Bugatti Bolide 2025 V16 6 millions €
Hérétique est un terme utilisé par l’Église pour condamner ceux et celles qui critiquent le clergé, s’opposent à son autorité ou contestent la doctrine qu’elle fixe. Ce terme parait être tombé en désuétude, il n’en est rien… Est hérétique celui qui refuse la vision d’un Zeelinsky quasi divin et d’un Poutine diabolique.. Celui qui critique le génocide des palestiniens par les Israéliens (50.000 quand même)… Celui qui réprouve les génocides des Amérindiens et des Aborigènes par les colons Européens, car au XVIe siècle, l’expansion des empires européens a conduit à la conquête de l’Amérique, de l’Afrique, de l’Océanie et de l’Asie.
Cette période d’expansion a entraîné des massacres et génocides, de nombreux peuples autochtones, étant amenés au bord de l’extinction. Relire les sources sur l’hérésie pour montrer comment celles-ci, produites par l’Église, après les événements indiqués, révèlent la manière dont elle a renforcé son pouvoir et sa doctrine par l’exclusion des dissidents puis, progressivement, par la mise en place de leur persécution et vous n’irez plus prier dans des églises… En effet, l’accusation d’hérésie est une arme rhétorique, utilisée par l’Église pour délégitimer l’adversaire, au service de luttes d’influence et de pouvoir…
Ces dissidences ont originellement pris la forme de mouvements anticléricaux et réformateurs. Cet imaginaire de la conspiration hérétique se retrouve encore dans l’iconographie du “Traité du crime de vauderie” écrit en 1460 par Jean Taincture (vers 1405-1469) dans le cadre du procès contre les sorciers d’Arras. Sur cette miniature, plusieurs habitants sont assemblés de nuit, loin de la ville, cachés derrière un rocher. Alors que des sorcières volent dans le ciel, ils sont agenouillés derrière le diable incarné en bouc. Ils le prient et se préparent à lui baiser l’anus, s’adonnant ainsi à un culte scandaleux.
Les hérétiques sont désormais perçus comme les agents du diable conspirant contre la Chrétienté, subvertissant le monde et la religion… Tout ceci formant nos croyances, elles se retrouvent dans la pompe et le décorum et les amuse-gueules, qui nous sont jetés en pitances intellectuelles comme la merde aux cochons. Le premier client a avoir acheté une Bugatti Bolide est américain, et est aussi le premier à emmener une Bugatti Bolide sur piste dans le barnum d’une livraison avec fanfare, il connaissait déjà très bien le Circuit des Amériques (COTA), un joyau vénéré du calendrier de la Formule 1.
Mais ce n’était pas un tour de piste comme les autres pour lui, c’était le moment de repousser les limites de la Bugatti Bolide, de faire l’expérience directe de cette hypersportive quasi rocambolesque lui vendue 4 millions de dollars (presque idem en euros) plus taxes et frais divers amenant la bête à 6 millions de dollars. L’équipe d’experts du service client de Bugatti a confirmé sous contrat avoir veillé à ce que chaque détail soit couvert par une assurance illimitée bien avant que la voiture ne touche le tarmac du circuit COTA, ou le propriétaire a été plongé dans une passation de pouvoir statique et un briefing technique.
Chaque nuance, chaque détail de la voiture a été exploré, le préparant à ce qui l’attendait sur le circuit de 5,513 km. Avec 20 virages difficiles, COTA est connu pour tester même les pilotes les plus talentueux… Cette préparation n’a fait qu’augmenter son enthousiasme pour la journée inoubliable et pleine d’adrénaline à venir. Au fur et à mesure que l’anticipation du propriétaire grandissait, la journée se déroulait méthodiquement pour assurer à la fois sécurité et plaisir. Après deux tours d’échauffement, offrant un aperçu de la maniabilité et des capacités, la voiture a été renvoyée aux stands pour vérifications.
L’équipe a méticuleusement veillé à ce que chaque détail, de la pression des pneus aux niveaux d’huile, soit optimisé. Avec la Bugatti Bolide amorcée et prête, le propriétaire s’est lancé sur la piste… Il a libéré tout le potentiel du V16 de la voiture sur 12 tours très chauds. La pluie a ajouté un défi supplémentaire, mais elle n’a fait qu’augmenter le frisson, car le pilote s’est retrouvé poussé lui-même et la Bolide à leurs limites, atteignant une vitesse de pointe de 333 km/h après des heures d’atermoiements et re-vérifications et deux presque sorties de piste et l’amorce d’un crash évité de justesse.
Pour le propriétaire, il ne s’agissait pas seulement de vitesse, c’était l’émotion de se connecter avec une machine construite pour accéder à une sorte de grandeur puérile et malsaine … Cela incluant le sentiment d’émerveillement religieux lorsqu’il ressentait que la mort était assise à ses cotés à peine contrée par toute la force de l’ingénierie Rimac-Bugatti. Excepté quelques conditions parmi les plus exigeantes ou la Bolide a risqué l’écrasement intégral, à réussi trois toupies consécutives et a du encaisser un litre de vomi du propriétaire qui s’est retrouvé à remercier dieu de l’avoir épargné…
Ainsi que sa Bugatti Bolide de 6 millions… Il a alors été décidé que la voiture serait plus en sécurité dans le salon de son propriétaire… Tout cela a donc officiellement prouvé que la connerie humaine est sans limite, que la vie ne tient qi(à un fil et que les capacités inégalées si elles peuvent élever l’expérience de n’importe quel conducteur à un niveau que peu de gens peuvent imaginer, il reste préférable de se faire plumer par une magnifique beauté carnivore et vénéneuse, le genre qui vous ruine en deux tours de mains.
“Être assis au volant de cette machine extraordinaire a été inoubliable, la Bugatti Bolide fut, comme promis, incroyablement sauvage quoique pas facile à manipuler. Ses performances sont tout à fait gérables sur piste avec l’assistance Bugatti, mais dans la circulation, je crains que mon achat va me faire regretter ma Cadillac. Pourtant, la sensation lorsque vous sortez d’un virage, que vous appuyez sur l’accélérateur et que vous ressentez une poussée de puissance implacable est incomparable”... Il vous faut savoir que toute l’affaire, toute la performance, le confort et l’innovation légendaires de Bugatti réunis dans une seule machine, a risqué le drame…
Ouiiiiiiiiii, car on soupçonne qu’à force de créer des flammes d’échappement, la voiture aurait pu être la cause de l’incendie gigantesque de Los Angeles… Bien que la pluie ait été une invitée indésirable qui a écarté ces soupçons, elle a ajouté une couche d’excitation à cette journée spéciale, car permettant deux embardées mémorables… Dotée de l’emblématique teinte Frenchie bleu course et d’accents nocturnes audacieux (une masturbation entre adultes consentants avec éjaculation sur le carbone noir des parties inférieures de la voiture), la Bugatti Bolide représente le summum de l’inutile…
Et ce sans aucun rapport sauf intellectuel avec l’histoire des vraies Bugatti en courses automobiles dans la période entre les deux guerres mondiales. Son design tourmenté bicolore, prétend rendre un hommage à l’héritage de la marque… C’est du consumérisme de foire aux bestiaux. La configuration sur mesure s’étend des ailes, des ailes et du séparateur en carbone au crochet de queue rouge. À l’intérieur, le cockpit mélange le bleu course frenchie avec de l’Alcantara noir Beluga et des accents en aluminium poli. Une plaque personnalisée portant l’inscription “Équipe Curtis” ajoute une touche personnelle.
Cette Bugatti n’a rien à y voir mais ça fait partie de l’arnaque consumériste et ça flatte l’ego des gogos qui croient aux fadaises telle que l’hypercar a hérité du moteur de la Bugatti Chiron, le W16 8.0 quadriturbo, dont la puissance est poussée à 1 850cv et 1 850 N m de couple avec du carburant de compétition à indice d’octane 110, et à 1 600cvavec du carburant à indice d’octane 98. Elle serait théoriquement capable d’effectuer une accélération de 0 /400km/h puis freinage pour s’arrêter, soit un 0-400-0 km/h, en 24,64 s, et un 0-500-0 km/h en 33,62 s, avec une vitesse de pointe dépassant les 500 km/h.