SUBARU IMPREZA PRODRIVE P25 2022 800.000 €
LA “reconstitution” de la Subaru Impreza Prodrive P25 a fait ses débuts au Goodwood Festival of Speed ce jeudi 23 juin 2022. Ce fut bien emballé, pesé, cacheté avec de magnifiques ficelles, des pontes, pontifes et des nananas sexy’s ! Cela fait 25 ans que Prodrive a lancé dans l’air du temps l’Impreza World Rally Car (WRC) Coupé deux portes, elle est retombée sur ses 4 roues motrices et a inspiré la Subaru Impreza 22B. (Profitez-en pour rire parce que plus loin vous allez pleurer !)… Seulement 424 de ces voitures de route en éditions spéciales, ont été fabriquées et, au fil du temps, elles ont atteint le statut cultissime de voitures à quatre roues (gag !) motrices turbocompressées (les moteurs, pas les roues) ultime de son époque (ça ne veut rien dire de simplement compréhensible, mais c’est fait pour dans la farde de presse). 25 ans plus tard, en utilisant les dernières technologies et matériaux (qui, que, quoi, dont, où ?), Prodrive a réinventé ce que cette voiture aurait été aujourd’hui. (Appréciez le non-sens absolu de recréer une bagnole selon ce qu’elle est devenue ! C’est du grand art !)… Seulement 25 voitures seront produites, (ce qui signifie que rien à ce jour n’existe sauf un prototype) chacune avec un châssis Impreza WRX à deux portes d’origine. (donc des vieux châssis récupérés ?). C’est le même châssis utilisé dans la première Impreza WRC, mais maintenant avec un poids réduit, un moteur plus puissant, une dynamique de véhicule améliorée et un prix de base de 800.000 € ! (Woupeeee ! Sortez les chéquiers !)
L’utilisation intensive de composites de carbone signifie que la voiture pèse moins de 1200 kg. (Cela me parait assez lourd quand même !). L’utilisation du dernier moteur boxer à quatre cylindres (à plat) de 2L5 produisant plus de 400 chevaux et 600 Nm de couple, combinée à une boîte de vitesses semi-automatique à six vitesses, à divers auto-contrôles de dérivés du WRC (c’est du charabia !) et à un anti-décalage turbo (C’est quoi ce Bim’s ?), signifie que la Subaru Impreza Prodrive P25 réalisera (elle ne l’a donc pas encore réalisé) le 0 à 100 km/h en moins de 3,5 secondes ! Ah bon ! Oupssssss ! Waouwwww ! Quel pied ! Divin panard ! Et tout ça pour quoi faire ? Diantre ! 800.000 € pour un Coupé/Berline 2 portes “reconstitué” , me laisse sans voix, le souffle coupé, d’autant plus que le monde des Rallyes m’est apparu depuis longtemps comme un vivier de traficotages divers et innommables (innombrables également) dont la réputation (médiocre) est de rassembler et comporter une incroyable concentration de bagnoles et de pièces mécaniques volées, détournées, aux numéros limés, poncés, grattés, effacés… en sus de la faune des affreux qui gèrent les affaires…
Je me souviens avoir possédé une Porsche Turbo 3L3 (les “vraies” refroidies par l’air du temps) déposée dans un garage spécialisé parce qu’elle ratatouillait, et que le devis de l’importateur officiel me demandait pour un entretien, un montant égal au prix de vente d’une 911 s/c d’occazzz. Même genre de pratique que chez Ferrari pour ma Dino 246GT et ma BB-Boxer, ce qui m’a poussé à les revendre à perte pour en être quitte et quitter ce milieu envahi par des escrocs. L’atelier spécialiste des Porsche était aux mains d’un “Grand coureur pilote de rallye” admiré et encensé des journaleux sportifs (sic !)… Je me suis rendu compte qu’il utilisait les moteurs-client replacés (temporairement) dans ses Porsche de Rallye pour concourir les week-ends et était un des membres d’une filière de voleurs de Porsche’s… “Tu veux quelle couleur ? Quel modèle ? Tout est possible ! On livre à domicile les clés au dessus du pneu arrière gauche, couleur au choix de la caisse et de la sellerie. Paiement cash d’avance”…
Pas que des Porscheries, que non, mais les Porsche’s c’est le paradis, la bagnole type des translucides pourris décorés de chaines et breloques en or. Un monde de putes qui sous l’aspect premier des belles plantes vénéneuses ratissent large les gogos. Ca ne se limite pas aux Porscheries, que nenni, toutes les bagnoles “à-la-mode” sont des cibles. Les VW Golf des anciennes générations étaient souvent volées pour les amusements-rallyes des Week-end’s qui n’exigeaient pas de CT ni de certificat de conformité, ni de docs d’immatriculation ! Le paradis… Accessoirement il y avait des morts et des handicapés qui hurlaient leur bonheur, trop mal-placés dans les sacro-saintes trajectoires ! Qu’est ce que tout ce monde interlope se marrait ! Actuellement “ça eu payé, mais ça paye plus autant et aussi souvent. Tout foul’camp”... Les pires ouvraient des bars à putes en fin de carrière, officiellement “rangés des voitures”, l’expression était à la mode.
Maintenant leurs successeurs utilisent des Van’s, des fourgons, et vont chercher les fleurs de misères en Ukraine, vivier idéal pour obtenir “de la marchandise”, sous couvert de générosités et d’humanités diverses, afin d’amener des fleurs du mâle, dans leur circuit, femmes et enfants, pour la prostitution et “les dons d’orgasmes et d’organes” desquels personne ne revient jamais expliquer, certains dirigeants Européens et Ukrainiens préférant les arrangements en rétro-commissions payées sur des comptes off-shore, indétectables d’aucun fisc. Ca y a va par paquets de centaines de millions, nananas et gosses en prime-cadeau : “Vous aurez p’et besoin d’un organe de remplacement, faut être prévoyant, en attente c’est baises et enculades entre les ménages”... Nos hôpitaux, nos soins de santé, notre économie et nous-mêmes sommes en péril, mais on donne des milliards à Volodymyr Zeelynsky sans savoir où ils vont ensuite (gag !) tout en criant sans cesse que les Russes sont des salauds !
Le trafic de bagnoles de collection et d’œuvres d’art y va aussi “à donf”, des escouades traquent les joyaux cachés dans les garages privés en sous-sol, comme faisaient les Israéliens au Liban, il suffisait de s’arranger avec quelques tankistes et Boum ! Pas besoin de s’emmerder pour crocheter les serrures… On pique tout, les bagnoles, les coffres, les œuvres d’art, les femmes et les enfants puis on brûle et dynamite ce qui reste, pas de traces… Certains des héros qui pérorent en TV sont des ceusses qui n’ont pas eu de chance, ni leur part du gâteau, ce sont des qui sont arrivés trop tard parce que tout avait déjà été emporté par des plus futés. Sauf que pour l’Ukraine, il y a aussi des milliards d’€uros d’armes déversées et c’est le Saint-Graal des maffieux et terroristes. Tout finira par nous retomber sut la gueule, certain, et vous ne pourrez que pleurer d’avoir été dupes et crétins…
J’en reviens à l’Impreza à 800.000 €uros ou Dollar$, on s’en f… C’est du buziness aussi. Tout l’art dans ce souk est de faire croire que c’est justifié… Au plus c’est absurde et crétin, au mieux ça fonctionne. Les mecs de Porsche devaient se marrer grââââve en vendant des Porscheries vidées de tout confort pour faire “Light” afin d’aller plus vite vers le néant… Au plus Porsche enlevait des éléments de confort, au plus la bagnole était “Light”, au plus elle coutait cher. Pas d’air-co, hop c’est 10.000 de plus ! Pas de tapis et des sièges “bonbons riquiqui” c’est 20.000 de plus ! Et ainsi soit-il en suite ! Au plus c’est light au plus c’est cher à payer… Et les cons payent ! C’est-y-pas bôôôôô ? J’adore ce foutage de gueule qui est vendu très guindé, snob, sérieusement… Pour l’Impreza la méthode semble la même et si elle ne l’est pas c’est comme en justice ou on condamne sans preuve uniquement parce que le prévenu était capable de le faire… Je ne fais que constater et lire : “Le poids a été retiré du châssis en fabriquant le coffre, le capot, le toit, les seuils, les rétroviseurs extérieurs, les quartiers avant et arrière, l’aileron arrière de style WRC et les pare-chocs en composite de carbone, tandis qu’à l’intérieur, il y a des sièges de course légers en option avec des cartes de porte en carbone et une batterie lithium-ion”... Vous y croyez ? Et ce serait pour aller où ?
La suite fatigue, elle indique que le moteur est basé sur le dernier bloc-cylindres de 2,5 litres de Subaru, mais qu’il a été entièrement repensé par l’équipe chargée du groupe motopropulseur de Prodrive avec des composants internes sur mesure, y compris de nouvelles chemises de cylindres, des pistons, des bielles et un train de soupapes avec calage variable des cames. C’est exactement comme ça qu’on refait un vieux moteur dans un atelier !!! L’endormissement cérébral ! En finale il est écrit qu’un turbo de sport automobile (c’est quoi ça ?) Garrett avec un refroidisseur intermédiaire et une boîte à air haute performance (une boite à air haute performance ( ?!?!?, elle filtre l’air de manière sportive ?) et un système d’échappement de course akrapovic en titane et en acier inoxydable (surement Ukrainien ça, Akrapovic !)
Le moteur est accouplé à une boîte de vitesses séquentielle à six vitesses avec des vitesses hélicoïdales coupées (C’est indiqué ainsi dans la brochure ! Je ne sais pas ce que sont des vitesses hélicoïdales !) et un changement de vitesse semi-automatique via une palette sur la colonne de direction, donne des changements de vitesse précis en 80 millisecondes. (Dites moi l’utilité !)… La voiture dispose d’un système de contrôle de lancement de style WRC (lancement de quoi, de quel engin spatial ?) qui combine l’accélérateur électrique et l’embrayage dans le pédalier monté au sol (sic !) pour amener automatiquement (c’est automatique !) la voiture à travers les premières, deuxièmes et troisièmes vitesses afin d’obtenir l’accélération optimale à l’arrêt (sic et resic ! C’est encore un gag que d’avoir cette possibilité loufoque), sans aucune intervention du conducteur… Magique !
La puissance est fournie aux quatre roues par l’intermédiaire d’un groupe motopropulseur doté d’un différentiel central actif réglable et de différentiels à glissement limité à l’avant et à l’arrière. La suspension à jambe de force McPherson a été conservée, mais avec des montants en aluminium usinés qui peuvent être réglés pour le carrossage et la géométrie optimisée pour la voie plus large. Les amortisseurs Bilstein sont réglables pour la compression et le rebond tandis que les ressorts et les barres anti-roulis optimisent la tenue de route sur le tarmac. La puissance de freinage est fournie par les freins AP Racing avec des disques ventilés de 380 mm et six étriers à piston à l’avant et des disques ventilés de 350 mm et quatre étriers à piston à l’arrière avec cloches flottantes et plusieurs options de plaquettes. Les jantes Prodrive 8.5 x 19 sont équipées de pneus Bridgestone Potenza 235/35/19 assortis aux amortisseurs (De quelle manière ? Une question de couleurs ?)
Le tableau de bord du conducteur est un écran multi-pages haute définition pleine largeur comprenant un enregistreur de données. (Wouahhh !). Pour ceux qui souhaitent emmener la voiture sur la piste, le conducteur peut choisir parmi diverses cartes de réponse de l’accélérateur et de performances du moteur, y compris le réglage anti-décalage. (je me meurs de trop rire !). Il existe également un frein à main hydraulique “fly-off” de style WRC, qui désengage automatiquement le différentiel central pour supprimer l’entraînement des roues arrière. Cela s’ajoute au frein de stationnement électrique standard. Alors que Prodrive s’est concentré sur l’expérience de conduite, l’intérieur a également été amélioré, recréant un authentique intérieur Impreza de la fin des années 1990 en utilisant une combinaison de cuir, d’alcantara et de garnitures en carbone. La Prodrive P25 peut transporter quatre passagers, mais il est également possible de retirer les sièges arrière et d’installer une cage de sécurité partielle (pour les chiens ?).
Peter Stevens, qui a stylisé l’Impreza WRC originale en 1997, ainsi que la Subaru en édition limitée Prodrive ultérieure, a restylé un certain nombre de caractéristiques de la P25. Peter a travaillé aux côtés de l’équipe d’ingénierie Prodrive, supervisée par le directeur technique, David Lapworth, qui était responsable du développement de la première Impreza WRC il y a 25 ans. David Richards, président de Prodrive, a déclaré : “L’emblématique Subaru bleue rappelle des souvenirs d’une époque extraordinaire du WRC et c’est l’Impreza 22B qui a apporté cette performance de voiture de rallye sur la route. En réimaginant cette voiture en utilisant les dernières technologies et matériaux, la Prodrive P25 rend hommage à ses racines et il n’y aura pas grand-chose d’autre capable d’égaler ses performances sur route ouverte. Je crois donc que nous avons réalisé notre vision de créer notre propre interprétation moderne de la Subaru Impreza la plus emblématique de tous les temps”...
Voilà, voilou ! On arrive au bout du bout ! La première voiture de développement P25 a fait plusieurs montée/descentes de la colline au Goodwood Festival of Speed, avant de se lancer dans un vaste programme de test et de développement. Les 25 voitures de série seront construites au siège de Prodrive à Banbury, au Royaume-Uni (si des clients se manifestent avec 800.000 €uros), la première étant livrée aux clients plus tard cette année (si suffisamment de clients se sont manifestés, rien n’est acquit)… La Prodrive P25 sera immatriculée au Royaume-Uni au prix de base de 460.000 £ + TVA… soit environ 800.000 €uros avec les options diverses…
La Subaru Impreza a atteint son apogée tôt. La plaque signalétique jouit d’un héritage de 28 ans, mais a atteint son apogée à peine six ans après le début de son cycle de vie avec l’emblématique WRX STi 22B. Subaru a construit des modèles plus rapides depuis, mais aucun n’a jamais été aussi dingue que cette tranche d’exotisme en arc de boîte. Célébration du troisième championnat du monde des rallyes de la société, la 22B était, selon toute logique de planification de produit conventionnelle, un peu une auto-indulgence, avec une production qui s’étendait à seulement 400 voitures officielles. Il y avait un mythe de longue date selon lequel il n’y avait pas de malchanceux #13, mais cette voiture appartient à Subaru America. Les 22B ont été construites entre mars et avril 1998. Lorsque Subaru a ouvert les robinets sur les commandes, ils ne sont pas restés ouverts longtemps. En quelques heures, toute l’allocation a été annoncée. Pour vous donner une idée de la façon dont les gens voulaient les voitures, le Royaume-Uni a reçu un quota de 16 voitures, et au moment où Prodrive avait converti les compteurs de vitesse en miles par heure, installé un rapport de transmission finale plus élevé et révisé les phares, 50 22B avaient été importées du Japon. .
2 commentaires
Votre œil expert n’aura pas manqué la prise du mainteneur de charge CTEK bien en évidence sur la batterie, aveu même que ce genre d’auto est plus destiné à un usage très occasionnel, rester enfermée ou être exposée que de rouler pendant 300 000 km de spéciales à fond…
Contrairement aux apparences, je déteste les prétendus sports de masse érigés en compétitions basés sur la victoire d’un clan (groupe) sur l’autre ! Je ne trouve de surcroit strictement rien de sportif aussi bien à se disputer un ballon où une baballe, qu’à se taper dessus et encore moins à rouler à tombeau ouvert en définissant les fractions de secondes comme démonstration de victoires sur le temps qui ne fait que passer. Les victoires sont éphémères et sujettes aux aléas (comme la justice et/ou celles sur les maladies). Je ne suis bien , que loin des foules (une foule pour moi c’est au delà de 4 personnes) ! J’avoue toutefois sans honte mes erreurs de jeunesse et d’appréciation ainsi que d’avoir succombé un temps à la lobotomisation de l’éducation (chrétienté, Dieu et ses apôtres, éducation jésuites, parents peu instruits car venant de milieux modestes). Mais après 73 ans mélangeants bonheurs, joies désillusions et souffrances, je suis heureux de vivre encore et d’avoir vécu, mais tout aussi heureux de mourir pour ne pas en souffrir davantage ni pour par trop encombrer les imbéciles qui me reprochent de respirer leur air… Ce que j’ai amassé m’encombre. Je suis d’ailleurs prêt et résolu à vendre diverses choses dont mes chères automobiles.
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