VW Rimac Bugatti Tourbillon 2027 /5.000.000 €
Ce qui est rassurant concernant la continuation de l’espèce humaine dont nous sommes éternels spécimens, est que “mes” internautes vont en plus grand nombre d’abord sur www.SecretsInterdits.com puis ensuite sur www.GatsbyOnline.com et www.ChromesFlammes.com… Ce ne sont pas “mes” internautes mais je les nomme affectueusement “Mes Popu’s” qui me lisent avec une sorte d’adulation et une dévotion qui m’émeut presque jusqu’à mes fondements, alimentant ma société éditrice de dons précieux assurant notre expansion plus que notre survie, ainsi que la reconnaissance d’avoir osé créer mon magazine Chromes&Flammes il y a un demi siècle, alors que Bugatti n’avait pu survivre à la seconde guerre mondiale et que cette marque, tombée à rien d’autre que de la spéculation aux mains de personnages plus que douteux au niveau des ferrailleurs, fut utilisée pour une réplique plastique type 55 nommée Stimula…
Inutile de revenir sur les tentatives humaines de singeries diverses, il y en a tant que c’est comme éditer une Bible constituée d’extrapolations mensongères érigées en dogmes religieux, l’humanité ayant besoin de stupidités et de guerres, les plus abominables possibles, pour s’illusionner survivre au néant… Notez que c’est pour tout, car les déviances sexuelles sont “LE” must ultime des secrets interdits humains… Dans ce labyrinthe qui nous semble retarder la mort inéluctable de chaque entité vivante (dont les humains), il me faut survoler toutes des déviances imaginables pour ici me circonscrire qu’à ne causer que de la nouvelle VW-Bugatti-Rimac Tourbillon V16 en hybridation, remplaçante de la Bugatti Chiron V16 en appui de la Veyron qui n’existe qu’en quête de clients capables de claquer ca$h 5 millions d’€uros (+ taxes, frais et emmerdes de toutes sortes et provenances) pour s’offrir ce caprice ultime.
Ma famille a vécu des caprices humains ! Mon Grand-père maternel avait un garage ou il réparait des Amilcar’s et des Bugatti’s aux moteurs borgnes en pestant de leur coté “primal”… Et mon père réalisait de beaux costumes sur mesure pour les personnages chics et fortunés de la ville ou il vivait. En fait l’un et l’autre réparaient les défauts des autos et des gens… Et moi, architecte, j’ai également vécu de les contourner avec mes constructions créatives, m’orientant rapidement dans l’édition avec un magazine de décoration et architecture : “Home”, qui existe toujours plus d’un demi siècle plus tard, mais que j’ai cédé pour créer “Chromes&Flammes” puis “Calandres” et autres magazines dans le monde entier (Top Wheels), jusqu’à “GatsbyMagazine” d’abord papier puis rapidement exclusivement numérique avec “GatsbyOnline”... Mais je m’égare, vous êtes là pour me lire vous causer de la nouvelle VW Bugatti Rimac…
Je peux vous résumer l’affaire dès le début de cette chronique : ce n’est pas ce que l’on nous prétend être, ce n’est qu’un moyen consumériste de créer de la fortune… Mais il y a là, matière à spectacle, et ça me plait d’en écrire sans devoir tout graver dans des pierres… À l’époque des premières VW-Bugatti Veyron, le prix à payer pour s’afficher d’avoir les moyens financiers d’un jouet établissant un positionnement/statut bien au dessus de la plèbe, au volant de cette automobile, a été établi à 1.000.000 €, alors que la plus chère des Ferrari neuve d’alors atteignait péniblement 300.000 €… La barre à 2.000.000 € a ensuite été dépassée, sous le simple principe basique : “Au plus c’est pitre, au plus c’est gadget, au plus c’est horrible, au plus c’est inutilisable : au plus c’est cher” ! C’est comme une entente entre gangsters qui tourne à la surenchère sous prétexte de quelques babioles et putes de trop…
Je fais état des peintures “à thèmes” de carrosseries devenant ainsi de plus en plus hideuses et de l’appellation rappelant un ancien pilote Bugatti d’avant-guerre…VW a ainsi doublé le prix de sa Veyron, alors que la société Bugatti n’avait à cette époque pas plus qu’avec celle de Romano Artioli et encore moins de celle de Xavier delaChapelle, aucune véritable filiation avec la société d’Ettore Bugatti, ces illusionnistes/affairistes/opportunistes ayant simplement utilisé la marque… VW avec plus de moyens va en plus acquérir le château en ruine auprès des ayants-droit, pour artificiellement créer une vaniteuse macération de puissance auprès d’une clientèle-cible capable de payer une somme astronomique pour “paraître”… Lucas di Montololopazzolo (ou quelque chose du genre) n’avait en ces temps lointains pas eu le temps de présenter la très stupide et hyper vaniteuse “LaFerrari” à un peu plus de 2.000.000 €…
Lamborghini la présentait en photos mal choisies, la faisant apparaitre comme une vénéneuse chose quasi extra-terrestre, mal inspirée de la Batmobile, sans toit ni capote à 3.000.000 € et des poussières, dépassée par la Lycan se revendiquant “Arabe” qui s’affichait à 4.000.000 €… Elle-même fut bousculée à Dubaï lorsque l’immonde et mal-finie Devell Sixteen a été présentée en fanfare et que le monde, médusé, a vu que son prix dépassait 5.000.000 € ! A ce rythme, tous les hyper riches déviants cherchant le plaisir masturbatoire au volant, ne trouvaient plus que la désolation financière comme décor à leurs orgies automobiles, ce qui ne pouvait que précéder leur mort tragique et la destruction de leur vaniteux jouet, au hasard d’une manifestation de ceux qui hurlent leur ras-le-bol des taxes et des riches poseurs… Les constructeurs d’arnaques roulantes ne pêchent donc plus prioritairement en Europe et aux Etats-Unis…
Que non, ils visent les nouveaux riches Russes, Chinois et Arabes qui… excepté quelques enragés, n’hésitent pas à les détruire publiquement si elles tombent en panne mais ne se plaignent pas d’en acheter ! Les hyper-riches se posent donc tous la même question : “Comment résister à acheter une voiture de sport et de luxe, de plusieurs millions d’€ ?“… Ne pas amplifier les prémices d’une révolte populaire n’est pas leur souci… Mais les acheteurs milliardaires n’ont plus vraiment besoin ni envie d’acheter des engins fabriqués dans les vieilles officines habituelles (Ferrari, Maserati, Pagani etc.), certains se mettent en “pool” pour investir dans une nouvelle marque “locale”, Lycan par exemple, fabriquée au Moyen-Orient (Liban)…, Laraki fabriquée au Maroc… et Devel, fabriquée à Dubaï… Notez qu’il n’y a pas péril en notre demeure européenne, Laraki a présenté son Epitome à Peeble-Beach, mais cette marque n’existe déjà plus…
Après deux autres disparitions du même tonneau dont Lycan, une marque fantôme implantée soi-disant au Liban mais en réalité nulle-part autre que dans une carrosserie italienne… Et Devel, prétendument fabriquée à Dubaï qui n’était en réalité qu’une bidouille faite de bric et de broc plus ou moins coûteux, réalisée dans une carrosserie pakistanaise ! Les retors qui dirigent Rimac-Bugatti ont donc imaginé “pécho” aux plus crétins et pour se faire, ont préparé secrètement une méthode pour toucher leur cible… Transporter leur nouvelle Bugatti Rimac Tourbillon dans le monde entier, sans même avoir besoin de tétaniser la presse, en créant des évènements les plus crétins imaginables dans des endroits improbables, qui sont normalement à destination de Clubbeurs et YouTubbeurs, influenceurs et influenceuses, mais pour Bugatti “sur-détournés” à une collection de méga-multi-milliardaires…
D’où présentations dans des lieux improbables telle une centrale électrique transformée en techno-club souterrain situé du mauvais côté de ce qui reste du mur de Berlin, ou dans un entrepôt générique parmi les conteneurs d’expédition dans le Los Angeles industriel… Le but est de vendre la nouvelle Bugatti-Rimac à la méthode des influenceurs et influenceuses sur laquelle est construit l’avenir de leur société. Cet étrange pari vient de l’extrapolation de la Cloaca de l’artiste déjanté Wim Delvoye qui s’est fait connaître du monde entier avec son œuvre Cloaca, surnommée “machine à caca”. Avec l’apparent sérieux d’un laboratoire scientifique, la machine de Win Delvoye reproduisait le processus de la digestion ; On entre des aliments et, en bout de chaîne, sortent des excréments… Cloaca fonctionnait véritablement et était présenté comme une œuvre d’art de 10.000.000 €… 10 vendues… 10 autres en commande…
Le twist ? Une fois les aliments ingérés par la machine de 12 mètres de long et 2 mètres de haut, et les excréments produits, ces derniers sont ensuite emballés sous vide et marqués d’un logo de la marque Ford ou Coca-Cola. De quoi dénoncer ce que les géants américains produisent tous les jours… De là à utiliser un logo Bugatti… Non, il y avait encore mieux à en faire, en faisant de la Bugatti Tourbillon la nouvelle Cloaca de l’automobile œuvre d’art… Il fallait oser… Ce fut un coup de génie… Nommée non plus de par le tourbillon de la macération des ingestions/digestions, mais d’après un mécanisme de montre-bracelet complexe qui se trouve également être le mot français pour “Tourbillon”, cette nouvelle hypercar a donc été présentée comme une œuvre d’art “Cloaquesque” promettant de combler la fosse à purin entre les Bugatti Chiron énergivores d’hier et les Supercars électriques de demain.
Imaginez le délire des plus fous-friqués de la planète… De plus l’engin était présenté dans les pires insalubrités industrielles imaginables, dans des soirées dantesques orgiaques et ubuesques… Sur ce, Rimac s’est payé son plaisir… Avec très exactement 1775cv provenant d’un système hybride rechargeable composé d’un renouveau du moteur V16 à combustion et de trois moteurs électriques, “spermettant” d’éjaculer une vitesse de pointe dépassant 275 mph (350km/h) en contrepartie d’un montant de 5 millions d’€uros, hors taxes, gadgets et compléments de toutes sortes. S’auto-proclamant digne de la technologie de pointe fourrée à l’intérieur, la nouvelle Bugatti Tourbillon 2027 vise maintenant à aider l’entreprise à faire un bond vers son inévitable ère électrique si elle survit à une guerre atomique… La suite de la Chiron en ne sera pas facile à assumer car on sort des sentiers battus.
Bien qu’elle n’ait jamais eu l’impact culturel de la Veyron 2005, la Chiron était sans doute meilleure à tous points de vue que son prédécesseur de milieu de gamme. Avec 1.479cv et 1180 lb-pi de couple dans sa forme de base, la Chiron était une Veyron plus vive, plus maniable et plus confortable. C’était toujours méga-rapide, aussi. À la fin de sa durée de vie, le moteur W-16 quadriturbo de 8,0 litres basé sur la Veyron, la Chiron avait été peaufinée pour produire 1.578cv, et une Chiron Super Sport modifiée a réussi à atteindre une vitesse de pointe revendiquée de 304mph sur une course unidirectionnelle. La Veyron, en revanche, était sans aucun doute la voiture la plus rapide de son époque, mise en production par le défunt chef de Volkswagen, Ferdinand Piëch, qui rêvait d’une voiture d’au moins 1.000cv, avec une vitesse de pointe de 400 km/h (248,5 mph) et la possibilité de conduire directement du circuit à l’opéra…
Tout cela camouflait une ingénierie fiscale de premier plan permettant de détourner des milliards en faux frais d’étude… La Veyron a relancé à elle seule ce qui était une obscure marque franco-allemande qui était en sommeil depuis un redémarrage de courte durée dans les années ’90 précédé d’une usurpation du nom sur une réplique en plastique réalisée par delaChapelle. Avant cela, plus d’un demi-siècle s’était écoulé depuis que la société n’avait rien produit de remarquable, comme la légendaire Type 57SC, dont seule une petite poignée a été construite avant la Seconde Guerre mondiale. Quel retour à la gloire la Veyron fut… Pfffffffffff ! Lors de ma première prise en main de 2005, elle est passée de 0 à 60 mph en 2,7 secondes et a parcouru le quart de mile en 10,4 secondes à 139,9 mph. Plus tard, j’en ai piloté une à sa vitesse maximale de 253,2 mph et j’ai cassé le moteur… Une merde…
Pourtant, d’une manière ou d’une autre, le cachet culturel de la Veyron : “la Paris Hilton avec traction intégrale”…comme je l’ai surnommée, était encore plus grande que ses capacités de performance. Elle est apparue dans d’innombrables clips musicaux, on pouvait la trouver sur la très chic et chère Rodeo Drive de Beverly Hill. Vous ne pouviez pas repérer un tapis rouge dans les années 2000 qui n’en présentait pas au moins une. La Chiron, malgré tous ses progrès, n’a tout simplement pas eu le même impact. Faisant désormais partie de Bugatti Rimac, une coentreprise 55/45 entre Rimac et VW/Porsche, c’est avec cette histoire et l’avenir électrifié à l’esprit que le nouveau président de l’entreprise, Mate Rimac, a lançe la Tourbillon en visant bien autre chose… Lorsque les discussions sur la succession de la Chiron ont commencé il y a quatre ans, il aurait été facile de simplement tirer une page de la Pininfarina Battista…
Et ensuite il suffisait de relooker une Nevera. En fait, selon Mate Rimac, c’est exactement ce que Porsche voulait faire. Mais Rimac, bien qu’il se décrive lui-même comme un gars de voitures électriques, est un roublard sans scrupules… Il a insisté sur le fait que c’était la mauvaise décision pour Bugatti : “Oui au progrès, mais pas au détriment de l’émotion” , a-t-il raconté. Rimac a apporté un catalogue de cinq futures Bugatti potentielles aux premières réunions de remplacement de la Chiron, dont une quatre places, un SUV électrique et un trio d’hypercars. Mais c’est son monstre hybride rechargeable à cinq moteurs, à grosse batterie et à 16 cylindres qui a le plus enthousiasmé. Le moteur au plus complexe, tel la Cloaca de Delvoye, procurerait de l’émotion et des performances hallucinantes et rapporterait des millions…
Après avoir été réduit de cinq moteurs à trois puis revenant à quatre par le directeur technique Emilio Scervo de la renommée McLaren 720S et Ferrari 458 Italia, qui m’avait dit qu’il n’avait jamais conçu une voiture plus lourde (que celle-ci, qui allait devenir la Bugatti Tourbillon), elle a reçu le feu vert. S’appuyant fortement sur l’expertise de Rimac en matière de véhicules électriques et de roublardises, VW-Bugatti s’est tourné vers son partenaire Croate pour l’architecture 800 volts de la Tourbillon. À l’avant, derrière le coffre se trouvent deux moteurs à aimants permanents de 335cv et 177 lb-pi à manchons en carbone capables de tourner à 24.000 tr/min, soigneusement emballés avec leurs ondulateurs respectifs en carbure de silicium. À l’arrière, derrière le moteur et la transmission, se trouvent un autre moteur de 335cv et un ondulateur correspondant aux spécifications des unités avant.
C’est hyper complexe, donc cher, mais en finale la complexité n’est pas qu’apparente… Le long de la colonne vertébrale de la voiture, où se trouverait l’arbre de transmission dans la Chiron, se trouve une batterie en forme de T de 24,8 kWh (25,0 kWh bruts) qui sert également d’élément structurel de la voiture. Bugatti affirme que les trois moteurs et la batterie lithium-ion NCA 21700 refroidie par huile, sont légers à environ 650 livres combinées. La batterie compatible CCS peut se recharger de vide à 80 % en 12 minutes environ, avec un pic d’un peu plus de 80 kW. Avec les moteurs et la batterie, du point de vue de Rimac, offrant les performances modernes dont la tourbillon a besoin, cela laissait la question de savoir avec quel moteur l’associer. C’est l’émotion qui a été le principal moteur de la décision, mais le poids et la simplicité ont également joué un rôle.
Bien que compact, le W-16 quadriturbo de 8,0 litres qui propulsait la Veyron et la Chiron a été jugé trop lourd, compliqué et lent pour être utilisé dans la Tourbillon. Bugatti Rimac avait l’intention de développer un nouveau moteur de toute façon, il a choisi un V-16 avec son partenaire de développement Cosworth, en partie pour son nombre de cylindres, sa simplicité relative et son poids plus léger par rapport à un W-16. Bugatti a conçu des versions à plat et à plan transversal du nouveau V-16 atmosphérique de 8,3 litres à 90 degrés, mais l’équipe a atterri sur une version à plan croisé du moteur avec un vilebrequin plus long, car jugé non seulement plus performant, mais aussi meilleur alors qu’il atteignait sa ligne rouge de 9.000 tr/min. Pour compléter l’ensemble, une nouvelle boîte automatique à double embrayage à huit rapports (sans marche arrière ; le moteur arrière la couvre)…
Elle est coincée en sandwich entre le V-16 et le moteur arrière… Le résultat mis à part des frais gigantesques de maintenance, est impossible en grandes distances !!! Beaucoup de frais à prévoir. Les trois moteurs de la Bugatti Tourbillon 2027 se combinent pour 789cv, tandis que le moteur V16 représente 986 chevaux et 664 lb-pi supplémentaires. La puissance totale combinée du système est de 1.775cv. Bugatti s’attend à ce que la tourbillon accélère à 60 mph en moins de 2,0 secondes, à 100 mph en moins de 5,0, à 185 mph en moins de 10,0 et à 250 mph en environ 25 secondes. Vitesse maximale ? La société prétend être plus axée sur les sensations que sur les chiffres tape-à-l’œil, mais Mate Rimac a dit que la Tourbillon atteindrait 280 mph si pas 300 mph… Quoi faire pour une telle folie si 500km/h ? Rimac n’est pas vraiment subtil dans ses allusions parce que le but n’est pas ce qu’avoué…
Le but c’est de créer une Cloaca automobile qui vulgairement écrit tel que dit par le Boss lui-même : “La Tourbillon va nous chier de l’or en barre“… La puissance et la vitesse ne sont que deux facteurs dans les performances de la Bugatti Tourbillon 2027. Comme la Chiron avant elle, Bugatti dit avoir fait un effort concerté pour faire de la Tourbillon un meilleure automobile sans sacrifier ses capacités de type GT. À cette fin, le nouveau châssis monocoque en fibre de carbone de la Tourbillon est conçu pour être solide mais léger… Il est soutenu par un diffuseur arrière en carbone-céramique inspiré de la Formule 1 (qui est conçu pour être facilement échangé comme un cône de nez de F1 s’il est endommagé) et une partie avant imprimée en 3D en composite de carbone. Ces structures sont conçues pour s’adapter aux radiateurs et aux moteurs avant du groupe motopropulseur tout en permettant un petit coffre…
C’est peu en écrire, car sa taille et sa forme sont égales à celui de la Chiron. Ils s’articulent également autour de la suspension à double soupapes à réglages électroniques de la Tourbillon, qui comporte des multibras avant et arrière triangulaires en aluminium fabriqués de manière additive aux quatre coins. Pour compléter l’ensemble matériel, des freins avant massifs à huit pistons et des freins arrière à six pistons, enveloppés dans des roues avant de 20 pouces et arrière de 21 pouces. L’aileron arrière actif aide au freinage autant qu’au look, basculant dans les airs à un angle de 55 degrés pour maximiser la surface de contact de la Bugatti. Sur le plan logiciel, Rimac a dit que l’équipe de Nevera travaillait dur pour développer les systèmes de contrôle de traction et de vectorisation du couple. Une variété de modes de conduite, y compris un mode Top Speed nécessitant une clé métallique complexe en forme de V-16…
Avec le mandat de créer de l’art sur roues, les designers de Bugatti travaillant dans un studio extérieur en France et un studio intérieur en Croatie, se sont penchés sur le passé historique du constructeur automobile et sur les produits de luxe haut de gamme lors de la conception du nouveau produit phare. L’équipe extérieure, dirigée par Achim Anscheidt (le responsable du design récemment retraité responsable de la Veyron et de la Chiron) avait pour objectif de rendre hommage aux prédécesseurs directs de la Tourbillon, mais tout en revenant sur les anciens jours de gloire de l’entreprise à titre de “réassurance”… Tout d’abord, il y a la forme générale de la voiture. La calandre en fer à cheval, la coquille Saint-Jacques “Bugatti line” sur les flancs et la palette de couleurs bicolore, distinguent la nouvelle hypercar hybride rechargeable comme la descendante de la Veyron et de la Chiron…
Pendant ce temps, ses larges hanches arrière, son capot bas avec sa surface de style fuselage d’inspiration art déco et la colonne vertébrale distincte au milieu rappellent la Type 57SC d’il y a près d’un siècle. Tout comme la Tourbillon l’est pour la Chiron, la Type 57SC était plus basse, plus rapide et plus légère que son prédécesseur direct, grâce à sa tôle en alliage de magnésium, qui, en raison de l’inflammabilité intense du matériau, devait être rivetée au milieu, formant une colonne vertébrale qui descendait le long de la voiture. La forme de la Tourbillon suit sa fonction. Son toit et son capot sont inférieurs de 1,29 pouce et 1,77 pouce à ceux de la Chiron tout en préservant la même empreinte globale et le même volume de passagers à l’intérieur. Regardez de plus près, et la ligne de toit fluide, les ailes en forme de jarret et l’aileron arrière actif déployable électroniquement se combinent avec le diffuseur arrière profond…
Un vrai gag, c’est exagéré et inspiré de “La Voiture Noire”, une prétendue assistance à produire à la fois 15 % de traînée en moins que la Chiron avec l’aile rangée et 14 % d’appui en plus lorsqu’elle est déployée. Cette ligne de toit et ce diffuseur fonctionnent en tandem avec le V-16 à près de 300 mph. Comme le décrit le nouveau chef du design Frank Heil, le profil de la Tourbillon, évoque un faucon pèlerin, et se combine avec de longues virures de diffuseur sous le ventre pour créer efficacement une aile aérodynamiquement neutre lorsqu’elle roule à pleine vitesse. Le diffuseur bénéficie également de l’immense chaleur générée par les grands embouts d’échappement… Ces “machins” quadruples du V-16, créeraient une couche limite énergisée qui aide la Bugatti à fendre l’air… Ne riez pas… Il y a surement aussi du délire dans l’air que ces gens respirent…
L’équipe chargée de l’intérieur, quant à elle, visait à produire un design intemporel. Ouvrez les portes “papillon” et glissez-vous sur le petit seuil dans les sièges fixes (le pédalier s’ajuste électriquement à sa place), et vous baignez illico dans une expérience analogique intemporelle. Devant le conducteur se trouve un volant à moyeu fixe qui tourne autour d’un collier caché sur l’arbre de direction. Comme une roue Rolls-Royce, cela maintient le logo Bugatti debout/horizontal en permanence. Derrière ce volant magique, se trouvent trois compteurs mécaniques créées par une société suisse de marque privée qui fabrique des montres haut de gamme. Comme une belle montre, les compteurs présentent des engrenages exposés et finement maillés derrière un verre saphir. Tout est construit avec une plage de tolérance de 5 à 50 microns, garantissant que les compteurs peuvent suivre le rythme de la voiture.
Les seuls écrans de la nouvelle Bugatti sont un petit multifonction sous le compteur de vitesse et, en accord avec les réalités modernes, un qui surgit comme de nulle part du haut de la console centrale usinée et équipée de verre cristal. Le reste de la cabine est comme on peut s’y attendre dans une Hypercar de plusieurs millions de dollars, équipée de cuir cousu riche… Avec beaucoup de travail de développement encore à faire et un arriéré de variantes Bolide et W16 Mistral Chiron à traiter, ne vous attendez pas à voir la Bugatti Tourbillon 2027 dans vos flux Instagram ou TikTok de sitôt. Bugatti prévoit une modeste série de 250 unités, la production et les livraisons devant commencer en 2026. Beaucoup de temps pour rassembler suffisamment de scratch pour son prix de départ de 5 millions d’euros plus taxes et divers… En réalité c’est bidon…
L’arnaque est partouze… Au moment où vous lisez ceci, chacune des 250 Tourbillon’s a déjà été vendue d’avance aux bestiaux et primates multi méga milliardaires composant les hordes de beaufs richissimes qui ont chassé la voiture depuis les vieux clubs techno de Berlin jusqu’aux riches ports du Moyen-Orient et d’Asie et aux entrepôts de Los Angeles et en Europe depuis novembre de l’année dernière 2023. D’où votre relecture obligatoire du départ de mon texte, vous informant de la présentation secrète de la Tourbillon façon clubbing… Spécifications de la Bugatti Tourbillon 2027 : Prix de base 5 millions €… Prix final entre 8 et 10 millions € plus complications… 2x moteur avant, 1x moteur central, 1x moteur arrière… Total 4 moteurs : 1 x V16 de 8,3 L/986 ch/664 lb-pi DACT et 64 soupapes, plus 2 x moteurs électriques de 335 ch/177 lb-pi à l’avant et 1 x un moteur de 335 ch/177 lb-pi à l’arrière ; Total à 1775cv/N/A…