2005 Spyker C8 Spyder
“Qu’est-ce que c’est ? D’où vient-elle ?” Si j’avais demandé un euro (le même euro que pour l’abonnement à www.GatsbyOnline.com) pour chaque fois qu’on m’a posé ces questions pendant mon séjour, avec la Spyker C8 de cet article, lors de mon voyage à Pebble Beach dans le cadre d’une des 6 ventes aux enchères y organisées, cela aurait payé la totalité du voyage A/R, l’hôtel et les restaurants chics étant couverts par les auctionners tous heureux de ma présence et des articles réalisés dans GatsbyOnline.
La Spyker C8 est une voiture de sport originale construite à la main propulsée par un V8 Audi monté au centre. Et c’était fabriqué en Hollande. La Hollande est célèbre pour beaucoup de choses, surtout ses champs de fleurs, ses “élevages industriels de Tulipe” (sic !), ses usines de sabots et chapeaux folkloriques ainsi que les putes d’Amsterdam chantées par Jacques Brel. Et la construction automobile en fait partie car la Hollande a une histoire automobile. Les Daf’s et Daffodil’s automatiques ont en effet laissé des souvenirs impérissables.
C’est Hubert van Doorne, qui en est à l’origine car ayant inventé la transmission à variation continue qui faisait le bonheur des dames des années ’60 et ’70. Les camions Daf étaient également renommés, mais la marque Spyker était antérieure à DAF. Les carrossiers Jacobus Hendrik Spijker ont construit leur première voiture en 1898, et le modèle 60/80 chevaux de 1903 comportait un moteur six cylindres, une transmission intégrale et des freins à disque aux quatre roues. Spyker a également construit des avions de chasse et des moteurs d’avion pendant la Première Guerre mondiale.
Les voitures Spyker (les frères ont changé l’orthographe Spijker pour faciliter la prononciation pour les étrangers) jouissaient d’une réputation d’ingénierie de qualité, mais la société a cessé ses activités en 1925. Je fais une avance rapide de 75 ans. Victor Muller, un avocat néerlandais ayant un talent inné pour l’achat et la vente d’entreprises, ainsi qu’une passion pour les voitures (sa collection personnelle incluait Ferrari, Rolls-Royce, Lancia, Maserati, Alfa Romeo) a dévoilé sa Spyker C8 au Salon de l’automobile de Birmingham 2000.
Le nom était ancien, mais le roadster extravagant et détaillé auquel le nom avait été utilisé pour lui donner l’apparence d’une continuité (un vieux truc d’escrocs utilisé à toutes les sauces et occasions telle Bugatti pour en faire du commerce à destination des frimeurs, des opportunistes et escrocs en quête perpétuelle de faire-valoir, de plus-values, et d’affaires juteuses (c’est un double-sens concernant les belles venimeuses qui sont attirées par les “ceusses” qui donnent l’impression qu’ils fabriquent des billets à l’infini, ce qui est parfois le cas)… Voilà, le décor est planté !
Il est évidement facile de considérer Victor Muller comme un riche dilettante avec un complexe Enzo Ferrari qui dépense sans compter. Au cours des neuf années écoulées depuis le lancement de la C8, sa petite entreprise n’a fabriqué que 257 voitures et n’a réalisé que des pertes de plus en plus abyssales. C’est récurent dans l’automobile de luxe, absolument tout les constructeurs sauf Morgan et Ford, se sont cassés la gueule avec des pertes financières abyssales. Même pépère Enzo était devenu un fauché, toujours prétentieux et hautain, certes, mais fauché. Amusez-vous à comparer toutes les marques !
Mais comme on est accroché à ses passions, fussent-elles douteuses, quoique sans lien avec la pédophilie la zoophilie le cannibalisme, la torture et autres passe-temps, lorsqu’on passait quelques minutes avec Muller et sa passion, son enthousiasme, sa détermination à réussir dans l’automobile bizarre ont est sous le charme. Les intérieurs Spyker ont toujours été flamboyants, et cette C8 ne fait pas exception. Presque tout est recouvert de cuir, et si ce n’est pas le cas, c’est de l’aluminium brillant ou de l’acier. Le tableau de bord est jonché d’interrupteurs aux spécification aviation qui coûtent 50 $ chacun.
Ils contrôlent tout, de la climatisation jusqu’à une soupape qui permet aux gaz d’échappement de contourne les silencieux en acier inoxydable pour obtenir un échappement libre. Le volant Aeroblade à ses branches en alu façon 4 pales d’hélice en croix et il est fascinant? Comme j’ai les les yeux perçants et une tête pleine d’anecdotes automobiles italiennes, je reconnais les poignées de porte Alfa Romeo Spyder remanufacturés des années 1970. Je me blotti dans le siège conducteur, ferme la porte, atteint l’interrupteur d’alimentation principal de style avion au centre du tableau de bord. Je le soulève et…
Hop ! Je bascule l’interrupteur, appuie sur le bouton de démarrage et le moteur Audi V8 gronde dans ma vie. Cette C8 affiche à peine 35 miles au compteur. Elle a été transporté directement de Hollande à Pebble Beach, où elle sera utilisée à des fins d’exposition pendant le week-end du Concours d’élégance. Mais Muller, qui vient “faire” Pebble depuis 19 ans, et y expose fréquemment ses propres voitures au Concours, m’a permis de me faire une place dans le Tour d’Elegance, une douce descente sur la pittoresque Highway 1 jusqu’à Big Sur. La C8 est la seule post-1965 du groupe; un vrai vaisseau spatial !
Parmi les imposantes Duesenberg et Packard, les délicates Bugatti et Lancia, les élégantes Delahaye et Ferrari, la Spyker est un Ovni. Ma conduite est donc une croisière assez calme, ce qui est probablement une bonne chose, car cette C8 n’a clairement pas encore subi la pré-livraison appropriée. Je remarque une étrange sensation de liaison dans la direction à un moment donné, et les freins collent un peu, remplissant l’habitacle de l’arôme piquant des patins grillés. Mais après quelques kilomètres, la voiture s’installe et commence à se comporter “comme une grande”…
La conduite est excellente pour une voiture extra-terrestre roulant sur des pneus Michelin Pilot Sport charnus des séries 235/35 et 295/30, et une fois que la route se libère, elle se sent bien pondérée en mains avec des réponses linéaires. Il s’avère qu’en plus de fournir les composants de suspension Evora, les ingénieurs de Lotus ont également affiné la conduite et la maniabilité de la C8, et même à de faibles vitesses de croisière, je peux sentir la main de Hethel à l’œuvre… (Hethel est un petit village du Norfolk, en Angleterre, cinq miles au sud-est du bourg de Wymondham ou se situe l’usine Lotus.
L’Audi V-8 est tout ce à quoi je m’attendais, lisse et sans tracas. Le curieux changement de vitesse à tringleries multiples nécessite cependant un peu de travail – plutôt que de surfer sur les 354 lb-pi de couple et de tout détendre, la ZF à six vitesses a tendance à baisser les vitesses par défaut, même en mode de conduite régulier. Ma conduite suffit à confirmer deux choses : Tout d’abord, cette Spyker est accrocheuse. Deuxièmement, il n’y a aucune raison logique pour laquelle vous dépenseriez 300.000 $ pour une Ferrari F430, où une Lamborghini Gallardo ou une Audi R8.
À côté de cette petite merveille les automobiles classieuses de renom produites habilement calibrées de budgets de recherche et développement de plusieurs millions de dollars, la C8 ressemble exactement à ce qu’on attend d’une automobile construite à la main avec enthousiasme. Elle a des défauts. Elle a des bizarreries. Elles a des pièces qui ne vont pas tout à fait bien. Mais rien de tout cela n’effraie car elle offre une alternative viable aux voitures de sport réservées à une poignée d’acheteurs hyper-fortunés qui ne veulent pas être vus au volant d’une Ferrari, d’une Lambo ou d’une Audi R8 comme leurs amis.
Pour certaines personnes, ce genre d’exclusivité est tout ce qui compte. En janvier 2021, la marque automobile Spyker déposait son bilan. Notre phœnix disparaissait à nouveau, laissant derrière des modèles extraordinaires et une image liée à tout jamais au film Basic Instinct 2. Ce thriller érotique britannico-germano-hispano-américain fut réalisé par Michael Caton-Jones et sortit en salles en 2006. Pour ce film, il fallait une voiture aussi sulfureuse, sportive et magnifique à la fois, une supercar qui ferait rêver… Le modèle retenu fut la Spyker C8 conduite par Sharon Stone.
Spyker était une marque extraordinaire. Elle exerça l’activité de constructeur d’automobiles de 1900 à 1926, puis de 2000 à 2013. Entre 1880 et 1903, Spyker se dénommait Spijker. L’entreprise fut fondée à Hilversum en Hollande par les frères Hendrik-Jan Spijker (1855-1907) et Jacobus Spijker (1858-1932). L’entreprise construisit tout d’abord des véhicules hippomobiles et notamment des carrosses dont le plus célèbre était le Golden State Coach livré à la famille royale en 1898. La même année, l’entreprise déménagea à Trompenburg et la réalisation de prototypes débuta.
En 1900, commença la vente des automobiles avec la Spijker-Benz 3pk équipée d’un monocylindre Benz de 1054cm³ (110×110) développant 3ch à 700tr/mn accouplé à une boîte à vitesses 3 rapports permettant une vitesse maximale de 25km/h. Elle resta disponible jusqu’en 1902. Elle fut complétée en 1900 par les provisoires Spijker-Benz 5pk (monocylindre Benz développant 5ch à 600tr/mn) et Spijker 5pk (bicylindre à plat American Duplex), en 1902 par l’éphémère Spijker 6pk (bicylindre en ligne maison refroidi par eau). Le succès ne fut pas au rendez-vous.
Le 19 mai 1903, l’ingénieur belge Joseph Valentin Laviolette fut embauché pour renouveler la gamme. La Spijker 10/12 équipée d’un bicylindre fut fabriquée en 1903. La Spijker 20/24 munie d’un 4 cylindres fut assemblée de 1903 à 1904. La Spijker 36/50 équipée d’un 6 cylindres de 5073cm³ fut produite en 1903. Elles furent exportées au Royaume-Uni sous la marque Spyker, dénomination qui fut par la suite adoptée. A partir de la Spijker 36/50, fut développée la Spyker 60pk ou 60hp. Elle fut équipée d’un 6 cylindres de 8686cm³ (120×130) muni de soupapes latérales, accouplé à une transmission 3 rapports.
Elle était équipée des freins sur les 4 roues. Sa vitesse maximale était de 75km/h. En 1904, sa puissance fut portée à 80ch pour une vitesse maximale de 100km/h. Elle ne connut pas de succès en compétition et elle fut disponible sur le marché jusqu’en 1905. La transmission intégrale fut proposée en option sur les 4 cylindres Spyker 25/36 (7964cm³) et Spyker 32/40 disponibles entre 1904 et 1905. Des automobiles plus accessibles furent également proposées : telles les 4 cylindres Spyker 16/20 (1903-1907) dite “la chaudière” à cause de son refroidissement par eau insuffisant.
Elles furent suivies par les Spyker 30/36 (1903-1907), Spyker 14/18 (1904-1907), Spyker 20/28 (1904-1907), Spyker 15/22 (1905-1907). La plus remarquable fut sans nul doute la Spyker 14/18 (2544cm³) atteignant une vitesse maximale de 60km/h, munie d’une boîte à vitesses 3 rapports et d’un châssis d’un empattement de 2,36m. En effet, elle finit seconde dans la célèbre course Pékin-Paris de 1907 derrière l’italienne Itala 35/45 équipée d’un 4 cylindres de 7433cm³ accouplé à une boîte à vitesses 4 rapports.
En 1907, la gamme fut totalement renouvelée avec les 4 cylindres Spyker 10/15 (1810cm³), Spyker 15/22 (2799cm³ au lieu de 3456cm³ pour la précédente génération), Spyker 20/30 (4562cm³), Spyker 30/42 (6902cm³) et Spyker 40/80 (10603cm³). Hendrik-Jan Spijker disparut le 21 février 1907 lors du naufrage du ferry-boat SS Berlin et son frère Jacobus se trouva désemparer. Seule la Spyker 15/22 continua à être fabriquée jusqu’en 1910. La firme fut déclarée en faillite en 1908, puis fut reprise par un groupe d’investisseurs qui évinça Jacobus Spijker. Joseph Valentin Laviolette dirigea alors la société.
Une nouvelle gamme fut introduite en 1910 : les 4 cylindres Spyker 10/15 et Spyker 15/25 sous la forme de véhicules commerciaux disponibles entre 1910 et 1912, les 4 cylindres Spyker 12 (1910-1914), Spyker 16 (1910-1912), Spyker 18 (1910-1912), Spyker 25 avec 4589cm³ (1910-1912), Spyker 20 avec 3435cm³ (1912-1916), Spyker 30 avec 6082cm³ (1912-1916), Spyker 14 (1913-1916) et Spyker 12 avec 1795cm³ (1914-1916). Cette production fut coiffée par des automobiles équipées de 6 cylindres : la Spyker 25/30 avec 4199cm³ (1911-1912) et la Spyker 40 avec 7238cm³ (1912-1916).
Fin 1913, Joseph Valentin Laviolette quitta la société qui fut revendue en 1915. L’aviateur Henri Wijnmalen (1889-1964) tint bon jusqu’en 1922. La dénomination devint Usine néerlandaise d’automobiles et d’avions Trompenburg. La Hollande demeura neutre pendant la Première Guerre mondiale et la firme réalisa 200 moteurs d’avions et 100 aéroplanes pour l’armée néerlandaise sous les noms de Spyker-Trompenburg V.1, V.2 et V.3. En 1918, le logo devint une hélice superposée à une roue avec pour slogan Nulla tenaci invia est via (Pour les persistants, aucune route n’est impraticable).
En 1916, l’intégralité de la gamme fut remplacée par deux modèles, le châssis Spyker C2 disponible jusqu’en 1926 destiné aux camions et autobus, équipé d’un 4 cylindres Continental de 4607cm³, et la Spyker C1 13/30pk dénommée également Spyker C1 13/34pk entre 1920 et 1921. Le moteur 4 cylindres de cette dernière présentait la particularité d’être équipé de 3 soupapes par cylindre. Entre 1920 et 1926, fut proposée la Spyker C4 30/40pk équipée d’un 6 cylindres réalisé par Maybach ce qui encouragea ce fournisseur à devenir constructeur d’automobiles à son tour.
En 1922, la société fut de nouveau en faillite et un distributeur britannique la reprit et la rebaptisa Spyker Automobielfabriek. Selwyn Francis Edge (1868–1940), propriétaire d’AC Cars Limited, établit à Brooklands, à l’aide d’une Spyker 30/40, un nouveau record du monde « Double 12 » couvrant 1782 milles (2869 km) à une vitesse moyenne de 119,53km/h pour l’ensemble des 24 heures constitué par deux étapes de 12 heures. La Spyker C4 30/40pk fut modernisée en adoptant les freins sur les 4 roues. Environ 2000 automobiles furent assemblées à Trompenburg jusqu’en 1926, année de l’arrêt définitif.
Maarten de Bruijn, designer néerlandais, conçut un prototype roulant équipé d’un V8 Audi accouplé à une boîte à vitesses 5 rapports. Il acheta les droits de la marque et du logo Spyker. Il exposa la Spyker Silvestris V8 au Goodwood Festival of Speed 1999. Elle était munie de portes “coléoptère”. Le dirigeant de la ligne de vêtements McGregor Fashion Group, Victor Muller fut impressionné et s’associa à Maarten de Bruijn pour créer Spyker Cars à Zeewolde. La première voiture, la Spyker C8 Spyder, était équipée d’un V8 Audi, d’une boîte à vitesses 6 rapports et d’une carrosserie en aluminium.
Elle fit ses débuts au Salon de l’automobile de Birmingham en 2000. La gamme fut étendue à l’aide du coupé Spyker C8 Laviolette en 2001, du coupé Spyker C8 Double 12S en 2002 en utilisant pour ce modèle un V8 BMW, du coupé Spyker C8 Laviolette LWB en 2008. Entre temps, le Spyder C8 Spyder T fut proposé avec un V8 biturbo de 2003 à 2007. La gamme fut remplacée par le coupé Spyker C8 Aileron en 2009. Son V8 pouvait être accouplé à une boîte manuelle ou automatique 6 rapports. Présenté au Concours d’élégance de Pebble Beach en 2009, la Spyker C8 Spyder entra en production en 2010.
Pour faire connaître la marque, une Spyker C8 Double 12R fut engagée aux 24 Heures du Mans en 2002. Elle abandonna au 15ème tour. En 2003, elle fut non classée, car sa distance parcourue était insuffisante. En 2005, la Spyker C8 Spyder GT2-R, équipée d’une boîte à vitesses 5 rapports, une exception pour la marque, abandonna au 76ème tour. En 2006, leurs participations aux 24 Heures du Mans se solderont par deux abandons aux 40ème et 202ème tour, ainsi qu’en 2007, avec deux abandons aux 70ème et 145ème tour. En 2008, les Spyker C8 Laviolette abandonnèrent au 43ème et 72ème tour.
En 2009, la seule engagée finit 25ème et en 2010, la seule engagée finit 27ème. En formule 1, Spyker acheta le 9 septembre 2006 l’équipe Jordan / Midland pour un montant de 106,6 millions de dollars. En cours de la saison 2007, l’équipe Spyker F1 ne marqua qu’un point. Le 29 septembre 2007, le consortium Orange India Holdings acheta l’écurie pour un montant de 88 millions de dollars. La firme réalisa également de nombreux prototypes sans suite industrielle concrète : le SUV Spyker D8/D12 Peking to Paris en 2006, le spyder Spyker C12 La Turbie en 2006, le magnifique coupé Spyker C12 Zagato en 2007.
Il y eut aussi les coupés et spyder”s Spyker B6 Venator en 2013, le coupé Spyker C8 Preliator en 2016 et le spyder Spyker C8 Preliator en 2017. De 2010 à 2012, Spyker détint le constructeur suédois Saab. Néanmoins, le consortium sino-suédois National Electric Vehicle Sweden AB (NEVS) se porta finalement acquéreur de la filiale de General Motors. Des indemnités compensatoires furent demandées sans pour cela qu’elles aboutissent en faveur de Spyker. En janvier 2021, la firme déposait son bilan. Entre 2000 et 2013, environ 380 Spyker furent assemblées. Elles demeureront à tout jamais attachantes.
2 commentaires
Maître, Les finitions intérieures sont impressionnantes sur les photos, mais il faut raison garder : l’investisseur fortuné et avisé s’orientera plus vers une Minari, bien plus rare et au Pedigree réellement extraordinaire !
La Minari a beau avoir reçu l’attention du fisc et celle d’une quantité importante de gens de toutes conditions sociales, ainsi que bénéficier d’une réputation particulièrement flatteuse de véritable monument d’ingénierie fiscale, je dois vous répondre que mes expériences précédentes avec d’autres de mes créations se sont révélées contrastées, allant d’extrêmement positive jusqu’au très pénible…
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