L’uchronique Coupster Porsche 359 !
Le Coupster Porsche 359 n’existe pas à l’origine, ce que vous voyez ici n’existe historiquement pas, c’est une interprétation uchronique de que qu’aurait pu être une Porsche 356 inspirée de la future 959 en Coupé façon 356 Speedster… Difficile à enregistrer, n’est-il-pas ? Vous avez du mal à comprendre ? Normal, c’est une interprétation dingue qui est l’œuvre d’Américains nazifiés durant la précédente présidence de Donald Trump, une utopie dans l’histoire. Le mot “Uchronie” est un néologisme du 19ème siècle fondé sur le modèle d’utopie (mot créé en 1516 par Thomas More pour servir de titre à son livre “Utopia”).
Étymologiquement, le mot désigne donc un “non-temps”, un temps qui n’existe pas. Bien, je perçois télépathiquement que vous n’avez toujours rien compris ! Dans la fiction, l’uchronie est un genre qui repose sur le principe de la réécriture de l’Histoire à partir de la modification du passé. On utilise également l’anglicisme “histoire alternative” (alternate history). On dit parfois que l’histoire contrefactuelle et l’uchronie se distinguent par la prééminence donnée soit à l’événement déclencheur (histoire contrefactuelle), soit à ses suites fictives (uchronie).
L’auteur d’une uchronie prend comme point de départ une situation historique existante et en modifie l’issue pour ensuite imaginer les différentes conséquences possibles. Cette volonté de changer le cours de l’histoire pour imaginer ce qu’elle aurait pu être rappelle la phrase de Blaise Pascal : “Le nez de Cléopâtre : s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé”… La Porsche 356 partage avec l’AC-Cobra la singularité d’avoir été la voiture ancienne la plus “répliquée” au monde ! Mais les temps changent…
Depuis les normes drastiques sécuritaires concernant les automobiles ainsi que les directives des divers CAC-40 imposant des directives-conseillées de réduction des énergies fossiles amenant peu à peu à l’abandon des automobiles “à essence” remplacées par “les électriques”, les répliques ont quasiment disparu ! Terminé le temps des fabricants de Kit-Cars, de Répliques et de Néo-Classiques… Même les Hot-Rods se raréfient comme l’air pur… Je pensais indiquer ici un listing des fabricants de Kit-Cars et Réplicas ayant existé, mais leur nombre est trop important et prendrait des milliers de pages condensées.
De plus je n’avais pas l’humeur de passer mon temps (de plus en plus précieux vu mon âge qui s’avance peu à peu vers une éternité toute relative, 75 ans)… J’ai donc pensé publier la liste des Kit-Cars et Réplicas survivants, mais il n’y en a pas ! Tous se sont cassé-la-gueule dans des souffrances financières apocalyptiques, désastreuses et ruineuses pour eux et leurs sous-traitant… Certes, certains se sont reconvertis dans l’électrification des vraies anciennes ainsi que des Kit-Cars et Réplicas devenus invendables et donc survivants comme des reliques militaires entre les mains de leurs propriétaires éclopés …
Ils sont en effet ravagés par le changement de nos sociétés… Mais ils se retrouvent actuellement plombés/coincés par les nouvelles normes légales favorisant les seuls grands constructeurs qui eux se “cassent la gueule peu à peu” des conséquences de nos sanctions “Boomerang” envers la Russie ! L’exagération des prix que demandent les dits constructeurs est à la fois consécutifs à leur déchéance financière mais devient pour beaucoup d’entre-eux un auto-suicide collectif ! Un moteur électrique pour une automobile est petit, compact, simple, pas plus couteux et compliqué qu’un alternateur !
C’est pourtant facturé plus qu’un moteur essence, aussi bien par les grands constructeurs que par les petits “bricoleurs-adaptateurs-kiteurs-réplicateurs” qui rêvent devenir multimilliardaires comme Elon Musk-Tesla qui est devenu quasiment incontournable et imbattable car il est “le premier” à avoir osé commercialiser des autos-électriques plus chères que les mêmes en essence ! Avec des profits gargantuesques 4 à 8 fois supérieurs aux constructeurs “à l’ancienne” il est devenu rapidement multimilliardaire (bientôt 200 milliards de dollars) 200.000.000.000… Nets d’impôts car il est loin d’être con et naïf…
Du coup il pense décupler son magot avec la conquête spatiale… Destination Mars ! Il n’a pas la tête dans la lune ! Peut-être fera-t-il construire “l’Etoile Noire” avant que je décède ? C’est donc le miracle de la multiplication des petits pains au chocolat et des Cubis de mauvais vin parJésus, que ces gens pastichent, sauf que Jésus agissait pour la beauté du geste (comme fait Bardot pour les chiens) ce qui lui vaudra la colère des commerçants Juifs (Bardot de son coté, s’est mise les chasseurs à dos) et vous avez l’explication Biblique évidente que les commerçants actuels (juifs ou non) ont compris cette leçon de l’histoire…
Ils facturent plein pot aux ahuris crédules qui croient aux miracles ! Voilà l’histoire vraie qu’on vous cache, tout comme on vous cache les réalités de notre monde nouveau ! Revenons-en au Speedster Porsche Réplica 359 qui est la raison d’être de cet article. Je ne vais pas m’emberlificoter dans l’historique de la Porschette 356 Speedster dont je n’ai rien à battre ni à f… Je n’aime personnellement pas plus les Porscheries que les Ferrailleries qui me le rendent aussi ! Pour vous en convaincre si nécessaire, je vous invite à chercher en un clic sur le moteur de recherche perso de www.GatsbyOnline.com …
Ma haine non dissimulée envers les Porscheries et Ferrailleries est justifiée par le fait qu’elles ont été pires, pour mes finances, que mes Maîtresses et Danseuses ! Comme elles, pas toutes car j’en ai eu de très fines et élancées, comme mes ex-putes “en chair”, les courbes rondouillardes de cette “359” dégoulinent de partouze jusqu’à l’écœurement ultime du moite graisseux ! On dirait une VW Cox engraissée qui a fondu sous le soleil. Elle est de plus si basse qu’elle semble glisser sur le sol, écrasée sur des ressorts trop mous.
Ses quatre ailes ont fait de la gonflette et leurs galbes débordants font de l’ombre aux pneus qui chaussent des jantes quasi luminescentes. Elle n’est pas moche, mais elle n’est pas non plus digne d’un premier prix de design. Tout semble toutefois robuste, durable, mais d’une pauvreté émouvante. Ses dessous sont ridicules, les amateurs de doubles-triangles finement ciselés, de géométries réglables, de porte-moyeux en magnésium, passent directement de l’entrée au dessert et restent sur leur faim, car à l’avant comme à l’arrière on retrouve les suspensions de la Cox…
C’est archaïque : double barre de torsion transversale sous le réservoir d’essence et un essieu à bras oscillants de part et d’autre du Boxer-Six Porsche 911T qui fait de son mieux pour maintenir le cap et les roues dans les ailes. Il oscille tant et si bien qu’on a dû le brider pour limiter son débattement en plongée (sous apnée), les roues délestées en carrossage ultra-positif auraient vite-fait d’arracher les ailes arrière ! Ce rapide coup d’œil lubrique sous les jupes de la belle salope laisse malgré-tous des séquelles sur la rétine, on passe rapidement les Ray-Ban, on cherche des lunettes de soudeur tellement tout brille !
Tout est chromé ! Tout fait penser au Palais des Glaces, sauf que tout passe totalement inaperçu à moins de placer la voiture sur cric et de faire le poirier sous les ailes ! Pour son cockpit, Monsieur Propre est passé et a frappé fort, tout est pur, net, sobre, dépouillé, monastique : une planche de bord toute nue en plastique rouge de honte et deux baquets rigides inconfortables récupérés d’un film d’horreur sadomasochiste ! Ils sont à la fois trop bas et trop hauts, on flotte comme dans une capsule spatiale. Vers l’avant on ne voit que le haut du pare-brise et vers l’arrière on ne voit qu’un trou noir !
Le moteur n’est heureusement pas le fumeux et sempiternel VW Flat-Four qui est un chef-d’œuvre de l’art antique, presque une relique nazie qui ferait phosphorer, carburer et sulfater tout Gauleiter, à s’en mettre la glotte de travers ! C’est un 6 cylindres de Porschette 911T, un magnifique bloc-moteur de récupération magnifiquement chromé avec des cheminées d’usine de crémation comme on n’en fait plus depuis 1945 ! Contact et waouwwwww ! Le Flat-Six éructe sa rage comme un discours Fürherastique, il se stabilise à 2000 T/M au milieu d’explosions qui rappellent de haut-faits d’armes inracontables…
On trépigne d’impatience, on débride d’un coup de pied rageur et d’un seul coup on tend le bras pour saluer la foule des badauds… Les Gaz, plus toxiques que le redoutable Gaz “Serein”, trouvent une sortie de secours ultra-rapide via des collecteurs qui se mélangent leurs courbes sensuelles de manière artistique pour sortir majestueusement en une sorte de tromblon émettant une symphonie Wagnérienne façon Valkyrie ! Tout est écrit… Ou presque… Reste à ce que j’arrive à vous faire lire, ébahis, la suite de l’histoire de cette épopée aussi invraisemblable que stupide. Mais je ne puis y renoncer alors que j’ai tracé la route.
Le second tome de ce Mein Kampf automobile aurait dû s’intituler : “L’apparence du corps contribue à la victoire du sur-homme sur le sous-homme”, sous-titré en Yankee par : “The Ultimate Outlaw-machine 359 Hot-Rod” ! J’en ai réduit la taille volontairement pour m’éviter un procès pour apologie du fascisme automobile ! En effet, ce Coupé a été créé par des “personnalisateurs” Porsche qui, en tant que descendants fictifs de dignitaires inventés du IIIème Reich ont volontairement voulu réaliser une configuration épique de la carrosserie (Wagner, Mein Gött, Sieg Heil) !
C’est donc sans regarder à la dépense, donc à très grands frais, sans idée d’une quelconque récupération financière en cas de revente que cette “chose” a été construite ! Moteur 6 cylindres 911 T – Carburateur Weber – Transaxle 911 – Sièges baquets de style Speedster garnis de cuir – Système de sacs gonflables pour régler la hauteur de caisse en cas de “gendarme couché”… Pourquoi ? Parce que développée sans relâche, améliorée et éprouvée dès le début, la série 356 de Porsche restait à leurs yeux la pierre d’angle toute en courbes de la marque légendaire évoluant vers la 959.
Voici la retranscription de notre conversation débile !
-Vous m’avez martelé les tympans pour hurler que pendant une grande partie de sa production jusqu’en 1965, la 356 était, et restait la norme par laquelle les automobiles sportives classiques d’après-guerre seront jugées par Odin à votre arrivée au Wahalalala !
-Alors que la Porsche 356 continue d’être réputée pour offrir des performances exceptionnelles, souvent bien au-delà de celles d’autres voitures de sport contemporaines, en ce compris les Ferrari, en tant que passionnés fiers des créations de nos parents : Chars Tigre, V1 et V2, Panzerfaust et U-boot, nous avons pris les meilleurs éléments disponibles et le style intemporel des voitures allemandes et nous avons créé notre propre version de la 356 “ultimisée”, en nous inspirant de la Porsche 959 avec notre créativité affectueusement reconnue et acceptée par la communauté Porsche comme étant des “Outlaws”, dignes descendants des sous-mariniers en chasse dans l’Atlantique aux commandes de leur U-Boot ! Le résultat est cette Porsche 359 uchronique…
-Evidement que… Sous cet angle… Il est vrai que… Quoique !
-Cette Porsche est basée sur une réplique de 356A de 1958 basée sur un Kit-Car de Classic-Motors-Carriages en Floride qui a été hautement personnalisée dans une ambiance Hot-Rod volontairement décidée. Les vitres de quart arrière couvertes et à persiennes ainsi qu’un capot arrière également à persiennes améliorent l’aspect personnalisé radical volontairement voulu. Les clignotants avant personnalisés et les feux arrière avec un motif en chevron offrent un excellent look personnalisé. Les capacités de puissance et de performance sont bien au-delà des spécifications d’origine avec le moteur 4 cylindres remplacé par un moteur 6 cylindres d’origine 911T respirant à travers de carburateurs à triple étranglement Weber offrant une nouvelle puissance teutonique transmise à un transaxle arrière 911. L’intérieur a été mis à jour et amélioré pour correspondre à notre vision, garni de cuir et doté de sièges baquets légers de style Speedster rembourrés sur mesure et de panneaux de porte sculptés. Une console personnalisée abrite des interrupteurs et des boutons de commande. D’autres mises à jour intérieures incluent le volant de style Banjo, des instruments modernes à l’intérieur du tableau de bord lissé et le déplacement de la roue de secours vers le coin salon arrière habituel !
-C’est effectivement original quoique pas très pratique, mais bon, c’est votre choix…
-Une pile à combustible fuel safe de grande capacité se trouve sous le couvercle du coffre avant et un système d’allumage électronique déclenche le mélange carburant/air dans le moteur. Un système de sacs gonflables permet de régler la hauteur de caisse et les pneus Hoosier montés sur des jantes en alliage de style Minilite offrent un contact routier adéquat.
-Wunderbar… Sieg Heil…
-Sieg Heil…
Développée, améliorée et éprouvée en course sans relâche depuis sa création, la série 356 de Porsche reste la pierre angulaire de la marque légendaire. Pendant une grande partie de sa production jusqu’en 1965, la 356 était, et reste, la norme par laquelle les voitures de sport classiques et les voitures GT d’après-guerre sont jugées. Alors que la 356 continue d’être réputée pour ses performances exceptionnelles, souvent bien au-delà de celles des autres voitures de sport contemporaines, de nombreux passionnés ont pris les meilleurs éléments et le style intemporel des voitures
Ils ont créé leurs propres versions de la 356 « ultime », les produits de leur créativité étant affectueusement connus et acceptés par la communauté Porsche s comme “hors-la-loi”. Cette Porsche 356A de 1958 “Outlaw” est une ancienne voiture du magazine “Excellence” avec une carrosserie hautement personnalisée et une ambiance Hot Rod décidée. Construite par des personnalisateurs Porsche de longue date, la 356A a une présence cool avec son toit haché et ses quartiers avant et arrière élargis. Des vitres de custode à persiennes et un capot moteur à persiennes rehaussent le look personnalisé radical.
Les clignotants avant personnalisés et les feux arrière avec un motif à chevrons offrent un superbe look personnalisé. La puissance et les performances dépassent de loin les spécifications d’origine, le moteur 4 cylindres d’origine étant remplacé par un moteur 6 cylindres d’origine 911T respirant à travers une paire de carburateurs Weber à triple étranglement délivrant la nouvelle puissance par le biais d’une boîte-pont arrière 911. Les améliorations de la suspension comprennent des composants 911. L’intérieur de la Porsche est mis à jour et amélioré en conséquence.
Il est garni de cuir italien beige et doté de sièges baquets légers rembourrés sur mesure, de style Speedster, et de panneaux de porte sculptés. Une console au sol personnalisée abrite des interrupteurs et des boutons de commande. Parmi les autres mises à jour intérieures, citons le volant de style banjo, des instruments modernes à l’intérieur du tableau de bord lissé et le déplacement de la roue de secours/pneu vers la zone habituelle des sièges arrière. Une pile à combustible de grande capacité se trouve sous le couvercle du coffre avant et un système d’allumage électronique déclenche le mélange carburant/air.
Un système de coussins gonflables vous permet de régler la hauteur de caisse à votre guise et les pneus Hoosier sur les jantes en alliage de style Minilite assurent le contact avec la route. Voilà, tout est dit, ou presque, mais cet éventuel surplus à tapoter me fatigue par trop d’avance et je compte en rester là afin de pouvoir profiter de ma piscine Saint-Tropézienne… Chers et chères tousses, j’en ai ici, présentement terminé, je me f… totalement du niveau de contentement ou de haine suscité, je suis capable de bien pire…