Vilner Gumpert Apollo 2005/2012 : Supercar éphémère…
La Gumpert Apollo, imaginée par Roland Gumpert, conçue par Marco Vanetta design et fabriquée à Denkendorf en Bavière (Allemagne), a déchiré les cœurs, les yeux et les cerveaux des fanatiques de Supercars après avoir rendu les journaleux comme fous de 2005 à 2012 ! Elle est ensuite devenue mythique. Son histoire est d’une simplicité complexifiée à desseins ! Quelques mois après avoir été présentée à Monte-Carlo, elle a fait ses débuts en course pilotée par Ruben Maes lors de la Divinol Cup allemande 2005 (maintenant appelée DMV Gran Turismo et Touring Car Cup) et s’est classée troisième sur le circuit d’Hockenheimring.
Puis, pas grand chose jusqu’en 2012 ou l’entreprise à fermé. 4 ans plus tard, en janvier 2016, la société a été rachetée par le consortium hongkongais Ideal Team Venture (qui possède également la marque De Tomaso). Mais en novembre 2016, la société a annoncé que l’ancien propriétaire et fondateur Roland Gumpert n’était plus associé à l’entreprise ni à ses projets actuels ou futurs. La société a alors été rebaptisée Apollo Automobil GmbH puis, après la présentation d’un prototype, à sombré dans l’oubli…
Derrière les plus grandes voitures, il y a de plus grandes personnes encore. Pour apprécier pleinement la Gumpert Apollo, vous devez d’abord comprendre le visionnaire qui l’a imaginée, puis tester son œuvre. La force motrice de Gumpert Sportwagenmanufaktur de 2005 à 2012 c’était Ronald Gumpert. Oui, ok, moi aussi, j’ignorais malhonnêtement l’existence de l’entreprise et de l’homme. Le nom Gumpert lui-même sonnait vaguement telle une cloche de Pâques à Noël à mes oreilles. J’avais entendu “causer” de l’ancien ingénieur Audi, mais n’avais pas compris la profondeur d’âme de qui il était vraiment et quelles étaient ses réalisations pour mériter qu’il lutte jusqu’à la déconfiture pour la suprématie des supercars avec une des plus moches de toutes.
Par hasard, entre Saint-Tropez et Monaco dans des discussions sans fins avec un des Oligarques Russes cherchant à me liquider ses autos en cause des sanctions- menaces de “saisies-gels” de notre Président Macron en cause de la guerre d’Ukraine menée par Vladimir Poutine, je me suis retrouvé face à une Gumpert Apollo reconstruite par le carrossier-Tuner Bulgare Vilner. En 2005 elle était annoncée 190.000,00 € C’était la “bonne affaire” suprême de haute performance. En 2012 la “bonne affaire” à 350.000 € ne l’était plus autant. Et c’est ainsi que j’ai commencé une conversation de plus de 2 heures avec son propriétaire oligarque Russe, par laquelle j’ai acquis une connaissance (sans doute biaisée) de la voiture et de son créateur.
– Abra….ich : Dans un marché concurrentiel et peu de place à sécuriser tout en étant extrêmement intransigeants, Roland et ses partenaires avaient un défi très difficile à relever. Cependant, Roland était habitué à des exigences et des risques presque insurmontables. Seuls de vrais initiés intensément intimes et des chroniqueurs automobiles tels que vous avec GatsbyOnline connaîtraient les détails les plus fins derrière le rideau de l’entreprise. Généralement, dans toute grande entreprise, oui, généralement, seuls les meilleurs tireurs et décideurs sont connus. Pire encore, beaucoup s’attribuent le mérite des efforts accomplis par d’autres, comme les débuts de Roland Gumpert. Bien que née dans une famille d’imprimeurs est-allemands aisés avant la Seconde Guerre mondiale, la famille Gumpert, comme tant d’autres à l’époque, a beaucoup souffert. Après la guerre, Roland a persévéré, fraîchement sorti de l’université avec un diplôme d’ingénieur en main il a cherché des emplois dans l’industrie automobile. Plus d’une douzaine d’entreprises ont accepté sa demande d’emploi, mais il a choisi de ne travailler que pour une seule : Audi, et n’a jamais regardé en arrière jusqu’à sa retraite. Roland a gravi les échelons en raison de son penchant pour les innovations efficaces dans le crunch. En tant qu’étoile montante chez Audi, il avait sa part d’adversité principalement de ses supérieurs et de ses collègues ingénieurs parallèles. Mais heureusement, l’homme le plus important d’Audi était dans son coin dès le début, le Dr Ferdinand Piëch.
– Moi : Piëch détenait une part importante de Porsche, environ 13%. Pour éviter les conflits entre les nombreux membres de la famille, une politique avait été établie au début de 1972 selon laquelle aucun membre de la famille Porsche n’était autorisé à participer à la gestion de l’entreprise. Même le fondateur de la société, Ferry Porsche (Ferdinand Anton Ernst Porsche), l’oncle de Piëch, n’a occupé un siège au conseil de surveillance de Porsche qu’après la réforme juridique de la société qui est passée d’une société en commandite à une société juridique privée.
– Abra….ich : Oui, vous êtes fort d’en connaître tant. C’est cela qui a poussé Piëch à rejoindre Audi après la fondation de son bureau d’ingénierie. Ainsi, de 1972 à 1992, Roland a travaillé sans relâche pour Piëch, développant finalement une amitié vive. C’est en 1975, alors que Piëch était le directeur principal de l’ingénierie technologique pour Audi, que Roland a été chargé de développer l’Iltis, une voiture conçue spécialement pour l’armée allemande. C’est alors qu’est née la fondation du système Quattro.
– Moi : Je ne suis pas fan de l’Iltis et j’ignorais que Roland Gumpert avait développé cette chose !
– Abra….ich : La Bundeswehr allemande nouvellement formée avait invité l’industrie automobile allemande à soumettre des modèles pilotes pour le nouveau véhicule de soutien léger de l’armée en 1954. La DKW Munga d’Auto Union a été sélectionnée et a été produite de 1956 à 1968. Il allait ensuite être remplacé par l’Europa-Jeep, un produit d’une coentreprise entre la France, l’Allemagne de l’Ouest et l’Italie à la fin de 1968 ! Cependant, la Bundeswehr commençait à s’inquiéter du retard de livraison, alors ils ont décidé de se procurer un véhicule provisoire pour remplacer le DKW Munga. Ce véhicule était le véhicule polyvalent Volkswagen type 181 de 1969 appelé “Thing”…
– Moi : OK ! “La Chose”… Cette Chose était censée être un substitut temporaire largement basé sur les véhicules utilitaires VW pour maintenir le développement et la production économiques ?
– Abra….ich : Elle avait une propulsion arrière uniquement avec un différentiel autobloquant en option donc une capacité hors route limitée. Lorsque l’Europa-Jeep a finalement été annulée en 1976, la Bundeswehr a émis une nouvelle exigence pour 8.800 unités de véhicules 4×4 d’une capacité de chargement de 500 kg. charge utile, ski de fond et ascension jusqu’à 60,9 degrés. L’exigence amphibie a été abandonnée. Daimler-Benz et Volkswagen ont été approchés pour construire des prototypes en vue d’essais. Volkswagen, quant à lui, avait acquis Auto Union à Ingolstadt en 1965, abandonné la marque DKW et ressuscité Audi. Audi, étant le successeur du constructeur Munga d’origine, était intéressé par la production de voitures de campagne pour la Bundeswehr. Volkswagen n’a fourni que son nom et le capital nécessaire. À l’automne 1975, les premières pourparlers ont eu lieu et, en mai 1976, un contrat a été conclu.
– Moi : Faut abréger parce que sincèrement je n’en est rien à faire de l’Iltis !
– Abra….ich : Le véhicule comportait une variante de la Munga, une plate-forme avec des composants de suspension nouvellement modifiés, la transmission avait une suspension indépendante avec ressorts à lames et triangles transversaux, des composants de suspension interchangeables, des arbres de transmission pour l’avant et l’arrière, le différentiel avant incorporé dans la boîte de vitesses, un système à quatre roues motrices basé sur des composants de l’Audi 100 et un moteur Audi 4 cylindres de 1,7 litre produisant un modeste 75 chevaux. Roland a conçu ce système à quatre roues motrices en forgeant deux différentiels Audi 100 reliés par sa conception de différentiel Torsen centrale sur mesure qui a fourni la base du système Quattro d’Audi, qui a fait ses débuts quatre ans plus tard en 1980 sur l’Audi Quattro Coupé d’origine. Le conseil d’administration a décidé de marquer le produit comme une VW plutôt que comme une Audi dans l’espoir que cela aiderait à promouvoir un lien positif avec le design militaire existant de VW et leur donnerait un coup de pouce sur la concurrence.
– Moi : Bien ! OK ! C’est super, mais parlons de la Gumpert Apollo…
– Abra….ich : Laissez-moi terminer ! Bien que l’Iltis ait été produite pour la première fois pour l’armée allemande à partir de 1978 et en quantités limitées pour le marché civil peu de temps après, en 1983, le gouvernement canadien a acheté les droits et l’outillage pour fabriquer l’Iltis de Volkswagen tandis que Bombardier a produit 6000 unités pour l’Armée canadienne en 1984 et 1985. La production est retournée en Europe en 1987 où une dernière série a été faite pour les armées allemande et belge. La production de l’Iltis s’est arrêtée en 1988. La Bundeswehr a ensuite remplacé la VW Iltis par son ancien concurrent, la Mercedes Classe G.
– Moi : Là, c’est trop, retour à Roland Gumpert please…
– Abra….ich : Roland Gumpert et le Dr Ferdinand Piëch en 1977 ont commencé le développement d’une voiture pour le Championnat du Monde des Rallyes; le résultat final a été la légendaire Audi Quattro à traction intégrale. Cependant, avant que les dernières voitures de course Quattro ne soient construites, plus de recherche et de développement étaient nécessaires. Roland a été l’un des pionniers des tests R&D approfondis dans des conditions extrêmes pour la faisabilité sur le marché mondial. Avant lui, rarement les voitures de production européennes ont été testées en dehors de leurs marchés primaires. Oui, les tests fondamentaux étaient courants dans les déserts africains, la toundra glacée stérile, les tests sur circuit multi-courses, etc… à travers le monde ont été structurellement mis au point par Audi sous la direction de Piëch avec la logistique et les stratégies révolutionnaires de Gumpert. Ainsi, Audi, avec Roland comme manager, a aligné une équipe pour participer au Rallye Paris-Dakar en 1979 en utilisant des véhicules Iltis spécialement configurés, et vous l’avez deviné, ils ont remporté la victoire même si leurs propres collègues Audi s’étaient auparavant opposés à leurs efforts! Après ce formidable succès en rallye, Roland a été récompensé par la direction du sport automobile d’Audi. Sous sa direction, Audi a remporté 25 championnats du monde des rallyes avec un balayage de 4 ans à son apogée. Combinez cela avec les réalisations de la Pikes Peak Hill Climb et vous avez un homme avec une expérience formidable et la base pour créer ses voitures avec une équipe de professionnels hautement qualifiés.
– Moi : Cool ! Et c’est là qu’on cause de la Gumpert Apollo ?
– Abra….ich : En 1981, Audi a stupéfié le monde avec l’introduction de la première Quattro conquérante, une voiture qui a introduit le monde des supercars aux mérites de la transmission intégrale à quatre roues motrices. Il a remporté son deuxième rallye et le développement a été rapide, quatre ans plus tard, la société est arrivée à la S1 de 600 chevaux. Cette voiture, et les rivaux qu’elle a inspirés, se sont avérés si rapides qu’elle a été interdite un an plus tard. Elle pouvait passer de 0 à 100 km/h en 2,4 secondes ! Les légendes de la course Stig Blomqvist, Hannu Mikkola, mon préféré Walter Rӧhrl et la pilote féminine, Michéle Mouton, ont tous eu leurs triomphes ainsi que des tribulations dans cette bête qui a lancé la S-Line pour les variantes spéciales Audi. Roland Gumpert, bien que principalement un innovateur et un ingénieur, a été continuellement récompensé pour ses succès continus et a finalement été chargé d’avoir un rôle de leader dans l’immersion du marché chinois. C’est Roland qui a joué un rôle déterminant dans le succès commercial et manufacturier d’Audi en Chine pour l’A4 et l’A6.
– Moi : Donc nous en sommes enfin à causer de l’Apollon…
– Abra….ich : Cette voiture est l’idée originale de Roland Gumpert et Roland Mayer, propriétaire du célèbre tuner allemand MTM. L’interface centrale et le coordinateur du projet est Uwe Bleck qui est également d’Audi. L’insigne en forme de bouclier de Gumpert est imprimé du signe du griffon mythologique, moitié lion et moitié aigle. Roland m’avait expliqué que le symbole unit le courage du lion à la vitesse et à la précision de l’aigle. Cette voiture a toujours été un de ses rêves ! Roland m’avait affirmé que la conception de l’Apollo était optimisée pour que la voiture puisse rouler à l’envers dans un tunnel si elle était conduite à des vitesses suffisamment élevées de plus de 306 km/h.
– Moi : Vous avez cru à ces conneries, vous ?
– Abra….ich : En tant qu’homme du sport automobile, Roland Gumpert avait conçu l’Apollo pour qu’elle soit digne de la course avec un minimum de modifications. Un client pouvait non seulement individualiser l’apparence de la voiture à l’intérieur et à l’extérieur, mais aussi adapter l’enveloppe de performance de la voiture d’un point de base de 650 chevaux à 800 chevaux !
– Moi : C’est ridicule !
– Abra….ich : Cela vous semble ridicule, mais pour les clients très exigeants à ce niveau, comme moi je l’étais, cela avait beaucoup de sens. C’est d’ailleurs ainsi que je lui ai acheté une Apollo ! Elle dispose d’un système de navigation, d’une climatisation, d’un système audio, de rétroviseurs électriques ainsi qu’une caméra de recul parce que la vue de ce qui se trouve à l’arrière est incomplète ! Toutefois, mon Apollo a été restaurée chez Vilner en Bulgarie, cela explique que j’en veux 500.000 euros !
– Moi : Oui ! 500.000 € ? Pathétique ! Bon ! Je ne dos pas “non” ! C’est le moment de l’essayer.
ESSAI…
Son exécution est similaire à celle d’un kit-car Noble M400, l’une et l’autre me rappelant des autos de dessins animés. Je rentre… Eh ! Bien juste ! J’ai d’abord trouvé décourageant de devoir retirer le volant pour entrer et m’installer dans le siège du conducteur. J’ai eu droit à des remarques narquoises (habituelles) sur ma taille, mais cela a été rapidement réduit au silence ! C’est la seule façon de s’adapter au siège pour tout le monde. J’ai fait inopinément un burnout avec les pneus Pirelli 265/35ZR19 avant et 345/35ZR 20 arrière, l’adhérence aurait dû être délirante mais je me suis fait saboter comme un “Hula hawaïen” avec l’engin-nettoyeur trempant la piste avec une mousse de savon. Avec les 650 chevaux entraînant uniquement les roues arrière de cette voiture très légère, l’accélération était comme si un marteau avait été claqué sur ma poitrine à chaque rapport. L’Apollo dispose d’un contrôle de traction et d’un ABS, bien que le contrôle de traction est trop bon. Cette voiture n’est pas pour tout le monde principalement en raison de sa moche apparence, de sa marque incontestée et de son emballage Vilner façon Kustom. Mais c’est génial malgré-tout, la voiture à une franche exclusivité, elle peut être conduite chez n’importe quel concessionnaire Audi pour un entretien régulier via l’OBD (système de diagnostic embarqué) ! J’ai calé l’Apollo plusieurs fois parce qu’elle a un embrayage aussi progressif que quelqu’un qui arrache sa main d’un plat sortant du four. J’Ai également tâtonné pour les boutons surtout celui de démarrage mais également avec les interrupteurs à bascule sur le tableau de bord, avant de tirer l’Audi 4L2 V8 vers le haut et d’empiler les régimes pour m’éloigner. L’embrayage s’avère pas trop mauvais en déplacement. Mais… En fait, non. L’a bloqué plusieurs fois ! Encore et encore. L’Apollo est dure de partout… un arthritique ne devrait pas être joyeux de devoir la conduire. La marche arrière mérite d’avoir un chapitre à s’y consacrer… Il faut pousser le levier pour positionner “A” et appuyer simultanément sur le bouton “C” tout en traitant avec l’embrayage psychotique tout en essayant de se rappeler de quelle façon pousser le levier de vitesses ! Ce n’est pas facile. De plus la voiture chauffe comme une locomotive à vapeur en fin de vie ! Bref en dix minutes j’étais sur le point de quitter ce biniou et de partir. Finalement, nous avons mis “les choses” au clair et je me suis contenté de composer…
– Moi : Mes vieux os craquent de partout. Mon ventre gargouillait de peur pour tenter d’équilibrer les 650 chevaux sur les pneus arrière de la largeur de rouleaux de pelouse industriels !
– Abra….ich : Ce n’est pas joli de me dire cela, mais allons-nous toujours dans la même direction ?
– Moi : Personne ne crie…
– Abra….ich : Pas encore…
– Moi : A un moment, tout est devenu flou. Ma vision allait de noir et blanc jusqu’en multicolore, cherchant la résolution nécessaire pour m’empêcher de devenir une mosaïque en fibre de carbone sur l’arbre le plus proche, et il est juste de dire que c’est jouissif comme une beauté suave qui passerait une lame de rasoir à l’ancienne sur mes couilles. La paire de turbos ont la taille de ballons de football, ce qui est votre domaine en Angleterre, et la voiture a soudain envoyé des jets d’eau bouillante jusque dans la stratosphère. Elle chauffe ! Les 650 chevaux nus et basiques semblent plus que suffisants pour ne pas déstabiliser la voiture. Par “déstabiliser”, j’entends “planter”. Et la boite, ce n’est pas non plus une de ces boîtes de vitesses “Namby-Pamby. Celle-ci a un embrayage qu’on n’utilise pas sur les changements à plein régime ! Et plus on poignarde le levier de vitesses trop haut, plus il y a de saccades, toutes ponctuée par un “chuff” du twitter des wastegates qui sonnent comme si on venait de rouler sur une famille d’oiseaux chanteurs avec l’un des pneus-rouleaux de pelouse industriels ! Cela devrait être une expérience bouleversante de conduire cette voiture, mais c’est raté !
– Abra….ich : OK, donc j’ai perdu mon temps ?
– Moi : Non, pas vraiment, je vais pouvoir en réaliser un article ! Eh bien, maintenant je pourrais attester de ses capacités à faire tourner le monde comme fou sur une définition différente du temps, mais il y a quelques préoccupations. Pour commencer, cette Gumpert semble être une mule de développement qui a été reconstruite.
– Abra….ich : Faites-moi une offre, comme vous le savez, j’ai Macron et ses fiscards à mes trousses !
– Moi : 100.000 euros en l’état !
– Abra….ich : Je vous tel dès que j’ai planqué mes Yachts…
Rachetée un consortium chinois qui imagina une berline sportive nommée la “Gumpert Explosion Concept”, celle-ci ne donnera finalement pas vie à un modèle de série. La marque sera par la suite reprise par le Hongkongais Norman Choi pour devenir “Apollo Automobil” qui sortira, en 2018, “l’Apollo Intensa Emozione” avec Roland Gumpert officiant comme conseiller technique ! Comme quoi, il faut “toujours regarder en avant” ! Mais c’était vain, l’affaire a tourné court !