne m’étonnes pas que tu fais de drôles de rêves. Il ne vaut mieux pas reprendre la route dans cet état tripesque d’halluciné, pour parler compliqué.
De quoi rouler à fond la caisse jusqu’à atteindre la voie lactée, telle une bande de cochons dans l’espaaaaaaaace !!!! Force m’est de constater que ça prend de la hauteur à une vitesse vertigineuse, le fond de l’air étant de plus en plus chargé en alcoolémie mesurable sur l’échelle de Richter version martienne sur un mid-tempo propice aux extrapolations corporelles de fin de soirée. En gros, faut groover à donf pour fort niquer, mon Popu. Je ne te dirai jamais assez à quel point quand c’est foutrement bien conçu, le fond est ultra-sensuel, au sens propre du terme, du genre Cyprine et spermes qui collent à la peau nonobstant la pesanteur ! Bon, il ne faut pas non plus te leurrer, quand ça bourrine gentiment, ça le fait aussi… Mais c’est un peu plus, disons, trop cool ! C’est un truc pour se finir tranquillou de cuver un Mojito ! Y a que la fin de triste : “Post Coïtum, Animal Triste” qu’il disait Jules (César, pas Vernes) et le réveil fait mal au crâne.
Terminées les envolées dans l’espace, rien de transcendental non plus, comme une poursuite entre flicaille et outlaws ! Se foutre dans le rang, se ranger des bagnoles pour faire comme tout le monde, Quoi tu dis mon Popu ? N’allons pas ensemble jusqu’à verser quelques gouttes de ciguë dans un mélange par trop classique de nids de poules et de vipères sur un parcours trop bien balisé. Il y a de fortes chances que tu sois déjà au courant de l’absurdité de l’existence, une façon de n’aller nulle part, mais avec une conviction de templier Powerglandeur-ex-Nitromaniaque ! Pffffffffff ! Sonnent les cloches ! Je demanderai à Zoot (Dimov) d’agrémenter avec quelques notes de Saxo… Chez Gatsby + Chromes&Flammes l’humour est noir de noir, l’esprit déviant n’apparaissant que trop clairement, car on y extrait surtout de l’huile malsaine pour la diluer dans le whisky du matin… Je te laisse, mon brave Popu, imaginer le massacre qui fait physiquement mal au cervelet ! La seule chose que je peux encore faire pour aller plus loin, c’est de me surpasser dans la bizarrerie, à la limite de l’agression, quoiqu’elle a déjà été atteinte jusqu’au point de rupture et de non-retour !
Voilà un exemple typique de piège bien tendu comme un bon gros et long Chibre et, comme on est à l’ère des faux-semblants, c’est encore pire… J’aurais donc pu tenter d’avoir l’air crédible en chroniquant de la “Grande Musique”, tu vois le tableau, mon Popu ? Bien inférieur aux oeuvres purement expérimentales, parce que moins radical, plus balisé, sans fioritures inutiles, neutralisant toutes lunettes et costards à-la-con pour aller à l’essence de la mystique propre à GatsbyOnline, ondulant mes mots et phrases autour d’un seul mot répété. Ne manque qu’une voix d’outre-tombe, sans cérémonial, sans sentiment de devoir focaliser sur des motifs abscons comme un bouddhiste dont la mystique serait recyclée d’anciennes oeuvres d’art… Magnétique affaire, n’est-il pas, mon Popu ? De toute façon tu n’as toi-même certainement pas évolué vers l’élitisme en vieillissant ! Signe de sagesse. Inventer, défricher, avant-garder, chier les connards, pisser les connasses et enculer les politiquement-corrects, ça fait pluche jeune…
Alors point besoin de manoeuvres objectivistes. La preuve c’est que j’ai toujours, oui, toujours, été beaucoup plus happé par Einstein que par Macron ! Tu me diras que tout ça c’est presque déjà beaucoup trop pour la taille de ton cerveau… Sans doute, mon Popu, mais pas certain ! J’ai cependant déjà fait fabriquer une vidéo alternative qui viendrait en superposition finale de ce texte, j’ai même visionné des champignons nucléaires de tailles différentes et de couleurs variées pour illustrer la fin du monde en finale de la vidéo, mais on m’a conseillé de ne pas les positionner pour éviter un mouvement de panique générale… Au pire les afficonados de la Kustom-Kulture la prendront comme une compilation de mes ressentis viscéralement mystiques qui ne sont que de l’émotion pure pour glauser sur l’expérimentale expérimentation du populaire ! Ce sera une crapuleuse tragédie mystique ou on sentira jusqu’au côté monomaniaque des monolithes ! Je souhaite, en effet, humblement m’inscrire dans la longue tradition de la recherche de l’épaisseur de l’expérience ! Tout est là mon Popu !
Maintenant, des murmures et des bruissements métalliques réveillent mes pulsations neuronales. Des bruits s’agitent et rôdent comme les fantômes qui vivent dans l’usine presque désaffectée que tu peux voir sur les photos illustratives. Des pulsations ramassent leurs échos d’où suintent des chuchotements et des eaux usées par le carbone. Le rythme clopinant de mon cœur dans ce corridor sonique aux étranges nuances, entraine une structure de rythme effritant une certaine cadence pour la reprendre sous les picorements incessants d’élytres métalliques avant de se faire guillotiner par un essaim de bruits oxygénés… Et comme un mourant qui s’éteint et revient pour ses derniers soubresauts dans une ambiance de caverne suintant des parfums étranges qui entrecoupent mes ébats sexuels spasmodiques d’odeurs d’un sanglant champs de bataille, j’en termine ici, enfin…