Lola-Lolita-T70…
Je ne sais d’où viennent les phrases et formules toutes faites telles que :“L’âge ne fait rien à l’affaire”… L’âge est en effet simplement un chiffre et certaines choses s’améliorent avec l’âge… Hyperboles, antiphrases, litotes, les gens apprécient les expressions toutes faites comme “Bon courage”, ce à quoi il convient habituellement de répondre : “Vivement le week-end”... “Je dis ça, je dis rien”…”Y a pas à dire”… “On ne va pas se mentir”… “On ne va pas se voiler la face”… “Regardons la réalité en face”… Ces formules peuvent sembler pratiques mais elles sont pourtant vides de sens, irritantes, pénibles à entendre. Nous ponctuons trop souvent nos phrases de formules toutes faites pour introduire un propos, marquer une pause ou occuper un silence. Elles sont pratiques, mais elles n’ont aucun sens. Ces expressions idiomatiques ne font que renforcer l’idée que celui qui les dit, voire les écrit n’a finalement rien à dire… C’est le cas dans 99% de ces situations !
Lorsque j’ai cherché à savoir pourquoi la Lola était affublée en suite de “T 70”, y a pas à dire, sans se mentir, on ne va pas se voiler la face, je n’ai découvert aucune explication qui n’est d’ailleurs donnée nulle-part. Bon courage ! Point barre ! Vivement le week-end qui s’annonce ! Notez que l’explication qu’il n’y en a pas, est là ! J’avais l’idée d’écrire sur la Lola T 70, mais je n’ai plus la foi, qu’à dire vrai en ce jour d’aujourd’hui (pas d’hier ni surtout de demain qui pourrait être pire), anéantit mon monde, illusionné ! La raison en renferme plusieurs ! L’Ukraine, Poutine, Zeelindky, Macron et Bidden-Papa Joe ! C’est à ceux et celles qui vont offrir des milliards à Zeelinski non pas pour la paix mais pour en retirer des rétro-commissions. Tout le gratin trop carbonisé des chefs d’Etats donne des milliards (qui ne sont pas les leurs mais ceux de leur peuple d’imbéciles ahuris), à Zeelinski en charité (gag !) avec retour d’ascenseur (de monte-charge en l’occurrence) parce que c’et le seul moyen actuel qui permet avec l’argent du bon peuple, de percevoir du cash non déclarable par milliards… Car en réalité on n’en nanana rien à foutre de ce clown ni que l’Occident a bouffé ses engagements de Minsk… Après eux les mouches !
Je vous avoue tout de go que c’est beaucoup plus rigolo d’écrire tout cela que m’emmerder grave à commenter l’histoire de la Lola T70 dont 99% de la population terrestre nanana rien à branler ! J’vais donc rester sur mon style habituel et agressif pour dire que non seulement certaines choses sont de la merde, mais que cette Lola en est une. L’article sera donc court. Toutefois, ce qu’il est intéressant de noter c’est qu’en cas de conflit atomique, celui-ci ainsi que les retombées nucléaires, ne vont quasi pas affecter l’hémisphère sud, particulièrement l’Afrique du Sud ! Le renouveau pourrait-donc se rebatir là-bas et je constate que beaucoup de transferts d’automobiles dites de collection ainsi que diverses œuvres d’art (peintures et peinturlurations) partent là-bas par bateaux archi-pleins pour être stockés dans des Bunkers… On peut causer/parler/écrire des formules toutes faites qui ne sont là que pour se donner raison, se persuader qu’on est dans le juste, tout reste aléatoire… Autre éléments, c’est la libéralisation totale des mœurs sexuelles en Afrique du sud on baiser avec des Lolitas n’est pas illégal… Le proprio de cette Lola est aussi le Master de cette Lolita… qui pose devant sa Lola… Hot ! Hot ! Hot !
Dans le cas de cette Lola (et de cette Lola-Lolita), la stocker pour se donner l’illusion que c’est une merveille fait partie des derniers soubresauts des pendus qui cherchent une ultime bouffée d’air pour survivre à l’inéluctable ! De ce que j’ai vu, autant que tout explose puisque la mentalité basique du proprio de cette bêtise n’est que la résultante d’une formule intellectuellement mesquine voire débile sous forme de méthode pour rabaisser sa concurrente, la Ford GT40 qui, elle, n’a pas migré un ultime exemplaire dans le seul pays qui resterait non touché par les retombées nucléaires ! Vous voyez de quoi je parle hein ? Je vous balance des vérités qui blessent, je casse les mythes mités. Du coup, vous vous mettez en colère en ne me lisez plus. Normal quoi ! Dans un élan de génie, le détracteur que je suis va alors balancer l’expression magique : “Il n’y a que la vérité qui blesse hein mon Popu que j’aime !” Le ton condescendant de celui qui sait face aux “ceusses” qui n’ont jamais su !
Certes, avec l’âge ou la maturité, on peut apprendre à ignorer les commentaires, sauf qu’il arrive toujours des moments où les lecteurs (et lectrices) sont “à fleur de peau“, fatigué(e)s, irrité(é)s, mais désireux/désireuses de défendre l’honneur perdu de la chose en cause, ici en l’occurrence la Lola T70, car autrement, sa réputation pourrait en prendre un coup et la détruire. C’est aussi nullissime que ça ! De manière générale, les gens sont toujours partants pour répliquer aux conneries, cela les fait se sentir mieux à propos d’eux-mêmes et leur permet de conclure la conversation. Il suffit de voir les dirigeants occidentaux envers Poutine pour se rendre compte que ne niveau du Crétacé est à peine dépassé chez ces monstres préhistoriques. Mais comme trop d’internautes n’ont que de très faibles niveaux d’expertises, ils se forment en clans, les pour et les contre qui sortent des phrases toutes faites et passe-partout. Comme ça, pas besoin de réfléchir, c’est communément admis donc ça passe et en plus, ils se sentent mieux après avoir pensé aider autrui qui en réalité s’en tape les couilles de rire.
A l’époque où je n’étais qu’un humble connard de 20 ans effrayé, complètement perdu, je confiais occasionnellement mon désarroi à mon entourage proche et me prenais toujours les mêmes phrases de merde qui ne m’aidaient absolument pas ! Mais écouter, réfléchir et tenter de proposer des solutions adéquates, c’est du boulot, c’est de la réflexion donc on en vient toujours aux mêmes conneries débitées en grosse tranche de lard par les habituels winners, des battants qui en veulent, qui ont des couilles, quoi et dont, curieusement la vie se résume souvent à prendre très peu de risques si ce n’est celui de se foutre dans le moule en shootant une vache dans un couloir… et que ça leur a donne la possibilité de se dégorger le poireau ! Du coup, heureux et satisfaits de leurs succès, ils sortent les conneries habituelles. Chaque con et conne a un point de rupture, des peurs et des failles qui les empêchent d’avancer, de progresser, incapables de contrôler leurs vices même de temps en temps… Eh bien, cette Lola T70 MkIIIB comme elle date de l’année magiquement érotique 1969…, même si elle moins de bouteille que moi, c’est toujours pour les gens simples, une splendide merde qui résiste à l’épreuve du temps ! Lequel ?
Lola Cars International Ltd. était une société de voitures de course fondée en 1958 par Eric Broadley et basée à Huntingdon, en Angleterre. En plus de cinquante ans, la marque était devenue l’une des plus anciennes fabrique de voitures de course au monde. Lola Cars a commencé par construire de petites voitures de sport à moteur avant et s’est diversifiée dans les voitures de Formule Junior avant de se rediversifier dans une gamme plus large de véhicules sportifs. Parmi les nombreuses voitures de course créées par Eric Broadley pendant plus de quatre décennies à la tête de Lola Cars, la T70 a été la plus réussie et elle a remporté des courses sous une variété de réglementations. Introduite pour la première fois en 1965, la T70 comportait des détails de châssis qui ressemblaient beaucoup à la célèbre GT40 de Ford. En effet, la conception initiale de la GT40 devait beaucoup à Broadley et sa voiture de course Lola Mk 6 GT de 1962 qui était d’ailleurs considérée comme étant le prototype de la Ford GT40.
La première T70, une version Spyder, a été achevée en 1965 et pilotée par le champion du monde de Formule 1 1964 John Surtees. La structure monocoque et la suspension étaient similaires à la GT40, quoique la Lola en acier et en aluminium était nettement plus légère que la Ford GT40 grâce à son “ingénierie de poids” minutieusement calculée. Avec la Lola T70 Spyder qui fonctionnait au mieux, le groupe de développement de Lola s’est mis au travail sur la T70 MkIII B version coupé. qui avait de meilleures propriétés aérodynamiques que la GT40 qui avait tendance à afficher une portance alarmante à haute vitesse.
Bien que Lola ait été une entreprise prospère, son budget de concours d’œuvres inutiles au devenir de l’humanité était loin d’être sans fond, et l’entreprise n’a jamais mis en place une équipe de travail formelle. Le succès des courses d’endurance a échappé aux Lola T70 presque à chaque fois qu’elles sortaient. La célèbre exception a eu lieu aux 24 heures de Daytona en 1969, lorsque Mark Donohue et Chuck Parsons ont conduit une Lola T70 Penske Racing MkIII B à la victoire.
Acclamée comme étant l’une des plus belles voitures prototypes de sport de tous les temps, la Lola T70, en particulier sous forme de coupé, est considérée aujourd’hui par les “richos” comme la voiture à posséder pour la préserver des autres, surtout s’ils veulent jouer à courir dans les catégories vintage du sport automobile. Le propriétaire de ce bel exemple vert Pinewood le sait bien et cette beauté a participé à plusieurs courses, se plaçant généralement assez cool ! La Lola T70 a toujours été un choix privilégié pour les corsaires en course, car les Ferrari d’usine et les Porsche de l’époque étaient presque totalement financièrement inabordables. Cette majestueuse voiture de course est équipée d’un moteur Ford Racing, qui produit un charnu 612HP, ce qui est assez ridicule dans une voiture qui ne pèse presque rien, et n’a pas d’aides à la conduite comme le contrôle de traction ou l’ABS, c’est une vraie voiture de conducteur “à l’ancienne”, “à-la-papa” !. La voiture utilise également un échappement de course, un refroidisseur d’huile Setrab et des filtres à air K & N, permettant au moteur de respirer autant d’air que possible. Y couplé, une boîte de vitesses Ford Ricardo 6 vitesses synchro boîte-pont “fait le travai,”….
La traction est la clé dans n’importe quelle voiture de course, donc cette T70 utilise des slicks de course Goodyear Eagle super collants qui sont larges comme l’enfer, et enveloppent des jantes de course spécialement fabriquées, peintes en noir, avec des plats polis qui contrastent parfaitement avec la peinture profonde de la voiture. Les autocollants “Genie Racing” sont placés partout sur la voiture, ce qui garantit que la concurrence sait exactement qu’un Génie des courses Racing se bat le cul lors de l’une des courses de voitures classiques auxquelles elle participe régulièrement. À l’intérieur de la cabine façon bathyscaphe, très ajustée donc, tout est affaires… avec un siège de course inconfortable au possible, accompagné d’un harnais de course TRS qui garde attaché à tout moment l’intrépide suicidaire. Sur le tableau de bord, il y a un panneau de commande pour des choses comme l’allumage, la sélection de carburant, les lumières, etc., tandis qu’un écran Motec permet de contrôler des choses diverses comme le régime moteur et la vitesse. Enfin, il y a un volant OMP carré (gag !) en Alcantara, qui permet de pointer la Lola dans la direction qu’elle devrait prendre !
Cette Lola est sans aucun doute l’une des plus belles voitures de course inutile jamais créées et dans les stands et ainsi que sur la piste, peu de voitures semblent aussi intimidantes que cette superstar de 1969. Avec son moteur de 612 CV qui pousse la carrosserie audacieuse toute en courbes, c’est certainement une chose désuète à respecter qui eut son heure de gloriole ! 1969 Lola T70 MkIII B-Power 612cv… V8 Ford Racing… Échappement de course… Refroidisseur d’huile Setrab… Filtres K&N… Boîte de vitesses Ford Ricardo synchro à 6 vitesses… Pneus Goodyear Eagle (slicks de course)… Jantes de course noires sur mesure (sans marque)… Peinture verte Pinewood… Décalcomanies “Genie Racing”,…Siège de course avec harnais TRS. Panneau de commutateurs monté sur le tableau de bord, avec écran Motec. Volant OMP…
Aujourd’hui, les lecteurs non homosexuels et les lectrices lesbiennes peuvent se branler devant un nombre très polyvalent de corps dénudés destinés à les attirer à parcourir mes textes qui ne sont que des prétextes pour aller zieuter la section “SecretsInterdits”... C’est désuet compte-tenu du nombre quasi infini de sites hyper porno qui s’apparentent parfois à de la boucherie charcuterie en laboratoire… Toutefois, compte tenu de l’orientation sexuelle de chacun/chacune, et donc, pour rendre les choses encore plus “rauques”, je pimente mes articles de supers nanas. Dans le cas de cette LolaT70 je me suis retrouvé à l’inverse de la gérontophilie Macronienne avec le proprio de la LolaT70 qui manifestement est un adepte de Vladimir Vladimirovitch Nabokov, un écrivain américain d’origine russe né le 10 avril 1899 à Saint-Pétersbourg et mort le 2 juillet 1977 à Lausanne. Ce penchant pour la Lola-Lolita de Nobokov a amené le Maître-propriétaire de la Lolita-Lola T-70 à m’obliger à illustrer l’article et sa voiture d’une trop jeune nanana, pas méchante, pas fumante, pas chaude ! Une étudiante de 19 ans et d’1m61 (majeure selon la loi) aux cheveux foncés, aux yeux bleus, en première année de l’université qui se nomme Lolita-Lola-Anzelle Krige et demeure à Prétoria. Croyez-moi, l’Afrique du Sud c’est Hot-Hot-Hot !
Q : Qu’est-ce qui vous amène à poser devant cette Lola ?
R : Je suis la Lolita de son propriétaire, il aime les amalgames tordus. Il m’a littéralement donné la chair de poule quand il m’a fait l’amour la première fois après m’avoir entrainée dans quelques tours de piste dans cette voiture. Il avait un doigté extraordinaire. C’était tellement unique. J’ai passé un moment incroyable, unique en son genre.
Q : C’était du sexe en enfer ?
A : J’ai vécu le meilleur après, dans une séance sado-masochiste qui a duré 24 heures !
Q : C’était surement une apocalypse ! Et vous avez surement cru que vous vous étiez la dernière femme sur terre ?
A : Il y a de ça, oui. C’est définitivement devenu ma faiblesse surtout avec plusieurs, hommes et femmes. Mais en dehors du sado-masochisme, j’avoue qu’il n’y a rien de plus sexy qu’un homme classe et intelligent qui peut me faire rire, comme vous…
Q : La taille a-t-elle de l’importance ?
R : La taille compte toujours, autant bien sentir l’érection !
2 commentaires
L’Afrique du Sud et les questions de taille sont à la mode ! Comment se déroule l’écriture de ce type d’article : est-ce qu’il y a d’abord les photos puis le texte qui prend vie, ou est-ce que le chapô et les questions philosophiques sont une trame déjà présente ?
D’abord les photos avec le recadrage de celles-ci. Ensuite je pars aux infos complémentaires et cherche un moyen de raccrocher le tout aux évènements (passés, actuels, futurs) et avec ma touche perso légendaire chapô, textes, sous-textes, entre-lignes et ajouts, le texte sort. Reste à relire, corriger et “balancer” (retours à la ligne et positionnement des phots dans l’article. Un travail particulier est requis pour l’emplacement titre qui sert également pour le “tourniquet” et Hop ! Généralement l’ensemble c’est soit une nuit (ma préférence due au calme), soit une journée.
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