Hennessey Venom F5 500km/h 1800cv
YOOOOOOOOOOO ! ! ! Les ingrédients de base de la SuperCar Venom F5, en font une lecture étonnante pour qui sait lire… Hélas, en cause des réseaux asociaux, les populaces ne lisent que les titres et les légendes-photos et perdent leur temps de vie à gagater des fakes-news… Dans cet état de non-esprit et de vide, l’hallucinant et l’hallucinogène dérèglent le monde, en ce compris les SuperCars parées de tous les adjectif surlignés par les influenceurs et influenceuses, qui sont maintenant des robots IA indiscernables d’humains, fussent-ils ambianceurs/ambianceuses convertissant leurs Gnous aux bonheurs présupposés du consumérisme primal… Hennessey, qui surnage dans l’illusion, prétend prévoir depuis 5 ans de construire bien plus-mieux que les SuperCars ultimes destinées à la Super Classe des Super Riches… Ahhhhhh ! De quelles SuperCars s’agit-il ?
On cause ici mieux en pire que de SuperCars, mais d’HyperCars Hyper Ultimes, construite à seulement 24 exemplaires numérotés/dédiés à seulement 24 HyperRiches Richissimes – 12 pour le marché américain et 12 autres pour le reste du monde, à 2,1 millions de dollars par pièce numérotée, plus taxes et frais et divers et extras obligés, amenant à un HyperPrix de 3 millions et demi de Dollars (en hausse par rapport au prix initial de 1,6 million de dollars d’il y a 5 ans, ce qui oblige tout le monde à attendre l’équivalent du Graal). La société Hennessey vise une vitesse de pointe supérieure à 311 m/ph (500 km/h pour les types européens) pour cette F5… Son V8 biturbo de 6,6 litres produit, tenez-vous bien, 1.817CV à 8 000 tr/min et 1.192 lb-pi de couple à 5.500 tr/min… Hennessey appelle son puissant moteur “The Fury” et affirme qu’il s’agit du moteur de voiture de route de série le plus puissant jamais produit dans l’univers.
Ce chiffre de puissance a fait la une des journaux et magazines automobiles au même moment ou la presse papier “se cassait la gueule” (le Groupe Michel Hommel en tête dont “Echappement” et “Nitro”, en même temps que “HotRod” et autres mag’s aux USA)… Simultanément, divers constructeurs automobiles, obligés par nos bureaucrates à se convertir à l’électrique, ont débuté une descente aux enfers… Les Hennessey Venom F5, elles, sont restées fidèles et faites pour de la vraie essence aux normes E85… Hennessey a même publié des chiffres de puissance invraisemblables, jusqu’à 1.817cv pour sa Venom F5, glougloutant allègrement 50L aux 100kms avec du carburant non E85, car elle-même étonnamment subtile, menteuse et vicieuse comme nos politiques. C’est donc une HyperCar potentiellement scandaleuse, un vrai futur bonheur pour ceux en ont les moyens financiers…
Et Hennessey tient de manière “Susse moi le gland pov’couillon” à parler aux influenceurs et influenceuses qui font l’opinion dans les réseaux asociaux, de sa dynamique et de son engagement de constructeur… En d’autres termes, la Hennessey Venom F5 n’est pas seulement conçue pour être un dragster de route à moteur central…. La clé de sa personnalité, selon Hennessey, est sa cuve/carrosserie en fibre de carbone, ultra légère (environ 200kgs) et rigide… Le gag est que cette Venom F5 sera produite au Royaume-Uni d’Angleterre où une grande partie de son ingénierie a été conçue par le partenaire technique de la société Hennessey : Delta Motorsport… Il s’agit d’un sous-châssis en aluminium à l’avant et à l’arrière avec du plastique carboné entre deux… Waouhhh ! Quel gag… La bête, de plus, dispose d’une suspension à double triangulation avec amortisseurs à ressorts hélicoïdaux “Penske-Racing” à chaque coin.
C’est comme un retour vers le futur avec essieux rigidifiés… Simplicité et légèreté des composants sont les objectifs clés pour la F5, et Hennessey affirme que la voiture ne pèse que 1.000kgs à sec.. C’est beaucoup moins qu’une Lotus Evora, mais avec quatre fois plus de puissance. Toute cette fureur entraîne uniquement les roues arrière par l’intermédiaire d’une transmission manuelle automatisée à sept rapports à embrayage unique avec palettes de changement de vitesses CIMA (qui fournit également le différentiel à glissement limité de la voiture). Les pneus du modèle de production sont des Michelin Pilot Sport Cup 2 (265/35 ZR19 AV, 345/30 ZR20 AR), et pour ralentir les choses de leurs vitesses folles, des freins Brembo en carbone-céramique (15,3 pouces x 1,3 pouce AV/AR) avec étriers AP Racing (six pistons AV, quatre pistons AR)… Bonne chance, comme disent les truands à leurs prochaines victimes…
La puissance, les paramètres de contrôle de traction et une foule d’autres choses en blablatages pour la Hennessey Venom F5, sont réglées selon des modes de conduite préconfigurés : Wet, Sport, Drag, Track et le F5 Vmax susmentionné. En examinant les chiffres de Hennessey, j’ai eu le sentiment que la F5 était une sacrée poignée de mensonges… Même avec des limitations de traction, Hennessey revendique toujours des statistiques de performance folles et impossibles… Que pensez-vous de zéro à 130 m/ph en 4,7 sec’s ? Ou de zéro à 190 m/ph en 8,4 sec’s ? Et qu’en est-il d’un zéro à 250 m/ph en 15,5 sec’s ? Ces chiffres sont fous sur le papier, voire inaccessibles, mais Hennessey confirme… En 2014, la Venom GT, la première HyperCar de Hennessey, qui empruntait un châssis et le look d’une Lotus Exige, atteignait 270,49 m/ph, revendiquant ainsi le titre de voiture la plus rapide du monde. Pfffffffffff !
En son habitacle, en son intérieur, en son moi-profond psychologique, la Hennessey Venom F5 est remarquablement simpliste, avec un tableau de bord propre mais désuet, sans boutons sur lesquels appuyer… Et le volant qui agit comme étant le véritable centre de contrôle, dispose de cadrans rotatifs et d’interrupteurs délicieusement mécaniques. Le carbone apparent et le cuir de haute qualité fournis par Muirhead en Écosse (une tannerie depuis 1840) sont astucieusement combinés pour créer l’impression d’un cockpit ayant choisi l’ambiance minimaliste… Et bien, c’est pareil pour l’ensemble qu’est la Venom F5 qui est, de plus, synonyme de capacité aérodynamique (un coefficient de traînée de 0,39) et de sensibilité d’HyperCar grâce à un séparateur en fibre de carbone, un aileron, un grand diffuseur arrière, un soubassement plat et de nombreuses incisions dans la carrosserie pour faciliter la circulation de l’air.
Waouwwww ! Une partie de la fumeuse cuve en fibre en carbone (sic !) est exposée pour un effet spectaculaire… Et Hennessey affirme que le treillis en fibre de carbone usiné CNC à l’arrière de la F5 est le plus grand morceau de fibre usinée appliqué à n’importe quelle voiture dans l’univers connu… Donc c’est ça, la vérité vraie ? Tout ce Barnum éculé est un vaste programme de lobotomisation collective saupoudré d’essais ayant débuté essentiellement il y a 10 ans, en soulignant, en très gras, que c’était avec le potentiel du légendaire ancien pilote d’essai et pilote de course de la General Motors : John Heinricy, qui œuvre avec Hennessey pour façonner la dynamique de la voiture. Il semble de plus, presque incroyable que Hennessey envisage de fabriquer une voiture capable de dépasser les 311 mph, soit 500km/h et est amusante à conduire et accessible au commun des mortels pourvu qu’il soit Hyper Riche… Mais c’est l’objectif.
Les 24 voitures de production Venom F5 assemblées en Angleterre seront fignolées à Sealy, au Texas, USA, dans de nouvelles installations construites à côté du service Tuning existant de Hennessey…. Ca ne fait pas très sérieux ! Je me suis donc engagé à suivre de près le développement de la Venom F5, jusqu’à ce qu’elle décolle vers cet horizon de 311 m/ph sur la piste d’atterrissage de la navette (3,2 miles de long) de la NASA en Floride… Je n’ai pas même eu le temps d’aller voir… Car soudain, que lis-je et qu’entends-je un matin, tout en rêvassant face à la mer Méditerranée, dans mon havre des jardins Saint-Tropézien ? “Une hypercar de 3 millions de dollars s’envole, plane puis s’écrase et se renverse, endommageant la piste de la navette spatiale de Cap-Carnaval… Euhh… de Cap-Cansavérail… Euhhh… de Cap-Canavéral, en Floride”... Waouhhhhhh !
L’hypercar testait un prototype d’ensemble aérodynamique qui a échoué à 250 m/ph. A seulement 61m/ph du but qu’étaient les 311m/ph !!! Imaginez… Tester une voiture qui espère aller si vite qu’une piste standard ne suffit pas ? Hennessey Performance a en effet dû re mettre en service “LA” piste d’atterrissage de la défunte et retirée navette spatiale au Centre spatial Kennedy en Floride, pour tester la Hennessey Venom F5 en son ensemble aérodynamique expérimental. L’Hypercar sur mesure, la Venom F5 de 1.800cv. a donc tenté inopinément de décoller “Objectif Lune”… Tintin est de retour avec Milou… Malheureusement, cet ensemble aérodynamique (gag !) n’a pas réussi le test prévu, mais a tenté bien mieux en pire, avec des résultats spectaculaires. Direction la Lune… Le Cosmos… Les étoiles… La renommée inter-galactique… Gravity et Interstellar réunis… L’étoile noire…
Selon un rapport de “ClickOrlando”, le pilote/cosmonaute John Heinricy aux commandes de la Venom F5, a perdu le contrôle en phase de décollage vers les confins de l’univers (sic !) et s’est renversée après un envol inédit, divers looping, et un alunissage… Euhhhhhhh ! !!! Un crash… Tout cela lors d’un décollage à grande vitesse, causant des dommages irréversibles à la piste de 15.000 pieds. Le PDG de Hennessey Performance, John Hennessey en personne qui a assisté au décollage de la potentielle mise en orbite, a confirmé l’incident dans un post quasi lunaire sur Instagram : “Le 1er juillet 2024, à 10h locale, notre équipe testait une nouvelle configuration aérodynamique expérimentale sur notre prototype Venom F5 appartenant à l’usine au centre d’atterrissage de la navette au Centre spatial Kennedy (KSC) de la NASA, a fonctionné au delà de nos voeux, accélérant de 0 à 250 mph en un peu moins de 4.000 pieds”…
La suite est phénoménale : “Lorsque le véhicule a décollé comme la Nasa aurait espéré que l’ancienne navette spatiale puisse le faire, sur le moment certains ingénieurs ont hurlé leur bonheur que nous réussissions ce qu’eux n’avaient pu réaliser : un décollage de la navette spatiale… Mais la Venom à soudain décidé de rester sur terre et a cherché par la gravité à revenir sur la piste, perdant l’appui de cette même piste, une traitrise faisant perdre le contrôle à notre intrépide cosmonaute-conducteur. Plus important encore, notre pilote d’essai s’est sorti de l’incident sans blessure. Hennessey a donc réussi l’exploit de repousser les limites de la vitesse, de la performance et de la physique dans une zone qui n’a jamais été facile. Notre équipe évaluera les données aérodynamiques pour déterminer la cause profonde du dérèglement orbital”… Lorsque Hennessey dit que “Le véhicule a perdu de l’appui” c’est donc lors de la pré-ascension orbitale…
La première pensée des ingénieurs de la NASA est qu’une partie importante de l’ensemble aérodynamique a échoué suite à un sabotage des Russes, Poutine est dans le coup… Vraisemblablement pour redorer l’image de LADA, la marque concurrente de Hennessey en Russie, soucieux de préserver l’image positive des Sputnick’s. D’une manière générale, la corruption influence sur la perte d’appui ce qui se produit à grande vitesse. Hennessey n’a pas confirmé si c’est ce qui s’est passé, mais cela semble être un scénario probable. Les Russes se vengeant du sabotage de leurs gazoducs… Hennessey a poursuivi en remerciant ses ingénieurs d’avoir construit un véhicule incroyablement solide ayant résisté au décollage mais pas à l’atterrissage brutal et il a remercié les premiers intervenants au Centre spatial Kennedy.
Le Big Boss d’Hennessey a terminé en citant le célèbre discours de John F. Kennedy à l’Université Rice sur la mission des États-Unis sur la Lune… Pendant ce temps, de retour sur Terre, il semble que personne n’ait été gravement blessé dans l’accident. Selon une facture obtenue par “ClickColorado”, l’accident a causé des dommages d’une valeur de 712,70 $ à la piste. Une équipe de matières dangereuses a dû nettoyer 3 à 4 gallons de fluides hydrauliques et d’éthanol issus du véhicule, réparer trois écailles d’asphalte et ajouter un matériau d’étanchéité à un endroit. Compte tenu de la vitesse à laquelle la Venom F5 allait, les dégâts (à la piste) sont relativement minimes. Et bien que ce soit certainement une chance pour le conducteur de n’être que paralysé, sourd et aveugle, ce n’est pas la première fois qu’une navette spatiale explose dans les airs…
Mais alors que tous les occupants sont alors morts, il se fait que le cosmonaute de l’Hennessey Venom F5 à survécu… Il est certes amoindri et ne pourra plus piloter, ni entendre, ni voir, ni se mouvoir, mais c’est un héros qui malheureusement ne s’en rendra jamais compte… Comme pour les missions lunaires, toutes les images et séquences des films de l’incident, ont été saisies et expurgées, car elles contiennent des “secrets commerciaux”, qui ne peuvent être connus du public qui doit rester dans l’ignorance de ce qui est en réalité une énorme victoire américaine sur les forces du mal… Selon “Space Florida” la main de Dieu a épargé la vie d’un innocent qui se vouait à la Gloire de l’Amérique… Donc, à moins que Hennessey Performance ne publie les images ou diverses séquences, nous ne verrons probablement jamais comment tout cela s’est réellement passé…