Zenvo TSRS Hypercar-sserole ?
Pffffff !!! Aucun respect je n’ai… Aucun respect je n’ai envie d’avoir… Ceci est l’article du jour… Ouiiiiii, car chaque jour ou presque, je publie un article, parfois plus d’un, parfois pas un durant quelques jours de repos, ou d’orgies, ou d’autres choses. J’en suis à plus de 4.300 que vous pouvez lire sur ChromesFlammes, GatsbyOnline, et aussi SecretsInterdits… et autres pages/chapitres, en sus d’autres encore, soit 14 ans d’écritures. J’en suis moi-même estomaqué, tout paf !
Si je m’étais laissé aller à un ou deux jours et nuits de repos par semaine, cela représenterait 16, voire 18 ans de tapotages… Si j’avais profité de divers temps de voyages, ça ferait sans doute 20 ans d’écritures à 10.000 cacahuètes l’article mis en page, diffusion planétaire, cela amènerait à 43 millions ou 180.000 cacahuètes par mois, c’est à dire beaucoup, sans redites. Avant c’était en presse-papier (en double-sens), plus compliqué et plus lent, maintenant c’est direct !
Et c’est auto-traduit dans toutes les langues imaginables de qui vient lire, soit 10.000 Popu’s par 24heures, toujours en progression… Bref, j’écrivais, avant de… avant de vous… discourir du temps qui passe… Et ici je vais vous papoter d’un constructeur automobile Danois… Voilà… Cet article du jour qui devrait comme les autres se monétiser à 10.000 cacahuètes, c’est Zenvo qui passe/trépasse et qui a créé cette Supercar “légitimée”, donc “à part entière”…. Pfffffffff !
La plupart des gens affirment que la Zenvo est plus adaptée à la catégorie des Hypercar’s…. Ouaihhhh ! Possible !… Ca me fatigue ces appellations, je n’en ai rien à foutre, tout comme de ces voitures qui ne me conviennent en rien. On n’en voit quasi nulle part, même à Saint-Tropez, quoique parfois l’une d’elle déboule de nulle-part, appartenant au propriétaire d’un Hyper-Yacht en centaine de millions et disposant d’ une armada de jeunes pousses bandatoires…
Généralement elles s’avèrent être à la fois carnassières, vénéneuses et couteuses (très), elles viennent faire le spectacle du propriétaire qui finit par se rouler par terre pour en sortir… (c’est un double sens entre sortir de leur Hypercar et s’en sortir de ses nanana’s collantes)… Cela fait partie du fond de commerce des exploiteurs du port… L’exploitation est leur fond de commerce. J’exploite aussi, mais l’exploitation des autres, j’ai aussi publié pour les salles d’attente…
Je cause des mag’s-papier : le bonheur des salles d’attente, surtout celles des dentistes, mais aussi pour les ceusses coincés dans les embouteillages et surtout des embouteillements, mais aussi pour ceux qui restent chez eux rêvant de partir… Avant, du temps des mag’s-papier on tournait les pages, mais j’ai tourné la page vers le numérique, plus simple… Plus de cacahuètes… Bref j’en viens au sujet du jour, sans passion mais avec un relatif hébètement…
Qui donc va acheter cette Zenvo ? Ce n’est qu’ne Hypercar Danoise qui couche dans le même lit que les Bugatti’s et autres grandes putes comme la Czinger, la LMH, la LMDH, l’Oreca, la Ligier, la Dallara, la Riley, l’Isotta Fraschini, les Bugatti’s Bolide, Chiron, Tourbillon, la Hennessey Venom, les Koenigsegg’s Agera, Jesko, Absolut et Gemera, la SSC Tuatara, la McLaren Speedtail, les Ferrari’s, les Lamborghini’s… Pfffffffffff ! Il y en a d’autres, je fatigue trop…
Pour l’instant je fais avec la Zenvo… dont le châssis géométrique hyper angulaire ressemble plus à un rendu de Supercar pour les 24h du Mans qu’à une voiture réelle pour aller chercher une baguette toute chaude (comme ma boulangère Tropézienne), ce qui me fait réaliser non seulement les possibilités de la fabrication moderne, mais aussi les limites de l’imagination humaine, car cette Zenvo n’est pas humaine, c’est une caisse de chien enragé, genre Pitbull !
Toute bête, elle offre des performances folles, suffisamment pour défier les hypercar’s et terrifier les voitures de sport largement modifiées. Bien que la Zenvo ST1 ait été abandonnée en 2016 pour cause de soucis financiers grâââââââââves, il est important de reconnaître ce qu’elle était et ce qu’elle représentait : rien ! Mais c’était simultanément un défi (inutile) à la performance, à l’art automobile ou à un nouveau concurrent de la catégorie Hypercar…
Mais si les réflexions philosophiques sur l’art et la performance sont ma spécialité texticulaire et sont plus que ce que vous aviez prévu, sachez simplement que l’âge d’or des voitures inutiles n’est pas encore totalement derrière nous, il y en a certainement encore à venir. Il est intéressant de noter d’entrée d’article (plus avancé que prévu) que cette hypercar ST1 n’a pas pris , n’a pas fait mousser dans le saladier et que Zenvo se cache toujours dans l’ombre.
Celle de Bugatti et Pagani, ce qui soulève les questions angoissées suivantes auprès des fanatiques : “Pourquoi la Zenvo ST1 n’a-t-elle pas été adoptée ? Est-elle susceptible de devenir un nom établi sur la scène hypercar dans un avenir proche ?”... Ma réponse est que je n’en sais rien, et que je m’en moque quoique la Zenvo ST1 présentait un haut niveau de performance, avec des spécifications suffisamment élevées que pour justifier un prix (très) élevé.
La formule ST1 était assez simple : le V8 Chevy Camaro Z/28 LS7 de 7 litres et 505cv suralimenté et turbocompressé pour un potentiel de puissance astronomique qui montait à 1104cv et 1055 ft-lbs. La boîte de vitesses séquentielle à 7 rapports à embrayage unique supprimant les changements de vitesse difficiles et gênants des modèles précédents, tout en devenant l’une des transmissions les plus rapides au monde, si si si, c’est vrai de vrai…
C’étaient des temps de changement de vitesse aussi courts que 35 millisecondes. De plus, la voiture accueillait trois modes de conduite : Wet, Sport et Track, pour créer une myriade de configurations de puissance allant des 650cv les plus faibles en mode humide (sic !) jusqu’aux 1104cv en mode Track, ainsi que des fonctionnalités modernes classiques comme un système de navigation par satellite et un régulateur de vitesse.
L’intérieur de la voiture exerçait le suave d’une beauté minimaliste, genre pute de luxe, intérieur noir luxueux avec Alcantara couvrant la plupart des surfaces. Bien que cela puisse sembler trop simpliste, en comparaison de Pagani, la bête est sortie en 2009, il s’agissait de l’un de leurs tout premiers modèles et présentait des aspects négatifs, certains assez graves… Et mêmes excessivement graves et flippant… Le genre qui pousse au suicide…
Dans un épisode de TopGear, Jeremy Clarkson avait essayé une Zenvo ST1 et des problèmes mécaniques importants sont survenus, dont l’un a conduit à l’incendie de la voiture qui à l’époque était bradée à 1,8 million de dollars, cela s’est déroulé en direct dans ce qui était sans doute la plus grande émission de télévision automobile de tous les temps… Cela n’a pas rendu mort Jéremy Clarkson, mais a tué raide la ST1.. Enterrement enflammé de 1er classe.
Avec la mort de la ST1 en 2016, Zenvo a toutefois lancé la TS1 avec des crédits et assistances préfigurant Vodolomyr Zeelinsky (qui a avoué s’en être inspiré), c’était une reconceptualisation et il a également lancé deux modèles supplémentaires, la TSR en 2016, un monstre terrifiant, et la TSR-S en 2018, une version routière sexy de la TSR, utilisant la technologie des avions militaires pour maximiser l’écoulement aérodynamique et la stabilité… Risible !!!
Il voulait ainsi démontrer qu’au sein de Zenvo, il faisait constamment progresser sa technologie en faisant tout ce qu’il peut pour laisser sa marque sur le monde de l’hypercar (relisez, il y a un double sens caché)… Alors que la ST1 n’avait pas été adoptée en raison de problèmes de fiabilité, Zenvo affirmant avoir beaucoup appris de ses erreurs, refusant d’abandonner et ayant l’intention de recréer sa place parmi les hypercars légendaires, a commercialisé la TSR-S…
Bien que personne ne puisse fournir de réponses objectives aux questions posées demandant pourquoi se ruiner et ruiner le seul généreux donateur à l’avance, pour n’arriver à rien d’utile, une autre question se posait : “Pourquoi persévérer dans de telles souffrances plutôt que construire une Zenvo en kit-car avec un moteur de Toyota MR2 ou de VW Cox ?” J’écris cela avec bon sens, car j’ai peine à voir ces soi-disant adultes souriant et criant d’excitation.
Mais je reconnais que rien de ce que j’ai vu dans un passé récent ne décrit aussi bien les fantasmes de vitesse et de design de la jeunesse que cette hypercar complètement folle de 1177 chevaux… C’est le genre de chose que vous voyez dans un rendu informatique, pas dans une piste réelle, et encore moins sur des routes ordinaires. Cette voiture, avec son grotesque aileron arrière inclinable massif, est en fait miraculeusement légale pour les routes européennes…
Sans doute parce que l’étude de faisabilité Danoise avait l’approuvatur de la commission Européenne qui étant hyper corrompue, l’avait été davantage… Si vous ne connaissez pas encore le constructeur de cette hypercar, Zenvo est une entreprise danoise fondée en 2004. Ils se contentent d’essayer de construire une voiture chaque année, aucune ne se vend… C’est de plus chaque année la même avec quelques modifications inesthétiques…
Pourtant, la Zenvo a un look garanti pour faire tourner les têtes. Tout ce que vous voyez et ne voyez pas sur la voiture, Zenvo le fabrique en interne y compris la transmission, le moteur et les éléments aérodynamiques totalement fous. Chapeau bas à Troels Vollertsen de Zenvo et à son équipe de passionnés d’engrenages, car il faut être un passionné d’engrenages pour connaître Zenvo… Troels Vollertsen a fondé Zenvo Automotive en 2004…
Le monde a rencontré le premier prototype Zenvo en 2008, et la production a débuté l’année suivante ce qui n’a servi à rien puisque Top Gear a cramé la bagnole… Zenvo est la seule entreprise de fabrication automobile du Danemark, basée à Præstø sur l’île danoise de Zélande. “Troels Automotive” sonne mieux que “Zenvo” parce qu’il a la sonorité de “troll”, mais c’est la combinaison des deux premières et quatre dernières lettres de son nom de famille.
Heureux de ne fabriquer qu’une hypercar par 10 ans, la société danoise persiste et à en projet de réaliser une hybride à moteur V12 capable de tourner à 10.000 tr/min. Les détails pertinents restent privilégiés et ne sont partagés qu’avec les acheteurs potentiels aux poches profondes. Donc personne n’est informé…Il est intéressant de noter que la clientèle de Zenvo se trouve en dehors du Danemark et de la planète Terre, en raison du prix atypique…
Il est de presque 2 millions de dollars ! Mais un client danois n’a pas pu résister au charme de la TSR-S en 2018 et a payé la somme astronomique de 1,65 million de dollars pour l’installer à perpétuité dans son salon. En attendant l’arrivée de la mystérieuse V12 Zenvo hybride en 2025, l’actuelle et dernière et seule TSR-S est une hypercar axée sur la piste avec une plaque d’immatriculation et un aileron grotesque vous mettant au défi d’oser faire un mouvement…
Même une Porscherie GT3 RS de 518 chevaux se sentirait petite à côté de cette voiture, malgré un brillant mélange d’aérodynamisme. Pour comprendre d’où vient le design sauvage de la Zenvo TSR-S, sachez, mes Popu’s, que c’est une évolution extrême du design du premier prototype de la Zenvo. Il est doté d’un énorme séparateur avant et de prises d’air latérales spectaculaires poussant l’air vers le V8 biturbo suralimenté de 5,8 litres.
Une transmission manuelle automatisée séquentielle à sept vitesses envoie la puissance du V8 aux roues arrière. L’aile arrière inclinable est assez grande pour y servir une dinde de Noël. C’est actif, mais d’une manière folle. Zenvo a décidé d’améliorer ce que fait un aileron actif typique en lui donnant un comportement centripète tel qu’il ne fonctionne pas seulement comme un frein, mais s’incline à droite et à gauche prétendument pour améliorer l’appui…
Celui de la roue intérieure dans les virages serrés… Personne dans l’univers ne s’habituera jamais, jamais, de voir cela. C’est totalement grotesque, voire clownesque… Le moteur de 5,8 litres à double suralimentation en fibre de carbone développé par Zenvo, et la baie qui l’abrite, sont tout aussi beaux à voir, car en réalité on ne voit qu’un cache en carbone… Le poids à vide de 3296 lb de la voiture est toutefois plutôt impressionnant.
C’est compte tenu de tous les composants de haute technologie et des gadgets axés sur la piste entassés dans l’ensemble. Cela ne veut pas dire que l’intérieur est aussi vertigineux que l’extérieur ou ne se trouve qu’un appareillage de commande minimaliste conçu par Zenvo et un simple écran tactile qui n’est même pas le point culminant de l’intérieur angulaire en fibre de carbone. Ce modeste écran tactile s’est avéré n’être qu’un iPad…
J’ai compris que ma sensation d’être trompé était une réalité, compte tenu du prix de 2 millions de dollars plus options. La carrosserie est toutefois principalement en fibre de carbone, ce qui explique en partie pourquoi l’automobile de plus de 3.000 livres peut passer de zéro à 62mph en 2,8 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 202mph. Il était donc tout à fait naturel que Zenvo inclue des freins en céramique en fibre de carbone.
C’est pour spermettre de maîtriser toute cette puissance, le moteur produisant 840 lb-pi de couple. Glup !!!! La Zenvo TSR-S n’a, de plus, pas un intérieur ultra-luxueux. Bien sûr, vous pouvez acheter une puissance similaire avec moins de 2 millions de dollars, mais ce qui est le plus spécial à propos de la TSR-S, ce ne sont pas les 1.177 chevaux, le V8 sur mesure générant ces chevaux ou la capacité de la voiture à atteindre 124 mph en moins de sept secondes, non…
Ce sont… Euhhhhhh !!! Ce sont… ben quoi ! Ce sont, certes des statistiques impressionnantes mais la vénérable McLaren Senna est loin devant… Mais tout cela, n’est pas “la chose” la plus spéciale à propos de la Zenvo TSR-S… Quelle est donc “la chose” qui attire le plus les réducteurs habitués aux hypercars puissantes avec des sorties à quatre chiffres ? C’est l’aérodynamique atypique de la TSR-S. Tenez vous bien au pinceau, va va chahuter ferme…
Grâce à deux actionneurs hydrauliques, les ailes arrière actives tentaculaires s’inclinent également jusqu’à 20° sur l’axe longitudinal de la voiture…. Cela imite la façon dont les motocyclistes se penchent d’un côté et de l’autre pour obtenir un couple gravitationnel afin d’équilibrer le couple de la fausse force !!!! Ca vous en bouche un coin… Avouez… Comme vous pouvez l’imaginer, il se trouve que c’est le point central de cette voiture.
Pour ce qu’un aileron arrière fait généralement, l’aileron arrière “incliné” de la TSR-S semble toutefois contre-productif. Vollertsen de Zenvo a expliqué que les ailerons arrière génèrent une force d’appui qui reste perpendiculaire à son plan mais, inclinés, créent un vecteur de force, permettant à son effet de se déplacer sur l’essieu arrière… Ben oui, on en apprend tous les jours, me disait ma Maman pour m’aider à mes devoirs lorsque j’avais moins de 10 ans…
Il a admis que l’inclinaison prive l’aileron d’environ 5 % de son appui, mais qu’il utilise jusqu’à 30 % de l’effort total de l’aile comme force latérale pour contrer le roulis. Arghhhhhh !!!! Le roulis… Pour profiter pleinement de l’effet de l’aileron arrière inclinable, m’a dit Vollertsen, conduisez la voiture plus fort. Je n’ai pas osé refaire une redite de Top Gear… Mais j’aurais dû, rien que pour les photos… En ce cas presque 40 photos à positionner…