PSA torpillée par les USA sous le prétexte Iranien…
La France de Sarkozy a été vendue aux États-Unis et à Israël pour l’équivalent d’un plat de lentilles…
Que Nicolas Sarkozy en a tiré profit personnel, c’est une autre histoire qui finira par exploser, de même qu’est mis à jour les mirifiques montants financiers “offerts” par Mouammar Kadhafi et Liliane Bettencourt…
Restons sur la mise à mort lente de l’industrie française…
Les médias publient actuellement une histoire tronquée pour tenter d’expliquer pourquoi l’industrie automobile française est au plus mal…
Ils s’en seraient bien passés, mais il est préférable de diffuser d’emblée, sans attendre, des nouvelles arrangées… que d’oser publier la réalité…
La version officielle, qui ne peut être mise en doute sous le couperet infamant d’être négationniste, avec le cortège de qualifications qui mènent à être taxé de révisionnisme et pire…, est le suivant :
Trois ans à peine après avoir dû voler au secours des constructeurs français par des prêts, le gouvernement prépare à nouveau un plan d’aide au secteur automobile.
La prime à la casse a pu un temps masquer les difficultés…, mais alors que son effet s’estompe, les constructeurs français se retrouvent en pleine déprime.
PSA Peugeot Citroën est particulièrement touché, avec des ventes en recul de 13 % au premier semestre.
Ce constructeur devrait annoncer ce matin (mercredi 11 juillet 2012), environ 10.000 suppressions d’emplois.
Que représente le secteur automobile en France ?
L’automobile occupe une position essentielle dans l’industrie française, car elle est le secteur employant les plus gros effectifs.
Les voitures sont des produits de masse, qui mobilisent non seulement des constructeurs, mais aussi toute une chaîne de sous-traitants, et qui tirent l’innovation.
C’est aussi un produit de référence, par lequel se construit l’image d’un pays et de son industrie.
Les constructeurs emploient aujourd’hui 160.000 personnes en France, mais ce chiffre a baissé de 23 % en deux décennies.
Certes, aucune usine d’assemblage n’a fermé ses portes dans le pays depuis 1992 et l’arrêt du site historique de Renault sur l’île Séguin.
Deux constructeurs étrangers y ont même ouvert de nouvelles usines : Mercedes-Benz à Hambach, en 1997, pour réaliser la Smart, et Toyota à Onnaing, en 1999, pour produire la Yaris.
Mais dans le même temps, les constructeurs français n’ont cessé de supprimer des emplois dans leurs usines de l’Hexagone.
Les douze usines françaises d’assemblage de PSA et Renault tournent en deçà de leurs capacités.
Leur taux d’occupation devrait être de 60 % cette année, alors que le seuil de rentabilité se situe à 80 %.
Pour les équipementiers, le bilan est encore pire.
Le nombre de salariés français des sous-traitants a quasiment baissé de moitié en vingt ans.
La production d’automobiles sur le territoire a baissé de 37 % sur les dix dernières années.
Le constat est sans appel.
Alors que le marché est plus ou moins resté stable, la part des constructeurs français dans les ventes totales s’est érodée (passée de 61 à 52 %).
Et surtout, un nombre de plus en plus grand de voitures achetées en France, qu’elles soient de marque française ou non, est importé.
Le secteur automobile souffre du coût du travail, devenu plus élevé en France qu’en Allemagne.
Le coût horaire dans l’industrie manufacturière en France est aujourd’hui de 36,38 €, tandis qu’il est de 35,74 € en Allemagne.
En 2000, il existait un écart de 4,5 € en faveur de la France. Mais il a été annulé au cours des douze dernières années, explique Denis Ferrand, directeur général de COE-Rexecode.
C’est dû à l’effet des 35 heures en France, entre 2000 et 2004, et aussi à la modération salariale des Allemands durant cette période. La France a fait le choix sociétal de baisser son temps de travail pendant que l’Allemagne faisait celui de restaurer sa compétitivité. C’est ainsi que nous avons connu une divergence.
Ce n’est pas le seul problème.
Les constructeurs français n’ont pas réussi à se positionner suffisamment sur le haut de gamme, comme l’ont fait les marques allemandes.
Elles ont moins investi que leurs concurrentes, du fait qu’elles dégageaient moins de profit.
Or le seul moyen de garder une production dans un pays où la main-d’œuvre est chère est d’y construire des voitures qui dégagent plus de valeur ajoutée, comme un constructeur peut le faire en fabriquant des berlines haut de gamme.
Volkswagen ne produit plus de Polo en Allemagne : elles sont toutes assemblées en Europe de l’Est et en Espagne, tandis que les sites allemands font les voitures pour lesquelles les marges sont les plus fortes, relève Stéphane Reitman, analyste à la Société générale.
Renault et PSA maintiennent en France une part de production de leurs petites voitures. Mais une Peugeot 208 construite à Poissy coûte 800 € de plus que la même voiture assemblée dans l’usine de Trnava, en Slovaquie. Et une Clio faite à Flins coûte 1 300 € de plus que la même voiture faite à Bursa, en Turquie. Ce n’est pas l’approche la plus logique de conserver ces productions en France, poursuit l’analyste.
Peugeot Citroën est actuellement le constructeur qui connaît le plus de difficultés.
Il souffre en fait de ne pas avoir autant délocalisé sa production que l’a fait Renault.
Le constructeur au losange ne produit en France que 25 % de ses véhicules, tandis que PSA y produit 44 % de ses voitures.
Affecté par le recul de ses ventes en Europe, PSA a connu un second semestre 2011 négatif, perdant 500 millions d’euros sur sa branche automobile.
Le constructeur doit faire face à ses coûts fixes.
Si les ventes baissent, il perd de l’argent sur chaque voiture vendue.
Au second semestre 2011, cette perte a représenté 2,5 % du coût de chaque voiture.
Le premier semestre 2012 devrait se terminer sur des chiffres encore pires. PSA, qui ne pèse plus que 2,7 milliards…
En résumé, le message que le gouvernement cherche à faire passer via les médias à sa botte, est assez simple :
– Il faut que les français achètent français…
– L’industrie française doit délocaliser pour survivre, sinon se sera la faillite et la fin de l’industrie automobile française…
– Si tout va mal c’est à cause des 35 heures…
– Si PSA ferme Aulnay c’est donc à cause des français qui ne travaillent que 35 heures, achètent des voitures allemandes et refusent que l’industrie automobile française délocalise…
C’est le genre de lobotomisation Goebbels Hyène qui passe comme un couteau dans une motte de beurre auprès des beaufs et gnous via les médias, pour éviter que les alliés allemands (quoique européens) fassent des menaces de guerre totale façon Blietzkrieg, si c’était le gouvernement qui se laissait aller à dire ce qu’il voudrait pour éviter une Kolossale Katastrophe ékonomik…
Bien…
Mais qu’en est-il réellement ?
En réalité, les États-Unis et Israël, qui possèdent chacun le plus gigantesque arsenal militaire atomique au monde, veulent atomiser l’Iran sous prétexte que ce pays qui n’a menacé personne, chercherait à se doter de l’arme nucléaire…
Ça ressemble à ce qui était affirmé à l’encontre de Saddam Hussein (les armes de destruction massives qui n’ont jamais existé) pour pouvoir exploiter les ressources énergétiques Irakiennes…
Ça ressemble aux délires inventés à l’encontre de Mouammar Kadhafi pour l’empêcher de créer une nouvelle monnaie mondiale, et une nouvelle banque mondiale, qui auraient évincé le dollar…
Ça ressemble aux désinformations journalières concernant de prétendus carnages à l’encontre du gouvernement Syrien pour qu’Israël puisse exploiter les gisements de gaz découverts en Méditerranée (Egypte, Gaza-Palestine, Liban, Chypre, Syrie…
C’est une guerre économique mondiale…
Et dans cette guerre, tout comme en 1914, tout comme en 1940…, la France à une guerre de retard.
L’ennemi ce n’est pas la Russie, encore moins l’Iran, sûrement pas les pays arabes, l’ennemi sont les pays qui nous ruinent peu à peu sous des prétextes mensongers, sous la honte éternelle de la Shoah que personne actuellement n’a vécu et ne peut être responsable, sous le remerciement tout aussi éternel d’avoir envoyé ses jeunes G.I. défendre la liberté en 1944 et 1945…
Tout cela nous a valu d’être envahi d’une autre manière, d’être vendu…
De Gaulle avait vu clair, on l’a fait taire…
Maintenant, c’est la ruine…
Parce que nos pactes prétendument moraux pour ces histoires vieilles de 65/70 ans dont les acteurs principaux sont tous morts et les lampistes survivants sont sur le point de l’être à leur tour…, nous font obliger à accepter ce que les Grands-Maîtres nous dictent… en se faisant aider par des assistances hors normes sous secrets-d’Etats…
Ce qui tue actuellement PSA, c’est l’obligation Sarkozienne aux ordres des USA, de boycotter l’Iran !
L’arrêt au premier semestre de toutes les activités françaises en Iran, le plus gros marché du groupe PSA, est la cause de la fermeture d’Aulnay (3.000 personnes), la réorganisation prochaine de Rennes (1.000 personnes) et des graves déficits qui poussent PSA vers la faillite, l’obligeant à des accords et partenariats avec…
Avec les USA qui obligent à des délocalisations vers des pays satellites afin d’y renforcer leur hégémonie ou à tout le moins leur puissance de “donner du travail” pour obtenir une “reconnaissance” politique…
Le renforcement des sanctions économiques internationales contre l’Iran, a induit une impossibilité de financer l’activité de vente d’éléments détachés vers ce pays.
Les ventes ont donc dégringolé de 31,3% !
PSA a tenté de prendre des mesures pour surnager, mais son président du directoire, Philippe Varin, a averti que PSA allait vers la catastrophe.
Actuellement la capital de PSA est controlé par la famille Peugeot qui détient 25,2% du capital…
Et… General Motors vient d’acquérir 7% du capital et une alliance avec PSA…
Ca ne remplace pas le marché Iranien…
Ca ne réouvrira pas Aulnay-sous-bois et Rennes…
Ca ne paiera pas la perte abyssale des actions boursières de PSA qui dévissent…
27 €uros environ en janvier 2011…
7 €uros en juillet 2012…
Vous imaginez ?
Vous possédiez 27.000 euros d’actions PSA en janvier 2011…, maintenant, en juillet 2012 vous ne pessédez plus que 7.000 euros !
La ruine…
Le titre PSA a perdu près de 80% en un an et demi…
C’est tellement grave que les médias n’en publient rien
Et pour ceux qui croyaient aux valeurs françaises pour leur retraite, c’est la fin !
La faute à qui ?
Merci qui ?
Finalement, ce n’était pas l’Iran qui était visé, l’Iran s’en moque, c’est nous qui étions visé…
Faites votre bilan…
Qui a voulu sanctionner l’Iran qui n’a jamais déclaré la guerre à la France et qui était le plus important partenaire et client de la France ?
Aide-mémoire…
Depuis une semaine, la direction du groupe PSA, a mis en route la grosse machinerie pour préparer l’opinion à l’annonce de la fermeture d’Aulnay et de milliers de suppressions de postes dans d’autres usines.
Dans cette comédie bien huilée, la direction du groupe a reçu le soutien de toute une partie de la presse, bien complaisante : depuis une semaine, les titres, tous plus catastrophistes les uns que les autres, s’enchaînent à la une des médias : PSA s’effondre, PSA au bord du gouffre, a même titré Le Figaro.
Un gouffre où la famille Peugeot ne devrait pas se faire trop mal si elle devait y tomber, sa chute étant amortie par le matelas de milliards qu’elle cache en Suisse depuis des décennies.
Mais la presse n’est pas seule à jouer cette partition : un certain Eric Saint-Frison, consultant automobile, a expliqué le 5 juillet sur BFM avec le cynisme de ceux dont l’avenir n’est pas menacé par un licenciement : La question est de savoir pourquoi il faudrait garder un site industriel là où il ne devrait plus y en avoir ?
Quant à la patronne du syndicat des milliardaires, Laurence Parisot, elle a naturellement pris fait et cause pour la fermeture d’Aulnay en expliquant qu’il fallait accepter des restructurations au nom de la compétitivité… et cela même si c’était douloureux.
Ce qui a provoqué toute cette effervescence, c’est la publication d’un simple chiffre : les ventes de PSA, au premier semestre 2012, auraient chuté de 13,6 %.
Même si ce chiffre reflétait réellement une baisse des ventes, on ne voit pas bien en quoi il justifierait une saignée de milliers d’emplois : rappelons qu’en 2010 et 2011, PSA a réalisé les deux meilleurs chiffres de vente de son histoire, et que même avec 13 % de chute, le groupe resterait encore très au-dessus de ses chiffres des années 1990.
Mais de toute façon, l’annonce de ce chiffre est une grossière manipulation.
La direction oublie en effet de préciser que, suite à l’obligation qui lui a été donnée par le gouvernement Sarkozy de suivre l’embargo américain sur le marché iranien…, GM va s’accaparer de la majorité de PSA en payant ses actions boursières à 20% de leur valeur d’avant obligation d’embargo…
Or, ce marché tenait jusqu’alors la deuxième place dans les ventes du groupe, juste après la France.
En cessant d’exporter en Iran, PSA a décidé de s’asseoir sur 457.000 voitures vendues par an (en 2011), soit quelque 200.000 en six mois…
Quelle surprise, tout juste le chiffre de baisse des ventes annoncé cette semaine !
Il n’y a donc pas de baisse des ventes… mais simplement une annonce bien opportune, qui permet de justifier aux yeux de l’opinion la fermeture d’une usine de montage puis la délocalisation du groupe et sa prise de possession par General Motors…
Pauvre France !