2025 SuperCar PRAGA BOHEMA 700CV
À peine deux ans après avoir dévoilé le prototype de pré-production Praga Bohema, le constructeur tchèque Praga a livré la première voiture client, le 6 décembre 2024… GatsbyOnline était invité… “Monsieur Patrice De Bruyne, bienvenue et merci de publier un reportage sur notre SuperCar Praga Bohema. Nous avons toujours promis que nous ne proposerions aucun concept, aucun teaser, aucune connerie, juste une SuperCar pure, légère, très rapide et magnifiquement aménagée, homologuée pour la route, destinée à un nombre limité d’acheteurs de SuperCars qui savent vraiment conduire et payer l’excellence et la rareté“…
Tomas Kasparek, propriétaire de Praga m’a présenté sa Bohema 2025, première voiture client équipée d’un moteur Praga Litchfield 3L8 biturbo six cyl, produisant 700cv. Poids du véhicule 987kg\2200lb, vitesse 317km\h\197mph… Suspension et hauteur de caisse réglables, maniabilité communicative, freinage ultra puissant, virages 2G et potentiel de dépassement sans effort… Chaque Praga Bohema est fabriquée à la main en carbone mais avec une finition en peinture sur mesure disponible, y compris des détails en feuilles d’or ! La première voiture client a donc (bis) été livrée aux Pays-Bas le 6 décembre 2024.
Les Prochaines livraisons de Praga Bohema étant prévues pour les propriétaires européens et américains au printemps 2025 pour une production limitée à moins de 20 voitures par an, selon les spécifications, au cours des quatre prochaines années. Cette nouvelle SuperCar marque le retour de Praga à la production d’automobiles exclusives après 77 années passées dans l’oubli. Depuis la présentation du prototype de pré-production il y a seulement deux ans, les équipes d’ingénierie et de conception de Praga ont peaufiné la Praga Bohema pour répondre aux objectifs ambitieux de l’équipe.
Le 6 décembre 2024, j’ai donc été témoin de “l’évènement” qui est aussi le grand retour de la marque Praga dans la catégorie des SuperCars de grand luxe. Généralement les SuperCars pèsent jusqu’à 2.000kg, la Praga Bohema réussit à maintenir le confort et les performances, tout en restant à moins de 50 % de ce poids exagéré ! Un peu moins de 1.000kgs est une prouesse ET une réalité qui témoigne de l’habileté des passionnés et des compétiteurs qui peuplent l’entreprise de fabrication Tchèque vieille de 117 ans. La Praga Bohema dispose d’une carrosserie monocoque entièrement en carbone, c’est l’excellente !
La visibilité est correcte pour ce type de véhicule, avec toutefois une entrée et une sortie acrobatique pour le conducteur et sa passagère qui, après cette séance sportive, n’ont que le choix de la position couchée en arrière des prototypes de course, ce qui en circulation routière tient de l’exploit de l’intrépide, inconscient, bravant tous les dangers pour emballer la belle à son coté, espérant en retour disposer de ses félicités sans limites. Ce n’est pas dicté par le package aérodynamique qui ne garantit pas que ces performances aboutiront automatiquement, mais réalisé dans la soufflerie d’une équipe de Formule1.
Qui plus est délivré avec une attention particulière portée à l’ingénierie légère. Le résultat ? C’est identiquement pareil qu’une voiture de course GT3 qui, avec la Praga Bohema égale les temps au tour sur pneus de route avec une réelle capacité de conduite, vers et depuis la piste… Avec de surcroit suffisamment de rangement pour un “baise en ville” du bon vieux temps, adapté obligatoirement à d’authentiques Palace disposant de garages sécurisés et d’assistance aux entrées/sorties des occupants, décidément trop vieux au delà de 75 ans pour rendre une nuit d’amour en Hôtel-Palace réellement réalisable (J’en témoigne).
Jan Martinek, directeur de l’ingénierie chez Praga Cars, a détourné cette scabreuse discussion en me disant : “Monsieur Gatsby, vous ne faites pas vos 75 ans… Et fabriquer quelque chose de compliqué est facile, livrer quelque chose de simple est difficile, et nous avons décidé chez Praga de fournir à un groupe spécial de milliardaires encore capables de se faire plaisir, automobilement et sexuellement avec notre SuperCar légère, entièrement en carbone, d’aérodynamisme ultime et de très haute puissance. Tout milliardaire-client pourra l’utiliser sur route et sur piste, le même jour, tous les jours, ce qu’il adviendra des nuits d’amour n’est pas certifié“.
Il a ajouté : “Nous voulions que notre Praga Bohema soit la SuperCar la plus légère du monde, la plus rapide sur piste et route et qu’elle soit belle, personne d’autre ne fabrique une voiture comme celle-ci“... Fort d’une connaissance encyclopédique de l’histoire de Praga, Jan Martinek m’a également expliqué : “Même aux premiers jours de la conception et de la fabrication Praga était connu pour ses innovations en matière d’ingénierie légère et d’aérodynamisme. Regardez notre voiture de course Super Piccolo de 1934, ces valeurs fondamentales sont représentées dans la Praga Bohema 2025 et on pourrait dire même bien plus“…
“Par exemple, que notre Praga Bohema ne pouvait qu’être exactement la voiture que Praga a développée aujourd’hui si la production automobile n’avait pas été interrompue il y a 80 ans“... La Praga Bohema est homologuée pour la route et issue de la course, c’est une voiture vraiment unique même pour 2025. Conçue pour une vivre sa puissance exaltante et son agilité à couper le souffle, les performances de freinage de la Bohema ont été reconnues comme son arme secrète, avec des disques en carbone-céramique de 380 mm et des étriers à six pistons combinés à un ensemble léger et aérodynamique.
Les équipes de conception et d’ingénierie de Praga, dirigées respectivement par Juraj Mitro et Jan Martinek, ont développé la Praga Bohema pour plaire à tous les collectionneurs milliardaires d’automobiles extraordinaires, mais pour qu’elle ne soit véritablement exploitable que par ceux qui sont à la fois très riches, très courageux et très expérimentés au volant. Cela n’est pas surprenant étant donné que le pilote Romain Grosjean a eu une influence sur la naissance de la voiture et a été conseillé tout au long de son développement. La première Praga Bohema a toutefois été livrée avec une faible production.
Cela m’a été dit : “Prévu afin de garantir une superbe qualité de fabrication et la capacité d’aider également les propriétaires du monde entier pour l’entretien et l’après-vente, l’assistance sur piste et les transferts aux clients“… Les propriétaires recevront un service entièrement personnalisé, digne d’une voiture sur mesure. Chacune des voitures actuellement prévues pour la livraison présente déjà des couleurs et des détails de finition uniques, notamment du carbone nu et de la feuille d’or, chaque Bohema fabriquée à la main par les ateliers Praga est peinte à la main par l’un des meilleurs ateliers de peinture automobile au monde.
Bien évidement, il me fut dit qu’il est basé en République tchèque… La première livraison client a suscité une réaction discrète et claire de son propriétaire Hollandais : “Magnifique“ !… Mark Harrison, directeur des ventes et du marketing de Praga Cars, m’a dit confidentiellement : “La qualité de la première Bohema livrée par Praga ne pouvait être sous-estimée, car vous aviez été invité et votre réputation de politiquement incorrect se devait être que vous ne pouviez découvrir le moindre défaut“… Oupsssssss ! J’ai rétorqué qu’il est très facile de promettre aux passionnés de voitures un nouveau véhicule attrayant, mais….
Mais, qu’il est incroyablement difficile de concevoir, de développer puis de produire une voiture qui tienne cette promesse… Mark Harrison m’a direct rétorqué : “Praga a fait exactement cela avec la Bohema, c’est une SuperCar d’une qualité de production et de performances exceptionnelles, avec le droit mérité d’être considérée par tous les collectionneurs milliardaires que vous connaissez dans votre environnement des Jardins de Saint-Tropez ou tous les milliardaires ont leur résidence ombragée avec vue mer. Bien. L’usine Praga augmentera sa production à une à deux voitures par mois entre 2026 et 2028“… J’ai donc noté…
Praga vise à construire moins de 20 voitures par an pour garantir la qualité et la rareté, en se concentrant sur seulement cinq régions clés : UE/Royaume-Uni, États-Unis, Asie du Sud, Moyen-Orient et Japon. Ivan Krakora, directeur marketing du groupe Praga, m’a dit : “Monsieur Gatsby, tout le monde chez Praga est humble et fier de cette entreprise fondée à la fin du XIXe siècle. Nous sommes également conscients que l’héritage ne signifie rien si nous ne livrons pas un produit qui trouve un écho auprès des passionnés et des collectionneurs de voitures d’aujourd’hui“... J’ai donc également noté (Bis)…
“La livraison de la première voiture client est la confirmation ultime du droit de Praga à exister en tant que constructeur de SuperCars” selon Ivan Krakora qui m’a également dit : “Nous sommes fiers que les milliardaires connaisseurs d’automobiles font confiance à Praga. Notre entreprise historique Praga compte déjà dans son portefeuille la voiture de course monoplace R1 de style LMP, la moto ultra-exclusive ZS800 comptant 28 courses, une famille de karts de course et même un avion STOL récemment certifié. Désormais, les SuperCars Bohema homologuées pour la route font leur chemin vers les clients du monde entier“. J’ai donc encore noté (Ter)…
Evidement que tout cette construction n’est que du consumérisme et que la société Praga se positionne pour rafler une part du gâteau de plus en plus suri au fur et à mesure que les imbéciles se rendent compte l’être. La Bohema est une SuperCar hautes performances, à faible volume, magnifiquement équipée, conçue autour de trois principes fondamentaux : légèreté, carbone, combustion, mais qui se prive, par incapacité et manque réel de moyens par rapport au temps qui passe annonciateur de la fin d’un monde d’absurdités, en effet, la réalité est que la mécanique 6 cylindres n’est pas très prestigieuse…
Visant les esbroufeurs qui dépensent sans compter, le comble est que cette Bohema n’est pas assez chère pour en imposer… C’est une voiture au style unique, rare et exclusive, certes, capable d’être conduite sur piste, tour après tour, à grande vitesse, puis de rentrer chez elle mais le Chef de la firme, Romain Grosjean, ami et ambassadeur de longue date de Praga et pilote de course expérimenté, même s’il aurait mis Praga au défi de livrer une véritable voiture de performance route/piste 2 places sans compromis, ce dont je doute, promettant une expérience de conduite vraiment unique, semble n’être que baratin.
Romain Grosjean, pilote de course et de développement, aurait déclaré je ne sais où et à qui : “J’ai été stupéfait par les performances étonnantes de la Bohema sur piste, son accessibilité sur route et la facilité de transition entre les deux. Praga a vraiment relevé mon défi ! Sur la route, vous bénéficiez d’une conduite souple, la voiture élimine les bosses, vous pouvez discuter avec le passager et tout est calme. Ensuite, il suffit de changer de focus et vous êtes sur la piste. Les mêmes vêtements, la même voiture, mais la sensation change et vous repoussez les limites et réalisez des temps au tour incroyables, découvrant diverses autres possibilités incroyables“...
La Bohema utilise une monocoque en fibre de carbone inspirée de la course, avec un aérodynamisme fournissant plus de 900 kg d’appui à 250 km/h (155 mph). La vitesse de pointe est de 317 km/h (197 mph) soit la vitesse la plus rapide atteignable sur pratiquement n’importe quel circuit de course. L’ingénierie dite “inspirée de l’aérodynamisme” n’est que la résultante d’obtenir du “vendable” sachant que la clientèle visée ne s’en servira que sous forme d’une présentation dans un garage de luxe aménagé en salon ou d’autres trophées similaires sont disposés comme dans un musée à la gloire du propriétaire !
L’attention portée aux détails est au niveau de la qualité des vêtements et accessoires qui ne sont portés que pour l’esbrouffe de paraître, même sans atteindre les 10 millions comme quelques engins qui tourneboulent les esprits basiques, c’est le fait qu’elle donne l’illusion qui importe en sus de sa réelle rareté… C’est dès lors la porte du vice grande ouverte par Praga qui se reflète dans les détails usinés en Duralumin de haute qualité, notamment les charnières de porte et le crochet de remorquage. Il fallait y penser, ce que ne font pas toujours les marques déjà installées comme Ferrari et autres…
Dans cet esprit, contrairement à de nombreuses voitures de performance dérivées des pistes de course, l’ergonomie intérieure est présentée comme “ingénieuse” offrant (pour presque de 3 millions d’euros quand même) un cockpit (trop) étroit et aérodynamique (obligeant à s’y contorsionner la tête au niveau du sexe), qui peut accueillir deux adultes “flexibles et élastiques”, un espace pour deux “baise en Palace”, avec la climatisation et une visibilité inversée, c’est à dire qui spermet de voir la tête du millionnaire conducteur et de la pute vénéneuse et carnivore à 20.000 euros la nuit de folie pour qui y arrive..
Croyez bien que le fait de la cohabitation de la section “SecretsInterdits” et de “GatsbyOnline” et “ChromesFlammes” est logique, ce 3 en 1 pour un malheureux euro équivaut au défi de Praga pour atteindre les cibles, sauf que contrairement à Praga, je ne propose pas (encore) de plan pour garantir aux internautes de profiter de toutes les performances et capacités personnelles qui sont issues des articles, telles des érections importantes et un besoin irrépressible de se branler dans l’environnement sûr et contrôlé des intérieurs personnels, ce qui ne coute qu’un euro le premier mois…
Je pense avoir été trop vite pour amener la conclusion, car j’aurais pu encore causer du programme de transfert de piste aux propriétaires avec les conseils de ses techniciens expérimentés… et aussi vous causer du moteur V6 biturbo de 3,8 litres Praga Litchfield PL38DETT qui est construit autour d’un bloc-cylindres en alliage d’aluminium, avec deux arbres à cames en tête par rangée de cylindres et un système de calage variable en continu sur les soupapes d’admission. La beauté de ce moteur ne résidant pas seulement dans son potentiel de performance, mais aussi dans sa fiabilité reconnue. Pfffffffff !
Mon esprit cartésien tend à préférer un bon vieux Hot Rod T”27 ou B’32 équipé d’un V8 poussé à 10.000cc (plus de 650ci) avec double Blower et sur-injection de gaz explosif pour “faire des flammes” avec 1.500cv… Croyez bien que c’et plus macho que les bagnoles pour Transgenres qui se gargarisent d’un 6 cylindres d’une firme qui serait connue telle que Litchfield Engineering qui démonte les nouveaux moteurs et les convertit en bombes avec turbos doubles offerts pour 700cv à 6 800 tr/min et 725 Nm de couple à 6.000 tr/m soufflant à travers des échappements en titane avec le son distinctif d’un V6 Ford Capri.
Et c’est “sadomasochistement” combiné à un crépitement suraigu, réglé pour que les occupants ne puissent pas tenir la moindre conversation jusqu’à des vitesses illégales sur route. Croyez bien qu’en faits et réalités, tout cela est psychologiquement plus inquiétant pour la survivance humaine que d’en connaître sur les engrenages de boîte à coupe hélicoïdale optimisée alors qu’on y vit une résonance de type caisson de basses et que toutes les vibrations sont transférées au cockpit, garantissant l’enfer lorsque vous vous souvenez que le réservoir de carburant est de 65 litres et la conso de 65L/100kms…
A ce moment digne d’une tragédie, la modélisation CFD (dynamique des fluides numérique) les réglages fins en soufflerie de F1 et le spoiler arrière, atteignant plus de 900 kg d’appui à 250 km/h qu’il est impossible d’atteindre en usage “normal” sur routes ouvertes, vous n’en aurez plus rien “à foutre”, vous demandant par quel miracle vous arriverez à vous débarrasser de cet engin sans y perdre au moins les 2/3 payés…. Vous me maudirez même que j’ai publié tout cela qui va influencer les pulsions d’achat… Les expertises locales de la République tchèque et de la Slovaquie n’y changeront rien sauf en pire !
Déjà que l’Ukraine nous ruine via les dons de charité par milliards de nos impôts, ristournés à 50% aux généreux politiciens qui les offrent avec multi-accolades d’amour et se gargarisent de les donner pour faire barrage aux Russes (pareil qu’on nous disait de voter Macron pour faire barrage à Lepen… et qu’on nous prédisait que Kaméla Harris allait sauver le monde alors que Trump allait nous plonger dans une apocalypse), on se retrouve maintenant en déglingue de nos industries qui tombent en faillite les unes après les autres… Alors, si en sus, il faut se faire sodomiser en passant au tout électrique…. Pfff !
Pffffffff ! (bis pour faire bonne mesure) Et cette Praga Bohema ne l’est même pas… Par contre elle carbone… Rien à voir avec les taux carbonés qui asphyxient le monde… Certains êtes-vous vraiment ? Une enculade de plus ? Du carbone partouze… Dans les passages des roues arrière de style aérodynamique de cette Praga Bohema il y a des espaces de rangement profonds, pour lesquels des bagages en fibre de carbone sur mesure sont disponibles, juste assez grands pour un casque de protection, une combinaison de course et des bottes, ou un sac de week-end de baise en Palace décontracté dont j’ai déjà causé…
Ca me remet en tête que ces Supercars inutiles sont des autos de footbaleurs payés 50 millions par mois… Ce sont les seuls connards au monde qui peuvent acheter ce genre d’inutilités et se branler que le nettoyage du pare-brise est assuré par un mécanisme ingénieux, spécialement développé par Praga, qui garantit que l’essuie-glace reste en contact avec la vitre sur toute sa largeur, tout en étant caché lorsqu’il n’est pas utilisé, ce qui a donné lieu à des semaines de conception et de développement pour souligner l’accent mis par Praga sur la pureté et la simplicité….
Pareil pour le cockpit aérodynamique dérivé de la course, donc nécessairement étroit mais astucieusement conçu pour accueillir parfaitement deux grands nains “dans l’inconfort d’une position de course”... Les portes s’ouvrent en pivotant pour donner accès au cockpit par-dessus la carrosserie, avec des marches intégrées dans les repose-pieds pour permettre au conducteur et au passager de se mettre en position renversée sans avoir à monter sur les sièges. De plus, le volant est amovible pour faciliter l’entrée et la sortie. La position de conduite étant adaptée grâce à une colonne de direction et un pédalier réglables….
Oui, mais, en usine, car tout se règle avec des boulons et tiges nécessitant plus d’une heure de travail minutieux… Le Launch Control et le frein de stationnement électronique sont activés depuis la console centrale élancée. De chaque côté du cockpit se trouvent les commandes électroniques de déverrouillage des portes (complétées par des commandes mécaniques dans le toit) et les commandes des rétroviseurs, tandis que les commandes de climatisation sont montées sur la console de toit de style “avion de chasse”, les bouteilles et des objets divers se positionnant derrière les sièges horizontaux.
La Praga Bohema, d’une valeur de 2,43 million d’euros (plus taxes, frais, options, redressement fiscal et autres), peut être commandée directement à l’usine à destination exclusivement du Royaume-Uni et l’Europe (maximum 20 voitures), le Moyen-Orient (maximum 12 voitures), l’Asie du Sud (maximum 16 voitures), le Japon (maximum 12 voitures) et les États-Unis (maximum 24 voitures). L’histoire de Praga remonte à la fin des années 1800 en tant que fabricant industriel lourd de tout, des ponts aux trains à vapeur, et elle était une présence en Europe centrale pendant la première moitié du 20e siècle.
L’entreprise s’est lancée dans la production de véhicules au début des années 1900, fabriquant sa première voiture en 1907, devenant ainsi un important fabricant de voitures, de motos, de véhicules commerciaux et d’avions. Les camions construits par Praga, en particulier, dominaient les routes de la Tchécoslovaquie natale de l’entreprise. L’entreprise a également développé une large gamme de voitures particulières et de motos, en particulier dans les années 1930. Parmi celles-ci figuraient la superbe moto BD500 et la sportive Praga Alfa, qui a remporté héroïquement les 1000 milles de Tchécoslovaquie.
C’était en 1933. Même aux premiers jours de sa conception Praga affirmait que la Bohema était exactement la voiture que Praga aurait développée aujourd’hui si la production automobile n’avait pas été interrompue de force par le Nazisme il y a longtemps (en 1939). La production automobile a décliné après la Seconde Guerre mondiale lorsque le gouvernement communiste a imposé à Praga de se concentrer sur la fabrication de camions et de transmissions. Skoda étant choisi comme constructeur automobile du pays, Tatra étant chargé de construire des voitures et des camions de luxe.
Avec la chute du communisme en Tchécoslovaquie en 1989, Praga a pu à nouveau définir son propre programme en tant qu’entreprise privée. Au milieu des années 1990, tout en produisant toujours des camions et des boîtes de vitesses de grande taille pour la Russie, Praga a lancé une gamme de motos de motocross, suivie au début des années 2000 par des camions spécialisés tout-terrain qui ont récemment obtenu de bons résultats aux rallyes Dakar, puis en 2009 par des karts de course. L’entreprise travaille également dans l’aviation, avec l’avion STOL Praga qui devrait bientôt prendre son envol…