Rolls-Royce Spectre Semaphore
Rolls-Royce Motors Cars dévoile sa Spectre Semaphore, en son unicité d’une commande sur mesure qui fait ses débuts mondiaux le 16 août 2024 à “The Quail”, au Motorsports Gathering, lors de la Monterey Car Week 2024 (c’est en Californie). Hautement personnalisée, elle sert d’appât pour ferrer les bans de millionnaires extravertis s’affichant à l’étal sous la criée de rabatteurs, au prix plus qu’affligeant de seulement un peu en dessous de 400.000 $ (plus taxes et autres bêtises quand même). Cette lourde splendeur presque bradée eu égard aux standards des multimillionnaires, est dévolue à attirer les nouveaux jeunes riches en affichant les codifications audacieuses d’un luxe d’extravertis, réunies dans l’effet miroir d’une peinture jaune sémaphore, réalisée sur mesure, inspirée par les bouées et gilets de sauvetage plus que par l’élégance informelle de la côte californienne. Le capot spectaculaire “Marbled Paint Spill”, peinturluration d’un goûteux mélange d’éphémères nausées, a nécessité 160 heures de développement surement organiques, n’incluant pas l’harmonisation des cadrans d’instruments numériques sur mesure avec le coloris jaune vif et les boiseries en vrai et véritable bois gris de cachemire, qui de plus est trop brillant en double sens, quoiqu’intégrant une finition métallisée plus que métallique se voulant subtile, prétendument inspirée d’un “extravertissement transgenriste”, pour les besoins de sa cause consumériste… Les temps de crises et de guerres y contribuant, les subtiles réserves d’antan ne sont plus de mise, et c’est en évoquant la prétendue élégance informelle de la côte californienne que la ‘Peinture marbrée Spill’, du “capot graphique” est présentée, non pas comme la capture graphique des eaux mazoutées reflétant des bouées jaunes, mais comme étant un hommage abstrait au Golden State Californien et à son environnement sexuellement diversifié…
La facture de l’agence créatrice d’évènements artificiels a du être de même splendeur que celle des irresponsables Gay’s ayant réalisé le canevas des jeux “sexolympiques” parisiens, se substituant ‘gayement’ au cliché du soleil du sud de la Californie se reflétant aux sommets des montagnes d’argent de l’est, ou divers artisans œuvrant exclusivement sur les mesures de la marque, devaient transposer l’inspiration à la réalité… L’Evangile étant que pour créer ce motif (on cause ici toujours du capot bariolé), les artisans de Rolls-Royce ont appliqué de l’argent laqué et plusieurs couches de vernis avec de la poudre d’or, pour obtenir une finition de très haute couture (premier rappel suggestif à la mode)… Le capot à lui seul est ainsi décrit de manière à ce qu’il devienne une œuvre d’art pour musée chic, le produit de plus de 160 heures de conception, de développement plus la production… Ce n’est pas tout, car la facture est salée comme l’eau de mer, il est dit et écrit que le coloris jaune vif se prolonge dans le fort intérieur de la merveille. Diantre… Quel émoi me submerge soudain ? Une combinaison de jaune citron sur mesure (sic !) et de jaune citrine (re sic !) est utilisé sur les sièges, les portes Starlight et au-dessus du tableau de bord. Il se fond dans les teintes contrastées nommées “Grace White” et “Slate Grey” avec des Surpiqûres. (j’ai mis une majuscule pour en surpiquer la grandeur)… Les concepteurs de la marque ont également tiré parti du potentiel numérique sur mesure du système d’exploitation “SPIRIT” complétant les cadrans colorisés en jaune de la voiture. Je vous avoue, à ce stade, être chamboulé, presque cherchant les mots adéquats qu’il sied de composer face à cet évènement… La Spectre Sémaphore est sans nul doute une allégorie au sémaphore envoyant des SOS d’en être arrivé là…
C’est raté, car tant qu’à aller au fin fond du cul des “choses”, une voiture full électrique avec une calandre qui d’origine est un radiateur d’eau embelli, et avec un immense capot qui n’a d’utilité que renfermer un moteur multicylindres essence, est un non-sens aussi navrant que l’affligeance du prix demandé…C’est même pire, c’est se moquer des clients en les rendant pitres prisonniers de mauvaises convenances… Ce l’est de même façon qu’à une époque des hurluberlus mettaient une calandre de Rolls Royce en pré-capot d’une VW Cox.. Cette Rolls-singerie est également surprésentée comme maximisant l’aspect contemporain de la suite intérieure d’un palace, avec un ensemble de bois peint sur mesure, propre et poli, mais coloré pour s’assortir aux accents de (la) matière grise des concepteurs, qui en suintent sans honte… La peinture est décrite comme ayant été spécialement infusée avec des flocons de mica argenté qui créent un éclat vif sous la lumière directe du soleil. Waouwwwww ! Une seule Rolls-Royce Spectre Sémaphore sera construite et exposée le 16 août à The Quail, au Motorsports Gathering, dans le cadre de la présence de Rolls-Royce Motor Cars à la Monterey Car Week 2024… (Spectre: WLTP : Consommation électrique : 2,6-2,8 mi/kWh / 23,6 à 22,2 kWh/100 km. Autonomie électrique 329 mi / 530 km. NEDC : CO2 émissions 0 g/km.)…
D’ici la fin de la décennie, toutes les Rolls-Royce seront entièrement électriques. Espérons qu’elle auront un design représentatif et pas une copie de singeries… Cette Spectrolectique bêtise devrait donc être la dernière Rolls Royce portant de manière aussi indécente (et stupide) la Spirit of Ecstasy à la proue de son capot, qui était d’origine l’ornement du bouchon de radiateur d’eau du moteur… Un gage de bon sens ?
La Spectre est présentée comme étant un coupé-sportif (sic !) de très grand luxe, vraiment immense. Sa calandre (qui n’en est pas une) scintillante est plus basse et plus large que la façade Parthénonesque d’une Phantom… et les coins de son capot se rétrécissent doucement vers le bas au lieu de se tenir aussi droits qu’un garde surmonté d’une peau d’ours ! Mes clins d’oeils à l’aérodynamisme glissantcne diminuent pas la présence gravitationnelle que génère cette ridicule deux portes. Reposant sur une plate-forme en aluminium déliée à l’identique de la Cullinan, mais adaptée pour accueillir une batterie de 102 kWh entre les seuils (ce qui la rend 30 % plus lourde), la Spectre est alimentée par deux moteurs électriques aussi simplistes à fabriquer que deux alternateurs… Celui de l’arrière développant 255cv et celui de l’avant ajoutant 480cv. Rolls affirme que la puissance totale développée équivaut à 576cv avec 664 lb-pi de couple à disposition. C’est assez pour transporter trois tonnes (enfin, 2.890 kg si vous comptez correctement) de cuir, de bois, de lithium-ion, de 0 à 60 mph en 4,4 secondes… La vitesse de pointe restant “suffisante”… Mais c’est un véhicule électrique, alors qu’en est-il de toute cette anxiété liée à l’autonomie ? Et ce n’est pas parce que la Spectre est le véhicule électrique disposant de la plus longue autonomie au monde ! Ce n’est pas le cas. Pas du tout le cas !! L’affirmation officielle est de 329 miles (530 km), mais la huitième merveille du monde se chargera de 10 à 80 % en 34 minutes si le propriétaire a acheté le chargeur de 195 kW recommandé par RollsRoyce au prix d’une station-service…. Ne vous attendez donc pas, à voir beaucoup de Spectre’s faire la queue chez Mc’do… Non, la raison pour laquelle l’autonomie n’a pas d’importance pour la RollsRoyce Spectre et ses propriétaires anxiogènes est simple…
L’entreprise a consulté ses clients les plus fidèles lors de l’élaboration des plans d’un véhicule électrique, la réponse a l’autonomie souhaitée a été quelque chose comme : “Ooh, je pense que 300 miles, c’est beaucoup trop. Si j’avais besoin d’aller plus loin que ça en une journée, je prend mon hélicoptère. Ou mon jet si c’est encore plus loin”… Alors, est-ce la Rolls-Royce la plus verte de tous les temps ? Ne confondez pas la Spectre avec une “éco-Rolls”. Elle n’est pas recouverte de cuir végétalien ou de chanvre d’origine durable. Il s’agit d’un énorme monument roulable dédié à la consommation ostentatoire et on pourrait dire qu’il est en fait, plutôt vulgaire… Bien sûr, les cellules de la batterie sont produites à l’aide d’électricité verte, explique Monsieur Rolls, ressuscité par l’Agence de Marketing, et il y a un engagement à n’utiliser que des métaux de terres rares provenant de sources responsables (Chinoises) dans les batteries, mais par rapport à une Polestar 2 par exemple, ce n’est pas une voiture que vous achèterez parce qu’elle a un œil sur les émissions de CO2 à vie. Vous l’achèterez parce qu’il s’agit d’une Rolls-Royce, avant tout et que vous avez les moyens d’acheter une automobile qui indique que vous avez de grands moyens… Quel est le verdict ? La toute première Rolls électrique est une leçon pour l’ensemble du monde de l’automobile sur la façon de ne pas faire de même exécuter la voiture de luxe ultime avant la fin des temps… L’équivalent du Char de Pharaon… La Spectre devrait être presque parfaite pour justifier un tel montant d’argent titanesque et avoir une carrosserie adaptée OU un moteur V12 ou V16… Et pourtant, je me doutais d’avance (mais on ne sait douter après) que je manquerais d’être vaguement conscients de l’existence d’un douze ou seize cylindres parfaitement équilibrés qui vrombiraient à mes oreilles, enchantées du récital.
J’ai donc mal à comprendre pourquoi on n’économiserait pas quelques centaines de milliers de dollars ou d’€uros pour acquérir simplement un Hot Rod, quoiqu’un e-Roller stérilisé serait plus Fun et utile… Mais au contraire, les gens de Rolls Royce ont fait l’impossible ici pour se gaver d’argent sur la tête des imbéciles fortunés… L’électrique va enrichir Rolls-Royce avec cette gâgâterie galopante de 24 carats, qui rend impossible d’éviter la vulgarité absolue… Cette chose n’est riche que de la décadence des soi-disant jours de gloire, mais est d’une simplicité d’utilisation gratifiante pour un produit inutile si ce n’est que vanité. Alors que d’autres constructeurs se débattent avec le dilemme de la transposition de leurs valeurs d’héritage familial dans un avenir électrique, l’ère de la propulsion électrique ne convient pas du tout à Rolls-Royce. Désolé, mais même les images étonnantes ici ne rendent pas justice à la réalité. La Spectre est une énorme voiture de déclaration de fortune… Elle est imposante plutôt que belle. La forme globale est définie par une ligne de silhouette, une ligne d’épaule et ce que Rolls appelle une ligne d’évasion. Elle a besoin de ses roues de 23 pouces pour faire son meilleur travail visuel. La calandre (inutile pour une voiture électrique) est la plus large jamais vue sur une Rolls quoique que c’est l’ouverture sous la calandre et le pare-chocs qui alimente l’air de refroidissement. La Spirit of Ecstasy se penche-t-elle plus en avant qu’auparavant pour une efficacité accrue ? Les phares divisés semblent mieux résolus ici que sur les autres Rollses-Rosses, les supérieures sont éclairées en permanence. La sensation de force que cette forme et ce corps confèrent est toutefois extraordinaire, bien que la lumière liquide y aide.
Divulgation complète : je la conduit pour de vrai… C’est une idée qui tenait particulièrement à cœur à Torsten Müller-Ötvös, PDG de Rolls qui apprécie mes saillies et mes écritures dans GatsbyOnline, mais plus particulièrement ChromesFlammes… Il m’a dit “Patrice, n’oubliez pas que la Rolls-Royce Spectre est unique mais qui peut être conduite du bout des doigts sur le volant, cette voiture a un imprimatur dynamique unique”... J’ai répondu “OK” et je suis allé vers nulle part… La Spectre est fougueuse, bien qu’elle ne soit toujours pas une voiture de sport. elle mesure 5 m de long, 2 m de large et pèse plus de trois tonnes. Elle a donc un équilibre incroyable d’éléphant-Mammouth nonchalant malgré sa masse. La véritable sensation de direction est un art sombre, mais la Spectre offre une linéarité et un équilibre particulier. Les batteries pèsent 700 kg, donc même avec son châssis en aluminium, la Spectre est lourde. Au moins, leur emplacement quasi “sous le sol” aide à promouvoir un centre de gravité efficace. L’essieu arrière actif améliore la maniabilité à basse vitesse… et la traction intégrale est une évidence. En ce qui concerne la légendaire qualité de conduite R-R, les composants sont familiers à la Ghost, bien que Rolls n’ait pas encore publié tous les détails sordides de l’affaire… Comme sur la Ghost, la Spectre est équipée du système de suspension Planar, qui ajoute un amortisseur de masse mécanique sur le triangle supérieur de la suspension avant pour améliorer le contrôle de la carrosserie. La conduite est ainsi sublimée, même sur des jantes de 23 pouces. Je signale en passant, à tout hasard que la Big Panda de Fiat coûtera moins de 22.000 euros… Il y a des défis très spécifiques lorsqu’il s’agit de développer une Rolls-Royce électrique…
Je vous avoue que je conduis cette chose avec le chef de projet Spectre, Joerg Wunder. C’est l’homme qui doit faire face à un énoncé de mission qui dit essentiellement que “bien n’est jamais assez bon et que même très bon n’est pas acceptable”. Cette Rolls est spectaculairement raffinée, le bruit d’une épingle qui tombe sur le tapis en laine d’agneau pourrait envoyer Joerg, par ailleurs doux, dans une apoplexie… Et pourtant, le silence absolu est oppressant, alors Joerg a été chargé d’atteindre l’équilibre parfait en créant “un bruit”…. “Il faut un certain niveau de bruit pour permettre au conducteur de bien placer la voiture sur la route et de savoir quoi faire à l’approche d’un virage” est sa justification… On ne frole pas la psychiatrie, on est en plein dedans… Rolls est devenu une histoire de fous qui veulent vendre de la folie à des fous… Une idée popularisée par l’ancien patron du cyclisme olympique britannique, Dave Brailsford affirmait que de petites améliorations de détail peuvent s’ajouter à une grande victoire…. C’est pourquoi Joerg grimace lorsque le vent se lève un peu autour des rétroviseurs extérieurs. Il marmonne quelque chose en allemand alors que les portes se verrouillent avec un “kang” plutôt qu’un “whump” approprié à la Rolls… Et il y a un grincement venant du siège du conducteur, qui l’insupporte… Mais c’est parce que je l’ai propulsé aussi en arrière que possible pour loger mon mètre 90 et mes 100kgs. Joerg a l’air songeur et me dit que la Spectre n’est terminée qu’à 65 %. Et que, même à ce stade, cette Rolls électrifiée est le modèle le plus important que l’entreprise ait fabriqué depuis la Silver Ghost de 1906… Müller-Ötvös qui supervise assis à l’arrière dit que c’est la voiture la plus raffinée que j’ai surement conduite et que son ambiance, son atmosphère et l’expérience de voyager ne ressemblent à rien d’autre….
Comme ces deux pontifes recherchent des gains marginaux, alors je leur propose des critiques marginales telles qu’il pourrait y avoir un peu plus de poids dans la direction, et peut-être un peu plus de sensation en haut de la pédale de frein. Dave Brailsford répond que c’est un freinage par régénération déclenché par un bouton “B” sur le contrôleur d’entraînement… À part ça, c’est envoûtant à conduire… Ces deux là, gardent leur poudre sèche sur les détails, mais je suppose que le matériel est fortement lié à la configuration des BMW i7 et iX. Mais Rolls-Royce, consciente de la relation globale, est extrêmement désireuse de mettre un peu d’air frais entre elle et BMW. Ainsi, la Spectre dispose de son propre logiciel sur mesure et l’intégration est singulièrement Rolls-Royce. Son “step-off” est encore plus doux que celui de l’i7, son calibrage général est plus décoré. Il a également une batterie plus puissante, de 120 kWh, ce qui la place au même niveau que les gros canons… Un couple de 664 lb-pi est confirmé, mais la puissance exacte reste une question de spéculation. Au nord de 600cv réels, sûrement, bien que Rolls ne soit pas intéressé par toute sorte de course de puissance, et que personne ne va faire une course de dragsters stupide, quoique je devrais le proposer… Si les moteurs électriques sont les mêmes que ceux de BMW, ils sont synchrones à excitation électrique plutôt qu’à aimants permanents fixes, éliminant ainsi le besoin de métaux de terres rares dans le rotor. Le logiciel de charge s’améliore constamment, et bien que Rolls revendique une autonomie de plus de 300 miles, c’est moins un problème dans cette voiture que dans d’autres véhicules électriques. Le propriétaire moyen d’une Rolls a sept voitures dans son garage, et la Spectre est susceptible d’être une promenade pour une occasion spéciale seulement.
La Phantom, avec son V12 à combustion à l’ancienne, peut faire les choses sur de longues distances. Il est peu probable que vous voyiez un propriétaire de Spectre pris sur les réseaux sociaux en train d’attendre qu’un chargeur se libère, ou de manger un toast au jambon et au fromage pendant que la voiture fait le plein… L’accès à la cabine quatre places se fait par des portes à charnières arrière, que le conducteur ferme en appuyant sur la pédale de frein. Contrairement à certains rivaux haut de gamme, Rolls-Royce a résisté à la tentation de livrer un assaut techno à part entière. Il n’y a pas d’hyperécran ici, ou quoi que ce soit de ce genre. Mais il y a pour la première fois des instruments numériques, qui font un excellent travail pour avoir exactement la même apparence que les instruments analogiques. Il y a un écran tactile central, qui est également accessible via un contrôleur rotatif. La climatisation se fait par de gros boutons rotatifs et les traditionnels disques rouges et bleus des Rolls. C’est une solution élégante. La garniture de toit Starlight s’étend désormais dans les portes et compte à près de 4.800 étoiles éclairées individuellement. C’est une Rolls et c’est aussi la raison pour laquelle vous ne verrez pas un écran de cinéma de style BMW Série 7 dans un Phantom ou une Ghost. La console centrale fait partie du châssis, ce qui contribue à la rigidité, de sorte qu’il n’y a pas d’immobilier funky ici, contrairement à d’autres gros véhicules électriques. Les sièges sont fabuleux, somptueux mais efficaces dans les virages vifs. Et Rolls a conçu son propre système audio monumental, en l’optimisant. Ses rivales ne sont pas des voitures. Les propriétaires de Spectre recherchent l’équivalent à quatre roues de la vue depuis le penthouse One57 à Manhattan, le super yacht Project Norse ou le Gulfstream G650 (un jet privé long-courrier, Elon Musk en a un)… Nous verrons sur quelle vraie puissance la Rolls s’installe, et certains préféreront peut-être qu’elle soit un peu plus rapide, un peu plus, euh, électrisante à conduire. Mais c’est passer à côté de l’essentiel qui est de souligner, dire, crier et écrire que c’est une mauvaise voie question design…. Mais la Spectre fut une expérience véritablement édifiante… on devrait en faire un Hot Rod avec un V16 essence double compresseur…
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